18 ans ϟ Secondaire Enseignement Magique ϟ Loup gris des rocheuses ϟ Sang Pur
Si vous ne voyez pas de vous-même ce que je vais vous dire je doute que vous ayez l'intelligence de l'utiliser contre elle remarquez...Arwen...Arwen est unique, et je ne dis pas ça parce que c'est ma maitresse. Arwen peut sembler exubérante au premier abord, elle est souriante, aimable, ouverte, mais en vérité elle cache des fêlures, des doutes, des hésitations qu'elle ne veut pas montrer. Seuls quelques rares personnes connaissent la véritable Arwen, celle qui porte un fardeau que vous ne comprendriez pas. Elle sourit pour se donner contenance et parce qu'elle fait toujours passer le bien être des gens avant le sien, quoiqu'il arrive et dans n'importe quelle circonstance. C'est quelqu'un de profondément bon, honnête et fiable, quelqu'un qui n'abandonne jamais ses amis et qui n'hésiterais pas à se sacrifier pour le bien des autres si cela s'avérait nécessaire. Et je ne dis pas ça parce que c'est ma maitresse mais parce que je le sais. Mais elle ne le sait pas, tout cela lui semble évident, elle croit que tout le monde a ses qualités. C'est son principal défaut, elle ne voit guère les défauts des autres et fait facilement confiance. Elle n'est pas bête cependant et ne fait pas deux fois confiance à une personne qui l'a trahie.
Son autre défaut c'est une certaine propension à....comment dire....être têtue comme une mule ! Et à désobéir. Nous avons parfois des relations conflictuelles, mais au final nous nous aimons profondément et nous faisons chacun ce que nous pensons être le mieux pour l'autre...Même si selon elle il m'arrive souvent de me tromper à ce petit jeu. [en cours]
a little something from you.
Akela, le grand loup gris solitaire, que sa vigueur et sa finesse aurai pu mettre à la tête d'une meute , était étendu de toute sa longueur sur le tapis . Ce loup est apparu sans crier gare dans la vie de la jeune Draeneg et elle ne s'en plaindra jamais. D'un naturel aussi solitaire que l'animal, la jeune fille n'avais jamais eu un grand nombre d'ami, les gens la fuyant pour son origine Draeneg et les on dit de lycanthropisme qui suivent cette famille. Aussi cet animal arriva t il comme un sauveur, celui à qui elle pourrait tout confier, si ce n'est qu'il le savait déjà, bien qu'il l'écouta avec la plus grande attention et la conseilla toujours de son mieux. Lors des nuits de pleine lune, il est semble t il celui qui permet à la jeune étudiante de garder un semblant de raison et d'esprit, mais egalement celui avec qui elle chasse le daim et le cerf. Cet animal est une part d'elle même qu'elle ne saurai renier. Il est ce qu'elle est, il est son meilleur ami. Bien entendu sa seocnde forme est tout ce qu'il y a de plus étonnant. Qui pourrait penser qu'un loup aussi majestueux puisse devenir petit rouge-gorge, mais il est selon lui, l'expression de chacune des facette de sa détentrice. Le loup est son coté sauvage et solitaire, réfléchi et prudent. Alors que le moineau represente la jeune fille en fleur, douce et délicate qui ne cherche en ce monde qu'un peu de compassion et d'amitié dans ceux qui préfère lui tourner le dos.
This one moment when you know you're not a sad story.
Toc, toc, toc, mais qui est là...le loup qui te mangera...
Il était une fois une famille de loups, non pas des loups ordinaires mais des humains que la pleine lune changeait en loups. Beaucoup apprirent à apprivoiser le loup en eux, à le contrôler à ne faire qu'un avec lui, d'autres vécurent cela comme une malédiction, un monstre les privant de leur libre arbitre, de leur humanité, de leurs principes moraux. Mon père était de cette famille, il était de ceux qui voyaient en ce don un don , un pouvoir à ne diffuser qu'aux être de sa caste. Il trouva, après moult recherches une sorcière de sang pur, non effrayée par les pouvoirs de la famille Draeneg, vieille famille des côtes celte et parvint à la mariée. Sa soeur, Alwena avait renoncé à la procréation, vivant leur don tel une malédiction, elle s’enchaînait au sous sol de sa demeure chaque nuit de pleine lune, la crainte au creux du ventre de parvenir à se libérer de ses entraves et de causer quelques dégats ou blessures aux humains alentours. Mais Elrond ne le voyais pas de cet oeil. Il offrirait à sa descendance le pouvoir de cette mutation, le pouvoir de changer de forme et d'éradiquer ces va-nu-pieds de moldus, êtres impurs peuplant le monde qu'eux, sorciers avaient eu tant de mal à construire et maîtriser. Il n’étaient bon qu'a être de simples esclaves, des domestiques au service de leur grandeur et son fils poursuivrait la tradition de la chasse au mordu les nuits de pleine lune. Le mariage ne tarde pas à être fécond et c'est sous les formes arrondis d'une sorcière noir d'ébène que ma vie pris son existence. depuis ma prison j'observais. Lunes interminables, univers opaque, grondements, tornades, séismes. Rares étaient les moments de repos; front contre les genoux, bras autour du cerveau, je pensais, j'écoutais,j'aspirais à ne pas exister. Mais la vie était là, perle transparente, astre qui tournait lentement sur soi. J'étais aveugle. Mes yeux étaient fixés sur cet autre monde, cette autre existence qui s'effaçait chaque jour. Ses couleurs étaient éteintes, ses images devenaient confuses. Il me restait encore des cris étonnés, des pleurs affaiblis. La réminiscence impuissante m'oppressait, la mélancolie me brûlait. Qui suis je ? Demandai-je à la Mort accroupie à mes pieds. elle grogna et ne répondit pas. Où suis je. J'entendais des rires, des voix qui disaient
-"Ce sera sûrement un garçon, Elrond. Il bouge. Il à la rage du loup en lui."
Peu importait qui je serais. J'étais déjà lasse de cette immensité. J'étais lasse d'espérer, d'attendre, d'être moi, le centre du monde. Le bruissement du vent m'apaisait. J'écoutais le ruissellement de la pluie. Dans mon ciel où le soleil ne se levait jamais, j'entendais le chant des oiseaux. Leur voix douce et innocente me berçait. Une main tentait de me caresser. Mais un mur nous séparait. Mère, ombre profilée sur la paroi de ma pensée, savez vous que je suis un vieillard condamné à habiter la prison de votre chair ? Au fond du lac, dans les eaux de couleur sépia, je pivotais, me recroquevillais, me déployais, pirouettais. De jour en jour, mon corps enflait, me pesait, m'étranglait. J'aurais voulu être une pointe d'aiguille, un grain de sable, le reflet du soleil dans une goutte d'eau, je devenais une chair qui éclatait, une montagne de plis, de sang, un monstre marin. Un souffle me soulevait et me balançait. J'étais irascible. Je m'indignais contre moi-même, contre la femme qui était ma geôlière, contre la Mort mon unique amie. On m'attendait. J'entendais que le garçon serait appelé Arzhvaelig. Le bruissement des préparatifs m'empêchait de méditer. On parlait de vêtements, de couches, de fêtes, de nourrices, grasses, blanches, fortes. On interdisait de prononcer mon nom , de peur que cela n'attire mon amie la mort à m'emmener en son royaume. On m'attendait pour commencer là où leurs destins s'étaient arrêtés. J'avais pitié de ces êtres fervents, affables avides. Ils ne savaient pas encore que j'allais détruire leur monde afin de construire le mien. Ils ne savaient pas que j'allais apporter la délivrance par les flammes, par la glace. Une nuit, je sursautai. Les eaux bouillonnaient. Des Vagues furieuses s'écrasaient contre moi. Blottie, je luttais contre la peur en me concentrant sur ma respiration, sur le tiraillement de ma douleur alors qu'un cri d’effrois se faisait entendre au loin. était ce mon cri ? je sentais mon corps se mouvoir, luttais contre ce monde qui tenais prisonnier alors que les cries s'accentuait et qu'un gout nauséabond emplissait ma bouche... Je passais dans une embouchure étroite. Je glissai entre les rocher. Mon corps saignait. Ma peau se déchirait. Ma tête implosait. Je serrais les poings, hurlant ma rage. Quelqu'un me tira de mon calvaire et m'enveloppa dans du tissu qui m'écorchait. J'entendis la voix anxieuse d'un homme: "garçon ou fille? " -Votre femme... L'homme s'empara de moi et tenta de déchirer mon maillot. Le gémissement d'une femme l'interrompit: -Une fille...qui a dévoré votre femme en son sein... Ah! S'écria-t-il avant d’éclater de joie C'est ainsi que naisse les Draeneg!
Mère-Grand...comme tu as de grand yeux... deux femmes veillaient sur ma croissance. Elles se relayaient pour étancher ma soif. Mon Appétit effrayait. Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles de jade, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jours et nuits sans vouloir m'endormir. Mon agitation ravissait mon père qui voyait en moi un loup des plus puissant que notre famille aurait jamais compté. Ses espoirs finirent par me lasser. Sous ma moustiquaire de gaze, je feignais la somnolence pour avoir la paix, une femme chantait en poussant mon berceau. Une autre agitait éventail pour chasser les rares insectes volant qui s'étaient introduits dans cet univers parfumé. Paupières closes, je laissais ma pensée s'envoler par la fenêtre. Le Royaume où père régnait en maître absolu se divisait en deux parties. La partie du Devant était réserve aux invités et aux elfes de maison qui s'affairaient dès l'aube. Ce monde de luxe et d’opulence s'arrêtait devant une porte pourpre où commençait le lieu de vie. Ma grand-mère s'habillait sobrement. son toussotement commandait, son regard ordonnait. Elle était naturellement élégante. Sa famille les Lestrange faisait partie des trente familles les plus importantes du monde des sorciers. Filles, nièce, soeur des grands sorciers de ce monde, cousine des épouses ministérielle. Grand-mère portait la dignité comme un bijou, un manteau, une auréole. elle faisait part de son avis dans la gazette du sorcier et écrivait même au ministre de la magie. Fervente partisane du sang pur, elle observait les alliances de notre monde avec attention et sévérité. Copiant les arbres généalogique d'une écriture soignée, elle rêvait d'une famille pur sur cent générations. Grand-Mère était froide, délicate, apaisante. Sa douceur tranchante et opaque me rappelait le disque d'argent, représentation de la lune, que l'on faisait pendre au dessus de mon berceau. J'avais envie d'elle. L'attente me rendait nerveuse. elle apparaissait de temps à autres après plusieurs jours d'absence. Quand elle arrivait, sa longue cape de soie et son châle interminable de laine faisait frissonner les rideaux de ma chambre. Le sol baisé par ses chausses murmurait de plaisir. Son parfum la devançait. Elle sentait, la foret enneigée, le vent d'est, les corolles chargé de joie. Elle ne me prenait jamais dans ses bras et se contentait de me regarder de loin. Je la dévorais des yeux. Ses lèvres étaient deux pétales pourpre. son visage parfaitement maquillé était lisse comme un miroir. Ses yeux, sous les sourcils broussailleux de la vieillesse trahissais sa déception. Elle aurait voulu un loup, non une louve. Bientôt j'éprouvai le besoin d'aller vers le monde au lieu de le recevoir dans mon berceau. Ne pouvant me tenir sur les pieds, je rampais. Un pas vers l'inconnu exigeait la coordination de tous les muscles. Les yeux fixant un objet, les oreilles aux aguets, la bouche ouverte pour pousser des rugissements muets, je soulevais un bras, une jambe, je fendais l'univers. Un homme barbu se penchait vers moi. Enveloppé dans une cape de soie doublé de zibeline, il paraissait venir de loin, de très loin. en le voyant j'entendais les vrombissement de la magie, le cliquetis d'objets métallique, le hurlement du vent, le gémissement déchaîné du monde. Son odeur bestiale me faisait frissonner. Ses baisers brusques déchiraient ma joue... J'étais définitivement la future Alpha de notre famille... L'année de mes huit ans, père m'offrit un balai et m'autorisa m’exerçais dans le jardin jusqu'au sous bois qui délimitais notre propriété. L'instrument aussi rigide et dur que la glace dégagé une odeur de cire et de paille. Sur sa selle, le monde était à mes pieds.Quand il se mettait à accélérer, mon corps se décomposait, mes pensées s'éparpillaient dans le vent, j'étais une guerrière sur sa forteresse volante, une déesse sur son char ailé. enfin, les jours heureux arrivèrent, pareils au soleil du midi qui tarde à décliner, au printemps qui s'annonce éternel. Dans le ciel d'une enfance sans souffrance, quelques chagrins passaient nuages légers et fugitifs, pour laisser l'immensité à la lumière. Grand-mère m'enseignait, l'art des potions, l'histoire de la magie, la métamorphose et la connaissance des créatures magiques. Pour mon onzième anniversaire, Père donna une fête. Les présents, colline de trésors, s'accumulaient dans le salon de réception. Père m'offrit une tenue de quidditch, une cape de couleur rouge ainsi qu'une chouette effraie. Les proches amies de ma famille m'envoyèrent un collier d'argent au pendentif de loup. La famille de ma mère, m’adressât des compliments grisants. Rougissante et ravie, feignant la timidité, j'accueillais les derniers jours de mon innocence. Chatoiement de la soie, tumulte de la musique, rire, cris furent le bouquet de ce beau feu d'artifice qu'était l'enfance. L'âge puéril est une croisière sur un nuage. Tandis que, là-haut, le paysage céleste qui se déroule semble immobile et éternel...
Qui est né loup ne serajamais renard
Au petit matin du deux septembre mille neuf cent soixante et onze, je me réveillais dès cinq heures du matin et m'habillais d'une robe grise assez simple, ainsi que de ma cape aux armoiries de ma famille. Inutile de porter d'or et déjà ma robe de sorcière! je me changerait dans le train. Je jetais un coup à la liste pour m'assurer que je n'avais rien oublié mais connaissant Grand-Mère, cela aurait tout simplement était impossible. Je vérifiais que Ruz sois bien enfermée dans sa cage puis decendit les escaliers quatre à quatre, trouvant la douérière des Draeneg dans son fauteuil à bascule face au feu, je me stoppais net, surprise de la voir en ce lieux à cette heure alors qu'un rire tel un grincement s'élevait de l'âtre. J'avais eu la même attitude qu'elle même à mon jeune âge et alors que je n'osais bougé elle me rappella les préceptes de notre famille ainsi que l'importance de la pureté de notre sang... Je me contenté d'hochais de la tête avant d'avaler un solide petit déjeuner et d'attendre que neuf heure sonne pour pour partir en compagnie de son père pour la gare King's Cross et la voie neuf trois quart. Le coeur battant, je suivit mon père, conduisant mon petit chariot ou se trouvais ma valise et la cage de Ruz, observant cette homme à l'allure sauvage disparaitre derrière les briques du pilier séparant les voies neuf et dix alors que la jeune fille à la longue chevelure brune que j'étais, le suivait en poussant un petit cri effrayé, se demandant si elle n'allait pas se ridiculisais en percutant le mur, mais ce ne fut en aucun cas le cas. Le quai de la voie neuf trois quatre était enfumé et surpeuplé. De partout on voyais des parents faisant leur aurevoir à leur enfant, des adolescent aidant les plus jeunes à s'installer et un tas d'autres choses de ce genre. Pour ma part, je me contentait de suivre mon père, tentant de ne pas bousculait ou percuter d'autres élèves alors que je me faisais conduire jusqu'a un wagon ou mon père me fit monter me laissant ainsi avec une de mes cousines Black et un autre garçon que je ne connaissais pas mais qui semblait des plus hautains. Puis le sifflet poussa son cris alors que le train s'ébranlait et que tous se disait adieu pour une année. Le voyage fut calme. Personne ne parlais trop dans le wagon au point que la jeune fille à la cape rouge que j'étais failli s'endormir plusieurs fois. Ce ne fut que quelques instant avant l'arrivée au chateau que ma cousine m'emmena aux toilettes pour filles afin de me faire enfiler ma robe de sorcière aux couleur sombre. J'était des plus jalouse de la robe verte et argenté de mon ainée mais savez que moi aussi j'aurais bientot de magnifique couleurs à ma robe. Lorsque le train s'arreta enfin, tout le monde se précipita vers la sortie et descendit sur un quai minuscule plongé dans la pénombre. L'air frais de la nuit me fit frissonner. Une lampe se balança alors non loin de moi alors qu'une voix puissante s'élevait dans la nuit
"Les premières année, par ici. Suivez moi."
Glissant et trébuchant, la file des élèves suivit le garde chasse le long d'un chemin étroit et escarpé qui s'enfonçait dans l'obscurité. Je pensais alors que nous devions nous trouver au coeur d'une forêt épaisse. Personne ne parlais beaucoup. Une jeune fille reniflait un peu d'un air apeuré alors que dans l'assemblée s'élevait un grand "Oooooh!" L'étroit chemin avait soudain débouché sur la rive d'un grand lac noir. De l'autre côté du lac, perché au sommet d'une montagne, un immense château hérissé de tours pointues étincelait de toutes ses fenêtres dans le ciel étoilé. L'on nous fit monter quatre par quatre dans des barques ou était accroché des lampions, puis une fois tous installé, les barques glissèrent sur l'eau du lac dont la surface était aussi lisse que du verre. Tout le monde restait silencieux, les yeux fixés sur la haute silhouette du château, dressé au sommet d'une falaise. après une dizaine de minutes de traversée, les barques franchirent un rideau de lierre qui cachait une large ouverture taillé dans le roc. Les bateaux nous emportèrent alors dans une sorte de crique souterraine et nous fit accoster dans une sorte de crique souterraine ou nous débarquames. Guidé par la lampe du garde chasse, nous grimpames le long d'un passage creusé dans la montagne et arrivames enfin sur une vaste pelouse qui s'étendait à l'ombre du chateau. Nous montâmes une volée de marches et observames la grande porte en chêne massif s'ouvrire sur une sorcière aux cheveux roux, vétue d'une longue robe bleu saphir. elle avait le visage doux des qui aime leur métier. Guidés par cette femme, nous traversâmes l'immense salle au sal dallé et entrâmes dans une petite salle réservée aux élèves de première année. J'entendais la rumeur de centaines de voix qui me parvenaient à travers une porte située à ma droite. Les autres élèves devaient déjà être là. L'exiguité des lieux nous obligea à nous serrer les uns contres les autres, tandis que nous restions debout, silencieux. Le banquet de début d'année allait bientot commencer mais avant que nous prenions place dans la Grande Salle, nous devions être répartis dans les différentes maisons. Cette répartition constitue toujours une cérémonie très importante. Tout au long de notre séjour à l'école, cette maison serait comme une seconde famille. Nous y suivrions les mêmes cours, dormirions dans les mêmes dortoit et partagerions la même salle commune. Les maisons sont au nombre de quatre. Elles ont pour nom Gryffondore, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chaque maison à sa propre histoire et sa propre noblesse, et chacune d'elles à formé au cours des ans des sorciers et sorcières de premier plan...ce dont j'espère aujourd'hui faire parti... La sorcière nous fit un petit speech pour nous expliquer les maisons et le système de point avant de nous faire mettre en rang et nous faire entrer dans la Grande Salle. Je me souviens avoir éprouvait une sensation étrange, comme si mes jambes s'étaient soudain changées en plomb. Je me glissais entre deux inconnus alors que la file d'élèves quittait la salle, pour franchir une double porte qui ouvrait sur la Grande Salle. L'endroit est des plus magnifique. Des milliers de chandelles suspendues dans les airs éclaire quatre longues tables autour desquelles les étudiants sont déjà assis. Au bout de la salle, les professeurs avait pris place autour d'une autre table. On nous aligna face à nos camarades derrières lesquels se tenaient les professeurs. On installa un tabouret à quatre pieds devant les premières années. Sur le tabouret etait posé un chapeau pointu de sorcier. Le chapeau était rapé, sale, rapiécé. Le silence régnat quelques instant avant qu'il ne se mette à remuer qu'une déchirure ne s'ouvre en grand comme bouche le laissant chanter une chanson sur les quatres maison :
Aux temps anciens lorsque j'étais tout neuf Et que Poudlard sortait à pein' de l'œuf Les fondateurs de notre noble école De l'unité avaient fait leur symbole
Rassemblés par la même passion Ils avaient tous les quatre l'ambition De répandre leur savoir à la ronde Dans l'école la plus belle du monde
« Ensemble bâtissons et instruisons ! » Décidèrent les quatre compagnons Sans jamais se douter qu'un jour viendrait Où la destinée les séparerait.
Toujours amis à la vie à la mort Tels étaient Serpentard et Gryffondor Toujours amies jusqu'à leur dernier souffle Tell's étaient aussi Serdaigle et Poufsouffle.
Comment alors peut-on s'imaginer Que pareille amitié vienne à sombrer ? J'en fus témoin et je peux de mémoire Vous raconter la très pénible histoire.
Serpentard disait : « Il faut enseigner Aux descendants des plus nobles lignées » Serdaigle disait : « Donnons la culture À ceux qui ont l'intelligence sûre »
Gryffondor disait : « Tout apprentissage Ira d'abord aux enfants du courage » Poufsouffle disait : « Je veux l'équité Tous mes élèv's sont à égalité. »
Lorsqu'apparur'nt ces quelques divergences Elles n'eur'nt d'abord aucune conséquence Car chacun ayant sa propre maison Pouvait enseigner à sa façon
Et choisir des disciples à sa mesure. Ainsi Serpentard voulait un sang pur Chez les sorciers de son académie Et qu'ils aient comme lui ruse et rouerie.
Seuls les esprits parmi les plus sagaces Pouvaient de Serdaigle entrer dans la classe Tandis que les plus brav's des tromp'-la-mort Allaient tous chez le hardi Gryffondor.
La bonn' Poufsouff' prenait ceux qui restaient Pour leur enseigner tout ce qu'ell' savait. Ainsi les maisons et leurs fondateurs Connurent de l'amitié la valeur.
Poudlard vécut alors en harmonie De longues années libres de soucis. Mais parmi nous la discorde grandit Nourrie de nos peurs et de nos folies.
Les maisons qui comme quatre piliers Soutenaient notre école et ses alliés S'opposèrent bientôt à grand fracas Chacune voulant imposer sa loi.
Il fut un temps où l'école parut Tout près de sa fin, à jamais perdue. Ce n'étaient partout que duels et conflits Les amis dressés contre les amis
Si bien qu'un matin le vieux Serpentard Estima venue l'heur' de son départ. Et bien que l'on vît cesser les combats Il laissait nos cœurs en grand désarroi.
Et depuis que les quatre fondateurs Furent réduits à trois pour leur malheur Jamais plus les maisons ne fur'nt unies Comme ell's l'étaient au début de leur vie.
Maintenant le Choixpeau magique est là Et vous connaissez tous le résultat : Je vous répartis dans les quatr' maisons Puisque l'on m'a confié cette mission.
Mais cette année je vais en dir' plus long Ouvrez bien vos oreilles à ma chanson : Bien que condamné à vous séparer Je ne peux pas m'empêcher de douter
Il me faut accomplir ma destinée Qui est de vous répartir chaque année Mais je crains que ce devoir aujourd'hui N'entraîne cette fin qui m'horrifie
Voyez les dangers, lisez les présages Que nous montrent l'histoire et ses ravages Car Poudlard est en grand péril Devant des forces puissantes et hostiles
Et nous devons tous nous unir en elle Pour échapper à la chute mortelle Soyez avertis et prenez conscience La répartition maintenant commence.
lAux temps anciens lorsque j'étais tout neuf Et que Poudlard sortait à pein' de l'œuf Les fondateurs de notre noble école De l'unité avaient fait leur symbole
Rassemblés par la même passion Ils avaient tous les quatre l'ambition De répandre leur savoir à la ronde Dans l'école la plus belle du monde
« Ensemble bâtissons et instruisons ! » Décidèrent les quatre compagnons Sans jamais se douter qu'un jour viendrait Où la destinée les séparerait.
Toujours amis à la vie à la mort Tels étaient Serpentard et Gryffondor Toujours amies jusqu'à leur dernier souffle Tell's étaient aussi Serdaigle et Poufsouffle.
Comment alors peut-on s'imaginer Que pareille amitié vienne à sombrer ? J'en fus témoin et je peux de mémoire Vous raconter la très pénible histoire.
Serpentard disait : « Il faut enseigner Aux descendants des plus nobles lignées » Serdaigle disait : « Donnons la culture À ceux qui ont l'intelligence sûre »
Gryffondor disait : « Tout apprentissage Ira d'abord aux enfants du courage » Poufsouffle disait : « Je veux l'équité Tous mes élèv's sont à égalité. »
Lorsqu'apparur'nt ces quelques divergences Elles n'eur'nt d'abord aucune conséquence Car chacun ayant sa propre maison Pouvait enseigner à sa façon
Et choisir des disciples à sa mesure. Ainsi Serpentard voulait un sang pur Chez les sorciers de son académie Et qu'ils aient comme lui ruse et rouerie.
Seuls les esprits parmi les plus sagaces Pouvaient de Serdaigle entrer dans la classe Tandis que les plus brav's des tromp'-la-mort Allaient tous chez le hardi Gryffondor.
La bonn' Poufsouff' prenait ceux qui restaient Pour leur enseigner tout ce qu'ell' savait. Ainsi les maisons et leurs fondateurs Connurent de l'amitié la valeur.
Poudlard vécut alors en harmonie De longues années libres de soucis. Mais parmi nous la discorde grandit Nourrie de nos peurs et de nos folies.
Les maisons qui comme quatre piliers Soutenaient notre école et ses alliés S'opposèrent bientôt à grand fracas Chacune voulant imposer sa loi.
Il fut un temps où l'école parut Tout près de sa fin, à jamais perdue. Ce n'étaient partout que duels et conflits Les amis dressés contre les amis
Si bien qu'un matin le vieux Serpentard Estima venue l'heur' de son départ. Et bien que l'on vît cesser les combats Il laissait nos cœurs en grand désarroi.
Et depuis que les quatre fondateurs Furent réduits à trois pour leur malheur Jamais plus les maisons ne fur'nt unies Comme ell's l'étaient au début de leur vie.
Maintenant le Choixpeau magique est là Et vous connaissez tous le résultat : Je vous répartis dans les quatr' maisons Puisque l'on m'a confié cette mission.
Mais cette année je vais en dir' plus long Ouvrez bien vos oreilles à ma chanson : Bien que condamné à vous séparer Je ne peux pas m'empêcher de douter
Il me faut accomplir ma destinée Qui est de vous répartir chaque année Mais je crains que ce devoir aujourd'hui N'entraîne cette fin qui m'horrifie
Voyez les dangers, lisez les présages Que nous montrent l'histoire et ses ravages Car Poudlard est en grand péril Devant des forces puissantes et hostiles
Et nous devons tous nous unir en elle Pour échapper à la chute mortelle Soyez avertis et prenez conscience La répartition maintenant commence.
Lorsqu'il eu fini sa chanson, des applaudissements éclatèrent dans toute la salle. Le chapeau s'inclina pour saluer les quatre tables, puis il s'immobilisa à nouveau. La sorcière sorti alors un rouleau de sa manche et appela les élèves un à un par ordre alphabétique. La lettre D arriva bien vite et on m’appela pour m'asseoir sur la tabouret et porter le choixpeau. Ô, je me souviens si bien de la réflexion du choixpeau pour l'attribution de ma maison...j'étais de sang noble et avait toutes les qualités pour être à Serpentard, mais mon coeur vaillant et le courage dont j'étais muni depuis que j'avais appris le destin que j'avais réservé à ma génitrice l'incité à m'offrir à Gryffondor. Le choix était semble t il cornélien, mais je me retrouvais bien vite dans ma maison, laissant les autres nouveaux venus être appelés et ainsi réparties...
Les années passèrent telle le sable qui glisse dans le sablier de la vie. Sans que je ne comprenne comment j'étais en troisième année de sorcellerie, cette année était particulière pour moi et surtout redouté plus que tout...j'avais treize ans depuis peu...la prochaine pleine lune serait celle de ma première transformation réelle... Inquiète de cela, effrayé du mal que je pourrai causer aux élèves de mon dortoir, j'avais trouvé refuge auprès du maitre des potions qui m'avait administrer une potion tue-loup avant de m'enfermer dans un des cachots de l'école, m'astreignant au sort du silence pour ne pas me faire remarquer....cela marcha à merveille... Je ne me souviens pas de cette première métamorphose, mais j'ai été selon mon professeur des plus déchainées. Ma famille fêta bien sur cela dans la plus grande liesse, j'étais enfin une louve, je pourrai porter la descendance de notre famille. Entre temps, mon père avait rejoins un ordre de sombre sorcier, croyant comme lui à la supérieur des pur de sang et à la soumission des moldus. Que je l'ai hais pour cela. Je ne partageais en rien ses idées. J'avais par moi même que bien des né moldus étaient plus qu'agréable et gentil, bien moins vaniteux que ceux de sang pur que je trouvais exhubérant et inutile... Mais il n'était pas besoin de créer le tumulte dans ma famille...ce qui ne se sais pas, ne fait pas de mal. Aussi ignorais je tout simplement les activités de mon père alors que je continuais ma vie à Poudlard, passant mes nuits de pleine lune dans la cabane hurlante de prés au lard ou, quand j'en avais le courage dans la forêt interdite. J'aimais plus que tout les créatures magique, n'en étais pas une moi même en un sens ? Les cours de soin aux créatures magiques étaient pour moi les meilleurs cours possible et ce fut sans effort aucun que je reussissais chacun des examens de cette matière. Les années passaient si rapidement. D'enfant je devenais femme. Les garçons commençaient à m'observer d'une toute autre façon, mais j'étais bien trop occupée à me consacrer à mes études pour le voir. en cinquième année, j'obtenais onze buse reussissant à avoir des notes optimales en Astromonie, Soins aux créatures magiques, Sortilège, Métamorphose, Potion, Histoire de la magie, Botanique, Défenses contre les forces du mal et un effort exceptionnel en Arithmancie. J'avoue avoir été des plus fier de moi à ce moment, bien que le plus grand des honneurs parvint l'année dernière, lorsque je parvins à obtenir les mêmes resultats à mon ASPIC m'ouvrant ainsi les voies du secondaire et de l'enseignement magique. J'avais entendu dire que notre cher professeur de soin aux créatures magiques prendrait sous peu sa retraite et quoi de mieux qu'être professeur à Poudlard ? Néanmoins, un petit quelque chose vint à troubler cette première année de secondaire. Cela se produisit à la période de Noel, alors que j'étais de retour à Poudlard depuis peu, des nuages argentés étaient apparu aupres de chacun des éléves du chateau, moi comprise. Cherchant à comprendre ce qui se passait, je parcouru plusieurs livres de la bibliothèque sans trouvé aucune réponse. J'envoyais plusieurs courriers à mon père et ma grand mère qui n'en savait pas plus que moi sur l'instant. il fallut attendre quelques jours pour que les choses se concretisent et que l'on apprenne enfin que ce n'était là autre que nos patronus, matérialisés pour notre protection. Apparu auprès de moi, un loup à la fourrure parsemé de gris et de roux, aux grand yeux bleu. Ce Loup mâle comme l'indiquait ses attribut, je le nommais Akela. Je ne m'étais pas étonné de sa forme, c'était meme evident selon moi...moins évident que la forme qu'il pris peu de temps après en devenant rouge-gorge posé sur mon épaule...mais peu importe. Il est mon patronus et je l'accepte... Il m'insufflera peut etre le courage de dire à mon père que je refuse ses principes moraux et son idéologie puriste...
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Léo/ Ari , 24 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? une amie qui m'avais passé le lien ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Peter Dimitrov ϟ Présence: reguliere ϟ Une remarque? non ^^
Dernière édition par Arwen S.Draeneg le Lun 4 Mar - 21:13, édité 11 fois
Son honnêteté et sa loyauté font d'Arwen une Poufsouffle née. N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut faire gagner des points à sa maison pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit hibou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]