BELLUM PATRONUM
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| DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD. | | | DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 15:56 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Danaël Nicolaj Whoansburn FEAT. ZAC EFRON VINGT-DEUX ANS MÉDECINE MAGIQUE 4EME ANNÉE MARGAY RÉPONDANT AU NOM DE LEKS SANG-MÊLEDanaël Nicolaj Whoansburn est né un deux Novembre, lors d’un soir glacial de fin d’année, dans un village du Sud-Ouest de l‘Angleterre. Il est né d’un père anglo-français et d’une mère russe à origines anglaises. Son père était un moldu de la pire espèce, une raclure, un ivrogne. Sa mère, Aleksandra, était au contraire tout ce qu’il y a de doux et d’aimable. Une sorcière qui avait abandonné son côté magique et qui, à la fuite de Soren, a décidé de reprendre en main sa vie de sorcière et de faire partager son expérience à son fils. Danaël n’a jamais connu son père. De part la nature de moldu de ce dernier, il est naturellement un sang-mêlé. Il a toujours vécu avec sa mère depuis que son père s’est enfui, à l’aube de ses deux ans. C’est un trait caractéristique de sa vie, très probablement, de haïr toutes les figures paternelles possibles. Il fait tout pour éviter les pères de manière générale. Il voue cependant un culte à toutes ces femmes qui savent s’occuper de leurs enfants, seules, et sans l’aide de personne. Sa mère est la personne la plus importante de sa vie et il lui rend bien. Elle l’a aidé à développer ses atouts et à minimiser ses défauts, en lui inculquant une éducation qu’elle pensait la meilleure pour son fils. Il n’a jamais manqué de rien, et sa mère a toujours voulu qu’il soit au moins choyé comme tout autre enfant.
Quand on rencontre Danaël, son regard perçant et son air timide ne sont pas un masque. Danaël est véritable un être profondément timide. Sa timidité maladive lui a causé quelques petits problèmes, au niveau relationnel surtout. Il ne supporte pas de devoir parler devant une audience de plus de trois personnes et déteste prendre la parole. Il préfère de loin rester à l’écart, et ne pas parler, ou écouter. Son côté timide est rejoint par sa discrétion. Il aime ne pas se faire remarquer à vrai dire. Il aime être quasiment invisible. Il déteste élever la voix, ou se faire remarquer par quiconque. Se fondre dans la masse est une bonne méthode d’approche. C’est d’ailleurs pour cela qu’il déteste les gens qui se montrent, qui se pensent supérieurs, qui font tout pour montrer qu’ils sont présent, qu’ils sont imposants. Il déteste depuis toujours ce genre d’attitude égocentrique et narcissique. D’ailleurs il le fait souvent savoir. C’est là une autre de ses caractéristiques. Il aime être franche et direct. Il ne passe jamais par des subterfuges pour expliquer ce qu’il pense vraiment des gens. S’il aime quelqu’un, il l’aimera et lui fera savoir. S’il déteste, il déteste passionnément, et le fait savoir également. Il déteste devoir prendre des gants. Et il n’a absolument pas peur d’expliquer aux gens ce qu’il pense. Parfois, les personnes saluent sa franchise. Parfois ils le détestent pour ça. Qu’importe, il ne vit pas pour les autres mais pour lui-même. D’ailleurs, avec cette franchise vient sa vulgarité qui est assez ennuyeuse, par moment. Il aime dire des gros mots, et s’exprimer très vulgairement. Il ne le fait pas exprès, les mots sortent comme ça, sans qu’il le veuille vraiment. Il n’y fait même plus attention, pour être honnête. Il refuse de se corriger, par prétexte que la populace serait choquée par ses propos. Son langage est grossier, mais les gens qui le côtoient s’en accommodent. Ils n’ont pas le choix de toute manière. Le tempérament de feu de Danaël en font quelqu’un de particulièrement colérique. Il déteste être contrarié et le fait savoir. Quand il était enfant, cela se traduisait par un boudage intense - ah les enfants - puis en grandissant, la situation a empiré avec une légère violence. Il déteste ne pas avoir raison, qu’on le contredise, ou qu’on aille pas dans son sens. C’est très dérangeant pour lui de subir ces actions. Il considère cela comme un affront et ne supporte tout simplement pas qu’on s’oppose à lui. Et si quelqu’un s’oppose à lui, à ses jugements, à ses actions ou à quoi que ce soit le touchant personnellement, il veillera à tenter de corriger le tir. Son obstination à vouloir toujours avoir raison, toujours être le premier, à toujours vouloir corriger les gens, en font quelqu’un de particulièrement agaçant parfois. Mais la plupart de ses amis, qui se comptent sur le doigt d’une main, s’en accommodent. Encore une fois, ils n’ont pas tellement le choix. Son obstination en font pourtant un élève assez particulier. Il ne lâche pas. Jamais. En terme de scolarité, il déteste ne pas avoir la réponse à quelque chose, et échouer dans un devoir. Il fait donc tout pour ne pas échouer, allant jusqu’à passer des heures entières sur un seul problème épineux, jusqu’à y arriver de manière satisfaisante. Ses professeurs saluent d’ailleurs cette caractéristiques dans son travail. C’est sûrement la raison pour laquelle il a choisi un cursus assez prisé mais assez compliqué dans sa réalisation, en s’inscrivant au cycle d’études secondaire, choisissant ainsi la médecine magique. Grand stressé, surtout en période d’examens, Danaël ne connait pas encore la réponse à son mal-être ambiant pendant ces périodes. Il déteste tout simplement ces périodes, parce qu’il ne sait pas gérer le stress. Alors il fait n’importe quoi, et cela résulte en beaucoup de choses négatives. Il lui arrive également d’être stressé pour peu de choses. Un commentaire fait à un ami qu’il regrette, comme une lettre que sa mère lui enverrait. Le jeune sorcier ne se reposera cependant jamais sur les autres pour l’aider. D’une nature très indépendante, il déteste se faire aider. Il préfère être indépendant, et complètement indépendant, que de devoir être redevable de quelqu’un. Il s’agit là d’une peur viscérale. Être redevable de quelqu’un. Il déteste devoir des choses, et s’il peut l’éviter, il ne demandera certainement pas l’aide d’autrui. D’un autre côté, malgré son franc-parler et son incapacité à demander l’aide des autres, ils est profondément optimiste, et il essaie toujours de voir le meilleur dans le cœur des autres. De nombreuses déceptions lui auront montré qu’être aussi optimiste n’est pas toujours bon, mais il n’y peut rien, pour être honnête. Une fois qu’on a son amitié, on la garde assez longtemps. Sa loyauté va envers ses amis les plus proches et la personne la plus importante de sa vie. Sa mère. Il lui sera toujours loyal, et ce, qu’importe les situations. Elle est son ancre, sa bouée de sauvetage. Pour les autres, pour ses amis, pour tout le monde, il est loyal mais pas trop. Jusqu’à un certain point disons. Et une fois que la déception d’une action est passée, il passera de sa loyauté titanesque à l’état d’un être rancunier au possible. L’idée, c’est de ne jamais se mettre le Whoansburn à dos. A vrai dire, son côté rancunier prend souvent le dessus et si vous arrivez à vous le mettre à dos, le conseil que tout le monde donnerait c’est de courir. Très vite. Avant qu’il ne vous trouve et vous arrache la tête. Au sens figuré évidemment, mais tout de même. Voici la parfaite illustration de son obstination. Il ne vous lâchera pas. Jamais. Ceci dit, si l’on arrive à ne pas s’attirer les foudres de ce jeune homme charismatique, Danaël peut être quelqu’un de particulièrement attachant et aimable. Il aime aider les autres, et ses amis savent qu’il est là pour eux qu’importe la situation - enfin qu’importe ou presque, il y a des limites à ne pas franchir. Sa tolérance en font quelqu’un d’abordable. Et il sait bien que cette tolérance vient principalement de l’éducation de sa mère mais également du fait qu’il s’est révélé être homosexuel et que certaines personnes n’ont pas eu le niveau de tolérance que lui et sa mère partagent. C’est une convention sociale, semble t-il, d’être effrayé par les hommes qui aiment les hommes. Danaël n’a cependant jamais compris cette aversion pour les homosexuels et s’en passerait bien, à vrai dire. Il n’étale absolument pas sa vie privée aux gens et très peu de monde savent son penchant pour les courbes masculines. Et c’est sûrement mieux comme ça. Malgré tout, Danaël est quelqu’un de très impulsif. Que ce soit dans son travail, dans ses relations amicales ou en amour. Il refuse de penser très longtemps à quelque chose. Il vaut mieux agir que réfléchir, pour son plus grand bien au moins. En amour, il aime agir vite et bien. Et ne pas réfléchir. S’il réfléchissait, il se rendrait compte qu’il est coupable de telle ou telle erreur. Alors il agit sans réfléchir, et parfois il le regrette, mais pas souvent. C’est un homme passionné, et passionnant, selon certains, qui aime les choses simples de la vie comme les choses très compliquées. Il aime la photographie moldue, siroter du whisky-pur-feu avec ses amis, discuter d’art et découvrir de nouvelles choses. Et quand quelque chose - ou quelqu’un - le passionne, il en devient presque obsédé. C’est assez effrayant, mais l’obsession s’efface à mesure que le temps passe. Cet homme est également d’une curiosité maladive. Un conseil, évitez de vous approcher de trop près avec quelque chose de nouveau, il voudra tout savoir, dans les moindres détails, qu’importe le sujet. C’est là un défaut dont Danaël se passerait bien parfois.
En somme, Danaël est un spectre de couleur et de noir et blanc, un ying et un yang, une pomme et une poire. Ses défauts se comptent très largement au nombre de ses qualités, et il est tantôt touchant, tantôt agaçant. Ce qui agace la plupart des gens d’ailleurs. a little something from you. Danaël a mit du temps à s’habituer à la présence de son patronus à ses côtés. Une vingtaine de jours pour être exact. Il aime la solitude et tout d’un coup il devait se faire suivre par son patronus qu’importe où il allait. C’était devenu assez étrange, et gênant. Mais avec l’habitude, Danaël a réussi à se faire à la présence de l’animal. Parlons un peu de sa forme d’ailleurs. Il s’agit d’un margay, un animal assez petit, mais pas trop. Il a des yeux globuleux et une belle fourrure. Quand est venu le temps de donner un nom à son patronus, après avoir enfin accepté la présence dudit patronus, le jeune homme n’a pas eu à réfléchir longtemps. Leks. Un diminutif d’Aleksandra. Une référence implicite au prénom de sa chère mère. Il aime son patronus. Lui qui avait prit l’habitude d’être seul, au début, tout ceci était très étrange. Mais l’affection qu’il réussit à porter pour cet animal est très forte et désormais il ne souhaiterait pas s’en séparer. Leks est comme une partie de lui, désormais. Et il ne s’en séparera pas, sauf s’il y est forcé. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: bluejeez, sur bazzart. kevin dans la vraie vie Vingt ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Un gentil petit lutin m'a montré le chemin (coucou Jimmy, I SEE YOU ) ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope, pas pour le moment ϟ Présence: Approximativement 7/7. Pour le rp, souvent le week-end, mais assez souvent (disons 4/7 pour le rp) ϟ Une remarque? Je vous aime déjà (et mes smileys préférés sont là, donc Kevin content )
Dernière édition par Danaël Whoansburn le Dim 16 Fév - 18:48, édité 14 fois |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 15:56 ( #) | 1980 - ECOLE POUDLARD. Il se retrouve dans un couloir sombre. Puis il ouvre une porte. Puis un trou noir. Il ne peut rien faire de plus. Pas bouger. Juste tomber. Tomber, encore et encore. A jamais. Il ne peut rien faire et tout ceci l’effraie. Il tombe encore et encore. Puis le décor change. Il est désormais dans une pièce éclairée à la bougie. Une unique pièce, avec une unique bougie. Une pièce circulaire. Il peut désormais bouger. Mais il est enfermé dans une cage. Sa plus grande peur, être enfermé, vivre comme un animal, dans une prison dont il ne peut se défaire, à laquelle il ne peut pas échapper. Et là, il la voit. Sa mère. La personne la plus importante de sa vie. Elle est là. Attachée avec des fers. Sur une chaise en bois. Il ne peut pas s’échapper de sa prison dorée. Il ne peut pas la secourir. Danaël cherche un moyen de s’échapper, une faille dans sa prison, dans cette cage. Tout ceci le rend fou. Complètement fou. Une figure apparait. Un homme. Il a le visage caché. Il a un couteau à la main. L’horreur se lit sur le visage de Danny. Il ne veut pas que quoi que ce soit arrive à sa mère. Jamais. S’il le faut, qu’on le tue lui. Qu’importe. Sa mère est plus importante que lui. Elle vaut mieux. Elle est plus importante pour le monde. Il ne peut vivre sans elle. Jamais. Il hurle. Il crie de toutes ses forces, jusqu’à ce que sa voix s’éteigne pratiquement. L’homme, cet inconnu à la face recouverte d’un masque, se retourne. Mais il ne prête pas vraiment attention à Danaël, en réalité. Tout ce que Danaël fait est inutile. Il sait bien que si cet inconnu a décidé d’en finir avec sa mère, alors elle souffrira. Il pourrait choisir la manière rapide et sans douleur d’un sort de mort. Mais non. Il utilise un couteau. Un couteau pour les rituels, pour ces moldus idiots qui pensent que la magie est réelle mais que ce n’est de formules et potions à base d’herbes. Que font-ils ici? Tout est flou. Mais Danny sait que sa mère mourra. Il ne peut se résoudre à la perdre. Non. Pas maintenant. Pas demain. Pas dans une semaine. Jamais. Il refuse. Mais il n’y peut rien. Il hurle. Il pleure. Il gémit. Il implore. Et il recommence. Tout ça plusieurs fois. Infiniment. Jusqu’à ce que les larmes ne coulent plus. La colère, la haine. Il ne peut même pas les ressentir. Non. Il ne ressent que de la peine. Il est brisé. Et dans un dernier soupir, sa mère, après avoir été entaillée et s’être vidée de son sang, prononce son nom. Danaël. Un joli prénom, assurément. Et désormais la première personne qui a prononcé ce nom à son intention s’est éteinte. A jamais. Il n’a jamais expérimenté ce genre de peine. C’est incomparable. Il veut mourir à son tour. Vivre sans sa mère… Ce n’est pas vivable. L’homme s’approche de lui désormais. Il vient finir le travail, probablement. Cette fois il n’utilisera pas son couteau, encore rempli du sang de sa mère. Il utilisera son bâton de la mort, sa baguette, son moyen d’ôter la vie. Il approche son visage des barreaux de la prison dorée, puis se recule. Il lève la main. Et le sort est lancé. Un éclair vert jaillit de la baguette.
Il se réveille enfin. La sueur sur son front perle comme si de l’eau lui avait été jetée à la figure. Il n’a pas hurlé. Mais il a gesticulé. Cela explique peut-être l’état du lit dans lequel il se trouve. Les draps sont froissés et sa couette est tombée à terre. Des larmes ont coulé sur ses joues pendant la nuit. Il est en larmes. En quasi état de transe. Tout ceci est très éprouvant. Mais il connait ce sentiment. A vrai dire, il s’agit d’un lot quasi quotidien. Les cauchemars. Ils mettent en scène tour à tour sa mère et ses amis. Et ils sont toujours les même. Lui, dans une prison, une cage d’or, et sa mère ou ses amis attachés solidement à des chaises. L’issue est toujours fatale, et il est en train de mourir, jusqu’à ce qu’il se réveille. Et il se réveille toujours en sueur, en larmes et avec l’impression que son âme et que son cœur lui ont été arrachés violemment. Danny se redresse sur son lit, plaçant son oreiller dans son dos, pour être le plus confortablement assis. Il tente de respirer et manque de suffoquer. Ces cauchemars s’intensifient. A mesure que le temps passe, ils continuent de plus belle et deviennent pire à chaque fois. Il manque de suffoquer plusieurs fois par mois, et ce depuis six mois. Et il sait qu’en quelque sorte, ses cauchemars se répercutent sur quelqu’un. Sur son patronus. A cause de ce sort infâme, il doit désormais vivre avec Leks. Et il sait que ces cauchemars affectent Leks autant qu’ils l’affectent lui. C’est le plus douloureux. Danaël dégage le reste de couverture qui couvre son corps à moitié nu. Il ne sait même pas comment tout ceci se passe. Il enfile un pyjama la veille et le matin il se retrouve en caleçon, avec son pantalon et son t-shirt à terre et son lit à moitié défait. Il doit gigoter longuement dans la nuit pour que tout ceci arrive.
Chère Maman, Cette petite lettre pour t’assurer de ma santé, et pour savoir comment tu te portes. Je dois avouer qu’ici tout va plus ou moins bien. A vrai dire, je ne sais pas si tu te rappelles, mais il y a de cela quatre mois je t’avais parlé de ces cauchemars qui troublaient mon sommeil n’est-ce pas? Eh bien, la bataille était finie et une autre commence. Désormais ils s’intensifient. Et tu es quasiment toujours l’objet principal du cauchemar. Je ne dors plus très bien et je doute qu’on puisse faire quoi que ce soit pour moi. En vérité, je me demande ce qu’il se passe. Est-ce un problème psychologique? Je n’en sais rien. Mais je me réveille chaque matin en sueur et en pleurs et je commence à devenir un peu cinglé. Une fois que le cauchemar est passé je ne me sens plus que fatigue et folie. Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Mais c’est très étrange et je commence à désespérer d’aller bien un jour. Je m’y ferai j’imagine. Mais pour le moment, je dors très mal, et c’est très gênant. J’ai juste envie de hurler toute la journée et quand j’arrive à fermer l’œil, ils sont là pour m’accueillir. Mais ce n’est pas très grave. Ne t’inquiètes pas maman, tout ira bien. J’irai à l’infirmerie savoir s’ils n’ont pas une potion pour moi. J’espère vraiment que de ton côté tout va bien, autant à la maison qu’au travail. J’ai hâte de te voir pendant les vacances. Tu me manques terriblement. Je t’aime. Danny.
Dernière édition par Danaël Whoansburn le Dim 16 Fév - 18:09, édité 8 fois |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 15:56 ( #) | 1960 - RAYLEIGH, ESSEX. Il était parti. Parti. Tout simplement. Sans se retourner. Elle s’était effondrée. Elle l’aimait. Comme elle n’avait jamais aimé. Elle avait tout abandonné pour lui. Sa part de magie en elle était morte avec sa rencontre avec ce monstre. Et désormais il la laissait seule, sans rien pour se retourner. Heureusement elle avait de la ressource. Mais la rupture avait été dure. Mais pour être tout à fait honnête, elle l’avait pressentie. De nombreuses choses n’allaient pas dans leur couple depuis quelques mois et c’était devenu insoutenable. S’il n’avait pas été aussi lâche et s’il n’était pas parti sur un coup de tête, comme ça, alors elle serait sûrement partie avant lui. Avec son fils. Son fils. Danaël. Qu’allait-elle lui dire, une fois qu’il serait réveillé? Comment expliquer à un quasi nouveau-né que son père a fuit, de peur d’avoir des responsabilités, ou par lâcheté? Elle essaierait de faire ça en douceur, mais ce ne serait absolument pas gagné. Que faire, quand le père de son enfant a fui? Elle ne pouvait certainement pas abandonner. Jamais. Elle se faisait cette promesse. Abandonner serait abandonner son fils et ceci était inconcevable. Elle ne pouvait pas laisser son fils à son triste sort. Non, elle s’y refusait. Elle ferait tout pour pouvoir trouver un emploi bien payé, et qui lui garantirait une sécurité financière. Elle devrait travailler dur. Evidemment. Mais tout ceci en valait la peine. Elle ferait ça pour son fils. Parce qu’il mérite une belle vie. Et que se détruire pour ce monstre ne servirait à rien. Elle reste là, à scruter le plafond, dans le noir. A réfléchir comment elle pourrait faire. Elle n’a pas réellement pratiqué la magie depuis de nombreuses années. Son retour dans le monde magique serait donc assez compliqué. Mais qu’importe. Elle y arriverait. Elle voulait s’en sortir. Une battante. Oui, elle s’en sentait capable. Parce que vivre aux crochets de quelqu’un n’est jamais quelque chose de bon. Alors elle ferait son possible pour offrir à son fils quelque chose de correct pour vivre. Et à ses onze ans, il finirait par rejoindre Poudlard. Comme elle avait rejoint Durmstrang à son âge. Et il serait brillant. C’était une certitude. Elle s’en assurerait. La chance de pouvoir apprendre la magie à Poudlard était un privilège qu’elle voulait assurer à son fils. Pour leur bien à tous les deux. Et elle l’aiderait. Elle l’aiderait du mieux qu’elle peut. Comme ses parents l’avaient initié à la magie dès le plus jeune âge, elle ferait ça. Désormais le côté moldu de son mari ne serait plus un problème. Lui parti, elle pouvait largement s’assurer que son fils ait des talents magiques. Aleksandra voulait le meilleur pour son fils et elle s’assurerait qu’il ait véritablement la meilleure éducation possible, éloigné de l’influence néfaste du monstre qui lui avait servi de mari pendant quelques années. Elle mettrait un point d’honneur à le faire passer avant tous. A l’éduquer comme il se devait. Et ils seraient heureux. A deux. Juste eux.
Dernière édition par Danaël Whoansburn le Dim 16 Fév - 18:00, édité 3 fois |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:00 ( #) | Bieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeenveeeenuuuuuuuuuuuue |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:03 ( #) | Zac est tellement bienvenue sur BP (et le nom de famille j'approuve ) |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:06 ( #) | |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:08 ( #) | Bienvenuuuue sur BP ! |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:13 ( #) | |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:14 ( #) | Bienvenue Zefron Par contre, le nom de famille Fitzgerald est réservé pour un scénario |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:18 ( #) | |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:26 ( #) | Bienvenuuuuuuuue Efron + ton titre |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:36 ( #) | BIENVENUE. Enfin, officiellement. |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 16:40 ( #) | hella: merci alhena: merci encore une fois |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Guest, Sam 15 Fév - 16:46 ( #) | Owwww... Une personne qui met plus deux après sa fiche Emotion. /me verse une petite larme Bienvenue à toi, et bonne chance pour ta fiche. |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Invité, Sam 15 Fév - 17:18 ( #) | Bienvenue par contre faudra préciser l'année et la spécialité du cursus bon courage pour ta fiche |
| | Re: DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD.par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | DANAËL ♭ ALL I EVER WANTED WAS THE WORLD. | |
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