BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fight | | | Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 17:35 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Delilah "Laïla" McLeod FEAT. Emily Browning 18 ans ϟ Cursus Enseignement ϟ Sphinx TDM et Bull Terrier ϟ Sang PurEnfant, tu avais toujours eu quelque chose de particulier en toi Lila, tu étais une fillette joyeuse et enjouée, toujours à sourire et à chercher le contact auprès des autres enfants et tout particulièrement auprès de ta famille. Tu te souvenais encore des nombreux repas de famille entre tous les McLeod, à l’époque tu les attendais avec impatience et tu avais hâte de retrouver tes cousins avec qui tu aimais passer du temps, ces garçons qui t’impressionnaient autant qu’ils t’inspiraient. Tu rêvais de leur ressembler et tu te surprenais parfois même à regretter de ne pas avoir été leur sœur, de ne pas avoir été à la place de Violett…Mais cette période d’insouciance te semblait désormais bien loin et les rires s’étaient depuis bien longtemps tus lors de ces fameuses réunions de famille…Eduquée avec fermeté, on t’a très tôt appris à bien te tenir en société et faire honneur à ton nom si bien que seul ce mot te semble à la bouche et dicte ta conduite jour après jour. Tu rêves de devenir une grande dame dans le monde de la magie et mieux encore, plus que tout au monde tu souhaites faire la fierté de tes ancêtres si bien que tu en es devenue extrêmement ambitieuse. Tu ne peux t’empêcher de calculer tes choix et tourner chaque situation en ta faveur quitte à déformer quelque peu la vérité à ton image, oh ce n’est de loin pas une manie mais pourquoi admettre ses tords alors que l’on peut faire porter le chapeau à quelqu'un d’autre ? Tu sais que ce n’est pas bien mais tu ne supportes aucun grain de sable dans tes plans. Ce petit côté opportuniste voir hypocrite t’a néanmoins beaucoup aidé dans ta vie des tous les jours mais en réalité, tu n’aimes pas attendre ! Avec tout, c’est toujours tout et immédiatement ! Appelez cela de l’impatience ou du caprice, mais tu es habituée à obtenir tout ce que tu veux et il te parait normal que cela continue ainsi ! L’envie anime constamment tes désirs et tu ne peux t’empêcher de désirer ce que les autres possèdent et tu es prête à te démener comme un diable pour l’obtenir à ton tour ! Tu ne peux t’empêcher de toujours en vouloir plus et te montrer exigeante dans tes relations et tes désirs mais au fond, ce n’est qu’un cruel besoin d’attention. Ce n’est pas tant que tu veux être au centre du monde mais si l’on pouvait graviter autour de toi, tu t’en porterais que mieux. En réalité, tu as simplement peur de te retrouver seule et la présence rassurante des autres te fait du bien même si comme tout le monde, tu as besoin de t’isoler parfois, ne serait-ce que pour te reposer un peu. Exigeante, tu en demandes beaucoup aux autres mais tu en demandes encore davantage envers toi-même et tu ne te laisses aucun répit ! Extrêmement fière et orgueilleuse, tu rêves en grands et tu refuses de tirer une croix sur tes rêves de prestige alors tu te donnes à fonds et tu ne tolères aucun échec, quitte à y passer des semaines ! Ce côté têtu te rend pourtant craquante car il révèle en toi l’enfant rêveuse qui ne t’a jamais réellement quitté. Cette gamine dont le rire jaillissait sans crier gare pour égayer la vie de ta famille. C’est peut-être idiot, mais tu ne peux t’empêcher de rêver du prince charmant ou du moins, un futur époux de haute naissance et beau comme un dieu (évidemment) et tes frères ne perdent pas une occasion pour se moquer gentiment de ton romantisme exacerbé mais en réalité, ils sont bien contents de ta vertu ! Féminine, tu as beau aimer la compagnie des hommes, tu ne te précipites pourtant jamais dans leurs bras et séduire te suffit amplement, tu aimes voir une petite étincelle briller dans leur regard mais pour l’instant, tu n’as jamais été trop loin. Ton caractère n’est pourtant pas toujours aussi posé car la maladie te frustre énormément et cela te rend parfois irascible et amère. Dans tes mauvais jours, tu peux te montrer franchement désagréable et agressive mais jamais envers ta famille, auprès d’eux tu deviens un véritable petit chaton ronronnant de plaisir sous leurs flatteries mais tes griffes ne sont jamais bien loin ! Les mots sont d’ailleurs ton arme favorite : sardonique et narquoise, tu as toujours l’art et la manière de tourner les conversations en ta faveur ou de te moquer de tes interlocuteurs avec subtilité mais bizarrement, on te le pardonne volontiers sous tes airs de poupée fragile. Cruelle erreur ! Tu as beau avoir l’air inoffensive, tu ne l’es pas tant que cela et gare à ceux qui oseraient se mettre au travers de ton chemin car tu n’oublies jamais qui tu es et d’ou tu viens. McLeod un jour, McLeod toujours.
a little something from you. Extrait du journal de D. McLeod daté du 28/12/78
Excuse-moi de t’avoir laissé si longtemps de côté mais pour une fois, j’ai une excellente raison mais tiens-toi bien, tu ne me croiras jamais ! Voilà des mois qu’ils parlaient de ce fameux sort pour détruire définitivement Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, tu t’en rappelles ? Je t’avais collé quelques articles de la Gazette des Sorciers. Bref, ce sortilège avait été prononcé il y a quelques jours mais rien ne s’était produit, pas même une étincelle ou d’ailleurs le moindre signe de magie. Je me rappelle que les élèves autour de moi avaient regardé leur voisin dans la salle commune avec un air perplexe sur le visage, n’osant pas trop formuler à voix haute ce que tout le monde pensait tout bas, même nos professeurs avaient cette petite lueur d’incompréhension dans le regard et leur irritation avait été palpable alors qu’ils nous avaient tous congédiés dans nos salles communes mais tu vois, il s’est quand même passé quelque chose. Pas tout de suite, tu penses bien que nous avions tout le temps de critiquer ces incapables du ministère de la magie sauf que nous avions été de bien mauvaises langues à en juger ce qui est arrivé ensuite. Je me suis réveillée au beau milieu de la nuit, alertée par un drôle de petit bruit prêt de mon oreille et en me redressant sur mon lit, j’ai constaté que je n’étais pas la seule à avoir immergé du sommeil et après avoir échangé un bref regard avec mes colocataires, j’ai remarqué une lueur bleutée près de l’une mais je n’ai guère eu le temps de dire quoique ce soit qu’une semblable lumière s’est allumée à mes côtés. Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau vois-tu, un peu comme de la fumée argentée aux reflets scintillants et en me concentrant fort j’ai pu distinguer les formes qui se dessinaient doucement dans cette brume et c’est avec un plaisir certain que j’ai découvert un papillon auprès de moi. Oh il était tellement beau avec ses ailes bleutées…Sauf qu’il s’est fait de plus en plus gros et quand il s’est posé sur ma main, j’ai eu un mouvement de recul en découvrant le motif en forme de crâne sur son dos. Et là, quelque chose de vraiment étrange s’est produit, un peu comme si une petite voix s’était élevée dans ma tête : « A quoi tu t’attendais, gamine ? » J’avais immédiatement détesté cette voix narquoise probablement issue de mon imagination mais non, elle avait reprit de plus belle. « Nous sommes intimement liés, tu as beau essayer de te dissimuler des autres, moi tu ne me tromperas pas ». C’était méchant ! Submergée par l’émotion, j’ai donné un coup dans l’insecte pour tenter de le faire disparaître mais rien n’y fit, la brume ne fit que se dissoudre dans les airs pour mieux se reformer plus précisément que jamais. « Tu ne peux pas me faire disparaître Lila, je fais parti de toi… ». Je n’a pas immédiatement compris le sens de ces mots et pourtant, j’ai finis par saisir que tout cela était bel et bien réel et comme pour me venger de lui, je l’ai nommé Caron, comme le passeur du Styx. Ce vieil homme chargé de mener les âmes damnées aux Enfers. Là ou je finirais par aller, plus tôt que tard hélas. Extrait du journal de D. McLeod daté du 30/08/79 Caron n’a pas menti, depuis cette fameuse nuit jamais plus il ne m’a quitté mais pour être honnête, j’aurais préféré qu’il n’apparaisse jamais, non pas que nous nous entendons mal mais sa présence me gène, j’aurais réellement aimé qu’il soit plus joli, plus à mon image…Je veux dire qu’il soit mignon, innocent et coloré mais non, il a fallu qu’il arbore un sombre présage sur son dos. Je l’ai toujours vu comme un élément gênant dont je devais me cacher ou même me justifier mais c’est durant la nuit du 21 Aout 1979 que j’ai compris à quel point il m’était vital. Alors que le camp était en feu et en sang, j’ai vraiment tenté de fuir au plus vite mais un mangemort avait été plus rapide, à mon avis il ne connaissait même pas la nature de mon sang mais avant même qu’il ne lance un sort, Caron s’était jeté sur lui se transformant pour la première fois en un splendide chien blanc, un bull terrier plus exactement, ces chiens à la tête bombée et aux corps musclé et sans réfléchir, il avait refermé ses puissantes mâchoires sur le bras du Mangemort pour lui faire perdre sa baguette et je crois qu’en agissant de la sorte, il m’avait tout simplement sauvé la vie et rien que pour cela, je ne cesserais de lui en être reconnaissante. You're not a sad story. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tu aurais du avoir un grand avenir, tu aurais du devenir une grande dame de ce monde et tu sais parfaitement du haut de tes dix-huit ans que tu aurais fait honneur à ton nom, peut-être même la fierté de tes parents et celle Arthur McLeod. Elevée dans la droiture et la tradition, nourrie aux histoires fabuleuses des grands destins magiques et bercée par l’ambition familiale, tu avais tout pour atteindre tes rêves. Honneur et Respect font parti de ton éducation et sont l’essence même de ton âme. Oui, tu aurais pu être la pupille des McLeod avec ton port de tête digne et ton air princier et pourtant, regarde toi ! Regarde tes mouvements saccadés, regarde le gâchis que tu es car il n’y a pas d’autres mots pour te définir : ce n’est pas ta faute c’est vrai, mais tu n’avais pas droit à cette erreur, tu n’avais pas le droit d’être condamnée si jeune. Chorée de Huntington, voilà comment se nomme le mal qui te ronge de l’intérieur. Habituellement les symptômes n’apparaissent qu’après trente ou quarante ans mais toi tu sembles avoir attiré sur toi quelque malédiction rendant cette malade bien trop précoce et dès l’âge de quinze ans les premiers signes sont apparus. Rien de très flagrant, tes parents avaient simplement noté tes nombreux TOC comme cette manie que tu avais de te cogner le menton contre l’épaule ou tes mains faisaient de brusques vagues. Tes frères trouvaient même tes tics gracieux car tu avais l’air de danser ou communiquer par signes comme pouvaient le faire les sourds et les muets mais ta famille a commencé à s’inquiéter quand ils ont compris que tu n’avais pas conscience de tes gestes. Tu te souvenais encore du jour ou Carl s’était écrié « Mais arrête ça ! » alors que tu bougeais devant ses yeux. Tu avais répondu que tu ne faisais rien sans même lever le nez de ton livre, imperturbable. « Mais là ! » avait-il tranché, exaspéré et probablement stressé par ses examens en vue et tu avais levé les yeux, agacée qu’il t’accuse jusqu’à ce que tu remarques le mouvement. Oh tu avais bien conscience que tes gestes étaient parfois plus forts que toi, mais à ce point ? C’était comme si tes membres étaient pris d’une conscience leur étant propre, comme s’ils venaient de signer leur indépendance sans même te poser leur préavis mais si tu veux mon avis, tu avais juste été incapable de voir les signes précurseurs. Quand vos parents ont apprit ce qui était en train de t’arriver, ils ont tout tenté : faire appel à la magie, aux médicomages de Sainte-Mangouste, utiliser la magie noire pour tenter d’évacuer le mal et finalement, ta mère a suggéré de regarder les maladies moldues. Cette idée vous répugnait tous profondément et pourtant, c’est dans ces ouvrages là que la solution se trouvait. A partir de cet instant, quelque chose se brisa profondément en toi : tel un miroir éclaté en mille morceaux, tes rêves volaient en éclats. Qui voudrait d’une femme incapable de contrôler ses mouvements, une femme qui sombrerait peu à peu dans la démence à mesure où la maladie rongerait son système nerveux ? Oui, à tes yeux ta vie était fichue et voir les gens insouciants autour de toi te dégoutait ! Comment pouvaient-ils vivre heureux alors que toi tu perdais pieds ? Ne voyaient-ils donc pas ta détresse ? A vrai dire, pas vraiment. Au yeux des autres élèves, tu parais seulement étrange, peut-être un peu excentrique avec tes gestes volubiles mais rien d’anormal pour autant et c’est ainsi que tu pris la décision de cacher à la Terre entière ta malédiction : Toi, Delilah McLeod tu serais normale passée la porte du manoir familial et ce, peu importe les efforts que cela te demanderait ! Tu étais prête à mettre toute ton énergie et toute ta rage dans ce combat permanent pour cacher la maladie et accéder malgré tout à tes rêves ! Si tes camarades de classe ignoraient tout de ta maladie, dans le clan McLeod ce n’était pas la même histoire : impossible de cacher quoique ce soit au patriarche familial. Ce dernier, excellent dans l’art de se voiler la face et ne voir que ce qui l’arrangeait, continua à faire comme si de rien n’était mais tu sentais au fond de toi qu’il t’avait déjà reniée. Il ne te voyait plus comme auparavant et tu ne faisais plus réellement parti de ses projets puisque inutile désormais. Tes parents en revanche ne baissèrent pas les bras et plutôt que de te tourner le dos, tu devins leur petit bijou. Un bijou inestimable duquel il fallait prendre soin, qu’il fallait défendre et protéger chaque instant et tes frères adoptèrent la même attitude. Ce soutien inattendu fut pour toi une véritable bénédiction et plus que jamais, vos liens se sont renforcés et une complicité sans nom est née entre vous. Reconnaissante pour leur présence, leur aide et leurs attentions, tu te montres extrêmement douce envers eux et tu leurs offres ton plus beau côté même si parfois, ta frustration te rend irascible et désagréable mais dans ces moments là, tu trouves toujours moyen de t’isoler pour ne pas les blesser, pour ne pas leur renvoyer dans la figure ta souffrance. Non pour eux tu es prête à jouer un véritable rôle de composition pour leur faire croire que tu es capable de gérer, que tout va aller au mieux…mais au fond de toi, tu sais parfaitement que ce n’est pas le cas et eux aussi, très probablement. Ce puissant lien entre vous ne fait pourtant pas que des heureux et plus d’une fois tes parents surprirent des regards de reproches et médisances de la part des autres branches McLeod, jaloux de votre unicité, jaloux de ce que vous avez gagné à cause, ou grâce, à ta malédiction. Avec ces gens là, tu as très vite appris à faire des sourires charmants et des petites attentions pour leur faire passer la pilule mais en réalité, tu leurs cracherait bien dessus. C’est vrai, ils osaient se montrer jaloux de votre complicité ? Eh bien ils n’avaient qu’à prendre ton handicap s’ils vous enviaient tant ! Malgré ton sentiment extrêmement partagé, tu n’oublies pas d’où tu viens et aujourd’hui encore tu gardes en tête qui tu es et malgré tout, tu adoptes la même attitude qu’Arthur McLeod : tu fais comme si de rien n’était et tu continues à garder en tête tes projets et surtout, ton éducation ! Tes parents ont bien fait leur travail et t’ont transmis leur savoir comme leur idéologie que tu partages entièrement malgré les nombreux scandales provoqués par ton cousin Lysander. Ses frasques sont connues de tous et malgré toute ton affection pour le Gryffondor, tu ne peux accepter le chemin qu’il est en train d’emprunter et tu ne désespères pas de le ramener sur la bonne voie après tout, cet héritage génétique est un don du ciel et à tes yeux, il est en train de faire les pires erreurs de sa vie en choisissant de vivre une histoire avec Sebastian Prince et plus terrible encore, en tournant dos à ce qu’on leur avait apprit depuis leur plus tendre enfance. Ses récentes fiançailles furent pour toi un soulagement et d’autant plus qu’il s’agirait de Skyler Mills. Cette dernière a toujours été pour toi un modèle à suivre, un idéal à atteindre même si la rupture de ses fiançailles de la part des Blackstone te laisse perplexe. Mal à l’aise en fait. Quoiqu’il en soit, tu rêves de lui ressembler et même la dépasser, but te semblant de plus en plus réalisable depuis qu’elle s’est affichée avec ce vaurien de Davy. Tout juste bon à servir d’amuse-gueule pour les Détraqueurs. C’est tout le mal que tu lui souhaites. Tu n’es pas genre à souhaiter le malheur des autres mais tu as depuis longtemps compris que vous étiez dans une véritable jungle et tu avais beau traîner des pattes, tu n’en étais pas moins une lionne prête à déchiqueter ses proies pour assurer ta propre survie. Ce n’est pas personnel mais ton opportunisme et ton ambition font de toi une prédatrice d’un genre nouveau car toi plus que n’importe qui, tu y mets toute ton énergie.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Desroses, 23 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? On l'a créé ! ϟ Personnage: Famille McLeod ! ϟ As-tu un autre compte sur BP? Magnus et Georgie ! ϟ Présence: Assez souvent je crois ! ϟ Une remarque? Je vous love.
Dernière édition par Delilah McLeod le Lun 11 Nov - 15:04, édité 12 fois |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 18:04 ( #) | T'ES TELLEMENT SEX OMAN CTE DEESSE FJLKDSHFKLDFHDSJKHSDJKSD rebienvenue ma terroriste préférée |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 18:08 ( #) | Re bienvenuuuue |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 18:38 ( #) | Re Bienvenuuuuue C'estvraiqueTeresaestokfrokfoerkfoekr |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 18:51 ( #) | Rbienvenuuue |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 18:56 ( #) | Re-Bienvenue Teresa |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 19:02 ( #) | Welcome. |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 19:05 ( #) | Re bienvenue, Gary. |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 19:11 ( #) | Re bienvenue ! Elle est trop belle Teresa |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Guest, Dim 10 Nov - 20:23 ( #) | Re-bienvenue C'est qui ton vava il est trop bien |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 20:33 ( #) | Tiiiph Bon courage pour cette nouvelle fiche ! |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Guest, Dim 10 Nov - 21:09 ( #) | OMAN GOD rebienvenue |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 21:28 ( #) | Rebienvenue avec ce personnage et surtout avec ce bel avatar |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 21:53 ( #) | |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Invité, Dim 10 Nov - 22:38 ( #) | MCLEOD MCLEOD MCLEOD MCLEOD. t'es belle tu sais c'est de famille on dirait REBIENVENUE ! CA VA TOUT ROCKEEEEER |
| | Re: Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fightpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Lila ◊ Get up, Stand up Don't give up the fight | |
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