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LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
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par Invité, Sam 2 Mar - 21:42 (#)
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Lydwinn Charlotte Netheridge
FEAT. amanda seyfried
vingt et un ans ϟ justice magique ϟ Manchot Empereur & Chat ϟ née moldue

Netheridge. Un nom qui n’évoque rien, ni personne dans le monde magique. Un nom sans passé, sans prestige. Et pour cause, sa détentrice n’est autre qu’une née moldue. Une nouvelle arrivée dans la longue histoire du monde magique. Son sang fait jaser les plus purs, indiffère les sangs mêlés, attire la compassion de ses semblables. Lydwinn n’a que faire des a priori sur le statut de son sang. Elle est fière de représenter deux mondes, deux cultures, deux traditions. Et se plait à ignorer ceux qui montrent du doigt ces « sang de bourbe » qui ternissent le tableau parfait qu’il se plaisent à imaginer. Lydwinn est habituée aux remarques désagréables, aux regards hautains. Depuis qu’elle foule cette terre, elle n’a connu que cela. Elle-même n’a rien d’un monstre, d’une marginale, d’une mal-aimée. Mais son histoire prête aux rumeurs les plus folles, aux anecdotes les plus grotesques. Attachés au Pays de Galles depuis des générations, les Netheridge n’ont jamais été très fortunés. Gens modestes et discrets, ils n’aiment pas attirer l’attention, préférant mille fois la quiétude de leur calme foyer à toute autre chose. Lydwinn déroge quelque peu à la règle. Enfant malicieuse autant que curieuse, elle n’a jamais adopté la sempiternelle routine qui gouverne l’existence des siens. Allant même jusqu’à se découvrir des dons pour la sorcellerie, comble de l’original pour une famille qui se voudrait sans histoires. Le sort ne s’est pas montré clément avec cette famille, et pourtant, ils conservent une forme d’optimiste qu’on ne peut que saluer. Dans les yeux de Lydwinn, une tristesse permanente s’est encrée, rappelant à ceux qui savent lire son regard désolé qu’il ne faut pas se fier à ses sourires. Lydwinn possède une carapace qui la protège du monde extérieur. Sous ses airs d’enfant fragile, derrière ses grands yeux humides, se cache une volonté de fer, une surprenante détermination. Elle tient beaucoup de son père. Les Netheridge ont toujours été des gens bons, courageux, impossibles à ranger dans une case. De sa mère, elle tient cette fragilité qui lui colle à la peau. Cette irrépressible crainte de ne jamais être à la hauteur. Cette peur de tomber dans les mêmes travers, de reproduire ces mêmes erreurs, de connaitre le même destin fatal. Lydwinn est en proie à une lutte constante entre deux héritages : celui du père, qui la pousse à toujours aller de l’avant, qu’importe les remarques ou les humiliations, et celui de la mère, éternelle mélancolique, poupée de porcelaine qu’un simple choc suffirait à briser. La jeune fille n’a jamais brillé dans un domaine particulier. Elle n’a jamais pensé faire de grandes études, s’est toujours contentée d’avoir de bonnes notes sans jamais se demander si elle était capable de faire plus. Curieuse, avide d’en apprendre plus sur la magie, ce n’est pas tant la connaissance qui guide ses recherches, que son envie de tout connaitre, pour se sentir plus puissante, plus sûre d’elle. Car pour elle, la puissance est liée à la maitrise. Et avec le temps, elle a fini par se persuader que pour ne pas finir comme sa mère, il lui fallait tout contrôler. Jeune fille indépendante, elle est sympathique, mais peine à trouver sa place dans un groupe, préférant s’isoler des autres. Douce et patiente, elle aurait pourtant toute sa place parmi les autres, mais sa peur de se livrer et d’être déçue par la suite met une barrière entre elle et le reste du monde. Ce manque de courage lorsqu’il s’agit de se lier aux autres détonne avec le courage dont elle fait preuve pour tout le reste. Ses déceptions passées l’ont endurcies, si bien qu’aujourd’hui, elle encaisse les coups sans fléchir, bien moins fragile que ce que l’on pourrait croire au premier abord. Lydwinn n’est pas une grande bavarde. Elle pèse ses mots, observe plus qu’elle ne juge. Têtue et déterminée, Lydwinn ne baisse les bras que lorsqu’on son moral est au plus bas. Jeune fille enjouée, en général, elle a le don de s’émerveiller devant les toutes petites choses qui font le monde magique. Elle savoure chaque chose, toujours surprise à l’idée d’être là. Sa vie fut pendant longtemps si morne et si banale, qu’elle s’étonne encore du chemin parcouru jusqu’à présent.


a little something from you.

Les dieux de la magie auraient ils cherchés à vexer Lydwinn en lui attribuant pour patronus un manchot ? La surprise fut de taille, lorsque son patronus se révéla à elle. D’abord décontenancée, surprise de voir que son propre patronus semblait la trouver suffisamment froide pour vouloir la représenter de cette manière, elle prit la peine d’y réfléchir un instant, et changea d’avis. Le manchot – empereur, s’il vous plait – était bien plus qu’un animal polaire qui pouvait laisser croire que Lydwinn était aussi chaleureuse qu’un glacier. De toutes les photos qu’on pouvait voir sur ces animaux, rares étaient celles où il était loin de sa famille. Et si celle de Lydwinn n’était pas parfaite, sinon brisée, elle n’en restait pas mois la sienne, aimante et réconfortante. Le chat, l’autre forme qu’adopte son patronus, complète à merveille la première et l’équilibre : l’indépendance des félins rappelle la distance que Lydwinn a avec le monde, son regard observant plus qu’il ne juge, sa discrétion mimant les pas feutrés des chats lorsqu’ils se déplacent. Un manchot et un chat. Mélange peu commun, sinon étonnant, mais qui donnent à Lydwinn le sentiment d’être comprise, soulagée de voir à quel point sa magie a su lire les tréfonds de son âme. Par commodité, et parce que la démarche d’un manchot est passablement lente et grotesque, Lydwinn incite son patronus à opter pour sa seconde forme lorsqu’elle se déplace.
Au tout début, la jeune fille était craintive face à cet intrus qui collait à chacun de ses pas. Elle ne se reconnaissait que partiellement dans son patronus, et elle qui aimait tant avoir ses moments de solitude, devait faire un très sur son indépendance : où qu’elle aille, elle ne serait plus jamais seule. C’était avant de réaliser que son compagnon était en parfaite adéquation avec ses propres désirs. Il se faisait silencieux quand elle avait besoin de calme, drôle quand il fallait lui rendre le sourire, affectueux quand sa maison lui manquait. Bientôt, Lydwinn noua un lien très fort avec son patronus, appréciant sa compagnie et savourant toute l’attention qu’il pouvait lui porter, et qu’elle lui rendait en retour. Elle ne sait pas si ces liens tissés avec son patronus sont fait pour durer, mais si le sort venait à se dissiper demain, nul doute que la jeune femme compterait parmi ceux qui se sentiraient dépossédés d’une partie d’eux même.


This one moment when you know you're not a sad story.

Tout avait commencé par un coup de foudre. Un bref regard, un sourire partagé, quelques rendez-vous galants. Deux ans plus tard, James Netheridge épousait Hestia Wells. Le conte de fée n’était toutefois pas fait pour durer. Fragile et vulnérable, Hestia avait un moral délicat que la moindre épreuve venait perturber encore davantage. Ses sourires cachaient son mal être, taisait son désarroi face aux difficultés de la vie. Tout comme James, elle venait d’une famille modeste, née et élevée dans les banlieues monotones de Cardiff. Tout comme lui, elle avait connu l’indifférence de sa famille, et s’était jurée d’être une bien meilleure mère et une bien meilleure épouse que sa mère avant elle. Persuadé que son éternelle tristesse viendrait à disparaitre avec le temps, James choyait son épouse, et s’était convaincu que construire au plus vite une famille viendrait à lui rendre les idées plus légères. Le destin en avait toutefois décidé autrement. Hestia tomba bel et bien enceinte, mais perdit son enfant après quelques mois de grossesse. On la disait trop mince pour porter un enfant, trop faible pour le mener à terme. Plus morose que jamais, Hestia voyait peu à peu ses rêves disparaitre, ses idées noires gagner du terrain. Pendant presque dix ans, rien ne changea. Le couple s’éloigna peu à peu l’un de l’autre, James ne sachant plus quoi faire pour soulager les tourments de son épouse. Il abandonnait peu à peu le combat, préférant fuir la compagnie de sa femme pour celle de ses amis avec qui il écumait les bars. Ces distractions ne visaient qu’à lui faire oublier la médiocrité de son existence, l’échec qu’était devenu son mariage. Quand Hestia tomba de nouveau enceinte, James n’osa pas se réjouir. Il se souvenait trop bien des espoirs placés dans la grossesse précédente, espoirs déçus qui n’avaient au final fait qu’empirer les choses. Pourtant, l’enfant que portait Hestia résista à sa santé instable et sa maigreur affolante. Hestia elle-même semblait porter plus d’attention à cet enfant à naitre qu’aux nombreux maux qui l’occupaient habituellement. Sa dépression s’envolait presque, et si elle restait triste et effacée, elle préparait l’arrivée de l’enfant, une fille, avec un intérêt qui surprenait James lui-même. Quelques mois plus tard naissait Lydwinn, poupée de porcelaine arrivée près d’un mois trop tôt. Comme sa mère, ses cheveux blonds et ses yeux gris lui donnaient un air frêle qui, connaissant la mère, ne présageait rien de bon pour l’enfant. Pourtant, lorsque sa petite main se referma sur le doigt de son père, celui-ci su qu’elle était forgée dans un moule différent. L’emprise était celle d’une enfant qui, à peine âgée de quelques heures, montrait plus de force que sa propre mère. James se sentait déjà moins seul. Désormais, il avait une bonne raison de rentrer tous les soirs à la maison.

La jeune Lydwinn était une enfant douce et aimable, qui faisait la fierté de son père. Sa mère s’en était vite détournée, ses propres tracas l’isolant complètement du reste du monde. Elle était retournée dans sa dépression aussi vite qu’elle en était sortie, s’isolant dans le calme et la solitude. A la différence que cette fois ci, James n’avait plus envie de lui tendre la main. Il avait une fille à élever, et n’avait qu’une obsession en tête : faire en sorte que le sourire de Lydwinn ne s’estompe jamais. Il refusait l’idée qu’elle puisse un jour sombrer comme sa mère avant elle. Car si Lyne était une charmante enfant au caractère affirmé, capable d’encaisser les moqueries que les autres enfants du quartier lui adressaient à propos de sa mère, elle flanchait à chaque désillusion. Chez les Netheridge régnait en permanence un silence étouffant. Hestia préférait rester à la maison, n’ayant plus le courage nécessaire pour affronter le monde extérieur, et préférant la tranquillité et l’isolement que la lecture, le seul passe-temps qui semblait encore égayer ses journées, pouvait lui procurer. James passait son temps à travailler dans une usine minable du quartier, pour ramener un minimum d’argent dans le foyer. Lydwinn dû très vite faire preuve d’indépendance. Contre l’avis de son père, alors qu’elle n’avait pas dix ans, elle sortait souvent de chez elle, trainait avec les autres enfants du quartier, partait à l’aventure dans la forêt voisine, discutait des heures avec le mendiant du coin de la rue… Tout ce qui pouvait la tenir à l’écart de cette demeure où Hestia déprimait sans cesse, condamnant sa fille à assister à un triste spectacle. Lydwinn aimait sa mère, mais n’avait pour elle aucune compassion. Elle lui reprochait sans oser l’avouer tout ce qui n’allait pas chez elle, depuis sa santé fragile jusqu’aux moqueries qui émanaient de ses camarades de classe. A l’école, elle était connue comme la fille de la folle. Hestia n’avait pas perdu l’esprit, bien entendu. Mais pour un enfant, ce comportement si étrange ne trouvait pas d’autre explication. Les adultes n’étaient guère mieux avec James, si bien que leur progéniture se pensait tout permis lorsqu’il s’agissait de ridiculiser Lydwinn. Le père et la fille s’étaient rapprochés dans cette épreuve, appréciant le réconfort que la simple présence de l’autre suffisait à apporter. Car l’indifférence d’Hestia à leur égard leur donnait souvent l’impression de ne pas exister.

Lorsque Lydwinn était entrée à l’école, sa mère avait eu un regain d’intérêt pour elle. Ca n’avait pas duré longtemps. L’espace de quelques mois, elle avait cru pouvoir partager son intérêt pour la lecture avec son unique fille. Avant de réaliser qu’elle n’était définitivement plus faite pour vivre en société. Son isolement était désormais total, et son mutisme douloureux pour son entourage. Hestia n’était pas totalement coupée du monde, elle voyait bien que son attitude pesait lourdement sur les siens. Aussi, après des années à voir les siens souffrir par sa faute sans qu’elle sache comment soulager leur peine, elle réalisa bien vite qu’il n’y avait plus qu’une issue à son problème. La fuite. Quitter les siens pour qu’ils s’épanouissent loin d’elle. Vingt fois elle prépara sa valise, prête à s'en aller pour de bon. Vingt fois, elle réalisa qu'elle ne pourrait pas vivre ainsi, rongée par le remord, mais surtout incapable de survivre seule. L’esprit névrosé d’Hestia continua son chemin. Fuite il y aurait bel et bien, mais de la façon dont elle l’avait planifiée au départ. Un matin de novembre, l’année des huit ans de Lydwinn, Hestia se leva en silence, prépara le petit déjeuner pour sa fille et son mari, comme chaque matin depuis des années. Toujours sans un bruit, elle quitta la maison, prit la voiture, et commença à rouler pendant ce qui lui sembla être une éternité, dépassant la banlieue de Cardiff, dans laquelle vivaient les Netheridge, roulant sur des kilomètres, sans savoir où s'arrêter. Quand elle arriva devant les falaises d’Ogmore. Garant sa voiture sur le bas-côté de la route, laissant les clefs sur le contact, elle marcha droit devant elle. Sur le bord, sans hésiter, elle bascula en avant. Quelques secondes plus tard, son corps inerte gisait sur le sol rocailleux. Lydwinn et son père apprendraient la nouvelle quelques heures plus tard, après avoir passé la journée à parcourir les rues de la ville à sa recherche. Ce jour-là, les dons de sorcière de Lydwinn se manifestèrent pour la première fois, quand, en larmes, elle vit la photo de sa mère qui trainait sur la cheminée lui adresser quelques mots d’adieux.

« Poudlard ? » Son père répétait ce même mot depuis une heure. Persuadé qu’en l’apprenant par cœur, il finirait par comprendre ce qu’on lui disait. Le sorcier assit en face de lui affichait un air enthousiaste, sa bonhomie ravissait la jeune Lydwinn, assise en bout de table. Ses grands yeux gris ne quittaient pas l’homme des yeux, surtout depuis que ce dernier venait de faire une démonstration de ses talents. Il assurait à Lydwinn qu’un jour, elle pourrait en faire autant. Fascinée, la gamine n’en revenait toujours pas d’avoir vu la vieille théière ébréchée de sa grand-mère se transformer en cochon de lait. Depuis la mort de sa mère, les évènements étranges s’étaient multipliés. Les enfants de son école avaient cessé toute moquerie, trop craintifs à l’idée que l’un d’eux se fasse à nouveau attaquer par tous les ballons qui trainaient dans la cour de récréation. Son père mettait tous ces phénomènes qui entouraient désormais sa fille sur le compte du deuil. En quelques années, elle avait beaucoup changé, devenant plus que jamais cette jeune fille individualiste, sur la défensive. La faute au suicide de sa mère, James en était persuadé. Avec son père toujours au travail, Lydwinn passait des heures entières seule à la maison, sans autre compagnie que celle de ses peluches et des photos de famille accrochées sur les murs. Dans ces moments-là, Lydwinn craignait de rester seule. Elle avait peur de finir comme sa mère, emmurée dans ses pensées, incapable de s’en sortir, de remonter la pente. Car si sa mère avait été aussi fragile, tout laissait croire à la jeune fille qu’elle aurait peut-être, un jour, à faire face aux mêmes tourments. Lydwinn ne pouvait même pas compter sur ses amis pour lui changer les idées. Comme tous les gosses du quartier, ils craignaient la fille étrange qu’elle était devenue, celle dont les émotions trop puissantes faisaient griller les ampoules, exploser les verres, donner vie aux objets inanimés. Désormais, Lydwinn et son père avaient une explication à toutes ces choses hors du commun : elle était une sorcière. Et une école spéciale existait pour les gens comme elle. James était dubitatif, il n’était jamais simple pour un moldu d’admettre que son enfant était différent. Encore moins quand cela voulait dire qu’il fallait qu’il laisse partir son unique famille dans un lointain château d’Ecosse. Il n’avait pas l’argent pour lui payer ce collège, disait-il, ni ses achats extra-scolaire. Il jurait déjà que Lydwinn ne trouverait pas sa place si loin de sa maison. Pourtant, partir d’ici était exactement ce que la jeune fille voulait. Son père allait lui manquer. Mais le reste, certainement pas. A force de supplication, Lydwinn obtint gain de cause. A la rentrée suivante, âgée de onze ans, elle fit ses premiers pas à Poudlard. Tout semblait l’émerveiller, depuis les barques magiques jusqu’aux fantômes qui hantaient les couloirs du château.

Le temps passa, et Lydwinn acquit la conviction qu’elle avait enfin trouvé sa place quelque part. Ici, rares étaient ceux qui connaissaient son histoire en dehors de Poudlard. Elle avait honte de parler de sa mère, de son histoire, de la pauvreté de sa famille ou des moqueries qui avaient jalonné son enfance. Ici, elle était quelqu’un d’autre. Une jeune fille sûre d’elle, curieuse, qui avait suffisamment de répondant pour qu’on la laisse en paix. Ses camarades ignoraient tout des démons qui la hantaient, de ses peurs perpétuelles de perdre pied à son tour. A Poudlard, le temps passait trop vite. Elle avait réussi ses examens, entamé son cycle supérieur. Elle avait choisi justice magique, espérant ainsi entrer dans le service de relations avec les moldus. Faire un trait d’union entre sa vie de sorcière et sa vie de moldue, associer deux aspects de son existence qu’elle mettait un point d’honneur à séparer jusqu’à maintenant. Jamais elle n’avait cru qu’elle pourrait un jour faire des études. Sa famille n’avait jamais envisagé de pouvoir lui payer des études supérieures. Pourtant, dans le monde des sorciers, tout lui semblait plus facile. Et puis, Voldemort commença à marginaliser les gens comme elle. Lydwinn avait toujours été plutôt discrète, et s’en félicitait presque, désormais. Pessimiste, elle se disait que la malchance qu’elle avait connue plus jeune commençait à la rattraper une nouvelle fois. A l’époque, elle avait pu fuir pour rejoindre Poudlard. Mais désormais, où irait-elle ?


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: violaine et 23 ans
ϟ Où as-tu trouvé le forum? j'ai le droit de vous envoyer voir mon autre fiche pour le savoir?
ϟ Personnage: Inventé tout ça c'est dans ma tête
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Pyrrhus, pour pas te servir.
ϟ Présence: oui. *sors*
ϟ Une remarque? :ass:


Dernière édition par Lydwinn C. Netheridge le Lun 4 Mar - 22:01, édité 8 fois
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par Invité, Sam 2 Mar - 21:47 (#)
Pyrrhuuuuuus Youpi en clair, rebienvenue What a Face :3
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Message Re: LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
par Invité, Sam 2 Mar - 21:49 (#)
Rebienvenue 8D

J'adore prénom que tu as choisis pour ton perso *____*
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Message Re: LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
par Invité, Sam 2 Mar - 21:58 (#)
BIENVENUUUE :phoe:
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Message Re: LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
par Guest, Sam 2 Mar - 21:59 (#)
Rebienvenuuue ! Omg le gif pour ton patronus ! XD Daengelo

Le Choixpeau Magique
pnj - we are all subjects to the fates
Le Choixpeau Magique
Répartition : 19/01/2013
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Message Re: LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
par Le Choixpeau Magique, Lun 4 Mar - 22:21 (#)
VALIDÉE
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Félicitations, tu es admise
chez les Gryffondor!

Le courage de Lydwinn face à sa situation et aux moqueries des autres feront d'elle une excellente Gryffondor. N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut faire gagner des points à sa maison pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit hibou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Message Re: LYDWINN (-) Either people accept you for who you are, or they can fuck off.
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