nom: Londubat, le nom de son père. Connue pour faire parti de l'Ordre du Phenix, la famille d'Alaska lui correspond et la satisfait très bien. Elle se dit souvent qu'elle n'aurait pas pu grandir dans une famille anti-moldu, prônant le sang-pur comme excuse et comme argument à tout. Fière de faire partie de cette famille unie, Alaska s'imaginerait mal vivre autrement. prénom: Alaska. C'est beau. Ca évoque le froid et le lointain. C'est sa maman qui l'a choisi, parce qu'elle trouvait que ça sonnait bien, et que ses yeux bleus lui faisaient penser à ce pays, où elle était allé voyager plusieurs fois. Assez original, alaska en a bavé les premières années de sa vie, où l'on se moquait d'elle et de son prénom. Les enfants sont cruels et sans coeur, c'est bien connu. Au fil du temps et en grandissant, Alaska s'y est faite, et a présent, plus question pour les autres de rire à ce propos. Âge et Date de Naissance: 17 ans, le 31 janvier 1962.  Alaska a vu le jour à Londres, comme ses parents. C'était un jour glacial d'hiver, où il neigeait à gros flocon et où le vent tapait violemment contre les vitres. L'accouchement se fit dans le vacarme et les cris, en urgences, deux semaines avant la date prévue. Il dura huit heures. Huit heures de souffrance pour la mère d'Alaska. Huit heures de calvaire pour lui donner naissance. Nature du sang: Même si  elle n'en à que faire de sa nature, c'est un sang-pur qui coule dans les veines d'Alaska. Tout autant que ces familles riches et que ces élèves à l'air hautain de Serpentard. Pourtant, une grande différence les sépare, si ce n'est celle de se comporter en société face à des moldus. Souvent rabrouée, la famille de la jeune fille reste fidèle à ses principes malgré les accusations des grandes maisons. Situation familiale: Des parents qui s'aiment, une fille unique et des lilas au balcon. C'est comme cela que l'on décrivait les Londubat, habitant près de Covent Garden, un quartier londonien à la fois tranquille et animé, dans la petite maison bleu au bout de la rue. Une petite allée qui faisaient penser au résidences de Notting Hill, des murs en briques peinte avec de la couleur pastel, des fleurs de partout, montant sur les façades et des petites fenêtre faisant apparaître des rideaux blancs. A l'intérieur, le même aspect parfait. Une petite pré-adolescente qui met la table, une mère qui lit près de la cheminée et un père qui cuisine. Une famille merveilleuse, d'après les voisins, n'hésitant pas à aider, donner un coup de main ou à discuter aimablement, et ce, à tout moment. Une enfant adorable et polie, à l'uniforme toujours bien repassé et sa chambre toujours rangée. Des parents souriants et corrects, au coeur sur la main. Maintenant, on pourrait qualifier cette époque de "bon vieux temps", comme on dit. Aujourd'hui, rien n'est plus pareil. Des parents décédés, une fille toute seule et des lilas morts. La peinture vive est usée, l'allée est à l'abandon et les fleurs, ô ces magnifiques fleurs, sont mortes en emportant avec elles un bonheur sans faille. Maintenant, c'est une gamine de dix-sept ans qui vit ici, souvent pas très longtemps, une ou deux semaines d'affilé, puis s'en va en claquant la porte derrière elle. Elle n'a plus son bel uniforme et sa chambre rangée. Tout ce qu'il fut été n'est plus que consumé, se changeant en fumée. Très proche, toute la famille Londubat à toujours été très unie. Chacun est là pour les autres. C'était une vrai famille, qui maintenant n'a plus lieu d'être. Depuis la mort de sa mère, Alaska n'adresse plus la parole à son père, chez qui elle va pourtant vivre deux semaine chaque mois durant les vacances d'été. Son père tente de réparer cette discorde qui dure depuis deux ans, mais n'y arrive tout simplement pas, le refus de sa fille aidant. Patronus: Un grand corbeau qui se change en loup rouge, quand ça lui chante. Il est généralement sous la forme d'oiseau le plupart du temps. Miroir du Rised: Une liberté inconditionnelle. Difficile à se représenter ça en reflet, mais c'est ce qu'Alaska verrait dans ce miroir si particulier. Le pouvoir de partir loin, pour ne peut-être jamais revenir. Ou alors rester, mais se détacher de ces chaînes à tout prix, qui l'empêche de réaliser sa plus grande folie : devenir heureuse à nouveau. Composition de la baguette magique: Si le célèbre Ollivander se souvient de tous les visages à qui il a vendu une baguette, elle, Alaska, ne l'oubliera pas non plus. Ou du moins, la première fois qu'elle a posé les pieds dans la fameuse boutique. En effet, Alaska a du s'y rendre à deux reprises après son premier passage. Pour cause : elle a cassé sa baguette deux fois, casse-cou qu'elle est. Son actuelle baguette est faite en ébène, aussi noire que son coeur. Dedans s'y trouve une plume d'Augurey et elle mesure vingt-neuf centimètres et huit millimètres exactement.  Epouvantard: Elle-même en train de mourir. Etudes Suivies: Alaska poursuit le cursus d'études secondaires, comme tous les élèves sorciers de son âge. Elle suit des cours obligatoires et n'a choisi aucune option. en plus de détester travailler, pour elle, pas question de prendre une quelconque matière en plus.Animal de compagnie: Alaska ne possède pas d'animal de compagnie.

Passive : son plus grand défaut, et celui dont elle a le plus honte. Ayant peu d'amis, préférant la solitude à n'importe quoi d'autre, Alaska est pratiquement incapable de faire durer une amitié. Elle n'est pas hypocrite ni dissimulée, mais se prend les gens comme ils sont, prenant ce qu'elle à obtenir d'eux, puis s'en va sans rien demander d'autre. Dans un même temps, on ne peut pas dire que les gens viennent vers elle pour faire ami-ami. Néanmoins, Alaska n'est pas du genre lâche, et n'abandonne pas un ami vraiment cher, ou de la famille par exemple. Colérique : ne pas trop s'aventurer à contrarier Alaska serait le meilleur conseil qu'on puisse vous donner. Assumant ses idées et pensant toujours dire ce qui est juste, elle ne se laisse pas facilement dérouter et quand on la contredit avec véhémence, elle ripostera aussitôt, s'enflammant sans avertissement. C'est dans ses moments là qu'elle ne pèse pas ses mots et dit tout ce qu'elle pense, pensées pas particulièrement agréables pour la personne avec qui elle est en train de se disputer. Pourtant, elle laisse place au dialogue, mais au fur et à mesure commence à perdre patience et devient une tout autre personne. Elle rentre dans des crises de colère quand elle est triste : laissant place à la rage qu'au chagrin (sorte de moyen pour elle de ne pas se sentir faible). Maladroite : ça, il parrait que c'est de famille. Pourtant très à l'aise sur un balai, elle possède vraiment deux mains gauches. Les fioles cassées résument souvent ses cours de potions à eux seuls et les bosses et les bleus sur son visage servent à montrer qu'elle n'a pas vu de pilier. Continuellement, elle brise et casse des choses, sans cesse, et ce, même en faisant des efforts. Mais la maladresse n'est pas toute seule : elle est souvent accompagné de la malchance, elle aussi grande amie d'Alaska. Ca aussi, parrait que c'est familial. C'est toujours sur elle que ça tombe, et ça, Alaska ne pourra jamais s'y faire. Brave : intrépide et courageuse. C'est le moins qu'on puisse dire. Alaska n'hésite jamais à sauter à l'eau, et ce, devant le danger ou tout autre chose, n'en faisant qu'à sa tête. Souvent, ça paye, mais parfois, ça dérape, parce que la bravoure n'a pas que ses bons côtés. Supporter aisément la douleur physique et morale, faire ses preuves ou sauver sa peau, pour elle, le courage peut prendre différentes formes. Depuis toute petite, endurer et subir sont des capacités qu'elle a rapidement assimilées, encore plus dernièrement, en ce moment de trouble. On peut dans tous les cas dire que cette petite est plus vaillante qu'elle en à l'air. Téméraire : parce que ses actes de courage frôlent parfois la folie. Alaska agit d'abord, puis réfléchit ensuite, et ça a toujours été comme cela. C'est plus drôle, mais aussi plus dangereux. Souvent, elle a évité le pire. Cette addiction aux "bêtises" lui attirent souvent des ennuis qui lui font écoper des retenues, mais qu'elle continue de faire. Forte : dès le début, la petite a compris que la vie ne serait pas un long fleuves tranquille. Expansive, elle a appris à cacher ses émotions derrière une façade que lui causaient les aléas et les douleurs de la vie. Très rarement elle pleure ou montre sa tristesse. elle a compris comment faire pour ne pas ressentir toutes ces émotions. Souvent, elle passe pour quelqu'un d'insensible. Mais elle s'en fiche. Pour elle, montrer des larmes serait quelque chose de terrible. Curieuse : souvent, les gens associent ce trait de caractère à une qualité : la soif de savoir, la soif de connaissance. Pour Alaska, c'est plutôt l'envie brûlante de se mêler de ce qui ne la regarde absolument pas. Ecouter les professeurs parler entre eux ou surprendre des élèves discutant à propos d'un sujet pouvant l'interésser, pour elle, pas question de laisser passer une occasion de celle de fouiner dans les affaires des autres. Elle veut tout savoir, tout le temps. Maligne : c'est qu'elle est pas bête la gamine. Logique et raisonnée, elle est plutôt futée dans l'ensemble. Pourtant, elle ne met pas cette qualité au profit de ses matière scolaires. Fainéante : en plus de ne pas aimer les cours, Alaska reste une personne paresseuse, ne montrant presque aucune motivation au travail. Outre les Sortilèges, le Vol sur Balai et la Défense Contre les Forces du Mal, le reste l'ennui profondément. Elle fait vraiment le strict nécessaire. Complexe : tout comme son prénom, Alaska parait en général glaciale pour les gens qui ne la connaissent pas. Sarcastique mais aussi cinglante, comme mélancolique, Alaska peut paraître très difficile à cerner, et c'est le cas. Malformation cardiaque et asthme : née avec ces maladies, Alaska risque de faire une attaque cardiaque non pas à tout moment, mais seulement lorsque son coeur bat trop vite, lors d'une course par exemple. En plus d'être atteinte de cette maladie, Alaska est aussi atteinte d'asthme. Ils deux éléments combinés font qu'elle ne peut pas courir sur des longues distances et pas à la vitesse qu'elle voudrait. Elle sait quand il faut ralentir lorsqu'elle sent l'asthme venir. Si elle continue, le risque que son coeur lâche complètement n'est pas loin. Pour elle, la méthode de déplacement rapide c'est soit le balai, soit le magicobus, et c'est tout. Néanmoins, elle n'hésite pas à mettre sa vie en danger pour voir jusqu'où sont ses limites.
Alaska peut en effet être beaucoup de chose. mais lâche ? Jamais.

Il faisait froid, et il ne faisait pas beau. Alaska était assise sous l'arbre mort de son petit jardin, près de l'allée, sur le banc. Le ciel de Londres était lourd de nuages qui ne cherchaient qu'à verser leurs larmes sur la ville. Tout était particulièrement silencieux, et le brouhaha de la City s'élevait en font sonore très léger. Seul avait lieu d'être le bruissement des quelques feuilles mortes restantes sur l'arbre bousculées par le vent et la respiration de la jeune fille, se maîtrisant, calme. La maison derrière elle était vide. Les volets fermés. Plus rien. Les rires qui venaient de la chambre d'enfants ne résonnaient plus comme auparavant et les lilas accrochés au balcon était fanés. Alaska est seule. Seule au milieu d'un monde qui est pourtant le sien mais qui semble si inconnu à ses yeux. Son monde semblait tourner dans le vide, sans aucun sens précis. Sans aucune destination. Sans aucune arrivée. Elle allait nulle part. Et cela la rendait folle. Prise d'une envie soudaine, Alaska se leva avec une soudaine véhémence et avec fureur donna un violent coup de poing dans le vieux cerisier. Elle arracha un cri quand sa main cogna la tronc. Elle lâcha un cri étouffé puis allait s'écrouler en larmes quand une voix la fit relever la tête et l'empêcha de se noyer dans sa fureur. "Arrête !". Arrête ? Arrête quoi ? Alaska tourna la tête sans un sens puis dans l'autre. Personne. Juste un corbeau posé sur une des branches, qui la regardait avec des yeux ronds. "Quoi ?" cracha-t-elle à l'animal, consciente que celui-ci n'allait surement pas lui répondre, mais qu'il était juste la seule présence de vie dans les parages. Elle oublia vite les paroles de l'inconnu, surement un gamin caché dans les buissons ou dans le voisinage, puis elle donna cette fois-ci un coup de pied, plus fort et plus violent. "Stop ! Tu me fais mal !". Alaska releva la tête encore une fois, et cette fois-ci, directement vers le corbeau, avec des yeux ronds. C'était lui. Elle en était sure. La voix. C'était la même, et elle venait de cette direction. elle n'avait pas rêvé. "Tu veux quoi toi ?", lança-t-elle, se sentant idiote de parler à un volatile. Mais si elle n'avait pas halluciné, il allait lui répondre. "Je veux que tu arrêtes de taper contre ce fichu tronc. Tu me fais mal".

Lennon reste sous la forme de grand corbeau, la plupart du temps, mais selon son humeur, il se transforme en loup rouge. Fidèle a Alaska, il est constamment posé sur son épaule quand il est sous sa forme de volatile. Silencieux et peu bavard, il ne prend la parole que pour avertir Alaska de quelque chose de dangereux, pour la raisonner et pour l'aider à choisir dans les choix qui s'offre à elle. C'est grâce à lui qu'Alaska arrive tout de même à faire des actions sensée, parfois. Au début, les relations étaient tendues, la jeune fille ne supportant pas l'animal la suivant de partout, même si c'était pour son bien. Au final, elle s'y est habituée et à présent, sent le manque de Lennon quand il est sous la forme d'un loup et qu'il n'est plus sur son épaule. Prudent et avenant, Lennon répete souvent à Alaska de réfléchir d'abord et d'agir ensuite, sans grand succès, pourtant. Cela l'exaspère, mais ne stoppe toujours pas.

ϟ pseudo et âge: moi c'est charlie, et j'ai 16 ans   
ϟ Où as-tu trouvé le forum? sur bazzart   
ϟ Personnage: inventé .
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