Norah est née le 26 août 1961 à Canterbury Son père, Olivier, est un grand sorcier, ambassadeur du Ministère de la Magie. Marissa Williams, sa mère, est issue d’une famille aristocratique magique. Les deux parents de la brune sont tous les deux de sang-pur. Norah est la deuxième fille d’Olivier et la dernière descendante de la famille Lannister. Issue d’un remariage, elle est néanmoins la seule enfant de sang pur de sa famille. Elle a moins connu son père, étant toujours en déplacement. Bien qu’elle y soit très fortement attachée, sa mère est par-dessus tout son modèle. Norah a souvent été jalouse de son demi-frère, et les relations qu’entretiennent les deux là ont toujours -et seront toujours- été tendus. A partir du moment où elle fut apte à se faire son propre jugement, elle considère Zephyr comme une erreur de la nature, de part son sang-mêlé   Le premier mot pouvant caractériser Norah est sûrement "hautaine". Elle prend bien évidemment les gens de haut et elle exprime du mépris pour toutes les personnes qui pourrait l'entourer et la critiquer. Il n’y a pas forcément d’explication à cette méchanceté gratuite : c’est le fait qu’on lui ai toujours appris à se mettre en valeur et honorer le « rang » de sa famille qui a fait que. "Faux-cul", et presque hypocrite : Norah sait effectivement vers qui aller lorsqu'elle a besoin de quelque chose. Bien qu'elle puisse être réellement sincère quant à ses sentiments amoureux ou amicaux. Souvent caractérisée comme "Lunatique", puisqu'elle passe de ce caractère hautain, dédaigneux et presque manipulateur, à un caractère, une façon d'être, beaucoup plus douce. Câline et attentive : voilà comment Norah peut être lorsqu'elle se lève du bon pied. Malgré tout, ne vous attendez pas à des élans d'affection, parce que vous aurez bien évidemment plus de chance de vous retrouver face à bad-Norah. Mais lorsqu'on apprend à la connaitre... On fait avec ses défauts et on découvre une jeune femme vivante et drôle, prête à sourire à la vie. Malgré tout, ne vous étonnez pas de la voir sortir les crocs lorsqu'elle se sent agressée : elle aussi elle peut être agressive. Et elle se sent souvent agressée. Voir tout le temps. Rare sont les personnes qui connaissent la Norah Lannister douce et câline. La brunette est une brute unique en son genre, s’étant forgée son petit caractère à travers de nombreuses batailles contre son demi-frère. De nature capricieuse, sa mère a toujours céder à tous ses caprices. Ouais, Norah est du genre garce un peu chiante qu’on aime tous détester. Norah s'est automatiquement bien sentie à Poudlard. Pas forcément la meilleure élève de sa classe, elle a toujours été une élève lambda (sauf en défense contre les forces du mal : elle a-do-rait ça) qui a passé ses examens sans réels soucis. Elle a en effet obtenu à ses BUSE un O en DCFM, O en sortilèges et en vol de balai (passionnée de Quidditch oblige), un O en potion & en étude des Moldus, un A en métamorphose ainsi qu'un A en soin aux créatures magiques et un magnifique T en botanique. Bien qu’elle soit très bonne en défense contre les forces du mal, cela ne veut absolument pas dire qu’elle souhaite s’engager contre celle-ci. Elevée par un mangemort et une femme de famille tissant des liens très forts avec  la magie noire, il est bien évident que le copier/coller de sa maman veut tisser les même lien Son patronus est un loup, représentant bien évidemment le côté agressif et quelque fois hautain de Norah. Malgré tout, sans qu'elle puisse l'expliquer, son patronus -qu'elle a appelé Theodore- prend le plus souvent la forme d'un chat birman. C'est lorsque Norah est vraiment contrariée et atteinte que Theodore prend la forme d'un loup blanc. Norah a acheté sa baguette sur le Chemin de Traverse. C'est une baguette en bois de cerisier de 23,1 cm, avec un coeur en ventricule de dragon, exprimant à la fois la douce et l'agressivité dont Norah peut faire preuve. L'épouvantard de Norah est une sirène, elle a en effet une peur bleue de toutes les créatures magiques aquatiques et plus généralement de l’eau.

Le jour où Norah s’était retrouvée face à face avec son patronus pour la première fois, c’était à Pré-au-Lard, à la sortie du Bar des Trois Balais, pendant les vacances de Noël. A vrai dire, la première chose qui l’a surprise ne fut pas le fait qu’il y ait un loup blanc devant elle, mais que ce loup soit dehors par temps de neige. A vrai dire, Norah n’était pas réellement réveillée. Ce fut au bout de quelques secondes, qu’elle réalisa qu’il y avait effectivement un loup devant la sortie du bar, face à elle, alors qu’il neigeait comme jamais. Son premier reflex, en se sentant en danger, fut de sortir sa baguette magique et de la pointer vers l’animal, qui rugit aussitôt, sans pour autant s’approcher d’elle et la dévorer tel que l’instinct de cannibal de l’animal aurait du lui prédire. Après quelques temps à rester subjuguée par l’animal, Norah, fit appel pour une fois à son sens de la logique, se rendit compte que l’animal n’est était pas réellement un.
Fascinée par l’animal tout d’abord imposant et agressif –tout autant qu’elle, enfin presque- à première vue, Norah laissa automatiquement de côté sa sécurité et s’en approcha. Le lien se créa au premier contact. Un lien affectif, une connexion, se fit automatiquement. A vrai dire, l’animal donnait l’impression à Norah qu’il prenait un peu le relais, qu’il lui laissait du répit quand à sa « protection ».
Au fil du temps et des jours ayant suivi cette découverte, Norah a bien évidemment remarqué la transformation du loup en chat birman (qui le suivait par ailleurs partout). Il lui fallut pas mal de temps à découvrir quand apparaitrait son patronus sous la forme d’un loup. Et à vrai dire, cela fait un peu peur. Le patronus de Norah prend la forme d’un loup lorsqu’elle se sent agressée, ou même en danger. Le plus souvent, c’est sous la forme d’un chat birman que Theodore apparait. D’après Norah, un chat ça peut être tout à fait dangereux, comme elle : ça peut paraitre doux, mais ça peut sortir les griffes.
C’est pour cela qu’elle attache tant d’importance à son patronus, et que sans Theodore, elle serait perdue. Il fait un peu partie de la famille pour elle.