Si vous aviez le choix d'être la personne que vous voulez, qui que ce soit sur la planète, qui seriez-vous? Il y a des jours où la cadette de la famille Hastings choisirait d'être n'importe qui qu'elle-même. De nature plutôt douce et calme, Mary-Kate est l'exemple même de la petite fille timide. De toute la fratrie, elle a toujours été la plus paisible. Malgré son tempérament plutôt passif, Mary a toujours été une petite fille téméraire et courageuse. Elle affrontait ses peurs en les regardant droit dans les yeux… jusqu'à l'accident. Non, ce n'est pas leur de vous raconter ce chapitre sombre dans la vie d'une si jeune petite fille. Fondamentalement bienveillante et emphatique, Mary-Kate ne reste jamais insensible face à l'injustice. Elle est toujours volontaire pour rendre utile si bien que, parfois, elle se retrouve à faire tout le travail toute seule. Secrètement, la belle Hastings rêve de refaire le monde. Elle est une grande rêveuse et peut même être lunatique à plusieurs moment. Mary-Kate voit le monde à travers de joli lunette rose. Le mal n'est rien plus qu'un mythe et elle est incapable d'être rancunière bien longtemps. Lorsqu'elle était plus jeune, elle a longtemps été la fille qui se faisait abusé et moquer par les autres. Même si elle ne le laisse pas paraitre, elle est très complexée par son handicap et il est maintenant difficile pour elle de laisser entrer de nouvelles personnes dans sa vie. Malgré son caractère naïf, Mary peut être très méfiante des nouveaux venus dans sa vie. Elle est terrorisée par les clowns et dû aux traumatismes de sa jeunesses, il lui arrive d'être prise de terreur nocturne. En gros, Mary-Kate est une jeune femme distraite, simple, généreuse, gentille, naïve mais qui peut difficilement être approcher par de nouveaux venus. Elle a une faible confiance en elle. À bien y penser, si elle pouvait être qui elle voulait, Mary voudrait être Niala (voir histoire). Elle possède une baguette de 25 centimètre en bois de cerisier et un coeur en ventricule de dragon. Elle ne possède que la chouette familiale.
a little something from you.
Il neigeait lorsque Ches est apparu pour la première fois dans sa vie. Ches est un loup blanc qui représente sa force de caractère, son ange gardien. Il est tout ce qu'elle n'a pas pu être. Fort, indépendant, protecteur il est là pour la protéger et elle suit ses conseils à la lettre. Elle n'a jamais vraiment eut peur de Ches, dû à sa naïveté, elle avait une foi aveugle en l'animal et, depuis la croisée de leurs chemins, il ne l'a jamais déçu. Ches lui a enseigné à communiquer avec les autres malgré le mutisme de la seule fille Hastings. Le loups est généralement une petite voix dans la tête de la jeune femme que l'on peut facilement qualifier de «voix de la raison» mais il prend aussi une forme physique de lumière et brumeuse comme les patronus réguliers. Il n'a jamais prit forme «réelle» soit de peau et d'os. Mary-Kate dépend en quelque sorte de Ches puisque si personne n'est là pour lui dire de se méfier de tel ou tel personne, on risque de la retrouver morte dans la forêt interdite la pauvre!
This one moment when you know you're not a sad story.
Je n’ai rien à voir avec le reste de ma famille. Vous avez pourquoi? Parce que dans chaque famille il y a un mouton noir, un vilain petit canard… Cette personne, c’est moi. Qui suis-je? Je me présente : mes parents m’ont baptisé Mary-Kate Delena Weberleigh Hastings. Mon père est un sorcier issu de l’une des rares familles de sang pur. L orsqu’il est parti en France pour son travail, il a rencontré ma mère, Mary-Hélène Chamberland, une jeune étudiante de beauxbâtons. Ils se sont connus, sont tombés amoureux et se sont mariés. Mon père étant maintenant un homme important dans le milieu magique, il a pu suffir au besoin de la famille alors que ma mère terminait ses étudespour devenir magicomage. Évidemment, une fois graduée, ma mère est tombée enceinte de mon premier frère, Antoine. Un an et demi plus tard, les jumeaux Kaleb et Rupert sont venus au monde. L’année suivante, Louis est venu au monde. Une famille de quatre enfants c’était déjà énorme pour mon père et ma mère qui n’avait pas trop le temps de s’occuper de tout dans la grosse maison. Ils ont donc quitté la France pour revenir au Royaume-Uni dans le manoir familial que ma grand-mère parternelle nous avait légué. Trois années se sont écoulés depuis la naissance de mon grand frère lorsque – par accident – ma mère tomba enceinte de sa seule et dernière fille, moi. Voyez-vous, déjà avant ma naissance, je n’étais pas attendu ni désirée. Mes parents ont tout de même décidé de me garder et m’ont baptisée avec le prénom de ma maraine, la soeur de ma mère, Mary. Ils ont bien sûr réaliser que ce prénom était un peu trop commun d’où l’ajout du prénom Kate à sa suite – le prénom de ma grand-mère maternel – question de me garder un minimum d’individualité. Ensuite, les deux derniers enfants de notre fratrie sont venus au monde avec exactement dix mois de différence. Frédérik et Jonathan sont les deux plus jeune de notre famille de sept enfants. Après la naissance de Jonathan, mon père a décidé qu’il avait assez d’enfant dans cette maison et prenait une potion de contraception par jour pour ne plus prendre la chance d’avoir un autre enfant. Neuf personnes plus les domestiques dans un manoir, ça commence à faire beaucoup de monde. J’ai grandis en étant plus isolée et renfermée sur moi-même. Mes frères ainés ayant minimum quatre ans de plus que moi, ils n’ont jamais été très intéressé à jouer avec moi alors que les deux cadets n’avaient que quelques mois à mes deux ans. J’ai donc appris rapidement comment m’occupée toute seule même si les sujets que voyait Antoine à l’école m’avait toujours fasciné. Oui, j’ai toujours aimé apprendre mais si un jour vous le répétez à quelqu’un, je vous tues. C’est clair?
Alors, quand j’ai eut cinq ans, mon père était revenu d’un long voyage en Europe de l’Est et il n’a jamais été le même. Mon père n’a jamais été l’homme le plus chaleureux du monde mais lors de son retour il était particulièrement froid. Impatient et colérique, mon père ne cessait de s’engueuler avec ma mère sur des sujet qui, encore aujourd’hui, ne valent pas la peine. Un soir, mon père avait abusé du Whisky pur feu et en avait marre de me voir courrir partout, il m’a donc aggripé fermement par les bras et, une fois ma mère sortit de la pièce, s’est mit à me rappeler combien j’étais un être nuisible qui n’aurait jamais dû voir le jour. J’avais cinq ans à l’époque et c’était la voix de mon père qui m’avait terrorisé plus que ses mots. J’ai été isolé le reste de ma jeunesse et mon père ne ratait pas une occasion de me faire sentir infrieure. Si bien qu’à l’âge de six ans, j’ai décidé de ne plus ouvrir la bouche... j’étais incapable de dire quoique ce soit plutôt. Je n’ai plus jamais reparlé depuis mes lèvres sont restés scellés. Un jour, mon père en eut marre de me voir le fixer sans dire un traitre mot, c’était la première fois qu’il me frappait. Aujourd’hui, je le comprend… au fond je le méritais. Mon père n’a été fière de moi qu’une seule fois : lors de l’apparition de mes aptitudes magiques. J’avais sept ans. Ce n’est rien de bien extraordianire j’ai simplement réussi a attiré la jarre de biscuit à moi sans y toucher. Elle était trop haute pour ma petite taille. À douze ans, comme tout sorcier qui se respecte, j’ai reçu une invitation pour la rentrée à l’automne. Dans l’insitut de Poudlard, m’a ouvert ses portes alors que mon pàre claquait celle du manoir derrière moi laissant soin au domestique de me reconduire à la plateforme. Je n’ai pas eut beaucoup d’ami à l’école puisque la plupart des des autres étudiants ne m’addressait la parole que lorsqu’il falait de l’aide pour leur devoir ou que je pouvais leur être utile. Je n’ai jamais dit non puisque pour moi, chaque personne mérite une chance et que personne n’est fondamentalement mauvais. Ches avait beau me répéter que j’étais trop naive mais je croyais fermement en l’amitier artificiel des autres étudiants. Les autres se moquaient de moi sur mon passage à cause de mon mutisme mais je faisais mine de ne rien entendre. Mieux vaut être mal entouré que seule, non? Une fois abandonnée de tous en cinquième année, j’ai finit par comprendre que, peut-être, il avait raison. Depuis, je n’ai que peut d’ami et j’ai de la difficulté à m’approcher des autres. Une fois que la puberté m’a rattrapé, j’ai eut un peu oplus de chance avec les garçon qui, après avoir vu qu’ils n’auraient pas ce qu’ils voulaient finissaient par m’ignorer comme tout le reste. Vous savez, j’ai fini par m’y faire et je n’ai jamais vraiment été seule puisque j’avais Ches. J’suis toujours le genre de fille à affronter les injustice sans cligner des yeux… disons seulement que j’ai appris à ne pas croire le premier venu… m’ouais, je crois que tout est dit.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Kass 18 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Par des membres! ϟ Personnage: Scénario ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope ϟ Présence: minimum 3 sur sept ϟ Une remarque? j'aime beaucoup le forum *.*
Dernière édition par Mary-Kate D. Hastings le Mar 26 Fév - 22:09, édité 5 fois
Malheureusement, il y a une erreur assez conséquente dans ta fiche car les patronus ne sont apparus qu'il y a peu, c'est à dire pendant les vacances de Noël alors que dans ton histoire, tu dis avoir eu Ches à tes côtés après tes 7 ans. Pourrais-tu modifier ce détail ?