BELLUM PATRONUM


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Rosamund ɤ Screw them all
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Message Rosamund ɤ Screw them all
par Guest, Mar 18 Fév - 1:28 (#)
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Rosamund Alix McElhinney
FEAT. Emma Roberts
20 ans  | Cursus secondaire en 1ère année.  | Oiseau-mouche & crabe d'eau douce  | Née-moldue.



Les murs froids sont cachés derrière différentes affiches aux bords jaunis par le temps et déchirés par l'usure. Ces lieux me fichent le cafard, et je n’avais nullement besoin de ça. Bordel, mais qu’est-ce que j’y fiche ici ? Ils pensent vraiment que je n’ai que ça à faire à présent ? Je dois me rendre à l’hôpital, vider le petit taudis qui lui servait d’appartement et fermer le compte en banque, d’une profondeur abyssale cela va de soi. Alors pourquoi m’ont-ils convoquée ici ? Je commence à mâchouiller mes longs cheveux blonds, l’attente me rend passablement agacée. Des individus étranges passent devant moi. Certains sont menottés, d’autres gueulent à ne plus avoir de voix. C’est quoi ce monde de tarés ? C’est un univers que je connais assez bien, malheureusement pour moi. Les murs froids de ce commissariat de banlieue, j’ai l’impression de les revoir pour la millième fois. La même affiche sur la consommation de drogues est collée là depuis des lustres. Ils sont aussi radins que ça le ministère moldu ? Ce n’est pas mieux que le nôtre en fait. Depuis quand les affiches des différents mangemorts n’ont pas été changées ? La porte en face de moi finit par s’ouvrir. « Bordel, c’est pas trop tôt ! J’ai failli prendre racine ici ! » Le regard interloqué du policier le rend encore plus stupide que la normale. Que s’attendait-il à voir ? Une jeune femme éplorée, aux larmes coulant le long de ses joues ? Bordel non. Faudrait que j’arrête de jurer... Demain j’arrête, c’est promis. « Mademoiselle McElhinney ? » Il jette un rapide coup d’œil à une feuille blanche qu’il tient fébrilement dans ses mains. Qui d’autre abruti ? « Ouais c’moi. Vous m’avez vue, c’est bon j’peux partir ? » Peut-être voulaient-ils s’assurer que j’allais bien. Maintenant que c’est chose faîte, je m’apprête à faire demi-tour lorsque je tombe nez à nez avec un homme que je connais fort bien. « Oh putain, c’est bien ma veine ça...» Le policier en uniforme qui se trouve derrière moi a toujours ce même regard bovin tandis que l’homme qui vient de me bousculer me prend par le bras. « Tu devais pas arrêter de juger Rosamund ? » Je tente de me détacher de son emprise, mais rien à y faire. Il est musclé le bodybuilder ! « Rosa bordel, pas Rosamund. J’vis pas au XVIIème siècle.» Il m’empoigne un peu plus fort et me fait entrer manu militari dans son bureau. Je l’examine du coin de l’œil. Là non plus, la décoration n’a pas changé depuis une bonne décennie. Que c’est triste. Je jette un rapide coup d’œil dans mon dos lorsque j’entends les deux policiers se parler. « Je m’en occupe, va prendre ta pause.» Comment ça je m’en occupe ? Mais j’ai strictement rien à lui dire. Ah, le policier qui me fait face se nomme Ennis... Ennis je-ne-sais-plus-trop-bien-quoi. « Assis ! » Je n’ai même pas la force de gueuler et de lui dire que je veux me tirer d’ici. Après tout, plus vite il me posera ses questions, plus vite je pourrais me barrer d’ici. « Qu’est-ce que tu me veux ? » Il prend place alors face à moi et sort un calepin. Allons bon, voilà qu’il va prendre des notes. Ça va nous prendre une plomb... Je décide alors d’enlever mon gros pull. « C’est ça Rosamund, mets toi à l’aise. On a pas fini ! » Le regard que je lui jette se veut dédaigneux, mais Ennis fait mine de ne pas le voir. « Je suis réellement désolé Rosamund...» Bordel, Rose. R-o-s-e. Déjà que je n’ai pas la beauté et la douceur d’une fleur... n’en rajoute pas. « Désolé pour quoi ? » Je fais mine de ne pas comprendre là où il veut en venir. Depuis quelques jours, j’ai bien dû entendre des dizaines de Désolé, navré, quel drame... J’en ai ras le bol de les voir la larme à l’œil. J’ai mieux à faire que de leur assurer que je vais bien et que je vais faire face comme d’habitude. « Pour ta maman.» Et voilà, c’est reparti. Je m’affale un peu plus sur la chaise qui me fait mal aux fesses. Ils n’ont toujours pas investi dans des coussins dans la police nationale. « Ah pour Derdre. Ouais bah... bref. Pourquoi j’suis là ? » Je veux directement aller au vif du sujet. Mon ventre gargouille, et j’aimerais avoir le temps de manger avant de me rendre dans le petit appartement de ma génitrice. Ennis gribouille déjà quelques pâtes de mouches alors qu’il ne m’a encore rien demandé. Je lui adresse un regard circonspect lorsqu’il relève le nez vers moi. « Tu es mineure Rosamund... Nous devons nous assurer que tout va bien pour toi maintenant.» Oh la bonne blague que voilà ! Maintenant ? Ils ne s’assurent de mon bien-être que maintenant. Putain mais quelle blague. Je pose mes coudes sur le bureau pour lui montrer mon profond ennui. « Ouais ça va... J’peux y aller ? J’te signe le papier que tu veux.» Alors que je termine ma phrase en faisant mine de me lever, je le vois sortir deux ou trois feuilles sur son bureau. J’y reconnais en bas la signature de ma génitrice. « C’est quoi ça ? » Je tente de lire ce qu’il y a écrit dans l’en-tête mais je ne parviens pas à déchiffrer les mots. « Une demande d’émancipation que ta mère a remplie il y a quelques mois.» Je retombe bruyamment sur ma chaise. Un silence gênant s’installe entre nous... Bordel, je n’arrive pas à croire qu’elle ait pu faire ça derrière mon dos. « Putain mais quelle conne ! Même en légume, elle continue de m’faire chier ! C’est quoi c’putain de truc d’émancipation ? » Je tente d’agripper la feuille pour pouvoir la lire lorsque Ennis la repousse vers lui. C’est un papier qui me concerne, alors à quoi joue-t-il ? « Attends, je vais te lire ce qu’il y a marqué. Le mineur émancipé est capable, comme un majeur, de tous les actes de la vie civile. Les parents ne sont pas responsables des dommages qu'il pourra causer à autrui après son émancipation. » Je reste ainsi, les bras ballants alors que j’écoute le charabia qui sort de la bouche du flic. Bordel... je reste sur le cul. « Attends attends... elle avait l’intention de se dédouaner de ses droits parentaux ? Elle voulait me laisser se débrouiller seule ? Bordel mais quelle conne ! Quelle conne ! » Je me lève alors et fais les cent pas dans le minuscule bureau. Tous ces mots finissent par prendre forme dans ma tête. Elle comptait me redonner ma liberté... derrière mon dos. Elle a fait tout ça derrière mon dos. « Putain mais quelle blague ! Je me suis occupée d’elle depuis que je suis née. C’est moi qui remplissais la fiche des impôts, c’est moi qui faisais les courses, c’est moi qui l’aidais à s’allonger sur son lit quand elle était plus ronde qu’une queue de pelle ! Et c’est comme ça qu’elle voulait me remercier ? Putain mais... elle a mérité ce qui lui arrive. Bordel...» Je ne pensais pas que ça allait se passer ainsi. Lorsque j’ai su que j’étais convoquée au poste de police, je pensais que c’était parce que je devais finir signer des papiers à propos de l’accident, mais que nenni ! Comment ai-je pu être encore aussi naïve à propos de cette histoire ? Alors plus de dix-sept ans de vie commune à ses côtés, j’aurais dû trouver ça louche... « Rosamund, essaye de te calmer.» Me calmer ? Putain, il en a de bonnes lui ! Je viens d’apprendre que le légume qui me sert de génitrice voulait se débarrasser de moi, et voilà que c’est elle maintenant qui devient mon fardeau. Je prends de nouveau place sur la chaise qui fait face au bureau. « Elle voulait se débarrasser de moi alors qu’elle allait trouver son nouveau pote aussi poivreau qu’elle ! Maintenant, elle est à ma charge ! Non parce qu’ils se sont plantés en bagnole. L’autre tâche a encore trouvé le moyen de me faciliter la vie en mourant sur le coup mais elle... non ! Bien sûr que non ça aurait trop facile ! Elle m’aura fait chier jusqu’au bout.» Je crache ces quelques mots au visage d’Ennis. Je sais que ce n’est pas sa faute mais j’ai besoin d’extérioriser ma colère, ma hargne... ma peine ? Est-ce ça que je ressens déchirer mon cœur ? Je pose mes deux coudes sur le bureau et je laisse ma tête entre mes deux bras. Je suis crevée de tout ça. Depuis l’accident, je n’ai que très peu dormi. Mes yeux sont cernés, et je n’ai pas mangé depuis deux jours. « Rosamund... est-ce que tu veux remplir ce formulaire ? Je peux t’aider tu sais... » Mon regard agrippe le sien. Il est dur et sévère. « M’aider ? Tu sais ce qui m’aiderait le plus ? Ce serait qu’elle crève dans son putain de lit d’hôpital. Parce qu’on m’a proposé plusieurs fois de l’aide dans ma vie, mais dans les faits, personne n’a rien fait. Personne ! » Mon ton est froid, je ne parviens plus à me contrôler. J’extériorise les sentiments contradictoires et coléreux qui me hantent depuis une dizaine d’années. « Les services sociaux n’ont rien fait ? » Son ton marquait un étonnement honnête. Un rire las passe la barrière de mes lèvres alors que je passe une main sur mon visage. « Bordel, ces services sociaux n’ont de sociaux que le nom. Ils frappaient à la porte de temps en temps quand les voisins se plaignaient de son énième crise de nerfs mais c’était tout. Alors non... ils n’ont rien fait. Comme tout le monde.» Je secoue la tête pour reprendre mes esprits alors que Ennis continue de gribouiller quelques mots sur son calepin. « Dis... tu m’conseilles de me faire émanciper même si elle ne reviendra jamais ? » Je n’aime pas ces sanglots qui étreignent ma voix. Ennis m’adresse un chaleureux sourire qui me réchauffe un peu le cœur. J’ai si froid depuis quelques jours... « Tu es encore mineure Rosamund. Si tu ne remplis pas ce papier, tu seras envoyée en famille d’accueil jusqu’à ta majorité.» Famille d’accueil... quelle blague ? Mon regard est toujours ancré dans le sien. Étrangement, je lui fais confiance. Je ne sais pas pourquoi je ressens ça à son encontre... Je n’ai pas le temps de me prendre la tête sur mes tergiversations émotionnelles. « Une famille d’accueil à dix-sept ans... ça fait dix-sept ans que j’aurais dû y atterrir. Mais si tu l’dis... j’vais le remplir.» Ennis hoche la tête, il semblerait que j’ai pris la bonne décision... pour une fois. « J’vais t’aider à le remplir Rosamund, ça ira plus vite.» C’est à mon tour de hocher la tête en guise de remerciements. Je n’ai pas la force, et encore moins l’envie, de formuler des excuses à haute voix. Il devra se contenter de ça le poulet ! « Décline ton identité.» C’est une blague ? Il me connait depuis des années... En fait, c’était toujours lui qui s’occupait de ma génitrice lorsqu’elle finissait en cellule de dégrisement. Il est plus ridé qu’avant, et surtout il a pris du bide... mais c’est une des seules personnes qui est restée dans ma sphère intime depuis quelques années. Les gens avaient tendance à fuir le légume, et donc à me fuir moi aussi. Ne dit-on pas telle mère, telle fille ? « Rosamund Alix McElhinney. J’suis née le 4 juin 1959 dans la péninsule de Dingle... Tu vois le trou du cul de l’Irlande ? Et bah c’est encore plus le trou.» Ennis penche la tête sur le côté... je ne devrais pas être aussi crue je le sais. « Situation familiale ? » Je lâche un petit rictus. Famille ? Où t’as vu une famille dans ma vie ? « Fille d’un légume...» Je vois dans son regard qu’il ne pouvait pas remplir les cases correspondant à sa question. Merde, va falloir que je parle de moi. « Je suis la fille unique de Derdre McElhinney, 39 ans, dépendante des allocs de la société.» C’est un tableau assez peu joyeux que je fais de ma vie familiale. Ma génitrice n’a jamais réellement travaillé... Oh si, elle travaillait son côté de poivreau notoire mais je reste persuadée qu’elle avait ça dans les veines. « Ton père ? » Mon visage se crispe lorsque j’entends sa question. Mes mains tiennent plus fermement mes genoux noueux. Que dire à propos de lui ? « J’le connais pas. J’l’ai vu qu’en photo. Il était blond comme moi, et... il était mécano j’crois. J’connais pas son identité, alors passons.» Je lève les yeux vers le formulaire et je vois qu’il coche la case Père absent. Bonne conclusion ! Mon ventre commence à gargouiller bruyamment... Putain qu’on en finisse ! « Situation professionnelle ? » Tiens, là, ça s’annonce amusant. Est-ce qu’il veut savoir la vérité ? Alors je suis élève à Poudlard en septième et dernière année. Poudlard ? Il s’agit d’une école de sorcellerie où tout un tas de petits élèves s’amuse à prendre tout un tas de sorts. Je suis capable de jeter un sort de silence, préparer une potion de sommeil ou encore décliner les soins à administrer à n’importe quel animal magique. Veut-il vraiment savoir tout ça ? Je le fixe pendant quelques secondes, laissant un silence pesant planer entre nous. « Je cherche un petit job. Tu sais, cet institut médicalisé coûte la peau du cul ! J’sais pas comment je vais faire. Dis, ça embauche dans la police ? » Je lui adresse un sourire complice que Ennis me rend. « Ouais ça embauche, mais pas une jeune fille qui a la langue qui fourche toutes les trois secondes.» Un petit rire éclate dans le bureau froid et fade. Ce con arrive à me faire rire, il doit avoir un don. Je le vois tourner la page hâtivement en me jetant un regard passablement inquiet. « Hé oh, qu’est-ce que tu fous ? Il y a marqué quoi dans la page d’avant ? » Son regard me scrute quelques instants avant de cracher le morceau. « Les raisons pour lesquelles ta mère voulait t’émanciper.» Ai-je réellement envie de les connaître ? Je fixe l’horloge murale... l’heure avance bien vite. Après ce petit intermède chez les poulets, je dois faire tant de choses et être rentrée à Poudlard dans à peine trois heures. Bordel, ça va être tendu. « Allez balance, ça peut pas être aussi atroce que ça.» Face à son visage voilé d’inquiétude, un sentiment étrange nait en moi. Est-ce si moche que ça ? « En gros, elle dit que tu dois apprendre à te prendre en charge, et qu’elle va partir avec son nouveau compagnon en Allemagne où il a trouvé un bon job sur un chantier.» Une. Deux... Dix. Les secondes s’écoulent, et je ne moufte toujours pas. « PARDON ? M’assumer ? Comment est-ce que cette conne peut me dire ça ? J’ai passé ma vie à prendre soin d’elle... Attends... C’est là ! C’est le soir de l’accident où ils partaient en Allemagne, ils étaient sur la route pour aller à Heathrow. Au début, j’comprenais pas ce qu’ils fichaient ici mais... bordel, elle comptait fuir comme ça ? Sans rien me dire, en se dédouanant de toute responsabilité ? » J’ai juste envie de frapper dans un bureau. Mon cœur commence à me faire mal... il faut que je me calme. « Elle voulait jouer à ça ? Okay ! » Je remonte mon tee-shirt jusqu’à ma poitrine alors que les joues d’Ennis deviennent toutes roses. « 3 cicatrices au niveau du nombril, c’est le jour où elle m’a envoyé un tesson de bouteilles en plein dans le ventre.» Je baisse le tee-shirt et lui montre les quelques traces qui se trouvent sur ma joue droite. « 6 points de suture, c’est lorsque j’ai dû aller la chercher dans un bouiboui de la banlieue londonienne. J’suis tombée sur un taré qui m’a griffé jusqu’au sang. J’continue ou tu as saisi ce que tu dois mettre dans mes motivations ou tu veux un dessin ? » Le regard que m’adresse Ennis est empreint de pitié, et je déteste ça. Je ne demande pas la pitié, je demande simplement un peu de reconnaissance. Oui je veux que l’on reconnaisse que ce que j’ai vécu n’est pas facile. Rien d’autre. Ni plus ni moins. Je remets alors mon pull et signe le bout de papier alors que Ennis reprend la parole. « Je vais l’envoyer moi-même à l’administration...» Je hoche une nouvelle fois la tête pour le remercier. Je dois me bouger le cul si je veux tout faire avant de retourner dans ma prison magique. Je me lève et porte mon sac à mon épaule. Je crève la dalle, et j’ai que cinq livres pour le dîner. Ça va être gouteux ! Il fait le tour de son bureau pour m’ouvrir la porte. « Rosamund, t’es pas obligée de t’occuper d’elle... t’es plus obligée.» Il en a de sacrément bonnes dis donc... Je le fixe une dernière fois. « Ça reste ma génitrice, j’peux pas la laisser seule... puis dans l’état dans lequel elle est, elle peut plus rien me faire.» Je lui adresse un mince sourire alors que je prends la porte. « J’te dis pas à bientôt. J’aimerais ne plus remettre les pieds dans une basse-cour.» Je pars en agitant la main alors qu’il hoche la tête. Je sens les regards offusqués dans mon dos. Quelle vie m’attend maintenant ?



a little something from you.




L’odeur âcre du couloir me file presque la nausée. Ça sent la mort par ici. C’est une sensation étrange qui étreint mes viscères à chaque fois que je marche jusqu’au bout de ce couloir étroit et peu éclairé. Le silence est assourdissant, laissant deviner le peu de vie qui habite les différentes chambres des malades. Je suis persuadée que derrière chaque porte, derrière chaque dossier rempli de paramètres incompréhensibles pour le commun des mortels se trouve une famille totalement démunie face à la situation du malade. Suis-je démunie moi aussi ? Bordel oui. Je suis démunie au sens propre du terme. Je n’ai presque pas un sous de côté !  Cet institut est en train de créer un vide éternel dans mon pauvre compte en banque moldu. Pourtant, je ne me vois pas la laisser seule dans un hospice pour personnes abandonnées ou déshéritées. Comme je l’ai dit au flic Ennis il y a quelques années, elle reste ma génitrice. Il est hors de question que je lui ressemble. Non, il est hors de question que je tourne le dos à toutes les obligations qui m’incombent maintenant. Alors certes, ça n’a jamais été une mère. Certes, je ne connais pas la douceur d’un câlin quand on vient border un enfant le soir, mais ça m’est complètement égal maintenant. J’ai appris à vivre avec ce manque de tendresse, avec cette absence de chaleur humaine. Et ma foi, je trouve que je me débrouille pas trop mal. Je finis enfin par arriver devant la porte. En prenant longuement ma respiration, je commence à toquer. Une infirmière me répond dans la foulée alors que j’enclenche la poignée. « Ah mademoiselle McElhinney. Je finis sa toilette, et je vous laisse.» Son sourire empreint d’une grande tendresse me laisse totalement indifférente. Je commence à être rodée à ce petit jeu d’infirmières, d’aides-soignants ou de kinésithérapeutes qui prennent soin d’elle. Une question ne cesse de me tarauder. Est-ce qu’elle mérite tous ces soins ? Est-ce qu’elle mérite tant d’attention ? Je secoue alors la tête pour ne pas me perdre dans des pensées utiles. « Merci de prendre soin d’elle...» C’est un merci qui sort du cœur mais qui est dit sur un ton légèrement détaché. Je ne veux pas que tout ce petit monde en blouse blanche comprenne que je suis rassurée de savoir qu’elle est entre de bonnes mains quand je quitte sa chambre. Ils ne sont pas obligés de savoir que je m’inquiète quand même de son bien-être après tout ce qu’elle m’a fait. « Toujours rien de nouveau ? » Je lâche cette question sans trop d’espoir. Les médecins ont été clairs, et pourtant, je ne peux m’empêcher de poser cette question. Pourquoi ? Sans doute pour faire mine que je ne perds pas espoir. Mais quand est-ce que j’ai réellement eu l’espoir de la voir sortir de son coma végétatif ? N’est-ce pas mieux ainsi ? « Pas d’amélioration, je suis...» Je lève la main vers elle pour lui dire qu’elle n’a pas besoin de tout ça. Non, elle n’a pas besoin de se montrer compatissante à mon égard. L’infirmière doit en avoir ras le bol de voir des familles effrondées face à la fatalité cruelle qui touche leur être cher. Cette dernière aux hanches proéminentes range tout son petit bazar médical avant de prendre la porte. Alors je m’apprête à m’asseoir, elle se retourne vers moi. « Vous ne fêtez pas Noël avec votre famille ? » Je lève ma tête vers elle alors que je lâche un petit rire contraint. « C’est elle, ma seule famille.» C’est vrai. Je n’ai eu ni frère ni sœur. Merci Merlin ! Imaginez cette femme à la tête d’une tribu, ça aurait été un véritable massacre et encore plus de travail pénible pour moi. Je n’ai ni père, ni tante, ni grands-parents. Elle a fini par tous les faire fuir. « Bonnes fêtes alors mademoiselle McElhinney.» Je me contente de hocher la tête alors qu’elle ferme la porte derrière elle. Les quelques pas qui me séparent du corps faible et blanchâtre de ma génitrice me semblent être des kilomètres. Je me baisse alors sur son visage de cire et lui claque une petite bise sur le front. C’est amusant de voir que j’ai dû attendre qu’elle soit un vrai légume pour pouvoir lui procurer un geste aussi banal entre une mère et sa fille. « Joyeux Noël Maman.» Je remets ces cheveux blonds à la bonne place, et m’assieds sur une chaise. Je finis par caler mes pieds sur son lit. « Ah, nous sommes enfin peinardes.» Certaines personnes trouveraient ça stupides de parler à un comateux, mais moi pas. C’est le seul endroit où je peux vraiment extérioriser toute cette colère et ce mal être qui me rongent depuis tant d’années. Je farfouille dans mon sac et en sort un épais bouquin. « Chut Maman... faut pas leur dire que je lis un livre sur les sortilèges interdits.» Un petit rire passe la barrière de mes lèvres. Bien évidemment, je ne prends pas de risques inutiles. La couverture de l’épais bouquin est doublée d’une autre où il y a marqué, L’histoire de l’Irlande pour les nuls. L’hôpital pense que je fais des études d’Histoire... que Merlin m’en préserve ! « J’ai encore été collée cette semaine, c’est pour ça que je n’ai pas pu venir te voir. Je me suis endormie en cours de métamorphose. La McGo a moyennement apprécié l’ampleur de mes ronflements.» J’attends quelques secondes une réponse, même si je sais qu’elle ne reviendra jamais.

Les secondes et les minutes passent alors que je continue de bûcher sur ce travail que je dois rendre à la rentrée. Je gigote sur ma chaise, un sentiment d’inconfort me tiraille l’estomac. C’est quoi ça encore ? Manquerait plus que je sois malade et que je doive sécher le boulot. J’ai besoin de ce fric. Je m’avachis sur le siège et penche ma tête vers le haut quand... « Oh putain ! » Mes yeux s’écarquillent tout en fixant une sorte de buée au-dessus de moi. Qu’est-ce que c’est ça ? Je jette un rapide coup d’œil autour de moi. Aucune machine faisant mille bips à la seconde me semble défectueuse. Je me rapproche alors de l’ombre qui semble suivre mes déplacements. « Putain, c’est quoi ce délire encore ? » Plus je le fixe, plus j’arrive à distinguer une forme que je lui connais. La forme vaporeuse a un long bec qui se finit en un pic. Ses petites ailes se dévoilent à chacun de ses mouvements. « Qu’est-ce que tu fiches ici ? » Non, je ne rêve pas éveillée. Même si un bon nombre de sommeil manque à mon quota, je ne suis pas en train de délirer. Mon patronus se trouve juste au-dessus de moi. Serais-je devenue un génie ? Serais-je devenue capable de faire apparaître mon patronus sans aucune baguette en main ? « Bien sûr Rosa. T’as redoublé et tu serais capable de faire de la magie sans baguette ! » À force de bouger dans tous les sens, je heurte violemment le lit de ma génitrice. Bien évidemment, elle ne bouge pas d’un iota. Je la regarde alors, et un sourire triste se dessine sur mes lèvres. « Au moins, je ne serai pas tout le temps seule à présent.»




You're not a sad story.



« Moi, j’t’invite à la fermer, tu m’fatigues ! » Pourrais-je être plus claire ? De toute évidence, non. Pourtant, mon très cher camarade continue à parler. J’ai la tête comme une soucoupe, et lui continue à raconter sa vie. Sa maman a acheté ci, son père a reçu une augmentation de tant... Il commence à me gonfler à penser qu’on en a quelque chose à foutre de sa vie. Pourtant, je suis la seule à vociférer. Je jette un rapide coup d’œil à mes camarades de maison. Certains piquent légèrement du nez, ou d’autres s’amusent à jouer aux échecs. Bordel, je déteste la rentrée à Poudlard. Nous sommes obligés de faire copain-copain avec les nouveaux arrivants pour assurer la bonne entente entre tous les membres de notre maison. Qu’est-ce que j’en ai à foutre de la bonne entente moi ? Je parviens à peine à garder les yeux ouverts, et il n’est que neuf heures et demi du soir. Je me penche alors vers un pote à moi, et lui adresse un sourire circonspect. « Elle se finit quand cette petite sauterie ? C’est pas tout, mais j’me suis levée à six heures ce matin et j’ai cinq heures de travail au Sanglier dans les pattes...» J’entends mon ami glousser. Ah, c’est beau la solidarité amicale ! J’ai juste envie de rejoindre mon lit douillet et de dormir jusqu’au lendemain mais non ! Il faut qu’une petite tête blonde commence à nous décrire la généalogie de sa famille. « T’as repris le travail encore cette année ? » Je grimace alors que je tente de maintenir mes yeux grands ouverts. « Ouais, j’ai pas le choix. Le légume n’a pas encore décidé de clamser, et ça me coûte un bras son institut. Alors ouais, je bosse.» Il me regarde avec des yeux de merlan frit où je lis la pitié. Oh bordel, combien de fois vais-je devoir dire que je ne veux pas que les gens me trouvent pathétique ? Je vais bien, je suis juste très fatiguée. « Hé, Rosa, tu bossais pas aux Trois Balais l’an dernier ? » Je prends un air faussement courroucé alors que je me retourne vers mon pote. « Si mais il paraît que je faisais tâche dans son sacro-saint bouiboui d’alcoolos ! J’ai juste dit à un client qui a renversé trois fois sa bièreaubeurre en une heure qu’il pouvait la lécher à même le sol que je lui en servirais pas une quatrième. Paraît que c’est pas commercial.» Je leur adresse un clin d’œil. Bien évidemment, je sais que j’aurais dû me taire au lieu de menacer le client. Le client est roi. Veinard ! Je m’affale de nouveau dans le canapé de la salle commune tout en enlevant mes chaussures. Je bouge délicatement mes orteils qui eux-aussi ont aussi l’air de profondément s’emmerder. « Hé Rosamund, tu crains ! Remballe tes orteils de d’ssous mon nez.» Pour emmerder le deuxième année, je lui agite mes orteils sous le nez alors qu’il prend un air dégoûté. C’est certain qu’après plus de quinze heures passées enfermés dans mes bottes, mes orteils ne doivent pas être des plus frais. Je commence à mâchouiller une mèche de mes cheveux alors que les petits nains de première année continuent de se présenter. Je me penche vers mon voisin. « Putain regarde le p’tit. Tu mets une olive entre ses fesses, il fai...» Je sens une petite tape sur ma tête. Je penche la tête en arrière pour voir que c’est le préfet en chef qui me demande d’écouter. « Rosamund, t’es passée par là toi aussi... alors fais un effort.» Un effort ? Bordel, il pense que je n’en ai pas fait assez dans ma vie des efforts ? Au lieu de passer mes journées à bosser pour exceller dans le cursus secondaire, je dois travailler à la tête de Sanglier. L’ambiance y est lugubre, et j’ai l’impression que tous les clients sont plus louches les uns que les autres. Si ça continue comme l’an passé, je vais encore redoubler. Et je n’ai pas envie de passer ma vie à Poudlard. J’y ai vécu quelques bons moments mais j’en ai ras le bol des études. Les sièges de la bibliothèque commencent à m’irriter le postérieur... Certes, j’y ronfle plus que je n’y bosse mais au moins, j’y fais acte de présence ! Mes membres commencent à me tirer de partout. Merde hein ! Je commence à remettre mes chaussures et me lève. De nombreux regards se posent sur moi alors que je contourne le canapé pour monter dans le dortoir. « Où vas-tu Rosamund ? Ce n’est pas terminé.» Je passe une main sur mon visage et je me retourne vers le préfet-en-chef en ancrant mon regard dans le sien. « Écoute cul-serré, j’en ai ras le bol de tout ça. Je me suis levée aux aurores ce matin. J’ai tenté de bosser pour ne pas être à la ramasse dès le début de l’année. Après, je suis allée à Pré-Au-Lard pour bosser tout l’après-midi... Alors tout cet artéfact d’entente cordiale entre les élèves, j’en ai strictement rien à foutre.» La vulgarité de mes paroles n’échappe à personne. Je vois le visage du préfet rougir au fur et à mesure de notre petite joute verbale. « Je te trouve gonflée de dire tout ça Rosamund. Nous avons tous voté à la fin de l’année dernière pour que la rentrée se passe chaleureusement.» Je m’approche alors vers lui, en faisant craquer mes doigts. Mon lit attendra encore quelques instants. « Je n’ai pas voté pour ça... Puis McObain, tout le monde a voté n’importe quoi simplement pour se tirer. Alors s’il te plait, laisse les gens fatigués aller se coucher. On n’a pas tous Papa et Maman derrière pour payer les frais extrascolaires. J’aimerais ne pas m’endormir au taf demain ! » Je tente de rester calme alors que les battements de mon cœur s’accélèrent... Ça commence à me tirer au niveau de la poitrine et ce n’est pas bon signe. Je plonge ma main dans la poche de ma cape de sorcier pour prendre un comprimé que j’avale rapidement tout en tournant le dos au préfet. « J’vois qu’il n’y a pas que ta mère qui a des soucis de dépendance Rosamund.» Son ton est sec, et cela sonne pour moi comme un affront. Comment ose-t-il parler de tout ça devant tout le monde ? La salle commune est pleine à craquer. Presque tous les élèves de la maison sont rassemblés pour son bon vouloir, et il ose m’affronter aussi effrontément ? « Tu vois, moi aussi je peux frapper là où ça fait mal.» Serait-ce une menace ? Je me retourne alors vers lui. Mon regard est moins avenant qu’auparavant. Putain, il va regretter d’avoir parlé d’elle. « Demoiselles, damoiseaux, vous avez une parfaite démonstration de la convivialité et de la fraternité au sein de notre merveilleuse maison. Avez-vous entendu de la délicatesse dans les propos du préfet ? Avez-vous entendu cette référence à peine voilée à l’alcoolisme notoire de ma génitrice ? Ah, pour ceux qui ne sont pas au courant, ma génitrice est à présent dans un état semi-végétatif à la suite d’un accident de la route. Voyez-vous dans les derniers mots de votre préfet, celui qui est censé vous représenter aux yeux de toute l’école, l’emprunte d’une quelconque sympathique à mon égard ? Je ne le crois pas... voyez les chers premiers années. C’est la fraternité à Poudlard... et dans le monde en général. Vous ne pouvez compter que sur vous-même.» Tout en parlant sans l’ombre d’un mot vulgaire, je me rapproche du préfet qui n’a toujours pas osé broncher. Alors que je ne suis plus qu’à quelques centimètres de son visage, mon regard agrippe le sien avec violence et détermination. « La prochaine fois que tu la ramènes à propos de ma maman, je n’utiliserai pas les mots pour te remettre à ta place.» Je le fixe encore quelques instants alors que le silence s’est de nouveau installé dans la salle commune. Je monte alors les escaliers, marche par marche. Ai-je bien dit Maman ? Ma...man ?

« Rosamund ! C’est l’heure, tu vas encore être à la bourre en cours de Sortilèges. » J’ouvre péniblement les yeux alors qu’une lueur de soleil bien trop vive à mon goût m’aveugle. La chaleur de ma couette englobe encore mon corps endormi, et je me frotte les yeux pour y voir plus clair. « Hein... ouais. Il est quelle heure ? » Je vois ma voisine de dortoir mettre sa cape de sorcier noire ainsi que son écharpe aux couleurs de la maison. « Il est 8h10... bouge toi ! » Putain, putain ! Je me lève alors rapidement de mon lit, sans éviter l’étourdissement. Les souvenirs de mon rêve me reviennent. Bien sûr, ça ne pouvait être qu’un rêve. Personne ne sait à Poudlard que ma mère, une moldue, était bourrée dix-huit heures par jour. Personne ne sait que je bosse au Sanglier pour payer les frais de son hospitalisation longue durée. Ces petits secrets commencent à me poser. « Ouais, j’arrive...» Cette journée s’annonce encore des plus excitantes.




Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: Mouahaha ! Mouahaha  siffle Je réponds habituellement au nom de Chloé ou Chlo' à la rigueur. Par contre, évitez Cloclo  Hen ! Sur la toile, je suis inconnue mais je me nomme À Bicyclette  GNOE J'adoooore la chanson de Yves Montand  Daengelo C'est mon amûûûûr à moii, j'partage pas  Screwyou  
Aaah je vais sur mes 21 ans aussi, je vieillis à vue d'œil  GNOE 
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je me suis déjà inscrite deux fois ! La première tentative fut avec un scénario & la deuxième tentative fut avec Ariel Weasley, une semi-inventée  Mais Euh ! Cette fois-ci, je reste promiiis  Seb
ϟ Personnage: Inventé, made by myself. Je décline toute responsabilité si vous lisez des bêtises dans cette fiche  Cutie
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Noope ! Not yeeet  boogie
ϟ Présence: Assez souvent je dois dire  Robert47cm Je passe tous les jours & je réponds aux RPs le plus rapidement possible  Potté
ϟ Une remarque? Rafiki vaincra  Daengelo  


Dernière édition par Rosamund A. McElhinney le Ven 21 Fév - 14:21, édité 12 fois
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 10:42 (#)
Emma Roberts Daengelo Bienvenue sur Bp Haww
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 16:01 (#)
(Re) Bienvenuuuue vu que tu fais une nouvelle tentative ! love

En espérant que celle-ci soit la bonne ! Han!
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 18:52 (#)
Bienvenue ! Han!
Leviathan Faust
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Leviathan Faust
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Leviathan Faust, Mar 18 Fév - 19:33 (#)
Bienvenue Haww
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 20:32 (#)
J'aurais juré être passée ici. Hum Bienvenue. Chou
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 21:16 (#)
Bienvenue sur BP !
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mar 18 Fév - 21:31 (#)
Genre je t'avais toujours pas dit bienvenue alors que je t'embete sur le flood? GNOE
BIENVENUEEEE Haww
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Guest, Mar 18 Fév - 21:41 (#)
Certains m'ont déjà dit bienvenue sur mon autre présentation en fait ! J'avais demandé à Silver de l'archiver pour repartir sur de bonnes bases  Mais Euh ! 

Merci  Daengelo 
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Mer 19 Fév - 21:01 (#)
Bienvenue Daengelo
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Invité, Jeu 20 Fév - 18:15 (#)
Bienvenuue Haww
Le Choixpeau Magique
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Le Choixpeau Magique
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Message Re: Rosamund ɤ Screw them all
par Le Choixpeau Magique, Ven 21 Fév - 19:58 (#)
VALIDÉE
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Félicitations, tu es admise
chez les Gryffondor!

Du côté des registres: N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. De plus, en tant qu’élève, il peut choisir une place dans les dortoirs de sa maison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense à aller y faire un tour pour te choisir des petits camarades de chambres. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Et pour finir avec les demandes, toutes demande d'adhésion à l'Ordre du Phoenix ou aux Mangemorts se fait [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] afin que nous puissions réguler les membres y appartenant. Autre chose, il est absolument interdit de poster un sujet trop érotique ou trop violent sans prendre des précautions au préalables. Il vous sera demandé d'utiliser la balise [ hide] pour ce genre de sujets, ainsi que d'utiliser le bouton +18 mis à votre disposition. Si ce compte n'est pas ton premier, ce serait bien que tu le recenses [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, si ton personnage est atteint d'une maladie mentale ou physique, merci de le signaler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Et enfin, pense à poster [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour prévenir si tu acceptes que ton prénom et nom soient doublables ou non.

Du côté du jeu et hors jeu: Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Pour finir, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] te rapportera des points.
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