![L'hiver le plus froid de toute ma vie [Terminée] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | L'hiver le plus froid de toute ma vie [Terminée]par Invité, Mer 27 Nov - 22:24 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Jack Edward Reed FEAT. Max Krieger 18 ans ϟ Cursus ordinaire ϟ Patronus: ourson polaire ϟ Né molduϟ Je m'appelle [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]! Ma passion à moi en dehors de la magie, c'est la neige. Je ne me sens vraiment bien que par grand froid, et quand la neige voire la glace font leur apparition, je me sens enfin chez moi. Je fuis le soleil qui brûle ma peau si froide, je me sens comme chassé lorsque l'été arrive. ϟ A part ça, je suis quelqu'un de vraiment sympa, charmant. Tout le monde adore ma compagnie! Bon ok. Je vais être franc avec vous. Je mens souvent, tout simplement parce que je préfère vivre dans ma vie d'illusion plutôt que dans cet univers si sombre. En fait, toute ma vie n'est que mensonge. Je m'invente une vie de rêve et je me convainc moi-même qu'il s'agit de la vérité. Je vis dans le luxe dans une famille de grands sorciers. Je fuis le fils de moldu que je suis, je fuis la catastrophe qu'a été ma vie. Je me cache, je m'enferme dans un rôle. ϟ Vous me verrez très extraverti, très [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de moi-même, courant partout comme un petit sauvage excité et heureux. Je suis très agile de mon corps et m'amuse toujours à grimper partout. C'est peut être parce que je n'ai pas d'équilibre sur le sol. Quand je marche, je tombe souvent, comme si mon corps voulait aller plus vite que mon esprit. Ou peut-être était-ce que le sol, foulé par tous ces humains, n'avait pas été conçu pour quelqu'un comme moi. J'aimais trop la liberté pour rester cloué au sol. J'avais besoin de me sentir voler, de grimper, toujours plus haut. ϟ Au final, je suis assez solitaire, même si je vais aisément vers les autres. Tout ceci n'est qu'un masque que je porte, un autre moi qui me cache. Je suis plutôt lunatique, car mes émotions prennent très facilement le dessus. Je peux être très heureux, mais facilement en colère. Il arrive même que je pleure, même si je préfère le cacher. Je suis très susceptible et ne supporte pas que l'on me juge. En dehors de ça, je suis assez courageux, mais cela est plus dû au fait que je sois impulsif et irréfléchi. Voici ma confession. a little something from you.
Noël 1978. Des vacances glaciales au château. C'était parfait pour moi. Je passais toujours mes vacances ici, car je n'avais pas de chez moi. Il y avait très peu de monde pendant les vacances, mais ça me convenait. La neige recouvrait le parc. Moi, je me plaisais à m'y promener, profitant des flocons glacés qui tombaient avec douceur sur mon visage pâle. C'est là qu'il est apparut. Là que je fis la connaissance de ce petit ours polaire. Ce p'tit bouchon était au pied d'un arbre dans lequel je venais de grimper. Je le vis là, tout penaud au pied de cet immense être, le regard levé vers moi. Bien sûr, au début, je ne comprenais pas ce que venait faire un ours polaire dans un coin pareil! Ce n'est que plus tard que l'on m'expliqua qu'il s'agissait de mon patronus, ce qui me rendis encore plus proche de lui. J'étais descendu de mon perchoir et m'étais approché de lui.
Ben alors p'tit loupiot, qu'est ce que tu fais là tout seul?
L'ours. C'était ça, le prénom que je lui avais donné. Bon ok, en fait il n'avait pas de prénom, mais tout plein de surnoms. J'avais entouré ma cape autour de lui, plus par réflexe de protection que pour lui tenir chaud étant donné qu'il s'agissait d'un ours polaire. J'étais resté un moment avec lui. L'ours et moi, on n'était qu'un. C'est ce qu'on m'avait expliqué. Il me représentait par sa douceur, le nounours que j'étais au fond de moi (n'importe quoi), mais aussi par son agressivité. En gros, j'avais l'air d'un chamalo mais je pouvais me rebiffer. Bon. On ne choisit pas après tout. Quoiqu'il en soit, je lie une relation fusionnel avec ce p'tit là. On se protège l'un l'autre, et bien sûr, notre habitat naturel à tous les deux était la neige, le froid glacial.
You're not a sad story.
Selon la légende, ou plutôt l'histoire étant donné qu'elle est vraie, ma mère était très malade alors qu'elle me portait en son ventre. Mes parents (Edward et Rosalia Reed) étaient amis avec une famille de sorciers. Pas une famille à grand nom, non. Une famille lambda peu connue. En fait, mes parents moldus étaient proches de cette famille et donc, connaissaient un peu la magie. Ils avaient eux mêmes des ancêtres sorciers (du côté de ma mère), mais rien de bien palpitant.
Bref, cette famille était proche de la notre, et elle voulut aider mes parents. Le père sorcier s'adressa à mon propre paternel. Il lui parla d'une potion qui pouvait amoindrir les maux de ma chère mère. Mais il mit Edward sur ses gardes. La potion pouvait avoir de graves effets secondaires, il fallait être vigilent. Mon père n'hésita pas longtemps, pensant en premier lieu à la santé de ma pauvre mère. Ainsi, elle prit la potion. Elle allait beaucoup mieux, ça tenait du miracle! Mais, en me mettant au monde, elle perdit la vie. Pourquoi, on ne sait pas vraiment. La potion qui ne faisait plus effet? Ou bien un effet secondaire? Peut-être que j'avais fini par tout prendre? Car oui, la potion avait eu des effets importants sur moi. J'étais très pâle. Mais les effets de la potion n'étaient pas prêts de s'estomper. Au contraire, ils augmentaient au fur et à mesure que je grandissais.
Mon père m'apportait toute l'affection dont j'avais besoin. Mais chaque fois qu'il me regardait, chaque fois... Chaque fois ces yeux bleus pâles lui rappelaient ceux de sa femme. Chaque fois ces cheveux blancs lui rappelaient la potion qui aurait du la sauver. Chaque fois, c'était avec le cœur brisé qu'il plongeait ses yeux tristes dans les miens. Il était ravagé par la douleur. J'essayais de faire en sorte qu'il soit fier de moi. Je voulais qu'il ne voit plus que moi, moi seul. Mais je n'y arrivais pas. J'avais quatre ans, et je tombais toujours en marchant. Je n'avais aucun équilibre, je peinais à marcher correctement. Les docteurs moldus ne trouvaient aucune explication. Au fond de lui, mon père savait bien d'où venait la cause. Mais comment s'en vouloir? Après tout, sans cette potion, peut-être que je serais mort en même temps que ma mère.
Je n'ai pas de bon souvenirs de mes années à l'école des moldus. Mes camarades se moquaient toujours de moi. Même en grandissant, je tombais toujours. Un peu moins, mais toujours de façon régulière. Vous imaginez, chez les moldus, un garçon aux cheveux blancs et aux yeux bleu cristal, qui ne peut pas courir, et à peine marcher, sans s'étaler peu de temps après? C'est ainsi, l'homme a peur de ce qu'il ne comprend pas, il le rejette. Alors j'ai été insulté et mis de côté. J'étais solitaire, et commençai à escalader un peu pour mieux me déplacer. Simplement en marchant sur des barrières ou autre. C'est ainsi que je me suis peu à peu renfermé sur moi-même. Un soir après l'école, (j'avais... 9 ans?) ravagé par les moqueries plus violentes que d'habitude de mes camarades, je m'étais réfugié dans le grenier de la maison. M'étant calmé, j'avais exploré le lieu. C'est là que je découvris des livres, et me mis à lire ces comptes de fée illustrés. Depuis, chaque soir, je lisais. Je les avais pris avec moi, et avais grimpé dans l'arbre du voisin afin de m'y cacher pour poursuivre mes lectures. Depuis ce jour, j'essaye de rester enfermé dans mon monde imaginaire, inventant des histoires, des mensonges dans lesquels je m'enfonce de plus en plus.
Mon père me disputait de plus en plus souvent. Il me réprimandait lorsque je tombais, lorsque je racontais des mensonges, et même parfois, pour pas grand chose. Je me sentais coupable et j'essayais de toute mes force de tenir debout aussi longtemps que possible. S'il s'énervait contre moi, c'était bien sur à cause de sa tristesse, celle d'avoir perdu sa femme, celle d'avoir un fils anormal. Mais ça, enfant, je ne le comprenais pas. J'étais un mauvais fils, malgré tous mes efforts je l'étais. Et cela ne fit qu'empirer. Ma relation avec mon père était extrêmement froide et distante. Puis, alors que j'avais 11 ans, je reçu cette fameuse lettre. Elle provenait d'un certain... Poudelard? Ah non, ce n'était pas un homme mais une école! De la publicité? Peut-être, sauf que cette lettre, ce n'était pas dans la boite aux lettres que je l'avais trouvé, mais accrochée à la patte d'un hibou. Il m'attendait sur le rebord de la fenêtre de ma chambre. Je savais que les sorciers communiquaient ainsi, et je me demandais s'il s'agissait d'un message de la famille qui avait certainement sauvé ma vie malgré tout ce qui m'était arrivé par la suite... Mais non. C'est lettre m'était directement adressée, elle disait... Elle disait que j'étais un sorcier et étais attendu à Poudelard! Je dus la relire au moins dix fois avant d'être sûr d'avoir bien compris. Je savais que ma mère avait des antécédents dans la sorcellerie, mais quand même! Moi! Jack Reed! J'étais un sorcier! Je bondis sur mon lit, sautillant dessus sans m'arrêter, la lettre à la main, tout en me regardant dans le miroir. Je voulus descendre en vitesse de mon lit, ce qui me valut une belle chute. Ayant l'habitude, et bien trop excité pour me lamenté, je m'étais relevé d'un bon. J'avais laissé la lettre sur mon lit. Je pris un livre quelconque et le posai en face de moi. Je m'assis devant lui et fis des gestes étranges avec mes mains.
Alakzam envole toi!
Rien.
Par le pouvoir qui est en moi! Envole toi!
Bon. Espérons que l'école m'en apprenne plus. Je courus partout dans la maison en hurlant que j'étais un sorcier, répétant mes chutes, me relevant à chaque fois. Courir était si dur pour moi, mais si plaisant en cet instant! C'est ainsi qu'on vint me chercher, qu'on m'emmena en cet endroit merveilleux nommé le chemin de traverse. Les premiers signes de mon pouvoir se manifestèrent lorsque j'achetai ma baguette composée de crins de licorne (entre autres). Tout était si beau... Si... Magique! Comme si mes illusions devenaient réalités! Mais voilà, je compris bien vite que ce monde était aussi très sombre, et que l'univers de la magie était menacé. Mais je restai de nombreuses années au château. En fait je ne suis plus jamais reparti. Même les vacances je les passe ici, toujours. Mon père m'avait rejeté. Je n'avais pas réussi à être un bon fils. J'allais au moins essayer d'être un bon sorcier. Mes mensonges étaient toujours de plus en plus grands, m'inventant une vie de rêve. Je prenais énormément soin de mon look, comme pour me cacher derrière un masque. J'avais l'air si sûr de moi ainsi.
J'adorais cet endroit malgré la peur qui y régnait. C'était mon chez moi maintenant. Je me sentais bien ainsi, même si j'étais toujours aussi solitaire. Mais j'avais fait la connaissance de ma meilleure amie. Elle s'appelle Void. Je l'avais repéré car elle était toujours seule. Alors un jour, dans le parc, je me décidai à aller vers elle, grimpant comme un vrai petit singe, la suivant ainsi tandis qu'elle marchait, lui faisant du rentre dedans juste pour m'amuser et attirer son attention. Sa beauté ne me laissait pas indifférent, mais ce n'était pas par amour ni même par intérêt que j’agissais ainsi. C'était ma manière à moi de faire sa connaissance. Je lui faisais faussement la cour avec amusement. Au début je lui tapais sur les nerfs, mais je crois bien que les dernières vacances de noël nous avaient rapproché. Je crois vraiment qu'elle m'apprécie.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: 21 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? C'est Void qui m'a fait venir :3 ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? non ϟ Présence: 5/7 ϟ Une remarque? Le design est sublime, le contexte original et très intéressant, l'accueil superbe! Je suis heureux d'être parmi vous 
Dernière édition par Jack E. Reed le Dim 1 Déc - 22:11, édité 26 fois |
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finis vite ta fiche, gredin !
