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if we burn, you burn with us. (talie)
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par Invité, Mar 4 Mar - 5:17 (#)
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Tallulah Rosie White-Chesterfield
FEAT. TAISSA FARMIGA
Dix-sept ans  | Septième année  | Un éléphanteau et un vautour | Née moldue

   
Tallulah Rosie White-Chesterfield. Elle n’aime pas son nom. Elle se trouve laide. Elle ne s’aime pas. Commun, me diriez-vous pour une adolescente. Oui, c’est clair que cela n’a rien de bien spécial. Comme cela n’a rien de bien spécial de ne pas manger parce que l’on se trouve trop grosse, ou de prendre dix ans pour arranger sa chevelure. À cette étape, Tallulah n’est que bien commune en ce qui concerne toutes les demoiselles ayant l’âge de l’acné. Quoi que cette étape est bien passée (et elle n’a jamais eu réellement lieu).
Comment cette non-affection d’elle-même se manifeste-t-elle ? Pas très singulièrement, elle faisait – il y a deux ans – de l’anorexie. Elle chute, elle remonte. Elle a ses angoisses comme tout le monde. Et sans aucune surprise, ses angoisses se reflètent de manière réelle sur son alimentation et ses habitudes. Guérie, elle l’est. Mais l’humain est quelque chose de complexe, semble-t-il.
Bref, outre le fait qu’elle n’a aucune affection particulière pour elle-même, la demoiselle hait profondément son prénom. Ne cherchez pas à comprendre. Elle le hait depuis toujours. Lorsqu’elle était petite, c’était parce qu’elle ne le trouvait pas assez tranchant et qu’elle rêvait de devenir une pirate après avoir lu Peter Pan. Alors, elle avait obligé (oui, oui) toute personne à la nommer Jane. Puis, après une semaine, elle s’était lassée de cela et avait opté pour Talie. Plus court, plus joli – à son goût – et moins embarrassant en ce qui concerne les questions des autres personnes (qui ne sont pas affublés par cet horrible nom). De cette époque, la jeune femme n’a jamais voulu qu’on l’appelle par cela. Les dérivés sont acceptés, semble-t-il. Pourtant, ce nom semble choisi pour elle :
« Idéalistes, sensibles et émotives, Tallulah et Loraine ont tendance, face à l'hostilité, à se refermer sur elles-mêmes. Elles sont courageuses et déterminées. Il y a une sorte de dualité, de double facette chez elles: d'un côté, celle d'une femme affective, sympathique, altruiste à forte sensibilité plutôt extravertie (tendance accentuée si elles sont nées un 2, 9, 11, 18, 20, 27, 29, ou en février, en septembre ou en novembre, ou si elles possèdent un chemin de vie 2, 9 ou 11 ), de l'autre, celle d'une femme introvertie, méfiante, prudente, timide, contrôlée et travailleuse, intellectuelle, qui apprécie la solitude, discrète, à l'esprit critique, parfois cynique. »
Inutile de vous dire que cela pourrait faire une description brève de la demoiselle. Bien sûr, il y a plus que ce côté extrêmement combattif qu’elle possède ou encore cette intellectualité qu’elle possède, il y a elle. Dans toutes ces nuances et toutes ses difficultés à la comprendre. Talie fait difficilement confiance aux autres, bien que lorsqu’elle l’accorde, on découvre une personne exceptionnellement extravertie et prête à faire toutes les conneries possibles. Parce que rien ne l’arrête. Parce que faire peur à des morveux et inventer des plans ingénieux pour sécher les cours sont, en réalité une spécialité. La tristesse, c’est qu’elle ne laisse pas bien voir ce côté d’elle.
Et il y a bien sûr le fait qu’elle soit extrêmement intelligente, qu’elle pourrait stimuler intellectuellement n’importe quel être sur cette terre, qu’elle accepte la solitude comme un cadeau. Indépendante, forte, inaccessible, voilà ce qu’elle est pour toute la population entière. Elle a cette réputation de coincée, qui ne lui va pas très bien en un sens. Ou celle d’avoir un bâton dans le cul. Elle ne se défend pas, n’hausse que les épaules, en se convaincant qu’elle a des idéaux.
Évidemment, vous ne comprenez pas le plaisir de son père derrière cette non-ouverture. Lui, qui n’a jamais réellement accepter le fait que sa petite fille unique soit en réalité une espèce de monstre capable d’enflammer la maison, si ça lui chantait. Il espère encore la voir épouser le petit voisin d’à côté – et joue les entremetteurs de façon extrême – ce qui la fera délaissée ces « mauvaises » habitudes et lui donnera envie de devenir médecin dans un VRAI hôpital. Pas cet hôpital de demeuré de Ste-Mangouste, où elle s’est retrouvée, il y a deux ans, lorsque son état était grave pour son anorexie. Non. Ça lui ferait trop plaisir.
Alors, elle joue le jeu. Parce qu’elle aime voir ce sourire sur le visage de son père et non ce dégoût, qu’elle soupçonne. Qu’elle cherche depuis ses onze ans.
Une fille curieuse, enfoncée dans ses bouquins, qui n’aime pas les limites que l’on lui impose. Sans doute le pourquoi qu’il y a une bible sur son bureau et des livres qui pourraient être considérés un peu trop noirs pour sa personne. Elle semble n’avoir peur de rien, elle semble ne posséder aucune limite.

Elle a fait du ballet de ses trois ans jusqu'à ses onze ans. Elle était très douée, et elle adorait. ▲ Elle a été adoptée, la date exacte de sa naissance est inconnue (elle a été retrouvée après la mort de sa mère biologique, à six mois), mais ses parents adoptifs ont décidé que se serait la date où l'adoption s'est officialisée. ▲ Sa mère était une prostituée et par le manque d'attention de celle-ci, elle a eu un léger trouble de développement dans la première année de sa vie. ▲ Sa baguette mesure vingt-six centimètres, façonnée dans du hêtre et contient un crin de licorne. ▲ Son épouvantard est celui d'une prostituée la traînant dans un vide noir. ▲ Elle est allergique aux noix. ▲ Vierge. ▲ Elle mesure cinq pieds cinq.


   
a little something from you.

   
Archibald.
Le patronus de Talie prend peut-être des formes étranges et porte un nom légèrement dépassé, mais il reste que la jeune femme lui porte une affection sans borne. Il va sans dire qu’il est totalement inadéquat pour elle de vivre sa vie sans lui, depuis son arrivée. Elle, qui aime la solitude, s’est habituée à la présence perpétuelle et silencieuse de l’animal. Sa forme principale est celui d’un petit (il va sans dire, qu’il est tout de même énorme, comparé à un chat, mais enfin) éléphanteau, qui signifie dans la religion hindoue la force, la puissance et la sagesse (la déesse Ganesha).
Alors que, lorsqu’il se change en vautour, il représente la destruction, en quelque sorte. Il va sans dire, que quiconque connaît bien Talie comprend la dualité, qui existe même à l’intérieur de son patronus. Celle-ci s’exprime par ce besoin de se détruire, sa difficulté à s’aimer, à s’accepter (dans toutes les sphères de sa vie, ce qui le prouve parfaitement avec sa façon de chercher le dégoût dans le visage de son père) ainsi que sa personnalité combattive et intelligente.
S’il est difficile pour elle d’apprécier quelqu’un, elle a rapidement adopter l’animal. Le considérant souvent comme un oreiller lorsqu’elle dort, elle se sent en sécurité avec lui, il n’a pas besoin de parler pour qu’elle le comprenne, il la supporte, elle l’aime de manière inconditionnelle. Parfois, elle juge que ce serait s’arracher la peau à vif que de se arracher Archibald de sa vie.



   
Tell me who you really are.

   
ϟ pseudo et âge: 19 y.o. et mon prénom ne commence pas par un n.  NONPASAUBAAAIN 
   ϟ Où as-tu trouvé le forum? Il est tatoué sur mes fesses.
   ϟ Personnage: Personnage inventé.
   ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non, j'en ai déjà eu deux de très actifs (ou trois, je me souviens plus  siffle), j'ai abandonné par causes de changements  Sky  Dae. J'ai toujours réessayer de revenir, mais je finissais jamais par manque de temps (je fais duuuuur).  Arrow je suis lâche (ou trop occupé) faut m'pardonner.  Silvfèlechaud  Igor 
   ϟ Présence: je dirais bien que je compte de planter ma tente RIGHT NOW (où t'as posé tes fesses seixy, làlà), sauf que je veux pas faire de faux espoirs (je suis comme ça  ALBERT). donc, je dirais trois fois par semaine environ, avec au moins un post par semaine.  Robert47cm 
   ϟ Une remarque?  RIP  RIP  RIP  RIP  


Dernière édition par Talie White-Chesterfield le Dim 9 Mar - 5:19, édité 6 fois
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par Invité, Mar 4 Mar - 5:19 (#)
You're not a sad story.

 
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J’aime pas raconter des histoires.
J’aime pas raconter mon histoire.
J’aime pas ma face.
J’aime pas mon corps.
J’aime rien (pentoute).

Sauf qu’apparemment, pour des « remises en question », faut procéder à cela. Faut se dire que finalement, tous les problèmes qu’on a, ça doit être à cause de l’enfance, de notre éducation, de nos désirs refoulés, des envies que l’on a pas assouvis, des cauchemars et des rêves, m’ouin. Tant qu’à faire, je suis Freud pis j’aime ben, ben ça mettre la faute sur les autres (c’est genre un amusement perpétuel, comme celui d’aller glisser sur un toboggan et aller le plus vite possible pour des p’tits kids).
Je considère – et le considérerai toujours – que mon histoire, à moi, commence un 7 février 1963. Mon existence a certainement commencé avant (parce que l’on jugeait que je devais approcher l’âge de six mois lorsque l’on m’a trouvé). Le 7 février 1963 on m’a adopté. À ce qu’on m’a raconté, j’étais, déjà, pas un cadeau. C’était comme si je venais de naître. Aucun attachement pour ce monde. Aucune envie de sortir de ma chaise-haute ou de mon parc. Je chialais dès que ma mère sortait de mon champ visuel.
Et j’avais, à six mois, de la difficulté à marcher à quatre pattes.
Aucune stimulation. Mon développement atteignait des catastrophes. Apparemment, naître d’une prostituée, ça l’aide pas vraiment.
Je suppose que ma mère a fait des miracles, vu que je suis là, une culture générale assez haute et une intelligence légèrement plus haute que la moyenne.  
Ma meilleure amie c’était elle. Et mon meilleur ami mes oursons en peluche. Il n’y avait que cela que je connaissais. Et mon père, bien sûr. Mais mon père, c’est mon père. C’était le gardien de la famille. L’espèce de chef. Celui que l’on sait qui sera là pour nous protéger si le fléau des temps tomberait. Il était indestructible. J’étais si proche et si loin de lui en même temps, c’était fou. Ou normal. J’en suis légèrement incertaine.
Il reste que je ne connaissais rien, personne. Les seules choses que je connaissais, je les avais lues ou je les avais entendues de la bouche de mes parents. Puis, j’eus une nouvelle source : l’école.
J’aurais dû aimer ça. Je veux dire, j’aimais les livres. J’aimais apprendre. C’est sans doute le but unique du principe de l’école. Erreur. J’appris très vite que si mon meilleur ami était un ourson en peluche, il y avait d’excellentes raisons. Les autres enfants étaient des êtres méchants. Parce qu’apparemment « il faut être gentil » pour avoir des amis, je faisais un minimum d’effort (en fait, je me rends compte que j’aurais pu en faire un peu plus), eux non. Ils piquaient mes crayons, jetaient mes livres, me tiraient. Tout ça pour que je joue avec des billes. Des billes c’est con. Et c’est la même chose avec des balles, des ballons ou des poupées.
Je me rendais aussi compte, à vrai dire, que j’avais surtout de la difficulté à réagir à toutes ces émotions. Je comprenais les miennes… Pas celles des autres. J’étais assez calme pour n’avoir aucune difficulté à jouer à des jeux stupides et incohérents. Je demandais un nombre incalculable de fois à ma mère, si elle pouvait me renvoyer de cette école stupide (que j’appelais de manière affectueuse la cage). Je pleurais tous les jours, ou presque, pour ne pas y aller. C’était une crise interminable et abominable. La seule raison, du pourquoi, ma mère continuait à me forcer à y aller, c’était à cause de mon père. Et puis, il y eu Éric. Éric qui déménagea dans la petite maison bleue d’à côté. Éric, qui accepta de m’appeler Talie sans aucune difficulté et sans poser de questions (contrairement à tous ces demeurés de monstres). Éric, qui fut le seul que j’adoptai et que j’étais capable de supporter, parce qu’il était similaire. Sauf que cette petite lumière, ce court laps de temps (où j’appris entre autre la beauté de faire des mauvais coups) s’éteignit rapidement. En fait, jusqu’à mes onze ans.
Parce qu’ensuite, je ne le voyais que l’été et qu’en vérité, je n’avais pas nécessairement envie de garder cette amitié.  
À mes onze ans, j’appris que j’étais une sorcière. Je dû lire une bonne douzaine de fois la lettre, jusqu’à temps que mon père me l’arrache des mains et la brûle. Il ne supportait sans doute pas, le fait que, je n’étais pas comme lui et ma mère. Évidemment, je su aujourd’hui, que leurs inquiétudes en rapport de mon adoption grandirent légèrement. Comme si je provenais de deux parents qui faisaient partie d’un culte étrange (satanique).
Après de nombreuses lettres et la seule perspective pour moi de changer d’école (enfin), mon père abdiqua devant ma mère. De toute façon, ils pensèrent que c’était un mauvais tour joué par quelqu’un.
Erreur. Le jour de l’entrée, je réussi à passer dans un poteau de briques où j’arrivai à une gare étrange dans Londres. Et quelques heures plus tard, j’étais à Poudlard.
Si j’avais détesté l’école (moldue), j’adorais Poudlard. Là, il n’y avait personne qui tentait de me forcer à faire des choses que je ne désirai pas faire. J’avais même quelques amis (ou enfin des connaissances). J’adorais la matière enseignée. C’était bien. J’étais heureuse, ou enfin je croyais l’être.
Bien sûr, il y avait le dégoût de mes parents pour moi, lorsque je rentrais l’été d’après. Le fait qu’ils avaient presque peur que j’étais devenue un monstre. Ma mère m’acceptait plus facilement, mon père non.
Et ce fut inévitable sans doute. Je me dégoûtais presque moi-même. Ce que j’aimais, voir j’adorais, était devenu quelque chose qui ne m’intéressais presque plus. Et mêlé aux changements de l’adolescence, je ne m’aimais plus (est-ce que je m’avais déjà aimé ?). J’avais envie de m’enfoncer dix pieds sous terre. Ce ne fut donc pas sans une certaine surprise que je maigris. Énormément. Dangereusement. Que je n’avais même plus faim. Que je me faisais gerber. L’anorexie, qu’on appelle.
Jusqu’à temps, jusqu’au stade où ce fut, tout simplement, trop dangereux. Jusqu’à temps que je m’évanouisse. On m’envoya à Sainte-Mangouste. Où je restais là, histoire de me guérir. Le corps pis le cerveau. Je n’accumulai pas de retard, j’aurais préféré mourir plutôt que d’accumuler du retard dans mes études.
Tout rentra dans l’ordre, ensuite, je suppose. Tout redevint normal, aussi. Jusqu’à temps, que des animaux, des extrémités de nous à l’intérieur d’animaux apparaissent. Des patronus. Archibald. Je l’aimais (bien). Il s’accordait à moi. Nous étions pareils. Et c’était simple, en soi, avec lui.
Contrairement aux autres. Contrairement à tout le monde. Je troquai mon meilleur ami d’ourson en peluche, pour un éléphanteau, qui se transformait parfois en vautour. J’avais un don pour les choisir, je suppose.


Dernière édition par Talie White-Chesterfield le Jeu 13 Mar - 18:07, édité 3 fois
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par Invité, Mar 4 Mar - 9:28 (#)
J'adore le prénom Chou (re)Bienvenue sur Bp Haww
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 10:27 (#)
(Re) Bienvenuuue ! Chou
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par Invité, Mar 4 Mar - 11:19 (#)
Taissaaaaaa ilhbjygtvhyjk Han!
Rebienvenue Daengelo
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 12:35 (#)
Rebienvenuuuuue. Chou
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 13:08 (#)
L'AVATAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAR dljeaiydgaugzuedzagdgaz bave
Je veux un lien hihi
Re Bienvenue, tu étais qui auparavant? :bril:
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 14:52 (#)
Rebienvenuue Daengelo
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 14:57 (#)
Re bienvenue ! Ton personnage m'a l'air très intéressant. Brille
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mar 4 Mar - 14:58 (#)
TOOOOOOOOOOI Twisted
si tu te recasses, je déménage au Québec pour te stalker et t'attacher à BP Lysfèlagueule sérieusement, je suis trop contente de te revoir, j'espère vraiment que tu vas réussir à rester cette fois Potté tu reprends Tallu du coup? Brille Brille Brille ET JE VEUX MES FREAKING BEBES ROUX JFDSLKFJQSLKDQSJ Twisted

EDIT: je viens d'aller vérifier wiki et même si c'est pas une source 100% sure, je pense qu'on peut s'appuyer dessus pour dire qu'il est quasiment impossible que sa mère ait eu le sida avant elle Potté

Citation :
Les premiers signes de l'épidémie remontent à la fin des années 1970, lorsque des médecins de New York et de San Francisco s'aperçoivent que beaucoup de leurs patients homosexuels souffrent d'asthénie, de perte de poids et parfois même de forme rare et atypique de cancer (comme le sarcome de Kaposi qui s'attaque aux leucocytes). L'existence d'un problème sanitaire est avérée en juillet 1981 lorsque le Center for Disease Control and Prevention (CDC) d'Atlanta relève une fréquence anormalement élevée de sarcomes de Kaposi, en particulier chez des patients homosexuels.

je pense qu'en plus de cela, ça concernait surtout les hommes homosexuels (j'espèrenepasdiredeboulette) au tout tout début. Du coup, si on considère que Talie est née dans les années 60, ça sera pas problable Potté
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Guest, Mar 4 Mar - 16:06 (#)
talluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu Haww

J'espère que tu vas rester avec nous cette fois Potté En tout cas rebienvenue parmi nous *L'attache* Haww
Et pour le SIDA effectivement j'ai peur que ça ne soit pas possible. Hum Pas à notre époque, en tout cas il me semble Hum
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par Invité, Mer 5 Mar - 2:23 (#)
hjfdsfkdslfhkdsgbdsnfk  Chou :3 :fitna: 
Non moi, je vais te kidnapper pour vrai si tu repart.  Hot GNOE braonsebaisse :némé:
Rebienvenue, vilaine chose.  Hide 
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Mer 5 Mar - 9:41 (#)
Re-bienvenue Han!
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Guest, Mer 5 Mar - 10:25 (#)
Talluuuuuuuu Chou
Avec cet avatar dkfsdg bave

Re bienvenuuuue Brille
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Message Re: if we burn, you burn with us. (talie)
par Invité, Jeu 6 Mar - 21:35 (#)
Bienvenue Daengelo
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