Tu es né un 31 décembre durant un hiver glacial. Une froideur que tes parents t’ont bien fait ressentir depuis toujours. Ils ne te l’ont jamais dit mais ceux-ci auraient largement préféré avoir un garçon plutôt que "toi", une fille et qui plus est n’a hérité d’aucun talent particulier. Bien qu’ils t’aient toujours appris à respecter tes ainés et à porter fièrement ton nom, tous ce que les autres ressentaient étaient de la crainte à la simple prononciation de ton nom. Tes yeux bleus perçant et ton silence n’aidait pas les autres à t’apprécier. La pression que ton mis tes parents concernant ton statut et ton sang, t’ont toujours étouffé. Tu portes avers fierté un nom noble cependant tu trouves cela dure. Ton éducation a toujours été stricte, particulièrement par ton père. Tu ne t’es jamais permis de folie et a consacré tout ton temps à étudier. Ton enfance était particulièrement encadrée par ta mère puis ensuite ton père. En grandissant, ils ont vite compris que tu n’étais pas l’enfant si doué qu’ils espéraient. Tes pouvoirs sont apparus très tard et lorsque ton père l’a appris, il n’a cessé de te mener la vie dure pour t’entrainer. Ton enfance n’a cessé d’être bercée par des dîners de famille, de présentation et de soi-disant fierté d’avoir un enfant de sang-pur en plus. Ta solitude grandit avec le temps te laissant seul avec ces bouquins et ces parchemins...


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tes parents étaient bien d’accord pour t’envoyer à Poudlard. Comme tous les autres tu reçus ta lettre d’admission à tes 11 ans. Bien que jeune, tes géniteurs espéraient beaucoup de toi. T’ayant fait étudier dès ton plus jeune âge, tu as travaillé très dur pour être la meilleure partout. Pour pouvoir satisfaire les grandes attentes de tes parents et de pouvoir honorer ton nom fièrement. Avant même que tu sois entre les 4 murs de Poudlard, tes parents t’ont bien stipulé de n’être qu’avec des élèves qui partageait ton sang : des sang-purs. Des élèves de grandes familles. A peine arrivée tu as eu beaucoup de mal à te faire à cette idée. Bien entendu, depuis le début ils t’ont toujours dis que leur famille, ainsi que les autres faisant partit du registre étaient des familles respectables contrairement aux autres et en aucun cas tu ne devais fréquenter d’autres ou même te marier avec. Concept qui auparavant te semblait flou. En arrivant dans cette école, tu ne comprenais pas plus qu’avant mais tu essayais malgré toi de les écouter. Cela était plus difficile que prévu. Beaucoup d’élèves te semblaient gentils et tu avais envie de te faire des amis comme tous les mondes. Un jour, ton père a appris que tu n’as pas suivis ses indications et il te donna une tape sur la joue. Tu fus choquée et particulièrement déçue de son comportement, tu étais jeune et tu ne pouvais pas supporter cette pression que tous deux te mettaient sur les épaules. Tu passais donc le plus clair de ton temps seul à étudier pour ne pas être à la traîne par rapport aux autres. Ta seule priorité était les études et rien d’autre.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Cette nuit-là, en plein dans les vacances de Noël, ta famille était angoissée. Tes parents supportaient assez mal la nouvelle du ministère, bien que tu saches pourquoi ils étaient de mauvaise humeur, tu essayais de ne pas y prêter attention. Après avoir mangé avec eux, tu partis en direction de ta chambre tout en écoutant régulièrement les infos. Ils avaient finalement trouvé un moyen de se débarrasser contre tu-sais-qui. Tu essayais tant bien que mal de boucher tes oreilles pour pouvoir étudier tranquillement. Quelques heures plus tard, rien ne se produisit. C’était un échec total. Tu soupiras et partis te coucher comme si de rien n’étais. Le lendemain, tu t’étais levée de bonne heure. Tu étais toujours la première à prendre ton petit-déjeuner. Tu préférais rester seule plutôt que de supporter le regard froid de tes géniteurs. De toute façon, tu ne devais pas beaucoup leur manquer vu le peu de lettre que vous échangiez. Tout en beurrant un toast, tu fus surprise de voir une fouine sur la table, bien en face de toi. « Eh ! Mais qu’est-ce que tu fais là toi ? », dis-tu simplement. « Tu te lèves tôt pour une jeune fille de ton âge. » Cette voix, tu l’avais bien entendu. Tu te tournais rapidement pour voir si ce n’étais pas un elfe de maison qui t’adressais la parole mais personne. « Quoi ? Tu ne me reconnais pas ? Regarde en face de toi ! » Tu te retrouvais nez à nez avec cette fouine et tu lâchas ton toast dans ton assiette. « P…pardon ? » Tu n’arrivais pas à prononcer une phrase correcte cependant tout un tas de questions fusaient à l’intérieur de ta tête. « Charlotte, réfléchis un peu. Ton patronus est une… frouine… oui voilà ce que je suis. » Après plusieurs échanges, tu finis par admettre que cet animal parlait… dans ta tête. Si bien que tu as évidemment essayé de le cacher à tes parents qui finalement l’on découvert assez vite.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le temps passait et peu après ce qu’il s’est passé avec ton patronus, tes parents t’avais annoncé une drôle de nouvelle : tu étais plus ou moins fiancée – contre ton gré bien sûr. Voyant que tu préférais faire comme cela te chantait à Poudlard, ils ont préféré de fiancer avec un homme d’une famille de sang-pur. Laquelle, tu ne le savais pas encore. A vrai dire, ils l’ont dit comme ça mais en vérité, tu ne l’avais jamais rencontré et même maintenant tu ignores tout de son identité. Bien que furieuse, tu ne pouvais malheureusement rien leur dire quoique finalement, les fiançailles n’était qu’une promesse de mariage n’est-ce pas ? Cela ne t’empêchait pas de vivre comme tu l’entendais et de te marier avec qui tu voulais. Evidemment, cela te mettait quelque peu la pression concernant le temps qu’il te restait. Le mariage serait sûrement fixé à la fin de tes études et tu ne pouvais le tolérer. Plus le temps passait plus tu voyais le délai se raccourcir. Bien que tu ne connaisses pas ton futur mari, bien qu’ils soient susceptibles de te plaire, tu préférais contredire tes parents plutôt que de suivre bêtement leurs désirs. Tu tétais énormément préparer pour passer le B.U.S.E et tes A.S.P.I.C tu ne pouvais pas laisser cet évènement te perturber.

Qu’en est-il maintenant ?