L’histoire est dans l’ensemble libre mais certains points sont à respecter : Ϟ Ciàran est le deuxième et dernier enfant de Saoirse O’Neill et Slevin Rosenthal. Ϟ Il a une grande sœur du nom de Rosheen qui enseigne actuellement à Poudlard mais dont il n’est pas proche à cause de la différence d’âge. Ϟ Il a eu une enfance calme et il a sans doute été le plus choyé par ses parents (matériellement du moins) étant le seul et unique garçon et enfant restant. Cependant, ses parents n’étant pas des plus démonstratifs, il n’a jamais eu de réelle affection venant d’eux. Ϟ Il parle l’anglais parfaitement sans accent, l’irlandais aussi et parle en plus le russe à cause de son père qui est d’origine russe. Ϟ Il est aujourd’hui en étude de Justice Magique. Il veut suivre la trace de ses parents et se faire connaître dans le monde des sorciers. Ϟ Sur sa baguette est inscrit le mot « Uaillmhian » qui veut dire « Ambition » en Irlandais. Ϟ Il est actuellement le seul de la famille à développer des idées anti-nés-moldus et donc à se fermer totalement à la tolérance qui est un des principes fondamentaux de la famille. Ϟ Il pense que le conte du « Sorcier au cœur velu » qu’il entend depuis son enfance n’est qu’une bêtise et que ce n’est qu’une fable pour les enfants. Pourtant, il ne peut s’empêcher de s’identifier au Sorcier au Cœur Velu. Ϟ La plus grande particularité de Ciàran est qu'il est dyslexique. Ϟ C'est aussi un très bon danseur.
Côté caractère : Ϟ Ciàran est sans doute le membre le moins proche de sa famille. Et pour cause, sa froideur perpétuelle, sa méchanceté vis-à-vis de Cléophée ne le rend pas sympathique aux yeux de ses cousins et cousines. Ciàran c’est aussi le garçon qui fait comme-ci rien ne l’atteignait. C’est le travailleur acharné qui veut montrer qu’il est le meilleur. Compétitif, endurant, il supporte facilement les pressions et les compétitions. En tant qu’O’Neill, il se doit d’être plus fort, beaucoup plus fort que tout le monde. Ambitieux, mâlin, intelligent, c’est un fin stratège. Physiquement, il ne paie pas de mine mais il est en réalité redoutable. Il se montre charmeur, séducteur. Il sait qu’il plait et il en joue. Mais ça c’est ce qu’il montre aux autres. En réalité Ciàran est blessé. Blessé par des parents qui malgré leur investissement matériel, ne lui ont jamais exprimé de l’amour. Blessé par cette famille qui ne fait plus attention à lui et ne s’occuper plus que de Cléophée. Ciàran a un mal être. Il a des blessures, il est humain mais ça, il est hors de question qu’il le montre. Il s’attache à tout mettre dans l’apparence, en enfilant les masques les uns après les autres. Mais il ment constamment, pour tout et n’importe quoi. Il ment sans cesse pour se protéger. Ciàran est jaloux. Jaloux que sa cousine est choisie Sorrow. Jaloux de l’attention qu’on lui porte à elle. En colère qu’on l’oublie lui avec sa dyslexie.
Ϟ Si aujourd’hui il se tourne du côté du Lord, c’est uniquement pour se faire remarquer. C’est le seul moyen qu’il est trouvé pour qu’on le remarque et qu’on se détache de Cléophée. Il pense également que sa famille était bien mieux quand elle avait le sang-pur. Il se dit aussi que si ça avait été le cas, Cléophée aurait été une paria et tout le monde l’aurait félicité, lui. Cependant, on ne peut pas dire qu’il déteste entièrement les nés-moldus. Il les trouve certes pour la plupart ingrats et bêtes mais ayant été élevée sous des principes de tolérance, il ne peut pas entièrement tourner le dos à son éducation.
Noël 1976, Maison de Cléophée, Ecosse. Il était temps d’aller se coucher. La plupart des gens avaient regagné leur chambre. Cléophée monta alors à son tour les escaliers. Elle était ravie de cette soirée de Noël qui c’était admirablement passé. La jeune fille s’arrêta au milieu du couloir et enleva ses chaussures. Puis elle reprit son chemin et arriver tout au bout rentra dans sa chambre, laissant la porte ouverte derrière elle. Elle déposa ses chaussures sur le sol et se dirigea vers coiffeuse. Elle retira sa baguette qu’elle avait utilisée pour faire son chignon et c’est alors que son regard bleu se posa sur la glace. Elle sursauta en voyant Ciàran dans un coin. Cléophée ne bougea pas, ne dit rien. Elle se contenta de le regarder calmement, ne sachant pas qu’elle idée il avait derrière la tête. C’est alors que Ciàran se mit à bouger. Il poussa la porte de la chambre de sa cousine et celle-ci s’entrebâilla légèrement. Et il s’avança. « Pourquoi tu es si gentille avec moi ? » Il continue de s’avancer vers la Serdaigle qui continuait à le regarder dans la glace. « Après tout ce que je te fais subir, tu continues à être gentille avec moi. Es-tu réellement attardée ou simplement trop naïve ? » Il est à présent juste derrière elle. « Parce que… Parce que tu es mon cousin et peut importe ce que tu me fais subir, tu le seras toujours. » Ses sourcils se froncent, il la regarde attentivement dans le miroir. Et c’est alors que Cléophée sent qu’il saisit la chaîne que Sorrow venait de lui offrir pour Noël. Cléophée n’ose rien faire. Elle tient toujours sa baguette dans sa main mais ne peut pas utiliser la magie. Elle la repose donc doucement. Elle sent le collier lui serrer le cou. Ciàran tourne la chaîne doucement et il tire un coup. Clochette se retrouve alors contre lui, totalement à sa merci. Elle commence à paniquer intérieurement mais elle ne dit rien pour l’instant. « C’est de ta faute tout ça. C’est de ta faute si je suis méchant avec toi. C’est de ta faute si tout le monde ne regarde que toi, ne prend soin que de toi. Et moi ? Personne ne s’occupe de moi. Personne. Il n’y en a que pour toi. Tu l’as choisi lui, mais tu n’as jamais pensé à moi. Tout le monde ne pense qu’à ton autisme et on m’oublie moi et ma dyslexie. » Il venait de murmurer cela au creux de son oreille. A l’évocation de Sorrow, Cléophée posa sa main sur le pendentif qui lui mangeait la peau. La tristesse se lut alors dans les yeux de la jeune fille. Elle comprenait à présent. Elle comprenait tout. Et il lui faisait tellement de la peine. Elle n’avait pas voulu tout ça. Jamais. « Je suis désolée Ciàran. Désolée d’être qui je suis. Désolée de te faire de l’ombre. Mais je n’ai pas… je n’ai pas choisi ça. Je n’y suis pour rien… » Il relâche un peu la pression autour de son cou. Et elle en profite. Elle se retourne et sans qu’il s’y attende elle le prend dans ses bras. Elle le sert fort contre elle. Parce qu’elle sait. Elle sait qu’il a besoin de cela. « Je suis désolée Ciàran. Je voudrais tellement changé ce que tu penses. Je voudrais tellement que tu sois gai et joyeux. Mais c’est impossible maintenant. Le mal est fait. Et je comprends. Je comprends pourquoi tu agis comme ça. Je comprends pourquoi tu as décidé de ne pas faire comme tout le monde, de ne pas être tolérant. Et ça me peine. Et ça m’attriste. Parce que tu deviens comme lui. Tu deviens le Sorcier au Cœur Velu. Et je ne veux pas que tu sois comme lui. Mais je te soutiendrais quand même. Même-si tu fais les plus mauvais choix. Même-si tu me fais du mal. » Elle laisse un silence. Elle le sent se détendre petit à petit mais il ne lui rend toujours pas son câlin. « Parce que je t’aime. »
Il est le Sorcier au Cœur velu. Elle est Lyanna. C’est aussi simple que ça et pourtant c’est aussi très compliqué. Depuis le début, il la déteste, l’envie, la jalouse. Et c’est pour ça qu’il se montre si méchant et odieux avec elle. C’est pour ça qu’il a failli la noyer quand elle était petite. Et il la déteste parce qu’elle attire l’attention (sans réellement le vouloir bien sûr). Il la déteste parce qu’elle est douce, innocente presque faible en sa présence. Il la déteste parce qu’il l’aime malgré tout et c’est sans doute cela qu’il a plus de mal à accepter. Il ne comprend pas sa gentillesse à son égard. Après tout ce qu’il lui fait subir, pourquoi agit-elle comme ça ? Elle le lui a déjà expliqué certes, mais il ne comprend toujours pas. Il essaie de la détester le plus possible mais il faut dire qu’il est assez difficile de détester Cléophée. Elle a toujours cette douceur, cet air enfantine, cette innocence, des paroles douces, des gestes affectueux. Les autres sont souvent étonnés de la voir agir comme cela avec lui. A croire qu’elle est bête ou tout simplement naïve. Et surtout, elle sait. Elle sait pourquoi il a choisi d’aller à l’encontre de sa famille, pourquoi il a choisi d’avoir cette relation-là avec elle. Elle sait qu’il est mal, qu’il a mal et qu’il fait cela pour se faire remarquer. Mais elle ne lui en veut pas. Elle le comprend même et elle continue à l’aimer malgré tout. Il est et il restera sa chaire et son sang. Il est et restera toujours un O’Neill, peu importe ce qu’il décide, ce qu’il fait. Elle lui laissera toujours sa porte ouverte. Elle lui laissera toujours une chance. Et pourtant, il continue à la décevoir. Il continue à aligner les erreurs. Il continue à la persécuter sans arrêt. Elle ne réagit pas la plupart du temps mais il lui arrive d’en pleurer. Elle ne sait pas s’il la manipule mais elle espère toujours qu’il ne deviendra pas réellement le Sorcier au Cœur Velu. Car il n’y aura plus de retour en arrière. Et il la mènera à sa perte comme Lyanna avec son époux.
Eté 1965, Ecosse. (Récit raconter par Sorrow O’Neill, cousin de Cléophée) Il faisait beau et chaud ce jour-là. Mes sœurs étaient parties à la plage pour jouer avec deux parents. Rosheen, la plus grande de mes cousines, lisait sous un arbre. Mes autres cousines jouaient à cache-cache dans le grand jardin derrière la maison d’Elladora et Allan, ma tante et mon oncle. Moi, j’avais acheté un cerf-volant que j’essayais de faire voler. Je courrais le plus vite possible pour le faire voler mais il retombait tout le temps. Je persévérais du mieux que je pus. Soudainement, quelque chose retint mon attention. Je m’arrêtais de courir et regardait près de la piscine. Mon cousin Ciàràn, d’un an mon cadet était en train de jouer avec les filles à cache-cache. Quand une des filles était découverte, elles devaient se mettre à courir et éviter que Ciàran ne les rattrape. Cette fois, il avait réussi à découvrir Cléophée. Elle avait dû se cacher dans les jolies fleurs car elle avait des fleurs partout dans les cheveux et de la terre sur le visage, les mains et sa jolie robe. Elle courrait le plus vite possible, concentrée. C’était la première fois qu’elle venait jouer avec nous. D’habitude, elle restait dans son coin à nous regarder. J’avais voulu une fois l’inviter à jouer avec nous mais elle s’était enfuie comme la dernière fois. Je n’avais encore jamais entendu le son de sa voix et pourtant, j’aurais tout donné pour l’entendre ne serait-ce que rire. J’avais demandé aux parents pourquoi Cléophée était différente et ils m’avaient répondu qu’elle était malade, atteinte d’une maladie, l’autisme je crois. Je n’avais pas bien compris ce que c’était mais, ça expliquait le retard de développement de ma cousine qui ne parlait toujours pas. Tout le monde la protégeait ici. Et je devais avouer que moi aussi je gardais un œil sur elle. Elle était toute mignonne et gentille. Elle m’offrait parfois des cadeaux et les parents disaient qu’ils étaient surpris de la voir agir de la sorte. Je pense qu’elle ne réagissait comme ça qu’avec moi. Et moi j’aimais bien ça. Ainsi donc Cléophée se mettait à courir pour échapper à Ciàran. Mais soudainement, mon cousin attrapa Clochette et lui tordit le bras. La petite se mit alors à hurler et à pleurer. Ce son me déchira le cœur. J’espérais que Ciàran n’avait pas fait exprès mais il ne relâcha pas la prise. Cléophée pleura encore plus. Je sentis alors la colère me monter. Il n’avait pas le droit de faire ça ! Je me dirigeais vers eux et hurla : « Lâche-là Ciàran ! Tu lui fais mal et peur ! » Le garçon se tourna alors vers moi. Il avait un sourire méchant sur les lèvres. Et puis d’un seul coup, il poussa Cléo dans l’eau de la piscine. Cléophée tomba alors à l’eau. Je pensais qu’elle savait nagée mais je ne la vis pas remonter à la surface. J’aurais voulu aller la sauver mais je ne savais pas non plus nager à l’époque. Je me tournais alors vers Ciàran, fou de rage. « Mais qu’est-ce que t’as fait ?! Elle ne sait pas nager ! ». Et au lieu de paniquer, il se mit à rire. Je me jettais alors sur lui et nous commensâmes à nous battre. Rosheen, sa grande sœur, allertée par le bruit que l’on faisait se mit alors à hurler et appela Cléophée qui n’était toujours pas remonté à la surface. Je donnais un coup de poing à Ciàran qui se mit alors à saigner du nez. Puis, je me tournais vers la piscine et cherchait Cléophée du regard. Elle était au fond de la piscine en train de se débattre. Rosheen partit alors chercher les parents en courant. Les parents arrivèrent vite et je continuais de me battre avec Ciàran jusqu’à ce que l’on nous sépare. Alors que le père de Cléophée, Allan, allait pour sauter à l’eau pour sauver sa fille, quelque chose d’exceptionnel se produit. Cléophée fut éjectée de l’eau. Il semblait que l’eau se soit mise à la pousser vers l’air libre. Elle tomba sur la pelouse, crachant de l’eau et pleurant. Les parents accoururent vers elle à la fois fous d’inquiétude et de joie. Cléophée venait de montrer qu’elle possédait des pouvoirs magiques et donc qu’elle était une sorcière. Malgré cet effusion de joie, je fus punie, moi et Ciàran pour nous être battus. Mais le plus important c’était que Cléophée soit vivante. Aucun des parents ne su jamais que c’était Ciàran qui l’avait poussé à l’eau. Mais depuis ce jour, je le gardait à l’œil et je le détestais pour le mal qu’il avait fait à Cléophée et qu’il continuerait de lui faire par la suite.
Ciàran est le cousin de Sorrow, son aîné d'un an. On aurait pu croire que les deux garçons, presque du même âge, auraient été les meilleurs amis du monde, seulement la vie fait que tout ne se passe pas toujours comme on le prévoit. Et pourtant ça partait du bon pied entre les deux O'Neill ; ils jouaient tous les deux innocemment avec une complicité enfantine. Seulement, les petits enfants grandissent et se forge un caractère bien à eux, et ceux des deux garçons n'étaient pas du tout les mêmes : Sorrow est devenu chaleureux tandis que Ciàran, lui, est devenu froid, évoluant ainsi en l'opposé de l'autre. Mais l’événement qui chamboula littéralement la relation des cousins O'Neill fut le jour où le cadet poussa Cléophée, leur cousine, dans la piscine et maqua de la noyer. Sorrow ayant toujours été très proche de sa cousine, rentra dans une rage indescriptible et se jeta sur Ciàran pour lui casser la figure. Malgré cette bagarre le garçon continua d'embêter Cléophée et de se moquer d'elle, accumulant ainsi les bagarres avec le protecteur de celle-ci. Il fut d'ailleurs baptisé « le vilain petit canard » par Sorrow à cause du rejet qu'il reçut des autres cousins O'Neill. Aujourd'hui leur relation est toujours aussi conflictuel, voire même pire depuis que l'un à rejoindre l'Ordre du Phénix et l'autre est devenu Mangemort. Mais qui sait, peut-être qu'un jour, Sorrow, convaincu par Cléophée fera la paix avec son cousin déchu. Ou alors ils s'entretueront avant, maintenant adulte et membre de deux organisations se faisant la guerre, plus rien ne pourra les arrêter, même pas leur lien de parenté.
Entre Ciàran et Neala, c'est un je t'aime moi non plus constant. Ils sont différents mais en même temps ils se comprennent. Sans être dans le même état d'esprit concernant la guerre contre le Lord, Neala n'a pas de position claire et nette mais sait très bien que Ciàran non plus. Ils aiment discuter ensemble et avoir de belles joutes verbales, et lorsqu'ils sont tous les deux, ils s'entendent plutôt bien. Tout se complique lorsque Cléophée entre dans la conversation ou la pièce. Ciàran ne cesse de torturer la petite autiste et Neala, en garde du corps attitrée, ne supporte pas cela. Autant elle aime son cousin, autant l'attitude de ce dernier envers Cléophée la rend folle de rage et pleine d'incompréhension. C'est un mystère qu'elle essaye de percer depuis des années et elle n'a toujours pas eu de réponse claire de son cousin envers cette situation. Elle espère pourtant grandement que ces deux cousins finissent par s'entendre et que Ciàran montre son véritable visage et non pas celui qu'il veut faire croire qu'il a.
Dernière édition par Cléophée E. O'Neill le Ven 4 Avr - 20:32, édité 2 fois
Bonjour à toi, ô cher invité qui vient de lire ce scénario!
J'espère que la lecture n'a pas été trop rude! Toujours est-il que je me dois de préciser certaines choses par rapport à ce scénario qui est très attendu et qui a une grande importance dans la vie de ma petite Cléophée ainsi que celle du reste de toute la famille O'Neill.
Le Prénom n'est malheureusement pas modifiable, comme il figure sur ma fiche et dans la famille O'Neill je ne préfère pas qu'il soit changé. Bien sûr, le deuxième prénom (voir troisième si ça vous fait plaisir) est totalement libre! Il en va de même pour l'âge, le sang bien sûr. Pour ce qui s'agit de l'avatar, je suis tombée amoureuse d'Emile Hirsch Il n'est pas blond mais je trouve qu'il correspond bien à Ciàran. La négociation pour le changement d'avatar sera cependant difficile. (Parce que regarde [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], Holliday et Emile sont tellement beaux ensembles ) Ensuite, pour son histoire, elle est libre dans son ensemble, sauf pour les éléments que j'ai impliqués là-haut. Je précise encore une fois qu'il n'y a pas eu de grand drame dans sa vie (hormis le fait que les parents n'ont pas été présents au niveau de l'affection). Aussi, je t'invite à lire la fiche de la famille O'Neill qui se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Le caractère n'est pas spécialement très détaillé. Je l'ai fait exprès pour laisser plus de liberté mais j'aimerais que ce que j'ai écris soit respecté. Ciàran reste un personnage profond et complexe qui a des relations relativement compliqués avec les gens, donc il a forcément un caractère compliqué. La relation avec le reste de la famille est libre, mais les relations déjà écrites sont tout de même le moteur de la vie de Ciàran (surtout avec Cléo et Sorrow). Je précise que Cléo subira une évolution qui la fera grandir. Il est possible que la relation Ciaran/Cléo évolue en quelque chose de plus positif et que la relation Sorrow/Ciaran devienne de plus en plus tendue. Si tu as des questions n'hésite pas. Harcèle-moi de MP y a aucun soucis