Date de Naissance:Eszter est née le 15 mars en 1964 à Londres.
Nationalité: Anglaise de naissance, Eszter est cependant hongroise de part sa mère, et est bilingue. Il n'est pas rare d'entendre les deux langues au sein du pavillon dans lequel la famille recomposée habite.
Baguette: La baguette de Eszter fait 30 cm de long, est composée de bois de noyer et d'une plume de phénix.
Matière préférée et détestée:Eszter affectionne particulièrement les potions et les sortilèges. Elle déteste la botanique qu'elle compte arrêter après ses BUSES.
Epouvantard:Voir les membres de sa famille étendus sans vie, surtout Alister.
Détails inutiles:Eszter est depuis toute petite allergique à la citrouille et donc ne peut boire le jus de citrouille dont ce délectent tous les étudiants. De plus, elle a une mémoire eidétique.

Eszter est une jeune fille de quatorze ans, plutôt jolie. Des grands yeux bleus, une peau blanche malgré le soleil, des longs cheveux blonds, une bouille angélique, un sourire et un rire contagieux. Assez grande, certainement plus musclée que ses camarades du même âge, Eszter a en permanence un sourire aux lèvres.  Venant  d’une famille recomposée de sang pur, et ayant des frères ainés bien plus vieux qu’elle, Eszter connaissait déjà tout de Poudlard, ses traditions, ses fêtes et banquets, ses maisons et ses rivalités. Et elle s’y sent très bien, dans ce grand château. Non seulement car elle est avec ses frères, mais car elle a une plus grande liberté, pouvant aller dans les grands parcs entourant le château.
Une des premières caractéristiques de l’anglo-hongroise est son intelligence. Eszter est remarquablement douée dans ce qu’elle entreprend, n’ayant jamais eu de problème scolaire ou autre. Dès ses premières années, elle étonna avec son esprit vif, sa compréhension de ce qui se passait à côté, et des gens autour. Inlassablement curieuse, la jeune fille pourrait être un vrai rat de bibliothèque si elle n’avait pas besoin d’autant bouger. Sa mémoire eidétique et son cerveau analytique lui permettent d’ailleurs cet écart. En effet, Eszter est vite ennuyée et à besoin de changer d’activité très souvent sous peine de s’énerver. Ainsi elle ne peut rester plus de dix minutes sans bouger, et étudier pendant des heures lui passe au-dessus de la tête. Une autre caractéristique est son rejet de la plupart des conventions des jeunes de son âge, sûrement grâce à son enfance qu’elle passa avec son frère ainé, lui-même sortant de ces normes. Eszter déteste toutes les manies des jeunes filles de son âge et c’est pour cela qu’elle n’a guère d’amies. Elle trouve que toutes ces filles qui ne font que de se plaindre sans rien faire pour évoluer et changer sont pathétiques.  S’habiller avec des robes – d’ailleurs, elle ne porte presque jamais de jupes et se débrouille pour porter le pantalon d’uniforme-, se maquiller, lancer des ragots, elle n’en a que faire ! Elle préfère aller courir autour du lac, sentit le vent dans ses cheveux, se sentir libre. Et puis si elle peut lancer son pantalon mouillé sur les draps d’une de ses camarades de chambre, cela serait le pied ! D’ailleurs, la jeune fille d’origine hongroise ne prend pas beaucoup de chose au sérieux. Si elle recherche la simplicité dans l’apparence extérieure, Eszter, au contraire recherche la difficulté dans ce qui l’intéresse. Ne s’avouant jamais vaincue, elle aime chercher les détails d’un problème, de trouver la variable. Adorant apprendre de nouvelles choses, Eszter complète ses cours en cherchant tout ce qui peut entourer un sujet. Ainsi, même à 14 ans, la jeune fille a une culture magique impressionnante. La jeune sorcière aime bien rigoler, souvent au dépend des autres. Elle aime se moquer des autres- même si cela reste assez inoffensif, ainsi que de faire des blagues.  Il faut dire que derrières ses aires angéliques, la petite a une langue acérée. Surtout lorsqu’on insulte sa famille et ses amis. D’une loyauté sans faille, Eszter se couperait en quatre pour ceux qui ont toute sa confiance, cette confiance si difficile à donner. Méfiante, Eszter pense que son amitié se gagne, et elle fera tout au début, pour tester l’autre personne. Ainsi, elle se protège des mauvais coups. Mais une fois amie avec quelqu’un, cette personne aura sa fidélité éternelle. Eszter use ainsi de son intelligence pour rendre les coups que les autres ont pu faire à ses amis. Ainsi, depuis son arrivée à Poudlard, si quelqu’un dit du mal d’Alister, il recevra un sort le lendemain. Dotée d’une ouverture d’esprit, Eszter commencera toujours par essayer de connaître la personne avant de la juger. Et si jugement il y a, Eszter observera d’abord toutes les données du problème. La jeune fille sait écouter les autres, malgré son impulsivité, et son envie de regarder les choses du bon côté lui permettent de remonter le moral. Impliquée, indépendante et forte, Eszter est une tête brûlée qui n'a pas peur de dire les choses et qui est prête à se mettre dans des situations inimaginables afin de satisfaire sa curiosité. Elle est difficilement domptable et lorsqu'elle a une idée en tête, elle n'en démord pas.
Cependant quelqu’un a dompté la louve, et c’est son frère Alister. Si Eszter adore ses deux frères- Laszlo représentant l’équilibre, une force brute qui ne vacillera jamais- c’est vers le plus jeune que c’est tourné la petite fille, et ce sentiment continua toute sa vie. Cette relation fusionnelle a permis à Alister de prendre la voie de la guérison, et permis à Eszter d’avoir une ancre, un port d’attache. Alister est la personne qui compte le plus pour Eszter, et elle ne supporte pas d’en être séparer. Ils se comprennent comme personne, et Eszter sait que si jamais elle avait un problème, son frère sera là pour elle. De plus, Ez’ est très possessive, et ne supporte pas que quelqu’un veuille prendre sa place dans le cœur d’Allister.
Et surtout, il y a deux Eszter. Celle que tout le monde voit, la jeune fille amusante, souriante, optimiste et joyeuse. Celle qui va courir dehors, qui court dans la bibliothèque pour poser une question à Alister, se calmant dès la vue de sa tête si familière. Et il y celle qui n’est pas montré. Celle que Eszter tu. Eszter n’aime pas montrer et dire aux gens ce qu’elle ressent véritablement, préférant cacher ses sentiments sous une façade joyeuse. Elle a d’ailleurs une maîtrise parfaite de ses mouvements faciaux. Car Eszter n’aime pas parler d’elle, et changera toujours la conversation lorsque celle-ci s’approchera de ce sujet délicat. Eszter tu aussi sa nature violente, ses colères qui se déclenchent lorsqu’elle perd le contrôle, sa peur de perdre son contrôle. Certes elle est patiente, donc il faut vraiment la pousser à bout, mais ses excès de colère sont si terribles ! Cette violence qu’elle a en elle de façon continue ne peut s’évaporer qu’en remarques cyniques et doucereuses.  C’est cette nature que représente le loup : cet animal sauvage, qui peut montrer les crocs si violemment et rapidement. Alors que Eszter dit tout à Alister, journal intime parlant, cette violence n’est pas racontée. Eszter aime son frère plus que tout, et Alister n’aime pas les gens violents. Alors comment lui dire que sa sœur adorée l’est, qu’elle doit contenir sa rage en permanence, et qu’elle a peur que cette violence devienne de l’auto destruction ? Après tout, il doute déjà assez de lui-même, pourquoi le faire douter en plus de sa sœur.

Eszter, avant que le sort ne soit lancé, était trop jeune pour lancer un sort de Patronus. Non qu’elle n’ait pas la puissance magique, ou même les souvenirs de joies, mais tout simplement car elle ne s’y était jamais essayé. Sa curiosité insatiable l’avait poussé à lire dessus, mais sans plus. Elle savait que le patronus pouvait ou non avoir une forme, animal représentant le sorcier. Et bien sûr, elle s’était posée plusieurs fois la question : quel animal lui correspondrait ? Une fouine, un hiboux, un corbeau ? Et elle finalement la réponse une nuit peu après Noel. Une sensation étrange l’avait réveillé brutalement, et ses yeux embrouillés par le sommeil purent observer une lumière pure et blanche. Cette lumière prenait la forme d’un loup, et devint de plus en plus matérielle. Le loup la fixait, la suivant de ses yeux jaunes. La première pensée d’Eszter, après avoir arrêté pendant quelques secondes de respirer, alla vers ses frères, se demandant si les deux hommes avaient eu aussi reçu cette apparition. Après tout, soit elle était folle et était en train d’imaginer le loup devant elle, soit c’était quelque chose qui arrivait à tout le monde. Pragmatique, Eszter savait qu’il pouvait arriver des choses particulièrement étranges à Poudlard. Quand elle vit le lendemain la quasi-totalité des élèves avec une forme derrière eux, Eszter savait que la dernière hypothèse était la bonne.
Si le loup la suivant était un très bel animal, rapide, loyal et fort-idéaux auxquels elle tachait d’arriver, il l’effrayait quand même. Eszter n’aimait pas parler d’elle, n’aimait pas dire ce qu’il se passait dans son esprit, ou expliquer pourquoi. Elle ornait ses lèvres d’un sourire permanent et allait dans la vie ainsi. Elle ne voulait pas montrer son côté féroce, son côté violent qu’elle avait accepté mais que les autres ne pouvaient pas. Et ce patronus clamait haut et fort ce qu’elle s’évertuait à cacher. Eszter n’était pas la seule, car les patronus dévoilaient la vraie nature de tous les élèves. Cependant, Eszter ne tenta pas de se séparer de cet animal. Car non seulement, avoir un confident pareil était une chose très appréciable, mais elle voulait aussi montrer à son frère que d’essayer de se séparer de cette apparition n’était pas une bonne chose, en une sorte de conseil tacite. De plus, Eszter décida qu’elle pouvait continuer sa vie comme avant, ne disant rien sur la nature de son patronus, qu’elle appela Noss. Nom sortit de nulle part, un peu comme son loup d’ailleurs. Quelques jours après l’apparition de Noss, ce dernier prit la forme d’un ouistiti à queue noire, forme qu’il prend maintenant la plupart du temps, sauf en compagnie des gens qui ont la confiance de la jeune anglaise. De plus, Eszter et son complexe fraternel aime bien l’idée de porter Noss comme Alister porte Miklos.
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