| ALASKA ━ break it downpar Guest, Sam 11 Jan - 17:40 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Alaska Liv Diggory FEAT. Demi Lovato 18 ans ϟ Cursus Primaire ϟ Nycticebus ϟ Sang-PurElle s’appelle Alaska Liv Diggory. Elle est souvent surnommée Aly. Elle a dix-huit. Elle est née un 31 octobre 1961. Il faisait froid. Il pleuvait. Il pleuvait beaucoup. Les douleurs ressenties par Liv Diggory sont effroyables, mais alors qu'elle met au monde son enfant, tout est déjà oublié. Le sang-pur de la famille Diggory coule dans les veines du bébé, la promettant à un avenir somptueux. Moitié anglaise, par son père, moitié galloise, par sa mère, leur progéniture est un mélange énergique de deux grandes familles sorcières.
Elle est tombée amoureuse des moldus, de leurs objets, de leur vie, et plus spécialement de leurs moyens pour changer la couleur de leurs cheveux. Depuis qu'elle a découvert ces produits, elle les utilise régulièrement, ce qui lui vaut d'avoir souvent une couleur de cheveux différent. Cela fait son charme, dira t-on... Elle aime se sentir différente à sa manière, et c'est son choix de différence. Et puis, elle aime les vêtements, et le maquillage. Beaucoup. De maquillage.
Alaska est loyale. Elle a toujours mis un point d'honneur à soutenir ses amis, qu'importe la façon, ou les sacrifices qu’elle devait faire. Elle n’était pas du genre à comploter dans leur dos, non, elle était ce genre de fille qui avait une place, et qui y restait. Puisque sa place était là, elle ne se voyait nulle part ailleurs. La fougue. La passion. Laisser ses émotions la contrôler. Ca a toujours été comme ça. Elle avait toujours considéré qu'une décision n'était bonne que si elle était décidée dans l'instant suivant. Et même si elle la regrettait par la suite, elle savait qu'elle lui ressemblait, qu’elle était fidèle à ce qu’elle était. Mais elle était aussi sensible. Sensible à tout ce qui l'entourait. La seule différence, c'est qu’elle le cachait, et plutôt bien d’ailleurs. Parce que c'est bien trop dur d'affronter ses propres sentiments. Elle n'a jamais été prudente, vraiment. Ce n'était pas un mot qui venait de son vocabulaire, alors qu’il aurait plutôt fallu. D'après certains de ses professeurs, c'était une des caractéristiques qui revenait de temps à autre chez les Gryffondor. Elle imaginait être dans le droit de les croire. Ils savaient sans doute mieux qu’elle. L’audace est un défaut pour la plupart des gens, n’est-il pas ? Prendre des risques. Et pourtant jamais elle n’a hésité à le faire. C’est dans son sang, paraît-il… Alaska n'étalait rien au grand jour, jamais. Au final, c'était toujours secret sur secret, jusqu'à ce que tout ce à quoi elle pensait étaient les mensonges qu’elle avait pu inventer pour protéger ces secrets. Elle avait ce besoin de savoir que les personnes qu’elle aimait étaient protégées. Par elle, en l'occurrence. De cette façon, elle était certaine qu'il ne leur arriverait rien, tant qu’elle était là. Et ça la rassurait. Et puis, elle avait besoin de se sentir importante, c’était un bon moyen, en l’occurrence. Au fond, personne ne semble la connaitre réellement à Poudlard, à part quelques rares personnes. Rares personnes qui disent d’elle qu’elle est mystérieuse, même pour elles. Et elle avait besoin de ce mystère qui l'entourait, tout simplement parce qu'il la protégeait. Mais tout ça, c’était bien à l’intérieur, parce qu’extérieurement, elle était plutôt joueuse, rieuse, et normale. De quel groupe ferez-vous partie ? Ceux qui la connaissent ? Ou ceux qui pensent la connaître ?
a little something from you. Ella, puisqu’Alaska a décidé de baptiser son patronus, est un loris. Du moins, c’est un loris, en gros. Pour être plus précis, il s’agit d’un nycticebus. Cet animal à l’apparence amusante, plutôt attachante même, est en fait un primate très dangereux, puisqu’il s’agit du seul sécrétant du venin. Et quel venin ! L’un des plus dangereux du monde. Muni de deux langues et de dents acérées, sa morsure peut vous être fatale, car elle provoque un choc anaphylactique pouvant mettre en danger le pronostic vital de tout animal ou tout humain. Pourtant, rien de ce genre n’a jamais eu lieu pour Alaska. La confiance mutuelle que partage la jeune fille avec son patronus est impressionnante, alors que ses camarades ne s’en approchent même pas. En effet, son espèce n’est inconnue de personne. Ella est très obéissante, bien que particulièrement fougueuse. Elle aime se cacher et sauter un peu partout quand ça lui chante. Heureusement, Alaska garde un œil vigilant sur celle-ci, étant absolument consciente du danger qu’elle pourrait représenter si elle s’attaquait à quelqu’un, ce qu’elle ne souhaite absolument pas. Ella ne change pas de forme, ou du moins, elle ne l’a encore jamais fait, et cela ne pose aucun problème à sa sorcière qui est absolument gaga de son patronus tel qu’il est. Ne jalousant aucunement ses camarades ayant des patronus changeants, elle est ravie pour eux, mais est très satisfaite de celui qu’elle a, et s’en contente largement et avec un grand plaisir.
You're not a sad story. Ciel, terre, ciel, terre, ciel, terre. Alaska était sur la balançoire. Sa tête suivait les mouvements de celle-ci, offrant à ses jolis yeux le ciel lorsqu’elle était en avant, et la terre lors du swing arrière. BOUM ! La terre s’était approchée bien rapidement alors qu’elle heurtait le sol. Un seul regard en arrière lui avait suffit pour comprendre ce qu’il lui était arrivé : Indiana avait voulu la balançoire, et avait poussé sa grande sœur pour pouvoir y accéder. Ni une, ni deux, Alaska empoigna la chevelure de sa cadette, avant de lui siffler dans les oreilles : « Espèce d’idiote ! Un jour, je t’apprendrai le respect, et tu sauras que comme je suis plus grande que toi, c’est moi qui décide ! Imbécile ! » La gamine, ayant tout juste cinq ans, s’enfuit en pleurant dans les jupons de sa mère, se plaignant immédiatement de l’attitude de son aînée qui, fière d’elle, retourna vers son occupation antérieure. Elle aimait faire sa loi, et la façon dont sa première petite sœur se tenait ne lui plaisait pas du tout. Etant plus forte et plus sûre d’elle, elle lui faisait comprendre qui commandait sans aucun remord. Petit à petit, les deux plus grandes de la famille commencèrent à bien s’entendre, à se supporter tout du moins. Elles jouaient calmement ensemble et ne se battaient plus aussi souvent qu’avant. Dakota, quant à elle, était sa petite préférée, la petite dernière, celle qu’elle adorait protéger et chouchouter. Elle était un peu comme sa petite poupée à elle, rien qu’à elle, puisqu’entre les deux plus jeunes, c’était loin d’être le grand amour. Le jour où tout changea entre les aînées fut le jour où Alaska manifesta sa capacité à la magie, le jour où ses pouvoirs apparurent. La cadette entra dans une fureur sans nom, piquée par une jalousie hors du commun, battant et s’acharnant sur sa plus grande sœur. « Je te déteste ! Je te hais ! Tu es la pire sœur qu’on puisse avoir ! Monstre ! » Des heures durant, elle n’avait pas arrêté de répéter ce type d'abominations contre elle, et il avait été impossible de l’arrêter, jusqu’à ce qu’épuisée, elle s’effondre sur le divan du salon. Liv et Gale, parents des trois petites, étaient fiers de leur progéniture, et entamèrent tout un tas de récits en rapport avec leurs expériences à Poudlard. Evidemment, Alaska les connaissait toutes par cœur, mais prenait un plaisir fou à les réécouter à chaque fois : les échecs sorciers, les cours de vol, les retards en cours, les classes de potions, la bibliothèque, le garde-chasse ; rien n’était laissé au hasard. Voulant garder un peu de surprise pour son arrivée à l’école écossaise, elle prétexta une fatigue soudaine, avant de monter dans sa chambre. Allongée dans son lit, les yeux pleins d’étoiles, la brunette se repassa la scène : les trois sœurs jouaient au Loup. Indiana courait devant elle, et bien qu’elle y mette toute son énergie, Alaska était incapable de l’attraper. Lassée, elle se surprit à souhaiter que sa cadette trébuche, pour pouvoir enfin la rendre Loup. Une demi-seconde plus tard, cette dernière se retrouva face contre terre, les vêtements complètement tachés de boue. Lorsque la plus grande chercha une explication à la scène, ses yeux se posèrent sur une énorme racine qui n’avait jamais été là auparavant, et qui s’enfonça lentement sous terre, après avoir fait son travail. Sans voix au début, l’aînée Diggory courut ensuite vers la maison familiale, s’exclamant à qui voulait bien l’entendre qu’elle était enfin une sorcière, laissant Indiana à son propre sort.
Dimanche après-midi. Quatorze heures vingt. Le repas de famille avait eu lieu chez les Weasley. Il faisait beau ; quelques rayons du soleil aoutien esquivaient les branches du saule pleureur sous lequel les fratries Diggory et Weasley avaient déjeuné. Les enfants jouaient, les parents étaient toujours attablés, discutant de tout et de rien, riant aux éclats à certains moments. Les joies de la famille… Alaska les contemplait, assise dans l’herbe, adossée à un pin maritime du jardin. Ses sœurs, ses amis et amies gambadaient dans l’immensité du terrain au gazon impeccable, les rires se perdaient dans la brise estivale, alors que leurs pas de course troublaient avec douceur la paix de l’endroit. Les prunelles de la petite brune, alors âgée de neuf ans, se tournèrent vers les adultes. Deux couples sublimes faisaient flotter un amour incommensurable dans l’air parfumé de lavande, dont sa tante, même si ce n’était pas de sang, avait fait de jolis bouquets, afin de les entreposer sur la jolie nappe couvrant les tables de jardin. Alaska se leva, après avoir arraché une pâquerette qu’elle coinça derrière son oreille, et rejoint la table, avant de taper du doigt contre l’épaule de son oncle. Il tourna la tête vers elle, le visage éclairé d’un sourire qu’elle se persuada instantanément lui être destiné. Joignant ses deux mains pour entourer sa petite bouche, Alaska se haussa sur la pointe des pieds, afin de chuchoter à l’oreille de son oncle : « Dis, tu veux bien m’apprendre à voler sur un balai comme toi ? » Visiblement attendri, il se leva sans plus attendre, attrapa la main de sa nièce, et s’adressa à la tablée : « Mes amis, une mission des plus importantes m’a été confiée. Je ne peux vous en dire plus, sans quoi je devrais vous tuer ! » Sous les éclats de rire généraux, et l’esclaffement étouffé de la jeune Diggory, ils s’enfuirent tous deux en courant en direction de la maison, sous les regards non seulement amusés, mais aussi interrogateurs de Liv, Gale et sa tante, qui ne tardèrent à reprendre leur discussion. Quelques minutes plus tard, Alaska et son oncle, le balai à la main, se retrouvèrent dans l’autre partie du jardin, derrière la maison. Après avoir enfourché le balai, tenu par l’homme, elle plongea ses yeux dans les siens, et écouta bien attentivement ses explications et conseils : « Pour monter dans les airs, il te suffit de taper doucement du talon au sol. Attention à ne pas taper trop fort, tu monterais tout d’un coup et tu te ferais peur, ok ? Bon, vas-y, essaie, et je ne lâcherai pas le manche du balai, ne t’inquiètes pas. » La fillette n’avait pas peur, elle tapa du talon avec douceur, et sentit qu’elle ne touchait plus par terre. Son visage s’éclaircit, alors que la satisfaction et l’excitation pouvaient s’y lire. « Je vole ! JE VOOOOLE ! » En moins d’une minute, toute le famille accourait à l’entrée de la baie vitrée, alertés par les cris, observant la scène de l’oncle lâchant avec précaution le manche du balai, alors que la brunette tirait le manche, pour lentement prendre quelques centimètres de hauteur. Certains visages étaient béats, alors que d’autres, ceux des enfants, exprimaient une pointe de jalousie, mêlée à l’admiration et à l’envie. « Ok, Aly, penche-toi légèrement en avant, pour redescendre ! » Alors qu’elle s’exécutait, l’adulte attrapa encore une fois le manche quand elle volait de nouveau à sa hauteur, et l’aida à poser les pieds au sol. Elle en descendit aussitôt pour offrir le plus gros câlin de sa vie à son professeur improvisé. Après un regard complice, elle se dirigea en courant vers sa famille, explosant de joie, avant de sauter dans les bras de ses deux parents : « Maman ! Papa ! Vous avez vu ? Vous avez vu ? »
Le grand jour était arrivé. Alaska avait reçu sa lettre d’admission à Poudlard, et était toute excitée à l’idée de se rendre au Chemin de Traverse, afin d’acheter toutes les fournitures scolaires dont elle aurait besoin. Liv, toute aussi excitée, s’était immédiatement portée volontaire pour l’y amener. La tradition était lancée : il s’agissait d’une journée shopping entre une mère et sa fille. Elles allèrent de magasins en magasins, s’arrêtaient boire un soda, s’asseyaient sur un banc, bref, elles profitaient à fond l’une de l’autre, et prenaient un malin plaisir à dépenser leur argent. Le chat était d’ores et déjà acheté, les uniformes aussi, sans oublier les plumes, parchemins et livres de cours. Une chose manquait : la baguette magique. La fillette n’en pouvait plus d’attendre, et il s’agissait de l’achat qui l’excitait le plus, celui auquel elle pensait depuis leur arrivée, mais aussi celui que sa mère s’était autorisée à garder pour la dernière minute : « Aies un peu de patience, Aly. On garde le meilleur pour la fin. Acheter sa baguette, c’est l’expérience la plus mémorable du monde, crois-moi… », avait-elle dit alors que la brunette lui tirait le bras pour entrer chez Ollivander’s. Finalement, elles pénétrèrent dans la boutique. La pièce unique était baignée dans la pénombre, où seuls deux malheureux rayons de soleil avaient réussi à trouver de quoi s’y enfuir. Leur lumière rendait visible les milliers de grains de poussière y flottant. Un vieil homme sortit d’entre les hautes étagères de vieux bois, avant de se placer derrière le comptoir et de tendre la main à Liv : « Miss Bridgeway, quel plaisir de vous revoir par ici ! » Il baissa alors les yeux vers la petite, avant de continuer : « Est-ce votre petite que je vois là ? » Sa mère acquiesça d’un sourire, puis lui expliqua : « Alaska va rentrer à Poudlard cette année. Nous sommes venues lui trouver une baguette. Qu’en pensez-vous, Garrick ? » Le vendeur pencha la tête, visiblement pour examiner l’enfant. Il leur tourna le dos, et ramena trois jolies, bien que très poussiéreuses, longues boîtes. Il tira une baguette blanche de la première, et en tendit le manche à son acheteuse. Elle l’attrapa précautionneusement, et fut projetée en arrière, atterrissant dans un tas de boîtes à baguettes vides. Ollivander accourut, aussi vite qu’il le put pour récupérer le violent objet, alors que la mère aida son enfant à se relever. Il bougonna : « Non, non, non ! Le bois de cerisier n’est pas pour toi, petite ! Essaye donc celle-ci. » Il lui en tendit une autre, qu’elle accrocha d’une main tremblante. Un petit jet de lumière fluorescente en sorti, mais rien de plus. « Hm… Intéressant… Peut-être le bois de sapin sera plus convaincant que le cyprès… » Alaska prit la troisième baguette qu’on lui proposait, après avoir déposé la seconde sur le comptoir, alors qu’un vent agréable parcourut la pièce. « AH AH ! », s’exclama le vieil homme, « Je sais ce qu’il te faut ! » Il laissa à nouveau ses clientes afin de se mettre à chercher dans les étagères. Il revint une demi-minute plus tard, les mains vides. Voyant le regard interrogateur de la petite, il s’adressa directement à elle : « Mon enfant. La baguette qui sera tienne contiendra en son cœur des cheveux de vélane, comme dans la seconde que je t’ai fait essayer. Elle mesurera exactement vingt-neuf centimètres et sera en bois de sapin, comme la dernière, celle que tu tiens dans ta main. Malheureusement, je n’en ai pas en stock, car le sapin est un bois très spécial, tout autant que la contenance de cheveux de vélane. Ces deux éléments joints sont encore plus rares. Je te propose quelque chose, veux-tu ? Et si je te la taillais moi-même ? Tu aurais une baguette originale et unique, vois-tu ? Mais pour ça, il me faut l’autorisation de ta maman. » Il leva les yeux vers cette dernière, qui ne put refuser. Le vieil homme acquiesça avec douceur, et salua les deux clientes qu’il reverrait le lendemain. Alaska et Liv passèrent le jour suivant la porte de la boutique de baguettes magiques. Le vendeur sortit de ce que l’on pouvait appeler une arrière-boutique, même s’il s’agissait tout simplement d’un coin de l’unique pièce composant l’endroit qui avait été démarqué par de pauvres rideaux, et qui faisait visiblement office du lieu où il créait ses baguettes. Il marchait en direction de ses clientes, une boîte magnifiquement brillante et au look neuf dans la main. Il l’ouvrit, et tendit la baguette à la fillette, qui l’empoigna avec douceur. Ce même vent ressenti la veille refit son apparition, ainsi que le filet fluorescent au bout de la baguette. Cette fois-ci, il était plus brillant, plus consistant, et il se balada dans tous les recoins de l’enseigne, entre toutes les étagères, avant de s’estomper et de disparaître. « Parfait… Cette baguette est parfaite… Les cheveux de cette vélane sont une contenance idéale pour toi, mon enfant. Sache que mes ancêtres et moi-même n’avons pas beaucoup vendu de ce bois-là. La dernière baguette de ce bois étant sortie d’ici a appartenu a un certain professeur, qui enseigne la Métamorphose à Poudlard. Ce matériau ne fonctionnera qu’entre tes mains, et est propice à la métamorphose, justement. Il s’offre aux gens sérieux, concentrés, endurants, déterminés, et qui savent se montrer intimidants. La baguette que tu tiens est plutôt souple, mais capricieuse. Je peux te l’assurer, la combinaison des cheveux de vélane et du sapin peut s’avérer dangereuse si quelqu’un d’autre tente de se servir de ta baguette, ou particulièrement puissante lorsque tu apprendras à la maîtriser complètement. Miss Diggory, vous ferez un malheur. »
Alaska se tenait debout, elle était stressée, ses mains étaient moites. Elle avait rarement ressenti ce type d’émotions auparavant, et elle n’aimait pas l’inconnu, à vrai dire, elle avait horreur de l’inconnu. « Alaska Liv Diggory ! » C’était son tour. Elle avançait d’un pas assuré, alors qu’elle était prête à s’évanouir. Mais sauver les apparences était ce qu’elle avait toujours essayé de faire, et ce n’était définitivement pas aujourd’hui qu’elle lâcherait ses bonnes habitudes. Elle prit place sur le tabouret, sur l’estrade, sous les yeux de tout le corps professoral, de ses futurs camarades, des anciens et des nouveaux élèves. Elle sentit la pression du Choixpeau que l’on lui posa sur la tête, et sursauta à la seconde où il commença à s’exprimer : « Ahah ! Intéressant… […] » Alaska se leva du tabouret d’un bond, sous les applaudissements, et se dirigea d’un pas joyeux vers la table accueillant ceux qui seraient sa seconde famille. Elle s’assit parmi ses nouveaux camarades, et regarda la fin de la répartition. Les sélections pour l’équipe de Quidditch de sa maison avaient lieu aujourd’hui. La jeune Diggory le savait, elle en ferait partie. Elle savait voler depuis le jour où son oncle l’avait assistée, et elle voulait en faire son métier un jour, peut-être. « ESSAIS DES POURSUIVEURS ! » Les personnes intéressées par ce poste s’avancèrent en direction du Capitaine de l’équipe. Elle a volé, elle a fait des virages serrés, des accélérations, des descentes, des esquives. Elle a définitivement fait de son mieux. Plus tard dans la semaine, les résultats sont arrivés.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Camille, et toutes mes dents. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Sur PRD. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non. ϟ Présence: Je passerai plusieurs dois par semaine, mais c'est difficile d'être plus précise. ϟ Une remarque? Ca m'a l'air très sympa par ici.
Dernière édition par Alaska L. Diggory le Sam 25 Jan - 13:46, édité 10 fois |
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