BELLUM PATRONUM


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OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
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Message OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 19:43 (#)
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Erachteus Apophis Gaunt
FEAT. gianluca albonico
seize ans ϟ cycle d'études primaire ϟ vipère du gabon et mamba noir ϟ sang pur

Il demande à ce qu’on l’appelle « Ophis » et rares sont ceux à refuser son offre, son premier prénom étant quasiment imprononçable pour les langues anglaises. Combien de fois a-t-on écorché son identité, en oubliant ou rajoutant des lettres, à l’oral comme à l’écrit ? Ophis, voilà quelque chose de tellement plus aisé à prononcer ! Et c’est là le diminutif de son second prénom, mais aussi le mot grec pour « serpent » comme les plus cultivés des élèves ont pu déjà le faire remarquer, en chuchotant aux creux de l’oreille de leurs camarades. On ne pouvait trouver meilleur surnom au jeune homme, qui en plus d’être le dernier descendant connu de Salazar Serpentard a tout d’une vipère… ou d’un Gaunt. Aussi instable que ses ancêtres, on ne cesse de l’enguirlander des plus beaux adjectifs : enragé, furibond, délirant, intraitable, névrosé, psychopathique… plus agréable au sein de Poudlard n’existe pas ! Ce n’est néanmoins pas quelqu’un qu’on peut qualifier de sanguinaire, bien qu’il se montre féroce et impétueux à en faire fuir un griffon, avec son pantalon retroussé sur des bottes lacées montantes, son chapeau de paysan et ses chemises à manches longues, toujours bien repassées. N’imaginez jamais voir Ophis débraillé. Non pas qu’il prenne soin de lui dans le but de séduire mais que son caractère strict et organisé, en plus de son éducation sur certains points sévère a fait de lui un individu ne supportant pas le désordre. Le châtain désire être pris au sérieux et cela commence par une cravate bien droite ! De ce fait, d’Ophis se dégage une impression de grandeur. Son port altier, qui lui donne des airs arrogants, se couple avec une haute taille (un mètre quatre-vingt-quatre ; pour son âge c’est plus que respectable) pour faire se pousser de son chemin quiconque souhaite éviter tous ennuis.

C’est que quand on ne le connaît pas, tout ce qu’on voit et entend d’Ophis sont ses actes les plus regrettables. Sa façon qu’il a de tirer les demoiselles par les cheveux, quand en bande elles marchent lentement et l’empêchent de passer. Comment il a abattu, violemment, un livre sur les doigts d’un congénère. Sa façon qu’il a, quand on l’exaspère, de retourner ses globes oculaires tellement son regard se fait bas… Sa longue langue, blanche, qu’il tire quand on le menace ou lui fait le moindre reproche. Ce reniflement guttural, dégoutant, pour montrer son dédain… Il n’y a que sa tenue vestimentaire qui est impeccable. Ophis fait partie de ces étudiants qui n’ont de cesse de se balancer sur leur chaise ou font exprès de faire déborder leur potion. Et son langage ! Outrancier, même envers l’équipe éducative. Quelque chose de très mal vu, surtout chez les sorciers – rarement aussi orduriers. A croire que c’est un chartier qui l’a éduqué ; mais ce n’est là que le symbole de sa mauvaise éducation. De plus, sa voix est forte et souvent, au rythme de ses mots, sa puissance augmente pour décroître, de nouveau. Et ses phrases souvent s’emmêlent, incapables de transmettre ses pensées – c’est là la preuve flagrante de sa folie. Conscient d’être incapable de se servir de la parole comme ses quidams, Ophis grince des dents quand on lui demande de répondre à une question. C’est pour cela que sa réplique favorite est devenue un tonitruant « NON » suivit d’une grossièreté de son cru. Surtout quand cela est un professeur qui l’interroge. Savoir l’attention de toute une classe se reporter sur ce qui filera d’entre ses canines le rend encore plus émotif. Néanmoins, le châtain est capable d’avoir des conversations avec ses pairs quand ces derniers se montrent patients et suffisamment attentifs pour non pas seulement entendre ses mots, mais lire aussi ses expressions et ses actes. Hélas, cela reste un exercice difficile. Surtout que la méchanceté d’Ophis n’est pas qu’un défaut langagier, mais aussi un trait de caractère. Toutefois, il est à noter que le jeune sorcier est excellent quand il s’agit d’interpréter un texte ou réciter un poème. Incapable de s’exprimer lui-même, mais virtuose quand il s’agit d’amener à la vie des personnages de fiction… malgré tout, son caractère est tellement daubant que jamais un autre acteur ou metteur en scène ne voudra travailler avec Ophis ; si jamais il désire poursuivre ce talent qu’il aime cultiver, en secret. Adorateur de cinéma et de théâtre, il est une véritable encyclopédie sur ces deux thèmes. Ah, si seulement le jeune étudiant était moins difficile ! Mais il lui faut bien de la hargne, pour surmonter les épreuves que sur son chemin son lourd passé a posé.

Si le châtain semble bien se porter, à première vue, au contraire de nombreux de ses ancêtres qu’on décrivait comme petits, trapus, aux oreilles décollées et au faciès de singe, un examen plus minutieux révèle rapidement des troubles importants chez Ophis. Le jeune sorcier a l’interdiction d’enfourcher le moindre balai et d’ailleurs ne s’y risque pas. La raison est simple : Ophis a eu le bonheur que de se retrouver porteur de la maladie de Hartnup, qui déjà terrassait son père. Les symptômes qui se retrouvent chez le damoiseau sont une ataxie intermittente (un trouble de la coordination des mouvements, ce qui explique ses innombrables chutes et pourquoi il arrive à se frapper tout seul) et de ce fait un nystagmus (une saccade involontaire du globe oculaire, rien de mieux pour lire) ainsi que des tremblements légers. De plus, il lui arrive souvent de faire des malaises ; aussi le jeune homme y repense toujours à deux fois avant de se pencher par-dessus une rambarde ou de grimper seul les escaliers mouvants de Poudlard… une de ses plus grande frayeurs est de perdre connaissance alors que des marches se déplacent et d’ainsi risquer de tomber dans le vide (un brin acrophobe ? Exactement ! C’est même son épouvantard, le vide). De ce fait, Ophis aime avoir près de lui quelqu’un de confiance quand il se déplace et souvent est aperçu en train de tenir, terrorisé, la robe d’un autre étudiant quand un escalier se meut. D’autres problèmes de santé l’accablent, aussi. S’il a de fortes migraines qui le font devenir comme dément jusqu’à le pousser aux larmes, il ne peut sortir dehors s’il fait grand soleil – sa peau ne le supporterait pas. Heureusement que l’Angleterre est un pays connu pour son mauvais temps ! Bien évidemment, des troubles mentaux sont aussi à pointer. Il lui arrive d’avoir des hallucinations, qui le font sursauter alors qu’aucun danger n’est présent. De plus, Ophis présente une humeur anormalement changeante. Ne pensez pas, simplement, qu’il alterne méchanceté et bonté. Il n’est pas bipolaire. Tous les sentiments surviennent les uns après les autres, sans cohérence, faisant passer l’adolescent de la fureur à la terreur ou de la curiosité à l’agacement sans qu’on ne sache ce qui a déclenché cela. Mais aucunement la candide gentillesse ou la joie explosive n’apparaîtront ! Cela reste des choses qui lui sont inconnues. Ce serpent reste très ombrageux et méfiant ; voyant toujours autrui comme un ennemi. C’est qu’on lui en fait subir, des âneries. Qu’il est facile d’aller contrarier et moquer un tel individu ! Ophis n’a de cesse que d’être piqué et moqué par certains et cela depuis son plus jeune âge. Alors sa première réaction, quand on l’approche, est de monter haut ses défenses – tout de suite ! Il feule, il montre ses crochets et mord, même. Non, on ne peut pas venir vers lui sans avoir une vilaine idée derrière la tête. Le jeune sorcier se sait peu engageant et connaît sa mauvaise réputation. Il sait qu’on dit qu’il n’y a rien de bon en lui – alors pourquoi venir le voir ? Ophis n’est pas le genre de personne qui rend service, qui est bon conseiller ou intelligent dans la moindre matière (du moins aux yeux de ses camarades, seuls ses professeurs savent ses talents, car il n’y a qu’à l’écrit qu’il sait les exprimer). Certainement que son quotient intellectuel est en-dessous de la moyenne, tiens. Cela expliquerait sa difficulté à résoudre certains problèmes de logique ; à moins que ce ne soit là l’effet de son esprit dérangé, qui toujours déforme tout.

Comment reprocher aux plus ignares de penser que cet étudiant est sous drogues ? Avec ses mirettes qui se perdent dans le vide, ses phrases sans sens, ses rires inattendus. Malgré tout, quelques personnes osent rester près du jeune homme. Des fanatiques de Salazar Serpentard, de serpents et de fourchelang. Parce que oui, comme tous ceux de sa lignée, Ophis est capable de communiquer avec tous lézards qui sur le sol glissent (ou rampent). Quelque chose qu’il ne cache pas et qu’il use souvent pour communiquer avec Typhon (une gigantesque vipère du Gabon de l’Ouest, mesurant un mètre quatre-vingt pour neuf kilogrammes) et Uraeus (un python à lèvres blanches du sud de deux-cent-vingt centimètres pesant quatorze kilogrammes). Toutefois, n’imaginez jamais croiser quelqu’un qui, yeux brillants, vous délivrera un poème en alexandrins sur la beauté d’âme du jeune sorcier. Certains le supportent, d’autres voient en lui un symbole… mais est-ce que vraiment quelqu’un l’apprécie ? Avec le manque d’éducation vient un esprit étroit et Ophis se montre bien têtu sur de nombreux points, à commencer par la pureté du sang. C’est qu’on lui porte beaucoup d’attention, du fait de, justement, ce qui coule dans ses veines. Et on l’a façonné de sorte à ce qu’il se pense supérieur du fait de son ADN. Porteur des idéaux de ses ancêtres, Ophis est un Gaunt et compte bien le rester ! De ce fait, il néglige les moldus, nés-moldus et sang-mêlés aussi fanatiquement qu’un membre du Ku Klux Klan défend la suprématie de la race blanche. N’essayez pas de remettre en question ce qu’il défend : horrifié à l’idée de douter, Ophis se montre des plus violents avec ceux qui tentent de trouver des failles à son raisonnement. Ainsi il évite de fréquenter tous ceux qui ne sont pas de sang pur, pour éviter d’être, comme dirait son père, trompé par les blandices et ruses des faibles. Mais, en secret, il admire bien des impurs.

Néanmoins, c’est avec ces derniers qu’il se montre le plus cruel, essayant de se forcer de les détester. Ah, qu’il n’est pas bon d’être aimé par une telle vipère ! Toutefois, si votre sang vous plait et son humeur ne vous déplaît, Ophis pourrait pour vous faire un bon ami. Un peu grognon, certes. Si le serpent est l’instigateur des vices et en a même fait une maladie héréditaire chez les Gaunt (ne les dit-on pas avares, orgueilleux et envieux ?), il est aussi, dans certaines cultures, médecin et devin. Tout en étant la démesure… sachez juste que si entre vous et le jeune châtain naît l’amitié, il se montrera attentionné à en faire peur. Se montrera jaloux des autres personnes que vous fréquentez, ne supportera pas le moindre secret. Ophis a rarement eu auprès de lui des gens à câliner (oh, qu’il aime être chouchouté !) et ne sait, de ce fait, pas comment aimer. La peur de l’abandon est grande et l’histoire se répète toujours. Il s’accroche, on se lasse de ses caprices. On le quitte, sa noirceur grandit. Sa haine, cet ouragan sifflant… Gare à vous si vous le blessez dans son cœur, dans sa carne saignante, défaillante, purulente : esprit revanchard, il tentera de vous faire mal. Par la ruse, le dédain et, s’il le faut, la magie. Oh, quel instrument magnifique que voici ! Un sort et tout est fini. Vous aurez compris : Ophis, mieux vaut le fuir que l’approcher, car le haïr comme l’aimer est ardu.


a little something from you.

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Typhon est une Vipère du Gabon de l’Ouest (bitis rhinoceros). Ce rampant est connu pour être la plus grande vipère existante en plus de posséder les plus longs crochets à venin existants chez les serpents, ces derniers pouvant atteindre cinq centimètres. Qui plus est, sa morsure est toxique. Mais rassurez-vous ; Typhon est régulièrement débarrassée de son venin par Ophis et ce qu’il lui reste à chaque fois est certes efficace sur les rongeurs, mais n’irait pas jusqu’à tuer un humain – attendez-vous juste à souffrir quelque peu et de voir la plaie enfler et cloquer. Les moins chanceux auront de la fièvre, mais l’infirmière saura y remédier. Juste, ne laissez pas la blessure sans traitement : là, cela peut être très dangereux et mener jusqu’à l’amputation. Toutefois, pour se faire mordre par Typhon, il faut l’avoir cherché. Ce genre de vipère est connu pour sa lenteur et son bon caractère. Faciles à manipuler et rarement contrariées, ce sont des animaux qui rarement attaquent – même quand on leur marche dessus. Le patronus d’Ophis n’échappe pas à cette règle et, aussi, pendant les heures de cours, se contente de dormir sur les épaules de l’humain auquel il est rattaché. C’est un animal nocturne, au grand dam du châtain qui lui, est diurne. Un conflit de taille, car cela force Ophis à sortir de son dortoir, la nuit, pour accompagner Typhon dans ses parties de chasse vu qu’ils ne peuvent pas s’éloigner de trop l’un de l’autre. Et puis, le jeune sorcier jamais ne laisserait son patronus sans surveillance : il a croisé, au fil de sa vie, beaucoup trop de personnes haïssant les serpents et n’aimerait pas qu’il arrive malheur à Typhon – surtout que leur existence est étroitement liée. Mais du fait de sa robe et de sa forme étrange, Typhon attire les regards curieux. Véritable coqueluche des amateurs de serpents, Typhon est un centre d’attention permanent. Sa bedaine, naturelle, qui fait se demander certains si elle n’est pas trop nourrie donne envie de lui chatouiller ses multiples côtes (bien que personne ne s’y risque, on ne touche pas le patronus d’un autre). Sa large tête, ornée de deux cornes sur le bout du nez fait sourire. Il semble bien sympathique, ce rampant ! Néanmoins, Ophis n’aime pas beaucoup qu’on approche de trop près Typhon (et, par ce même fait, qu’on l’approche).

Le jeune sorcier craint toujours qu’il arrive quelque chose à son patronus, qu’il trouve trop à l’aise avec même des étrangers. Voilà ce qui sépare l’héritier Gaunt de cet animal : la méfiance. Typhon est curieux et tourné vers autrui. Délibérément, il cherche l’attention et n’hésite pas à planter son regard sombre dans celui du voisin de tablée pour que ce dernier lui donne sa viande (Typhon est toujours là quand il s’agit de manger et raffole des crackers et marshmallows, même si ces derniers ont tendance à l’étouffer). Bref, de quoi faire rougir Ophis, qui finalement reste quelqu’un de réservé, bien qu’avide de reconnaissance. Ces différences font que souvent les deux compatriotes se fâchent l’un envers l’autre ; quoique le vipérin toujours cherchera à se faire pardonner par sa « bouillotte favorite ». En lui faisant des baisers du bout de sa langue pointue, en le mordant gentiment dans le cou. Des scènes qui peuvent être mal interprétées par ceux ne les connaissant pas. Quoique… Parfois, ils cherchent vraiment à se blesser : Typhon a déjà mordu Ophis (chacun sa façon de montrer son désaccord, hein) et Ophis a déjà frappé la pauvre tête de Typhon (ce qui finalement, leur fait aussi mal l’un qu’à l’autre). Entre eux, tout n’est pas toujours tout rose et le sorcier ne cesse de répéter qu’il préfère quand son patronus dort. Ce qui n’est pas tout à fait vrai ; car les deux aiment avoir de longues discussions. La vipère sert, en quelque sorte, de confident au jeune humain sauf en ce qui concerne les amourettes et autres sentiments de ce genre (quoique la bête se rend aisément compte de quelles personnes font frémir Ophis). Parce que Typhon est un horrible dragon capable d’aller se glisser sous la chaise du quidam qui a fait tressauter le battant de son ami, juste pour leur donner la possibilité de se parler. Mais quel genre d’individu aimerait, en se levant, trouver une vipère d’un mètre quatre-vingt l’épiant malicieusement ? Et surtout, comment Ophis et ses problèmes pour s’exprimer peut faire face à ce genre d’incidents ? Oh, cela amuse grandement le mesquin rampant, que de voir le sorcier être si embarrassé qu’il ne sait plus où se mettre. Non, Typhon n’est pas gentil.

Typhon est un serpent sournois au sens de l’humour douteux. Combien de fois s’est-il couché dans les bois, tordant bizarrement son corps et mimant d’être mort pour rendre hystérique Ophis ? Et à chaque fois, cela fonctionne. Un serpent peut mourir de tellement de façons… et rarement, sous le coup de l’émotion, Ophis a le temps de réfléchir et de se rendre compte que non, son patronus n’est pas décédé. Il l’aurait senti. Rien que la vision et la possibilité que cela arrive l’enferme dans un effroi fou. Oh, il n’oserait le dire tout haut mais il tient énormément à son serpent, le jeune sorcier ! Non, avoir un serpent à ses côtés pour peut-être toujours n’effraie pas Ophis. Oh, qu’il serait triste si Typhon venait à disparaître, aussi brutalement qu’il est apparu ! Et, de toute, il avait déjà un serpent bien avant la matérialisation de son patronus – Uraeus, un python aux écailles irisées. Avoir un lombric géant à ses côtés n’était donc pas, pour le châtain, nouveau. Aussi, certainement que son don de fourchelang lui a permis de, rapidement, accepter et se lier avec ce nouveau venu. Ils se comprennent aisément et bien que différents, présentent des attaches qui font qu’ils ne penseraient pas même à s’abandonner l’un l’autre même s’ils le pouvaient. Et s’ils se disputent, ce n’est que pour mieux se rabibocher ! Ils sont tous deux une part de l’un et de l’autre et ne peuvent nier se compléter tout autant qu’ils se ressemblent. D’ailleurs, les plus vifs d’esprits comprendront, en regardant Typhon, qu’Ophis n’est pas aussi détestable qu’on le dit dans les couloirs : il incarne une vipère, certes venimeuse et imposante, mais qui d’un autre côté est douce et facile à vivre, si on ne la provoque pas. Se pourrait-il qu’Ophis sache se montrer aimable ? Comment faire alors, pour le débarrasser de son venin ? Juste mettent-ils mal à l’aise les autres, à siffler de concerts en observant ce qui autour d’eux se passe ; ce qui leur donne un côté mégère.

Est à savoir aussi que sa forme argentée, sa véritable forme de patronus n’est pas celle d’une Vipère du Gabon mais d’un Mamba noir, serpent dit être le plus meurtrier de tous ses congénères. Agressif, venimeux et extrêmement rapide, cet animal est à donner des frissons à n’importe qui. Qui, de la Vipère du Gabon ou du Mamba noir est en vrai le jeune sorcier ? Certains ramènent le fait qu’il peut bien être les deux, du fait de son caractère changeant… Il est l’eau, qui sous un aspect calme peut cacher de forts courants.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: e-b, vingt ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Via Bazzart. :>
ϟ Personnage: Inventé.
ϟ Présence: Cela dépendra de ma santé et de l'Université, mais je passe toujours au moins trois fois par semaine. o/ Je suis accro aux forums rpg. x')
ϟ Une remarque? Il faudrait fixer la largeur du forum (pas en % mais en px), car sur les grands écrans c'est en quelque sorte déformé. :u Sinon tout est merveilleux. *-*


Dernière édition par Erachteus A. Gaunt le Dim 27 Jan - 2:30, édité 5 fois
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 19:44 (#)
This one moment when you know you're not a sad story.

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Ophis s’arrêta quand on l’interpella d’un distingué « eh, gamin ». Il aurait aimé pouvoir passer son chemin, mais une fausse politesse l’en empêcha. Que lui voulait-on ? Avec dédain, dos droit et menton haut, l’adolescent observa celui qui avait osé s’adresser à sa majestueuse personne. « Gamin ? » articula-t-il, méprisant. Est-ce qu’il avait l’air d’un enfant ? Il était plus grand que celui qui l’avait ainsi surnommé et bien moins crasseux. Son jean était soigneusement retroussé sur ses godasses noires, lacées fermement. Des bretelles de cuir le retenaient, passant par-dessus une chemise blanche juste un peu tâchée de terre sur le bord des manches. Et toujours, son chapeau noir aux bords larges, protégeant par tous temps sa figure à la peau si délicate. Rien à voir avec ces hippies, aux t-shirts étirés, qui se reposaient sur les rochers bordant le lit de la rivière. Les hommes barbus, les femmes cheveux emmêlés par le vent. Le châtain en entendit une chuchoter à l’oreille d’une autre qu’il était mignon et cela le fit rosir ; ce n’était pas le genre de paroles qu’il aimait entendre. Surtout de la part de moldus. Comment osaient-elles sur lui poser leurs regards de bas animaux ? Quant au pourquoi d’une telle animosité envers ces quelques mots flatteurs, le voilà : cela le mettait mal à l’aise. Ophis n’avait jamais appris à réagir face à ce genre d’attaques (car pour le jeune sorcier, tout compliment était vu comme une agression). Aussi un rapide « Qu’est-ce que vous potinez, les guenons ? » et un long sifflement lui échappa. Cela de suite fit disparaître certains sourires mais rapidement ils revinrent, avec des rires. Ah, ces bandes de jeunes drogués ! Trop bons avec le monde. Ophis fronça ses sourcils et s’apprêta à reprendre sa route avec la forte impression qu’on se moquait de lui. Néanmoins, un des étrangers se leva et de quelques mots le retinrent. « Juste, tu les as trouvées où tes écharpes ? » Le sorcier mit un moment avant de comprendre que l’homme tentait de détendre l’atmosphère, en désignant par le nom d’un vêtement les deux serpents qu’il tenait enroulées autour de son cou. « Et tes lacets ? » Là, certainement parlait-il des plus fins, qui raides morts pendaient au bout de ses mains. Uraeus, intéressé par les individus, en sa langue stridulente demanda ce qu’ils étaient. « Des macaques » répondit, tout bas en fourchelang, Ophis. Puis, son regard sombre revenant sur les hippies, il répondit. « De l’animalerie dont tu t’es enfui, simien ». Puis il fit un vilain geste avec ses doigts avant de reprendre son chemin. « Eh, sois cool mec ! Tu veux pas fumer avec nous, pour te détendre ? » Ophis ne s’arrêta cette fois pas. Il allait bientôt être midi et il avait peur que le soleil d’été ne brûle sa peau, même si dans le ciel s’amoncelaient de gris moutons. Mais que faisaient de tels individus dans les campagnes perdues du petit village de Little Hangleton ? Au bout de vingt minutes de marches, le châtain enfin rejoignit la pauvre demeure où il avait grandi avec ses deux parents et sa sœur. Quoi que cette dernière était morte dès ses deux ans, d’une malformation congénitale. Le sorcier ne l’avait jamais véritablement connue… Des tracas lourds mais courants, surtout dans les dernières générations de la famille Gaunt. Tout comme la folie coulait dans leurs veines… Rapidement, Ophis pensa à Merope et Morfin, de la branche voisine – tout ce que risquait de devenir l’adolescent. Violent, cinglé et mort.

Il poussa, en soupirant, la porte grinçante de la vieille demeure familiale et ne signala point verbalement son retour. Juste alla-t-il à la cuisine, jeta les serpents morts sur le plan de travail et alla s’asseoir sur une des chaises qui entourait la table. Sa mère, qui était aux fourneaux, ne le remercia pas. Au contraire. « Bouge tes fesses de là et épluche-les moi, tes lézards. » Elle en saisit un et sembla excédée. D’un geste franc elle le lança sur son fils et repris sa litanie. « Mais tu veux qu’on mange quoi dessus ? Incapable ! » « Oh mais ferme-la, on dirait une beuglante ! Va chasser toi-même, merde ! » Et il lui relança le serpent, qui toutefois atterrit dans l’évier, avec la vaisselle sale tellement le jeune homme savait bien viser. Cela fit rire la matrone, qui lui sourit tendrement alors que lui eut un geste exaspéré. Uraeus, son python, fit claquer ses mâchoires. S’ils ne voulaient pas de son frère mort, lui en voulait bien ! Et non, il n’était aucunement dégoûté à l’idée que d’avaler un de ses congénères. Ce ne serait ni la première ni la dernière fois et cela n’allait pas contre son instinct. Tout comme cela n’allait pas à l’encontre de celui d’Ophis, que de se servir de son don pour attirer à lui les rampants et leur tordre le cou pour le midi, en fin de mois, avoir un peu de viande dans son gruau. Une façon comme une autre de chasser… Et le jeune homme agissait ainsi depuis qu’il était petit, alors quelle honte pouvait-il là avoir ? Est-ce que, parce qu’il parlait la même langue que les serpents, il devait être leur ami ? Allons… Les hommes, eux, ont beau se comprendre qu’entre eux ils se déchirent. Et puis, les couleuvres comme lui sont bien trompeuses et n’ont de pitié pour personne ! Ah, cela le faisait rire que de penser à l’ignoble vipère qu’il était.

Sa mère saisit une planche à découper, un couteau aiguisé et les serpents puis posa le tout devant son fils. « Sois utile, pour une fois. » Ophis prit son air le plus dédaigneux, mais s’exécuta quand-même. Et, la mère, bonne, tendit le serpent trempé d’eau sale à Uraeus qui ouvrit grand sa gueule et l’avala, d’un trait. Au début, la quarantenaire n’avait pas apprécié avoir cette bête chez elle. Non pas qu’elle haïssait les serpents, étant elle-même une fière Gaunt parlant fourchelang et donc, forcément liée à ces animaux. Mais Ophis avait travaillé chez des moldus, dans une ferme non-loin, pour se le payer après l’avoir vu dans une boutique sur le Chemin de Traverse. Son fils ! Un sang-pur, s’abaisser à servir des moldus ! Il l’avait certes fait en secret (et cette année encore s’était déshonoré de cette façon), mais rien ne restait longtemps secret chez eux. Enfin. Voilà deux ans à présent que l’animal suivait partout son fils, devenant quasiment une excroissance de ce dernier et cela avait forcé la mère à s’y habituer. Et maintenant, un second était apparu. Sans prévenir, il y a peu. Aucun des deux habitants de la vieille bicoque ne s’y était attendu – pas même le principal intéressé, Ophis. Enfin. Cela avait fait un peu d’action dans leur vie, qui en ce moment était presque tranquille. La matrone avait appelé le Ministère de la Magie, heureuse que d’avoir une occasion de leur hurler dessus (car les autres fois, c’était le contraire). Mais cela n’avait rien changé à la finalité des choses : le fils se retrouvait avec une seconde bête à trimballer sur ses épaules. Heureusement qu’il était musclé ! La vie de la campagne l’avait bien formé… L’aspect d’un roseau, la force d’un chêne. Et puis, quel doux visage pour un membre de sa lignée ! Certes il n’avait jamais l’air content, mes ses traits étaient réguliers. Ah, les Gaunt. Une famille laide et loin d’être tranquille – que du bonheur. D’ailleurs, en ce moment, le père du jeune sorcier était à Azkaban ; ce qui le laissait seul face à sa folle de mère. Maintenant, Ophis comprenait mieux leurs incessantes disputes et les coups qu’ils s’échangeaient. Lui-même, à présent, en venait aux mains avec cette harpie ! Mais que pouvait-on attendre d’autre de lui… surtout quand il savait qu’à présent, il risquait de se faire violer pendant son sommeil. Comment réagirez-vous si votre mère, installée près de vous, venait poser sa main entre vos jambes et vous susurrerait à l’oreille « tu es grand maintenant, capable de faire perdurer la lignée… » C’est que la bonne femme approchait de la ménopause et son mari (qui, au passage, était aussi son frère) en prison, elle ne savait plus quoi faire pour être sûre de préserver le futur de sa lignée et la pureté de son sang ! Non, l’inceste n’était pas une histoire appartenant au passé, chez les Gaunt. Quoiqu’Ophis était peu disposé à se laisser faire et se rabattait toujours sur le fait que les Peverell avaient une fille. Certes, ils avaient six ans d’écart, mais si cela pouvait détourner le simple esprit de sa mère de ce qu’il avait entre les jambes… Heureusement que cette dernière était une idiote incapable de faire la moindre potion, où il craindrait qu’elle n’empoisonne son assiette avec un filtre d’amour.

Alors qu’il désossait les serpents, jetant les entrailles à Uraeus (comme à son habitude, Typhon dormait), sa mère encore une fois s’adressa à lui. « Et tu penses faire quoi, après Poudlard ? » Ophis renifla. « Me barrer d’ici ! » Une chose qu’il rêvait de faire depuis des années, bien qu’il savait que cela désolait ses parents. Mais lui ne voulait pas finir sa vie à croupir dans cette horrible maison. Ni même s’installer non-loin. Cette terre portait tous les mauvais souvenirs de son enfance mais aussi de son adolescence. Combien de buissons l’avaient griffé, combien de cailloux l’avaient heurté ? Les champs l’agaçaient et les villageois l’ennuyaient. Et surtout, ses parents l’effrayaient bien que devant eux il souhaitait sans cesse se montrer fort, en leur tenant tête. Toujours le jeune sorcier leur avait tenu tête, les mordant quand ils le frappaient. Parfois, d’ailleurs, Ophis se demandait si en fait, sa sœur n’était pas morte du fait de leurs mauvais traitements. Est-ce que, comme ils le faisaient avec elle, ils l’avaient soulevé en le tenant par les pieds, ou secoué comme un chiffon pour lui sommer d’arrêter de pleurer ? Le châtain se mordit la lèvre intérieure. Oh, il voulait partir d’ici. Devenir acteur, peut-être. Lui qui avait lu tant de vieux livres, qui prenaient la poussière dans les étagères centenaires de leur bâtisse. Qui servaient juste, d’après son père, à alimenter le feu quand il n’avait pas le courage d’aller chercher du bois dehors… pathétique. Ophis se souvenait avec quel sadisme, de nombreuses fois, son géniteur avait saisi le livre qu’il lisait et d’un geste ample, l’avait envoyé sur les braises. La gentillesse n’était pas leur fort, voilà une chose que ne pouvait nier le fils. Tentant de reprendre le dessus sur les fortes émotions qui commençaient à le secouer, le châtain serra les dents. Allez, dans quelques jours, il retournait à Poudlard ! Il se perdrait de nouveau entre les dizaines d’étudiants… quoique le fait de retrouver les escaliers mouvants du château ne l’enchantait guère. Mais tout était mieux que ces murs poisseux et ce vide qui l’empoignait. Il ne verrait plus cette atroce face (celle de sa génitrice) qu’il ne pouvait même plus aimer. Quoiqu’il restait profondément attaché à elle… On reste le fils de sa mère, quoi qu’on fasse. Ses mains se mirent à trembler et une larme heurta le dos d’une d’elle. Rapidement l’adolescent jeta un regard à la silhouette maternelle, qui pelait des légumes. Et doucement, pour éviter qu’elle ne remarque son trouble et ne se moque de lui, il rabaissa les bords de son grand chapeau et continua sa tâche.

Merde, mais pourquoi pleurait-il ?
N’était-il pas un fier Gaunt ?

« M’an ? »
« Oui ? »
« Je t’aime. »


La matrone se retourna vers lui et lui jeta son plus tendre sourire, ses yeux brillants de joie. C’était rare qu’elle entende de tels mots. Qu’est-ce que cela lui faisait chaud au cœur ! Sans cesser sa tâche, son contentement ne pouvant plus quitter son visage, elle lui répondit « moi aussi je t’aime, mon tout beau » d’une voix délicate. Oh, vraiment. Pourquoi voulait-il tant s’enfuir ?



Dernière édition par Erachteus A. Gaunt le Lun 4 Fév - 23:04, édité 5 fois
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 19:46 (#)
Bienvenuuue sur le forum Brille si tu as besoin d'un renseignement, n'hésite pas Daengelo
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 19:49 (#)
TON PRENOM ! TON AVATAR ! :sex2:
Bienvenue à toi, et, comme l'a si bien dit Daedra, si tu as une question, n'hésites pas Daengelo
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 19:59 (#)
Merci Daedra ! Et au moindre soucis je viendrai violer la boite à mp d'un des créateurs et ne la lâcherai pas tant que je n'aurais point de réponse ! è_é Et le suricate, cela va bien à C. delevigne je trouve. Yaaa

Merci Lennon. *-* Il y a le mot 'cathédrale' sur ton avatar je ne peut que t'aimer et t'offrir mon corps. /out Je suis un fanatique des cathédrales (oui, cela existe). Et puis tu es une hermine blanche. :( Un futur col en fourrure ! Viens donc par ici... hinhinhin.
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 20:02 (#)
Bienvenue officiellement petit Snake'Addict boogie
Bon courage pour terminer ta fiche !

Pour la taille du forum, je l'ai transmis à notre codeuse Chou
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 20:27 (#)
~>゜)~~~ ~>゜)~~~ ~>゜)~~~
ksss kss
kss ksss !

Merci Phoenix. *-*
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Sam 26 Jan - 22:19 (#)
Un Gaunt. :3 En plus il est sexyyy. :3
Bienvenue parmi nouuus. Daengelo
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Invité, Dim 27 Jan - 2:29 (#)
Une seconde Mills. Potté

Merci beaucoup. ~
Le Choixpeau Magique
pnj - we are all subjects to the fates
Le Choixpeau Magique
Répartition : 19/01/2013
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Message Re: OPHIS ϟ The destruction of this planet would have no significance on a cosmic scale
par Le Choixpeau Magique, Dim 27 Jan - 2:49 (#)
VALIDÉ
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Félicitations, tu es admis
chez les Serpentard!

Gaunt. Fourchelangue... Pourquoi n'en suis-je guère surpris ? Je vois pourtant que la gangrène de la consanguinité ne t'as nullement épargné...Ainsi donc, toi qui les aimes tant, tu rejoindras nos Serpentards.
N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut faire gagner des points à sa maison pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit hibou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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