Camille est d'origine Française, il est donc né en France et y a vécut jusqu'à ses sept ans où ses parents on déménagé en Angleterre. Il vient d'une famille noble en France de par ses deux parents dont le mariage était arrangé. Il adore voler et se révèle être plutôt doué au Quidditch. Par contre, niveau scolaire il est plutôt un élève médiocre qui se repose sur ses facilités. Actuellement, il est célibataire mais il est amoureux et cela l'énerve au plus haut point. Il est d'ailleurs extrêmement jaloux, possessif et têtu. Mais il se trouve aussi être attentif, malin et astucieux.
Théodora, ma douce Théodora. On s'est rencontré lors d'un binôme en potion où j'ai détruit la potion et donc écopé d'un Désolant avec elle. Elle m'en a voulus et cela aurait put en rester là, si on ne m'avait pas lancé le pari de l'avoir dans mon lit. Un pari que j'ai relevé bien entendue aussi j'ai fait en sorte d'être invité au même nouvel an qu'elle. Un nouvel an seulement pour les sang-pur et aussi très sélectif. Elle a dansé avec moi pendant toute la soirée grâce à mon approche où j'ai cité du Roméo et Juliette. Tout se passait comme sur des roulettes, j'allais bientôt l'avoir dans mon lit et gagner mon paris. Bon, je dois avouer que mon pari ne m'intéressait plus trop, j'étais un peu tombé sous son charme mais je refusais de me l'avouer encore. Mais il a fallut que deux crétins gâche tout, je me souviens du matin où ils sont venus me dire que je pouvais brûler en enfer de la part de Théodora. Ils avaient gaffé et elle avait appris le pari, je me suis sentis mal très mal en voyant son regard noir et j'ai compris à ce moment là que je ressentais quelque chose de fort pour elle. Mais cet amour s'est rapidement transformé en haine, surtout quand on voit la vengeance qu'elle m'a réservé. Elle m'a envoyé une lettre signé Juliette me donnant rendez-vous dans la salle des trophées. Je me suis fais prendre par le concierge, j'ai perdu cent points pour ma maison et j'ai dû récurer les chaudrons. Puis, elle est venue me narguer, comme si déjà l'humiliation qu'on m’aie piégé ainsi moi, le tombeur de ses dames ne suffisait pas. Depuis ce jour, la guerre est déclarée, une guerre que j'étais sur de perdre jusqu’au début de ma huitième année. Elle a un peu trop bien réagis à un de mes baisers me le rendant et rougissant sous ma caresse. J'ai flairé quelque chose de louche et j'ai sortit une pique lui demandant s'il elle m'aimait. Elle a semblé hésiter avant d'hurler que non livide. La chance avait tourné, elle m'aimait aussi et elle gérait moins bien la situation que moi. C'est ainsi que je cherche à lui faire avouer ses sentiments ce qu'elle refuse, mais foi de Noblecourt j'y arriverais.
Sale veracrasse, il a osé embrasser Théodora devant moi et comme si ça suffisait pas, il la laisse flirter avec lui. Non, mais franchement je ne peux pas y croire, Théodora et lui. La fille la plus machiavélique que je connaisse avec ce stupide Blaireau (c'est le blason de leur maison que voulez-vous). C'est tout simplement impossible, je le sais mais dès que je la vois faire j'ai qu'une envie, réduire ce type et m'approprier définitivement Théodora. Oh, je n'attends pas spécialement de les voir ensemble pour le pourrir. Non, je le fais régulièrement pour lui faire comprendre qu'il est hors de question que je lui laisse Théodora. Il se venge tout aussi bien et forcément on se hait depuis le temps. Mais on ne lâcheras pas l'affaire, jamais.
[M] Gaspard Ulliel ƒ Je te détruis, tu me détruis...