Pseudo : Le prénom Christobald est négociable, bien que ce soit celui auquel je me suis habituée depuis que j'ai commencé à jouer Ephyra, et c'est aussi un prénom que j'aime bien donc, j'aimerais quand même le garder. S'il vous est vraiment insupportable, on pourra en parler. Son second prénom, par tradition familiale, doit être coréen. Là par contre, il est totalement négociable. J'ai un peu mis Inho sur un coup de tête, parce que c'est le prénom d'un de mes collègues sexy :rip:Pour le nom de famille, étant donné qu'il est le frère d'Ephyra, la logique veut qu'il garde Hopkins. Cependant, il peut avoir changé et opté pour celui de sa mère et s'appeler finalement Lee. Comme vous le sentez (je ne suis pas embêtante... si ?)
Âge : On peut s'arranger pour plus ou moins un an, mais pas au-delà. La relation entre Christobald et Ephyra, et les incompréhensions qui ont pu en découler, proviennent justement de leur différence d'âge.
Avatar : Totalement négociable, mais il faut rester dans la logique d'un acteur/mannequin/strip-teaseur un peu typé asiatique. Genre, comme ça, à titre d'exemples, Choi Jinhyuk (qui me perdrait totalement, je tiens à le préciser), Sen Mitsuji, Won Bin, Daniel Henney, Godfrey Tsao... Si vous avez des idées, n'hésitez pas à m'en proposer.
Origines : Le père de Christobald est un anglais pur souche tandis que sa mère est coréenne. D'où son physique de métisse. Pour un petit résumé sur les origines de la famille, je vous renvoie à ce spoiler, extrait de la fiche d'Ephyra ^0^
Spoiler:
La famille Hopkins avait toujours été une famille de sorciers respectable. Ils n'étaient pas purs, mais le dernier sang non magique ayant joint l'arbre généalogique l'avait été huit générations plus tôt. Ils n'étaient pas riches, mais ils avaient toujours vécu confortablement. Ils n'étaient pas de grands inventeurs aux idées révolutionnaires, mais ils avaient réussi à se faire reconnaître pour leur gentillesse et leur amabilité auprès de leurs pairs à travers divers gestes simples mais toujours appréciés. C’était une famille qui vivait de ce que lui donnait la terre, ou de quelques métiers toujours très honnêtes. Le plus haut gradé des Hopkins avait fini professeur en école primaire. Ça avait d’ailleurs été un très grand événement.
La famille Lee était à la recherche d'un mariage qui pourrait redorer leur image, et pardonner leur soudaine richesse. Leur famille était l'une de ces familles sorcière comme l'on en trouvait par dizaines. Ils n'avaient rien de particulier pour les rendre plus important que les autres. Hormis peut-être cette soudaine augmentation de biens, gallions, villas et autres œuvres d'art. La Seconde Guerre Mondiale, comme toutes les guerres moldues, avait servi à cacher aux yeux des non-sorciers, une guerre magique. Ce qu'avaient fait les Lee durant ces années n'a jamais été nommé. Personne n'a jamais ne serait-ce que prononcé du bout des lèvres un début d'accusation. C'était un secret. Un tabou. Et, comme tous les secrets tabous, tout le monde le savait. En Corée du Sud, le nom « Lee », bien que très usité, provoquait des haussements de sourcils ou des petites exclamations étouffées. Si vous vous appeliez Lee, on vous demandait maintenant si vous étiez affilié avec « Ces Lee là, vous savez, ceux qui ont… Vous savez bien ! ». L'expatriation des Lee en Angleterre n'avait dès lors plus rien de bien surprenant. Seule était restée en Corée la génération des arrière-grands-parents de la jeune fille dont l'histoire est, je vous l'assure, bien plus importante encore. Ils étaient probablement les seuls qui pouvaient être fiers de cette histoire.
Minah Lee était arrivée à Londres à l'âge béni de dix ans, avec des parents encore soucieux de faire leur preuves et de racheter leur image et la richesse familiale ternies par leur passé. Elle entra à Poudlard comme tous les sorciers et sorcières du pays, et y effectua une scolarité relativement banale, bien que rejetée du cercle de l'aristocratie anglaise, non pas à cause de son manque de richesse mais de son sang trop peu bleu. Ce fut sans aucun doute ce qui déclenchera chez elle un tel besoin de reconnaissance auprès de cette classe sociale. La jeune fille fit la rencontre d'un certain Henry Hopkins lorsque ce dernier, épris d'elle comme d'une vélane, lui demanda de l'accompagner au Bal de Noël. Il était alors un jeune homme charmant mais sans grande ambition. Elle accepta plus par défaut que par réelle envie et, finalement, après le Bal et une cour des plus enflammée et tenace, le jeune Henry réussit à obtenir le cœur de sa bien-aimée.
Il était sans doute aucun, ce qui était arrivé de mieux à la famille Lee depuis leur soudaine poussée de richesse. Il était d'une blancheur grisonnante qui tranchait avec la noirceur profonde des ancêtres coréens de la sud-coréenne. Il était aussi tout ce que recherchait Minah et, malgré tout ce qu'elle pourrait dire plus tard, lors de leurs disputes et autres désaccords, elle en était tombée follement amoureuse. Tellement follement amoureuse qu’elle accepta et la demande en mariage, et de s’installer dans une campagne aux airs de fin du monde du Northumberland nommée Falstone. Ils décidèrent de nommer ces terres qu’ils avaient acheté, Shindo, en souvenir de leurs premières vacances en couple qu’ils avaient été passer dans la contrée d’origine de Minah. Ce n’était pas le grand luxe dont elle avait rêvé, mais c’était un lieu qu’elle allait pouvoir rendre douillet et chaleureux, à l’inverse de ce qu’elle avait vécu plus jeune. Et malgré tout ce qu’elle pouvait trouver comme défaut à l’endroit, elle s’imaginait déjà parfaitement les cris des enfants, qu’elle voulait nombreux, lorsqu’ils joueraient dans le jardin.
Histoire : L'histoire de Christobald jusqu'à ses seize ans est assez libre. Je le voyais bien faire sa scolarité en tant qu'élève modèle, pas forcément au niveau du comportement, mais au niveau des études. Il a vécu dans une famille normale et aimante, et a toujours adoré ses petits frères et petites sœurs. Lire [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour plus de détails. Il a vécu à Shindo, du nom de la ferme familiale, à Falstone dans le Nord de l'Angleterre. A seize ans, il se fait embarquer de force par la branche maternelle de sa famille (la branche asiatique) jusqu'à Séoul pour y être former à devenir un héritier. De là, vous avez carte blanche. J'avais quelques idées, mais il ne s'agit que de pistes pour en faire devenir un Mangemort quelques années plus tard. L'essentiel, c'est qu'il soit de retour à Londres, à la tête de la branche maternelle de la famille, gérant tout cela à distance. Les raisons de son allégeance à Voldemort ne dépendent que de vous, et de ce que vous préférez. Il vient d'une famille qui n'a pas connu de non-sorciers depuis plusieurs générations et qui n'a donc pas une très grande connaissance des moldus, si cela peut vous aider ^0^
Caractère : Avant ses seize ans, Christobald était plutôt bavard, enjoué, fêtard, taquin... Plutôt du genre toujours souriant et heureux. Son évolution et l'origine des changements qui se sont effectués dans son caractère vous sont totalement libre. J'avais pensé à son entraînement auprès de la branche maternelle, mais c'est à votre libre imagination. Le but du jeu étant qu'à ce jour, il soit plutôt le penchant obscur de ce qu'il était avant. Donc plutôt ombrageux, cynique, froid. Je le vois bien colérique aussi. Un peu du genre à s'énerver pour un rien. Mais qui, à côté de ça, sait rire, s'amuser et profiter de la vie. Si vous avez besoin de plus de détails, n'hésitez pas à me MP, je vous aiderai à cerne le personnage
Ephyra est la sœur de Christobald, de sept ans sa cadette. Ils ont toujours été très proche lors de leur vie commune à Shindo, et elle a toujours considéré son grand frère comme indispensable à sa vie. Lors de son départ pour Poudlard à onze ans, il dut faire face à ses pleurs et ce fut une vision qu'il ne souhaita jamais revoir. Il instaura une correspondance avec elle afin de conserver leur lien et de la garder souriante au possible. Cette relation épistolaire fut ce qui les lia sans doute le plus et qui acheva de les rendre indispensable l'un à l'autre. Lors de son départ forcé, ce fut aux cris d'Ephyra qu'il fut cette fois-ci confronté. Et ce fut pour lui un terrible déchirement. Il avait beau avoir tout fait pour préparer la petite fille à cette éventualité, il ne s'était pas préparé, lui, à devoir revivre cet instant durant des semaines, des mois, sans jamais parvenir à oublier. Il ne sait pas que la chute qu'elle a fait en cherchant à le suivre entraîna chez elle une amnésie partielle, le supprimant de sa mémoire, et pour lui, malgré la distance, elle reste la petite sœur qu'il se doit de protéger. Sans nouvelles de sa famille, il ne sait pas non plus qu'elle s'est épanouie au point de ne plus ressembler du tout à ce qu'elle était avant. Leur première rencontre sera sans aucun doute perturbante pour lui, autant que pour elle.
« Foutu mentor. » « Aberration vivante, je ne sais même pas ce qu’il fout avec nous. » Voilà l’avis de la blonde sur celui qui doit la guider dans le chemin des ténèbres. Ayant récemment reçu la marque, il a été imposé, à l’un comme à l’autre, que Christobald devienne le mentor de la jolie blonde. Elle le déteste, mais elle le fait de façon très courtoise. Elle lui fait très bien comprendre la chance qu’il a d’avoir une apprenti de son rang. Il n’est, après tout, qu’un pathétique sang mêlé. Malgré tout, elle a une certaine fascination pour lui, ce côté malsain qu’elle admire, puisqu’il lui apprends les sombres côtés de la magie dont elle avait déjà quelques connaissances. Electra n’a pas la moindre idée du fait qu’il soit le frère d’Ephyra, l’une de ses plus grandes victimes à Poudlard. Ils ont été présentés à Londres, juste à la fin de la cérémonie où Electra à reçu la marque. Il ne l’apprécie pas non plus, c’est une jeune fille prétencieuse, hautaine, mais il la respecte cependant, et n’a pas le choix après tout.