ϟ Carte d'identité Callista Swaryna Goodwin, fille d’une mère polonaise et d’un père anglais, tous les deux moldus. A vu le jour le 5 août 1959 à vingt trois heures et trente cinq minutes, au St Mary’s Hospital à Londres, en Angleterre.

ϟ Baguette Magique La première fois qu’elle est allée chercher sa baguette, elle se demandait comment on allait savoir qu’elle lui convenait, après quelques essaies, le fabricant de baguette magique lui en a tendu une, de suite, la petite fille qu’était Callista, elle la prit dans les mains et celle-ci produisit quelques étincelles pour le plus grand bonheur de la fillette « Parfait ! Parfait – s’était exclamé le vendeur de baguette tout en tapant des mains – Bois de rose, cœur en plume de Phénix, 27,5 centimètre, flexible et excellente pour les métamorphoses – avait terminé l’homme d’une voix sourde –» Callista l’avait regardé comme si il parlait une autre langue, elle ne connaissait pas ces mots « Métamorphoses et Phénix – ». La fillette haussait les épaules, se disant que s’était un monde bien mystérieux auquel elle appartenait maintenant, pour son plus grand bonheur.

ϟ Animal de Compagnie Callista marchait dans le chemin de traverse tout en tenant fermement la main de sa maman qui était aussi perdue que sa petite fille et aussi émerveillée qu’elle. Swaryna regardait, les yeux grands ouverts, chaque boutique qu’elle voyait. Au moment ou elle passait devant, Eeylops, au Royaume du Hibou la petite sorcière attrapait la manche de sa maman pour lui montrait une jolie chouette avec un faciale en forme de cœur, le poitrail blanc avec quelques taches brunes, de longues ailes de couleurs café au lait parsemé de plumes sombres. Callista était tombée sous le charme de cette magnifique chouette effraie. Madame Goodwin, décidait que la chouette allait être le compagnon de sa princesse et en même temps, elle pourra recevoir des lettres de Callista. La petite anglaise décidait de nommer sa nouvelle amie Księżyc, lune en polonais.

ϟ Epouvantard Lors de sa troisième année à Poudlard, Callista attendait avec impatience les cours de défenses contre les forces du mal ainsi que ceux de métamorphoses. La sorcière arrivait pour son cours de défenses contre les forces du  mal avec les membres de sa maison et ses amis lorsque leur professeur leur annonçait qu’aujourd’hui, ils allaient travailler sur les épouvantards et vaincre leur peur. Callista se demandait sur quoi elle allait bien pouvoir tombé, courageuse, elle n’avait pas peur de grand-chose. Quand vint son tour, l’adolescente vit apparaître devant le corps de sa mère, ensanglantée suivit des personnes qu’elle aimait le plus au monde et elle n’avait rien pu faire pour les sauver, dès ce moment là, elle comprit la forme que prenait son épouvantard, il était l’impuissance et la peur de perdre un être cher sans avoir rien pu faire.

ϟ Caractère
Callista est une jeune femme tout ce qu’il y a de plus normale, elle ne recherche pas la popularité ou à être entouré de plein de monde, non, ses quelques amis lui suffit amplement. Callista passe ses journées à sourire et à rire, elle sourit du matin jusqu’au soir, même la nuit elle a le sourire sur les lèvres. La jeune femme est un pur rayon de soleil qui aime être là pour les autres et pour leur donner envie de vivre. Callista c’est celle qui viendra vers vous pour sécher vos larmes et elle fera tout pour vous faire rire avec ses blagues totalement nul qui ne font rire personne sauf elle. Ce petit bout de femme ne reste jamais en place, elle est obligé de sauter dans tous les sens et de courir partout, elle trottinent dans les couloirs et en cours elle jouera avec un stylo ou avec son pied. La plupart du temps, ses amis ont du mal à suivre le rythme alors elle se retrouve à gambader toute seule dans le château à la recherche d’aventure et de nouveau passage secret. Callista, c’est une jeune femme qui aime découvrir de nouvelles choses et surtout de nouveaux passage secret, elle aime l’aventure et découvrir ce qui l’entoure. Sewaryna s’émerveille pour tout, ses yeux sont tellement brillants qu’on pourrait les confondre avec un ciel étoilé s’ils étaient sombres. La jeune femme va allait à la rencontre des gens, leur sourire puis se mettre à parler, encore et encore sans qu’on puisse l’arrêter, personne n’a encore trouvé de bouton stop. Callista est comme ça, bavarde et sociable, même si elle ne connaît pas la personne, elle va lui parler et tout faire pour lui redonner le sourire s’il est triste. Elle peut rentrer dans une conversation comme ça, et se mettre à parler avec les gens.
Depuis toute petite, Callista se réveille la nuit pour regarder le ciel étoilé, elle se demande à qui chaque étoile peut bien appartenir. Petite, quand sa grand-mère est mort, sa maman est venue la voir dans sa chambre pour la réconforter et elle lui a dit « Tu vois toutes ses étoiles dans le ciel mon cœur ? Chaque étoile représente une personne qui est monté au ciel, alors parmi toutes ses étoiles, ta grand-mère si trouve et de la haut, elle nous surveille ». Callista avait six ans la première fois que sa maman lui a raconté cela et depuis ce jour, elle regarde les étoiles avant de se coucher ou pendant la nuit pour leur souhaiter bonne nuit. Du haut de ses vingt ans, elle croit encore cela, naïve, peut-être un peu, mais elle y croit.
La maman de Callista aime la musique, c’est une de ses nombreuses passion et elle l’a transmit cette passion à sa fille qui joue du piano, de la guitare et qui chante bien. Callista s’enferme souvent dans sa chambre à double tour pour composer et chanter, elle aime ça, elle a l’impression de quitter ce monde qui n’est pas toujours joyeux. Callista aime faire des blagues et relever n’importe quels défis même les plus imaginables, elle n’a pas peur du ridicule car elle se trouve déjà ridicule, elle fonce tête baissé dans un défit et la plupart du temps, elle ne sait plus comment s’en sortit mais elle s’en fiche, elle continue jusqu’à ce qu’elle le termine, elle est joueuse et enthousiaste. Callista n’a pas peur de grand-chose, elle est courageuse oui, mais surtout elle est téméraire et impulsive, elle fonce tête baissé, elle ne se sert pas souvent de sa tête, elle oublie même qu’elle a un cerveau. On ne peut pas dire que Callista est quelqu’un de bête, elle est surtout étourdie et elle oublie toute ses affaires n’importe où. Bordélique, sa chambre est dans un réel bazar, elle ne trouve jamais rien, elle retrouve des chaussettes sous son oreiller, des livres sous les matelas, elle ne sait pas comment elle fait. Studieuse, elle ne l’est surtout pas, elle fait la plupart du temps ses devoirs avant de se coucher et pourtant elle n’a pas de si mauvaise note que ça, elle est dans la moyenne.
Callista est ce petit soleil qui illumine vos journée, c’est cette jeune femme qui n’a pas encore grandit et qui reste encore un enfant dans tête. Sewaryna c’est celle qui est toujours loyales envers ses véritables amis et qui prêt à tout pour eux quitte à mourir à leur place, elle est capable de prendre un sort pour épargner une personne qu’elle aime ou un enfant. Sewaryna est une jeune femme aussi douce que la neige, attachante et rigolote, rêveuse qui a toujours la tête dans les nuages et qui ne regarde jamais ou elle va, qui passe ses journées à trébucher et à glisser des escaliers mais ça la fait rire. L’anglaise est ce petit bout de femme qui est optimiste, qui voit quelque chose de bien dans chaque personne et qui fera tout pour leur montrer qu’elle a raison. Elle sait qu’un jour cette guerre prendra fin, elle l’espère de tout son cœur mais en attendant, elle ne veut pas être impuissante alors elle s’est lancé dans des études assez difficiles pour réaliser son rêve, devenir Auror. Sewaryna sait qu’elle n’y arrivera peut-être pas, mais, elle se battra jusqu’au bout pour y arriver, maladroite, sa maman lui dit souvent qu’elle ressemble à un éléphant dans un magasin de porcelaine ce par quoi Callista répond en lui tirant la langue comme une enfant de deux ans. Callista est quelqu’un de sensible, elle ne supporte pas de voir quelqu’un de triste ou de malheureux, ça la rend triste mais elle continue à sourire et elle part réconforter cette personne. Callista ne pleure jamais en présence de quelqu’un, elle préfère le faire toute seule, dans son lit pour lâcher son chagrin à l’abris des regards. Devant une situation difficile, elle gardera son calme et ne cédera pas à la panique, elle se battra pour sauver la vie des autres ainsi que la sienne, elle se jettera dans un combat corps et âmes faisant tout pour ne pas flancher ni craquer, courageuse, oui, téméraire aussi.
La rousse s’est découvert une nouvelle passion quand elle est rentrée dans le monde des sorciers, le Quidditch, elle adore ça, elle en est complètement fan. Callista aime la sensation qu’elle ressent quand elle vole, cette sensation de liberté et d’excitation. Sportive, elle se lève souvent le matin pour partir courir autour du lac qu’il vente ou qu’il pleuve.
La rousse à peur de quelque chose, de l’abandon, elle croit au prince charmant qui arrive sur son cheval blanc malgré l’histoire de ses parents, elle croit au grand amour. Quand elle aime quelqu’un s’est pour la vie, quand elle donne sa confiance à quelqu’un ses qu’elle le mérite vraiment et qu’elle l’aime de tout son cœur.

Callista Sewaryna Goowdin est quelqu’un d’aussi doux que le coton, qui croque la vie à pleine dent. Amoureuse de la vie, de la magie, de la musique et du quidditch, elle découvre ce nouveau monde depuis maintenant neuf ans, mais, pas que pour elle, pour aussi sa maman, celle qui l’a élevé toute seule et qui a apporté de la magie dans sa vie à sa façon. Depuis neuf ans, c’est Callista qui apporte de la magie à sa maman, à son héroine. On peut la détester comme on peut l’adorer.

Et vous ? Que ferez-vous ? L’aimer ? La détester ? La blesser ? la chérir ? La protéger ?

«La première fois que Callista m’a vu, elle m’a regardé droit dans les yeux pour me caresser. Je l’ai vu fermer les yeux, se pincer, les rouvrir et là .. elle s’est mise à faire une drôle de danse. Je me suis demandé sur quel folle j’étais tombé »  Pożar
Callista regardait par la fenêtre de sa chambre, elle avait vu sur les jardins d’Oxford et au loin elle pouvait apercevoir des églises. La rousse était assise sur son lit, entourée d’affaire de cours dans l’appartement de sa maman. Elles avaient changés d’appartement il y a peu, les cartons étaient encore présent et il restait encore beaucoup de chose à faire. En ce moment, à Poudlard s’était les vacances de noël et la jeune femme avait décidé de rentrer chez elle pour ce noël de l’année 1978. La maman de la rousse était parti faire des courses, alors, la sorcière faisait tranquillement ses devoirs de vacances ou plutôt flemmardait dans son coin, ses devoirs éparpillés dans tous les sens. La jeune femme entendit la porte d’entrée claquer, madame Adamczewski, la maman de Callista, -avait repris son nom de jeune fille un après le départ de son père avec les papiers de divorces- venait juste de rentrée des courses. Sewaryna sortit de sa chambre pour allé aider sa maman à vider les courses baguette en main, en quelques secondes, la sorcière avait rangé les courses à leur place sous l’œil émerveillait de sa maman qui adorait la voir faire.
La mère et la fille passèrent leur journée ensemble, à regarder la télé et à rire comme à leur habitude quand elles étaient ensemble. La rousse jetait un œil sur la pendule accrochait à un des murs de leur salon, celle-ci affichait dix-huit heures. Callista se décidait à se lever pour continuer à faire ses devoirs. L’anglaise avait une drôle impression depuis ce matin, elle n’arrêtait pas d’avoir l’impression qu’on la suivait, qu’on a surveillait et par moment, elle voyait une sorte de brume argentée, comme quand on lançait nos premiers expecto patronum. Sewaryna haussait les épaules, ne cherchant pas plus longtemps le problème. Elle rentrait dans sa chambre et se posait sur son devoir de justice magique. Au bout de vingt minutes de travaille, la rousse était sur le point de s’arracher les cheveux, elle se laissait retomber sur son lit et fermait les yeux pour se réveiller une heure plus tard devant quelque chose de bizarre. Devant elle, se trouvait un magnifique patou, chien des Pyrénées. Sewaryna connaissait bien ces chiens, elle les adorait même, elle les avait vu pour la première fois quand elle avait sept ans dans un petit village français, Cauteret qui se trouve près des Pyrénées. La jeune femme se relevait rapidement pour le regarder droit dans les yeux avant de lui faire renifler sa main puis de le caresser. « Qu’est-ce-que tu fais là mon beau ? – s’exclamait la rousse tout en le caressant – » Le chien des Pyrénées la regardait droit dans les yeux avant de se mettre à aboyer tout en bougeant la queue. Sous les yeux éberlués de la jeune femme, elle le vit se mettre à briller et à changer de forme. Callista attrapait de suite sa baguette pour la pointait sur le chien, elle était prête à le désarmer si s’était un animagus. La rousse restait calme, ne perdant pas son sang froid et devant elle, elle vit le chien se transformait en magnifique tigre de Sumatra, il ressemblait à la forme que prenait son patronus. Saweryna le regardait avant de fermer les yeux, de se pincer puis de les ouvrir. Elle ne rêvait pas, même si elle ne comprenait strictement rien à la situation, elle se mit à danser de joie. Au moment ou elle allait se mettre à parler, Callista entendait quelqu’un qui n’arrêtait pas de murmurer son prénom « Calllista, Callista ». La jeune femme regardait par tout avant qu’elle n’attende encore cette voix bien qui était bien masculine et roque « Devant toi idiote ! ». Callista haussait un sourcil avant de regarder le tigre droit dans les yeux, surprise « Attend .. c’est toi qui me parle dans ma tête là ? c’est quoi ce bazar ?! – s’écriait la rousse complètement estomaquée et surexcitée –» Callista ne comprenait plus rien, elle n’avait pas peur non, elle voulait juste savoir ce qu’il se passait. Devant elle, le tigre se mit à rugir avant de se mettre à parler « Ne cris pas comme ça ! Je suis ton patronus idiote ! – dit le tigre dans sa tête d'une voix forte et autoritaire – Pożar – prononçait juste la jeune femme -»


« A ce moment là, je n’avais envie que d’une chose de la tuer. Elle m’énervait, quand elle m’a dit la traduction du nom qu’elle m’avait donné j’ai hoché la tête. Je l’aimais bien ce prénom. Au début, je ne vais pas vous cacher que c’était assez houleux entre nous, elle m’horripilait. Au fur et à mesure j’ai appris à  la connaître. Ne lui dite pas surtout pas ce que je vais vous dire maintenant, mais j’aime ce bout de ma femme et sa maladresse, ce lien qu’on a entre nous est incassable. Je pense, que c’est la meilleure chose qui nous est arrivé, à nous, les patronus et je suis heureux d’être avec Callista même si ce n’est pas toujours très tendre entre nous. Elle sait que je l’aime même si je ne suis qu’un patronus. » Pozar