"Dans le monde il n’y a pas d’un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d’ombre en chacun de nous. Ce qui compte c’est celle que l’on choisit de montrer dans nos actes, ça c’est ce que l’on est vraiment."

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    Mira Lestrange est une femme qui a toujours été respectée par le courage dont-elle a pu faire preuve dans le pass. Benjamine d'une lignée respectée et puissante dont l'intégrité pour les forces obscurs n'était plus un secret, enfant, elle a pourtant toujours été curieuse et très rêveuse... Elle possédait déjà en elle une ouverture d'esprit et une intelligence que les autres n'avait pas. En grandissant, il s'est avéré que Mira eut un grand penchant pour les forces du bien, la magie blanche et l'égalité entre les sorciers. Elle rêvait de pouvoir rencontrer des sangs dit impurs, mais n'ayant pas ouvertement avoué les valeurs qu'elle défendait , elle joua le rôle de la parfaite Lestrange à Poudlard afin que personne ne puisse avoir de soupçons sur elle. Mira était effrayé parce que pouvait être capable sa famille, elle se camoufla donc pendant de nombreuses années jusqu'à sa majorité, où elle rencontra durant ses études de justice, un élève qui la métamorphosera totalement. Jack Digory. Ce jeune sang-pur était un poufsouffle, beau et charismatique, par son humour il charma dès sa première rencontre la belle demoiselle et s'était rendu compte très rapidement de sa différence. L'amour naitra très rapidement entre les deux jeunes sorciers. Mira était heureuse. Très complice avec son amant, elle avait enfin une personne de confiance à qui elle pouvait tout avouer. Jack réussit à délivrer Mira, celle-ci par l'amour qu'elle éprouve pour ce Digory, avait gagné en confiance et parvint même à confronter sa famille au bout de quelques années. Ce fut une période très noire. La jeune Lestrange l'année de ses vingt-ans décida de fuir une fois pour toute la maison. Elle laissa une simple lettre et disparu, réfugié à l'abri chez les Digorys.
Tout le monde fut surpris par cette nouvelle. La mère de Mira fut la personne la plus blessé, elle était très en colère, sa fille qu'elle aimait tant l'avait trompé depuis le début.  De son amour, la haine finit par surgir et l'esprit de vengeance toujours plus grand. C'est donc dans cette atmosphère familiale dès plus glaciale, que le couple eut la plus grande et la plus inattendue des surprises. Mira portait un enfant en son ventre. César naquit neuf mois plus tard, le 3 mars 1961.
« Tu es le plus beau des Lestranges mon fils, et sans aucun doute le plus mignon des fils.» Le reflet de ma mère apparus dans le miroir devant lequel je me tenais, elle était debout, là, derrière moi, son regard lié au mien à travers la glace et affichant toujours son jolie sourire, remplit de douceur. Dans sa robe de réveillon et chaussée de ses escarpins préférés, elle claqua de ses pas le plancher, se collant à moi, offrant ses lèvres à ma joue droite. Elle finit par s'asseoir sur la chaise se trouvant à ma droite. Maman était une femme magnifique qui avait l'air toujours heureuse, pourtant j'étais persuadé que quelque chose lui manquait, oui une toute petite chose... « Maman ? Tu ne parles pas souvent de ta famille, il ne te manque pas? A quoi ils ressemblent? » Par la plus pure des innocences, j'avais lancé le sujet délicat sur lequel ma mère n'aimait pas parler. Pourtant ce soir là elle ne me renvoya pas sur les roses, elle avait l'air de comprendre ma curiosité et de voir que j'étais un gamin assez grand pour comprendre. Sur sa chaise en bois, pensive, elle finit par me raconter avec ses mots ce qu'il s'était vraiment passé. Plus l'histoire avançait plus l'émotion montait en elle, je ne faisais que l'écouté, bercé par sa voix, mon regard croisant toujours le sien. « [...] ce sont des gens dangereux César, mais je continuerai à ressentir de l'amour et de la pitié pour ces gens, j'ai vécu quelquesfois des moments heureux avec eux, ils ne sont pas seulement remplis de haine et d'orgueil, chaque homme est capable de ressentir des sentiments, il faut simplement se dire qu'ils sont emprisonné au plus profond d'eux mais que peut être jour il arriveront à ne plus vivre dans les ténèbres.» Son récit était enfin terminé, je pense avoir compris l'essentiel, mais je restais quand même admiratif de toute la force dont elle a pu faire preuve, maman est une véritable guerrière!
Soudainement je la vis fouiller dans son sac. Elle en sortis une jolie petite boite couverte de papier argenté. Elle me tendit son cadeau, que je pris délicatement dans mes petites mains. « Joyeux Noël mon amour ! C'est l'un de tes cadeaux, je préfère te le donner maintenant afin que... Enfin, ouvre-le, je ne ferai que te gâcher la surprise sinon.» Je n'ai pas attendu la fin de sa phrase pour l'ouvrir, nous les enfants, nous faisons souvent preuve de stupidité. Mais franchement qui n'a jamais aimé déchirer le papier cadeau? C'est donc découvert en deux trois mouvements, que je découvris enfin la vraie peau de cette boite. Elle était d'une couleur rouge sang avec l'enseigne du bijoutier écrit en lettre d'or sur la face. J'ouvris enfin le boitier. Il renfermait une superbe chaine faite d'or blanc, un pendentif pyramidal de la même matière y était suspendu, au milieu jaillissait une pierre précieuse, un magnifique onyx noir. Maman avait le gout pour de beaux cadeaux. Elle ajouta une petite phrase tout en me l'accrochant au coup. « Ce pendentif te rappellera à quel point le courage et l'amour sont la clef de toute réussite. N'oublie jamais qui sont tes véritables ennemis César. »

 Tous les élèves de première année était rassemblé dans le hall d'entrée. Nous attendions l'arrivée du professeur afin de faire notre entrée dans la grande salle. M'ennuyant à attendre je m'amusais à regarder ceux qui m'entouraient. En majeure partie tout le monde avait l'air heureux et impressionné par le cadre dans lequel nous allions étudier. J'avais cependant remarqué la présence d'élèves, qui, exprimait rien quand regardant leur visage, la bêtise et l'orgueil. Ces types-là n'avait pas l'air digne de confiance, il sentait à des kilomètres la trahison. « Je paris deux Gallions que ces quatre-là vont terminer à Serpentard. » Un garçon avait surgi à côté de moi, il faisait presque la même taille que moi, était brun comme moi et avait un carnet dans la main droite. Il me rappelait étrangement quelqu'un , mais je n'arrivais plus à voir qui. « C'est possible en effet, mais bon, personne ne peut savoir dans quelle maison ils vont atterrir. Je n'aime pas parier sur les préjugés malgré que leur tête n'inspire que la connerie. Je m'appelle César Lestrange et si ça t'intéresse de parier sur moi et bien pari, ça me fera bien marrer. » Le gars fut surpris par ma réponse, ça ne se voyait rien qu'à sa tête, mais il finit par rire, ce gars devait être sympa. Il tendit sa main que je serais sans hésitation. « Enchanté, mais je crois bien t'avoir déjà croisé à l'anniversaire de mariage des Weasley. Il y avait tellement de monde ce jour-là que tu n'as pas dû faire attention à moi. Je m'appelle Anthony Shaklebolt. Tu as l'air sympa comme mec, ça te dit de te rejoindre à nous, avec mes amis que tu vois là-bas ? Ah  et franchement je pense que j'aurais du mal à deviner dans quelle maison tu te retrouveras, donc oublions tous ces jeux de paris. » Accueillit comme un roi dans une troupe déjà formé, Anthony me présenta à chacun de ses amis, j'étais souriant et heureux d'être accueillit par ces personnes, je ne voulais plus que le professeur arrive. Je fus cela-dit très vite glacer par une remarque grinçante venant de l'autre coté, d'un blondinet au regard venimeux. « Et ça se considère comme un sang-pur, laisse-moi rire, pour moi tu n'es qu'un fils bâtard osant porter le nom de Lestrange. » Un silence pesant apparu dans le hall d'entrée, le professeur qui sorti de la grande salle fut très étonné de nous voir si calme, ne se doutant pas de ce qui venait de se passer. La bonne humeur rejaillit dès notre entrée dans l'impressionnante grande salle, ou des centaines d'élèves étaient assis. Au plafond, c'était un ciel illuminé de bougie flottant dans les airs et au bout nous pouvions apercevoir, le proviseur Albus Dumbledore, tenant en sa main derrière une chaise en bois le fameux choixpeau magique.

rise 

Les sorts déferlaient dans tous les sens, nous entendions des impacts contre les murs et les cadres photos qui explosaient les uns après les autres. Tous se détruisait devant nous. Ce matin encore, personne ne se serait douté d'une telle attaque, mais en ces temps de crise, un grand anniversaire comme celui d'un ministre ne pouvait qu'attirer les mangemorts, roi dans l'art de rendre si triste des journées qui devraient être des plus joyeuse. Beaucoup de gens étaient donc présents pour fêter l'anniversaire du ministre, en majorité des gens de l'Ordre. Mes parents et moi étions bien-sur au rendez-vous, chose que nous finirons par regretter.
Tout le monde avait prit part au combat, les lumières s'étaient mises à s'éteindre lorsque les premiers smogs noirs sortirent de la cheminée. L'argenterie et les verres en cristal furent les premiers touchés, puis des groupes d'affrontement se sont naturellement formés. Je combattais avec ma mère, et deux autres membres. Mon père était en train de combattre dans le jardin avec son meilleur-ami. Tout ce qui suit devenu flou, nous avions résisté tant bien que mal un bon moment dans le salon, jusqu'à ce que quatre mangemorts percutèrent notre groupe dans un tourbillon obscur, nous étions, moi et ma mère emportés, traversant la fenêtre et atterrissant sur le gazon du jardin, recouvert de verre. Devant nous les quatre mangemorts nous encerclés. Nous nous relevions doucement, la baguette en main lorsqu'un mangemort décida d'enlever son masque et sa capuche, pétrifiant ma mère de peur. Devant nous se trouvait une femme ressemblant étrangement à maman et paressait totalement plus dangereuse. « Ca faisait une éternité petite-soeur, tu as eu le temps de bien t'amuser à ce que je vois, enchanté petit coeur, je suis ta tata! » Elle me fixa et sortit de sa bouche sa langue de serpent, léchant sadiquement ses lèvres. Effrayante elle voulait s'approcher de moi, ma mère se mit entre nous et la dissipa de cette idée, grâce à un "stupéfix" qu'elle dévia d'un simple coup de baguette. «Mère protectrice ? C'est ... mignon ! Mais ne t'inquiète pas je ne suis pas ici pour le tuer, je veux simplement me venger auprès de toi d'une façon encore plus cruelle» « Electro » « Stupéfix!» Deux des quatre mangemorts tombèrent au seul, ayant pris de pleins fouets l'un des deux sorts. Les responsables de ce rebondissement n'était autre que papa et son ami qui couraient dans notre direction. Je ne pus m'empêcher de lancer un « Pretificus totalus ! » sur le dernier mangemort accompagnant la soeur Lestrange. Touché... coulé! Mon hystérique de tante était maintenant seule face à quatre sorcier, nous nous tenions tous devant elle en ligne, l'encerclant peu à peu. Elle explosa d'un rire diabolique, totalement cerné et pourtant si sur d'elle. Tout bascula une nouvelle fois lorsqu'un éclair vert jaillit et percuta mon père. Son corps inerte, percuta l'herbe fraîche, ma mère cria son nom et laissa ses jambes tomber, pleurant, détruite. J'étais immobile, je n'arrivais pas a réalisais et pourtant je le voyais, mon père au sol, mort. Plus aucune émotion ne sortait de moi, j'étais en état de choc. Regardant le responsable avançant à côté de ma tante mangemort. C'était un homme blond, c'était un Lestrange, c'était le meurtrier de mon père.
«  Et bien voilà, il n'y a plus de Jack Digory ! Ta mort n'aurait rien apporté Mira, mais celle de l'amour de ta vie sera pour toi une expérience encore pire que la mort. Le serpent a finit par mordre nous pouvons partir.»

Fire


"La vie a bien changé depuis cette année là, j'ai finis par faire le deuil, mais je n'arrive plus à oublier cette scène, cet instant ou mon père n'était plus rien qu'un corps sans vie. Nous nous sommes serrez les coudes, et nos amis nous ont permis de nous reconstruire, d'avancer. Maman était effondré mais son amour envers moi n'a fait que ce renforcer. Pour moi, papa est toujours là, à coté de nous, il nous regarde et veut nous voir avancer. Sa mort m'a donné envie de combattre, je ne veux plus me lamenter, je veux simplement continuer le combat pour lequel il s'est combattu toute sa vie. Un jour tout les sorciers vivront en paix, et nous oublierons qu'il existait une distinction entre les vieilles familles et les nés-moldus.  J'ai fait le choix de rentrer dans l'Ordre du phénix dès ma majorité. "