19 ans ϟ Justice Magique ϟ Une loutre et un panda nommée Heaven ϟ Sang Pur
Le paraître, règne d'un état qui n'est que transparence de votre véritable identité. Quoi que l'on dise, ou que l'on fasse si dur soit la carapace que vous avez forgée aux fils des années, cerner quelqu'un reste chose aisé. Un être ne peut-être foncièrement méchant, ou détestable. Il y a cette chose immonde, cette faculté humaine ignominieuse, cette humanité qui fait battre votre cœur. On peut se faire violence et terrer ce besoin compulsif d'humanité au fond de nous, il ressort toujours de nos cicatrices un peu de nous-même, de ce que l'on a été, de ce qu'on sera et de ce qu'on ne sera surement jamais. On dit que le vécut-nous forge, c'est vrai. Mais chaque personne à son propre vécut et ne le vit pas de la même façon. On peut choisir entre le bien et le mal, le bon et le mauvais, le blanc et le noir. Toi Sparrow tu es grise, grise comme cette haine qui te consume et ce bonheur qui t'étouffe. Joviale et dépressive, tendre et violence, juste et déraisonnable, insouciante et fataliste. Tu es tout et rien à la fois, la paix et la guerre, un fléau au paradis, l'espoir en enfer. Tu méprises le monde mais tu l'exaltes sacralisant la vie comme personne, vivant chaque instant dans son intégralité avec une appétence extraordinaire, et d'un coup tu la dédaignes, tournant le dos à la beauté que tu glorifiais quelques minutes auparavant, tu craches ta haine, cette soudaine colère incontrôlable qui envahit chaque parcelle de ton pauvre corps. Un besoin de détruire, comme un appel saccagé toute la béatitude que tu as créé. Et puis détruire ne te suffit pas, tu as besoin de plus, de jouer, alors l'endroit où tu te trouves se transforme en un grand jeu d'échecs, où les règles sont tiennes. Tu séduis, par concupiscence salace, besoin de sentir ses corps, orgies de sensation qui ouvre chacun de tes sens. Et puis d'un coup tes sens s'affolent et chaque contact se transforme en une sensation révulsant, tu ne supportes plus ses étreintes charnelles. Et tes yeux croisent un agneau, un tout petit être au besoin flagrant de protection, d'aide. Ton égocentrisme s'efface et tu ramasses doucement le petit oiseau frêle que tu protèges, mais bien vite tu te lasses et le laisses là dans un état encore pire que la façon dont tu l'avais trouvé. « Tu es folle Sparrow », ses mots résonnent dans ta tête comme un tintement insupportable, non tu n'es pas folle, non ! Tes mains s'emparent de la première chose qui entre au contact de ta paume et tu le lance, aussi fort que possible à travers la pièce où tes frères te regardent avec cette douceur, cette peur et cette honte d'avoir au sein de la famille un être aussi instable. Et puis tu t'écroules sur le sol en larme. Et ses bras qui enserrent ton petit corps, et qui attrapent doucement la baguette que tu viens juste d'avoir. Bois de rosier et cheveux de vélane, 27 cm, instable. Sparrow, tu es folle, tu le sais, tu es instable, lunatique. Bipolaire. Entre dépression et excitation, les montagnes russes de ton esprit te font passer du rire aux larmes, de la colère à la joie et de l'amour à la destruction. Ta famille n'aime pas spécialement les différences et tes changements soudain de comportement créaient souvent des situations dont les McLeod se priveront bien, mais personne n'ose te dire quoi que ce soit, tu es si imprévisible que te gérer serait impossible, tes colères sont craintes, tes joies sont attendues, la famille vit au rythme de tes crises compulsives. Ils te détestent tous, dans le fond tu le sais, parce que tu es différente. Tu es une McLeod mais tu ne fais pas vraiment partie de la famille, on craint juste ta réaction si l'on venait à te rejeter.
Sparrow est une enfant, une enfant à laquelle on n'a trop donné et pas assez en même temps. Douce, jolie, intelligente, rêveuse et tendre, une émotion trop forte pour qu'elle explose d'une colère, d'une rage si forte qu'elle en devient incontrôlable. Les McLeod ont toujours rejeté l'étrange, le non-conforme, mais il est impossible de rejeter la douce et instable Sparrow, elles les effraient autant qu'ils ont besoin d'elle, car il n'y a pas plus humain et inhumain à la fois. Mais qui est vraiment Sparrow ? Sparrow est une garce, une garce plus perfide encore que la perfidie elle-même, Sparrow est méchante mais c'est dans sa nature, elle ne le veut pas vraiment, Hell sont troisième prénoms lui va à ravir, elle est comme un ange en enfer, elle propage la haine autour d'elle. Pourtant, il y a cette partie insouciante d'elle, cette partie qui essaie de ressortir de chaque parcelle de son corps, qui tente d'effacer sa nature mauvaise, cette humanité qui la rend bipolaire car elle est tiraillée entre sa vraie nature et ce manque d'amour qui cherche à être combler, alors oui parfois elle aidera un être en détresse, oui elle sauvera une personne au péril de sa vie mais ce n'est que pour mieux la détruire par elle-même, une fois l'amour atteint, il lui faut détruire même si elle garde cette candeur qui l'empêche de réellement faire souffrir sa proie.
a little something from you.
« Tu es réel, je veux dire vraiment ? Et il n’y a que moi qui peux t’entendre ? » Mes yeux s’illuminait d’une lueur malicieuse, ma main se posa sur la petite loutre duveteuse aux couleurs grisâtre d’un patronus. Il faisait froid aujourd’hui et mes doigts frigorifiés se perdirent dans le duvet du petit animal qui vint se lover autour de mon cou. Un rire cristallin, presque enfantin s’échappa de ma fine gorge lorsque sa queue vint chatouiller le dessous de mon nez. « Il n’y a que toi qui puisse m’entendre et je te connais sans aucun doute mieux que quiconque sur cette terre. » Mes sourcils se froncèrent et mon rire cessa, je parus alors comme une enfant perdu, triste et ma joie avait laissé place à une infime tristesse. « Mais alors, tu vas me détester comme les autres … » Mes yeux s’embuèrent de larmes, du haut de mon mètre soixante-dix j’avais perdu toute excitation insouciante. La loutre serra un peu plus mon cou, comme pour me rassurer. « Non, je t’aime moi, et jamais je ne t’abandonnerai. Car si l’on nous sépare de plus de quelques mètres tu sentiras une déchirure au-dessus de toute la douleur que tu as pu ressentir. » Mes larmes disparurent de mon doux visage, et mes traits se détendirent lentement, jamais personne ne nous séparerez, elle l’avait dit. Apparut comme un ange dans mon monde de dépravation, il y avait ce petit être que je n’avais étrangement pas envie de détruire. Mais la peur m’envahis et si je détruisais mon patronus, si dans une crise de démence je faisais du mal à cet être que je ne connaissais que depuis quelque heure mais qui me paraissait être la chose qui m’accrochait à ce que j’avais fait de mon monde. Naïve petite je m’accrochais très vite à la loutre que j’avais nommé Heaven, mon troisième prénom résonnait comme l’enfer, mon patronus comme le paradis. Très vite j’appris à ne plus jamais vivre sans Heaven qui se transforma bien vite en un panda gros et amusant. Lorsqu’un sentiment devenait trop difficile à supporter Heaven se logeait dans mon cou et s’était comme-si elle absorbait toute les ondes, toutes les tensions qui envahissait mon corps, elle calmait mes douleurs, apaisait ma colère. Je ne pouvais pas la détruire car en la détruisant je me détruisais. Bien sûr j’avais ressenti la douleur de l’éloignement, ne m’étais-je pas emportais après une quelconque remarque de la petite chose qui me suivait partout, mais jamais elle ne m’en avais tenu rigueur, estimant sans doute que sa perte serai surement bien pire pour moi que sa présence. Je m’attachai corps et âme à Heaven, mon humanité sans aucun doute.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Marie ♥ ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je sais plus Oo ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? FUKINGADORABLEDAENERYSQUETOUTLEMONDEAIME ϟ Présence: 7/7 jours ϟ Une remarque? Je sais Megan est réservé pour 3 jours, donc jusque demain, donc on verra demain ♥
Dernière édition par I. Sparrow-Hell McLeod le Lun 20 Mai - 22:25, édité 11 fois
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Re: Hell ♠ We will all laugh at gilded butterflies
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Elle n'est pas comme nous ! » Des murmures froids dans une salle d'attente étrange. Assise sur une chaise, les jambes se balançant dans le vide, le regard vide fixé sur le mur blanc, un calme presque trop parfait, rêveuse d'un monde qui lui échappe Sparrow fini par porter attention à Carl, le visage mutilé il regarde sa sœur depuis maintenant une heure, il a sur le visage les ecchymoses de coup violent porté à son visage. Doucement, Sparrow se laisse descendre de sa chaise et s'approche de son aînée, Carl est plus vieux de trois ans et lorsque la main de la jeune fille se lève vers le visage de son frère, il se crispe, mais la main qui s'abat sur lui est douce et tendre, une larme perle sur le joue de la petite brune au regard perdu. Il lui sourit, personne ne comprend, très vite tous les yeux se rivent sur la petite brune qui se noyant dans des sanglots incontrôlables caresse le visage de son frère. Hector le regard dur, ne s'attendrit pas de cet instant, Carl lui attrape sa sœur qu'il vient serrer contre lui, la cajolant d'un amour qu'elle n'attendait plus après ce dernier acte plus violent que tous les autres. Il lui pardonne et c'est tout ce dont elle avait besoin. « Je suis désolé ... je n'ai rien pu faire cette fois-ci ... » Carl lâche ses quelques mots, désolé de quoi ? Comment, c'est elle qui la violemment frapper et mutiler au visage, il resserre son étreinte quand soudain des hommes apparaissent, la tête dans le cou de son frère, les yeux clos elles ne les voient pas immédiatement, mais lorsque des mains l'enserrent et la tirent violemment de son frère, la panique la gagne. Elle se débat, mais la seule vision qu'elle a est celle de son père et de sa mère faisant volte-face, et cette larme qui roule doucement sur la joue de son frère, et Benton, où est Benton ? Cette fois, il n'a rien pu faire, oui, car cette fois, elle a été trop loin ... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Forget the past
« Qu'est-ce qui s'est exactement passé Sparrow raconte-moi. » J'ai 10 ans et voilà bientôt un an que mes parents et mes frères m'on abandonner ici, abandonner où plutôt confier au centre car on n'apprécie pas trop les différences au sein de la famille McLeod ... Ils viennent me voir de temps en temps, Benton va mieux, Carl s'en veut toujours et mes parents sont toujours aussi glacials et honteux de la tare de la famille, leur unique fille ! ! Les visites devenaient de plus en plus rare et les discussions restant superficielles je n'avais plus l'impression de faire partie de cette famille qui lentement m'abandonnais à mon sort. Mes frères élèves à Poudlard ne venait que durant les vacances et je n'avais accès au grand manoir de mon enfance que durant les fêtes, je passais des heures assises près de la fenêtre qui avait tout changé. Mes yeux d'enfant se posèrent sur le vieillard qui chaque semaine m'accueillait une heure ou deux sur son grand fauteuil blanc. Aujourd'hui cela faisait exactement un an que j'étais là et mes lèvres s'entrouvrirent pour la première fois sans doute au sujet de « l'accident.».
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][size=18]FLASHBACK.C'était au début du mois de juillet, ses jours où le soleil à son zénith annonçait les 12 coups de midi. Mon ventre s'agitait par la faim et assise près de la fenêtre je laissais la fine brise s'engouffrer dans mes cheveux lorsque la porte de ma chambre s'ouvrit, mes yeux s'illuminèrent à la vue de mes deux frères revenus de Poudlard. L'année s'était terminée et comme chaque année depuis deux ans, mes frères revenaient de Poudlard les bras chargés de présent pour leur petite sœur. Je me jetai dans leurs bras avides de leur amour fraternel. Benton et Carl les jumeaux venaient de terminer leurs 2èmes années et il me paraissait qu'ils étaient partis depuis une éternité. Je n'entrais à Poudlard que deux ans plus tard et je me languissais déjà. Une voix nous appela au rez-de-chaussée, et porté par mes frères, nous sommes descendus pour le repas. Le repas se passa sans encombre, et c'est heureux que mes frères et moi sommes remontés dans ma chambre pour passer l'après-midi. Bien vite, la nuit vint gâcher la belle journée qui s'était offert à nous et alors que mes frères étaient descendus pour le dîner j'enfilai une jolie robe afin de les rejoindre, j'aimais le faire jolie pour eux, j'aimais qu'ils me regardent et soit fière de moi. Une soirée était organisée chez des voisins et je me faisais une joie de m'y rendre au bras de mes frères. A peine avais-je mis un pas sur la plus haute marche de l'escalier que les murmurent m'arrêtèrent. « Elle va mieux je pense, elle n'a pas fait de crise aujourd'hui. » Hector coupa son fils. « Votre sœur est dérangée, elle a un problème et je ne pense pas que ce soit une bonne idée que vous passiez tout votre temps en sa compagnie, si je pouvais me permettre de la renier je le ferais mais je ne veux pas qu'un scandale éclate sur notre famille. Aimez-là si vous y parvenais mais pour le moment, elle est trop jeune et trop instable pour que je me permette de la présenter à des dîners importants. Ce soir, elle restera ici ! » Un vulgaire elfe de maison, une tare, l'horreur de la famille. Une tristesse indicible monta en moi et je fus secoué de sanglot sonore. Benton et Carl levèrent les yeux assez vite pour apercevoir ma silhouette disparaitre dans ma chambre. Ils se ruèrent à ma suite. J'étais là, debout devant la fenêtre grande ouverte, je laissais le vent s'engouffrer dans mes beaux cheveux et ma voix résonna à leurs arrivés dans la pièce. « Vous avez vu, je me suis faite jolie ... Mais je reste un monstre ... » Benton s'approcha en premier, j'entendis ses pas derrière moi. « Hell ... » Il avait prononcé mon nom comme une caresse, mensonge, il me haïssait autant que notre père d'être différente. Je le sentît s'approcher trop près, croyait-il que j'allai sauter ? Ses mains s'agrippèrent à moi et dans un accès de panique et de rage violente je le poussais. Il me lâcha et tout se passa au ralenti un silence Benton qui passe au-dessus de la rambarde, des cris les miens, ceux de Carl, Carl qui tente de me retenir, mes larmes, mes mains qui défigurent mon frère qui finit par me lâcher et je me précipite pour regarder dans la nuit mes yeux se posant sur le corps disloquer de Benton quelques mètres plus bas inconscient. Paniqué à l'idée qu'il soit mort et ravi à l'idée que ce ne soit pas moi. Je suis sûr qu'ils auraient tous préférés que ce soit moi, la folle, la tare et je ressens presque une infime satisfaction à ce moment-là en même temps qu'une culpabilité incommensurable. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le vieillard me scrute, je n'ai pas l'air de regretter et pourtant il lit dans mon regard une profonde tristesse, mon sentiment reste flou, il y a ce regret d'avoir faillis tuer mon frère et cette satisfaction d'être toujours là. Ce soir-là mes parents avaient accouru vers le corps de Benton, levant les yeux vers moi à la fenêtre les yeux rivés sur mon frère, ils m'avaient regardé avec dégoût, haine et je leur avais souri, comme pour leurs prouvé que j'étais toujours là. Et puis j'avais reporté mon regard sur Benton et la peine m'avait submergé. Je ne pouvais plus regardé, j'avais tourné les yeux vers Carl blessé lui aussi et j'avais cru mourir. Détruisant même les êtres les plus chères que j'avais, j'avais fini par m'évanouir. Et on m'avait transporté ici, en attendant ma lettre de Poudlard. Drogué à la médicamentation magique, je devais prendre des gélules à heures fixes, j'allai recevoir ma lettre bientôt et quitter le centre et chacun appréhendais, mes parents autant que mes chers frères.
YOU CAN TELL JESUS THAT PSYCHOTIC IS BACK.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Comment vivez-vous votre vie à Poudlard. » Le vieillard était mort, face à moi il n'y avait qu'un jeune homme, âgé peut-être de 5 ans de plus que moi. Mes longues jambes croisées firent un délicat mouvement se frottant l'une contre l'autre. Le regard du psychiatre se posa sur ses interminables et désirables jambes et il avala sa salive, fermant ses yeux afin de remettre ses idées en place. Je me penchai l'air pensif, la tension qui imbibait le cabinet devenait palpable, je n'étais plus une petite fille jouant avec ses cheveux face à un vieux monsieur, j'étais une séductrice psychotique qui avait bien compris qu'elle devrait vivre avec son passé psychologique dérangeant. Je savais que mes parents ne m'aimeraient jamais, que Benton n'arrivera pas à me pardonner et que Carl serait toujours déchiré par son amour pour moi et ce que j'avais pu faire. Je savais que j'étais un fléau, la peste, l'enfer ... Il faut croire que j'étais née pour détruire. J’entrouvris les lèvres prête à parler, je n’avais jamais vraiment parlé de quoi que ce soit mis à part par écris à Matthew. « Je le vis bien. » Je m’interrompis un instant, les yeux dans le vague je me remémoré mon arrivé à Poudlard, ma répartition, cette envie avide de voir autre chose que ma petite chambre d’hôpital, cette baguette magique dont j’avais hâte de voir les magnifiques étincelles, la magie s’était ouverte à moi dans un monde que j’avais cru morne et insipide. Poudlard, sa magie débordante m’avait ouvert des porte inexploré, j’avais envie de faire de la magie, d’être magique. Je me sentais différente, spéciale. « J’aime bien Poudlard, cet endroit est magique, presque trop, je ne sais pas si je vais parvenir à gérer mes démons, je suis plus calme, moins impulsive qu’avant le traitement mais j’appréhende toujours une nouvelle crise. Mais il y a Heaven maintenant » Oui, j’appréhendais une nouvelle crise mais j’avais ce besoin malsain de sentir que j’étais toujours aussi folle, je cherchai à me mettre en danger, à mettre les autres en danger. Je restai cependant raisonnable mon patronus me surveillant d'un peu trop près. Je caressai Heaven lové sur mes jambes, le patronus m'apaisait, il était toujours là, une présence continuelle. Mais Poudlard restait pour moi comme une famille, un havre de paix, je m’y sentais chez moi, à l’aise. Je n’avais pas eu de crise démentiel depuis mon arrivé à Poudlard 8 ans plus tôt. Peut-être étais-je guéri, pourtant je sentais cette latente douleur s’ouvrir en moi comme si tout ça n’était pas fini. « Benton ne me pardonne pas, et Carl est de plus en plus distant, mais j’ai retrouvé mes cousins, j’ai l’impression d’être à la maison sans vraiment me sentir chez moi, vous voyez ? » Mes yeux se perdirent dans le vide et je cessai de parler, je n’avais plus rien à dire, la séance pouvait être levé. .
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Dernière édition par I. Sparrow-Hell McLeod le Lun 20 Mai - 22:26, édité 5 fois
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Re: Hell ♠ We will all laugh at gilded butterflies