Laszló est né un 9 avril dans un hôpital de Budapest en temps de guerre. C’est durant la période sombre que vivaient les pays de l’Est européen que le jeune garçon du grandir. Tous le gouvernement européen sorcier dû lui aussi faire face à cette boucherie et le père de Laszló dû, jusqu’à ce que celle-ci s’achève, défendre son pays et la population sorcière continentale. Il fut donc privé de père durant trois ans. Et pendant cette période, il avait appris à marcher et à parler même.  
Il passa le plus clair de son enfance comme fils unique dans le vaste manoir appartenant à sa lignée. Il paraît évident que pour un petit garçon, une si grande habitation pour lui seul lui paraissait un peu vide. Un peu précoce, il développa ses premiers signes de magie dès l’âge de cinq ans. Il va sans dire que dès lors qu’il les manifesta, il fit la fierté de ses parents qui s’émerveillaient des dons qu’il réussissait à provoquer.
Plus il grandissait et plus il apprenait sur La magie et plus il trépignait d’impatience de rejoindre une académie l’enseignant. Il aurait dû rejoindre l’école de Durmstrang étant la plus proche de son lieu d’habitation mais ses parents qui s’opposent catégoriquement à la magie noire obtinrent une dérogation pour qu’il aille à Poudlard, bien mieux réputée.

Sa lettre arriva par hibou durant le mois de juillet. Ni une ni deux, sa famille pris la direction de Londres. Là-bas, ils se rendirent au fameux « Chemin de Traverse ». Après y avoir fait ses achats pour la rentrée scolaire, il ne tarda pas à prendre le train qu’on aime appeler le « Poudlard Express » à destination de sa nouvelle maison. Déjà dans le train les mauvais regards se tournaient vers lui. On ne savait pas qui il était et son accès de l’Est firent grincer des dents. Il ne demandait pourtant rien à personne mais dû subir les mauvaises langues de Poudlard. Il ne connaissait pas ce nouveau monde, en Hongrie, il avait été scolarisé dans une toute petite école mais la foule de ce collège l’impressionnait et il se refermait.
Laszló a été ce qu’on nomme un « Chapeauflou », en effet le Choixpeau demeurait indécis pendant près de six minutes ce qui eut le don de faire rougir la tête qui se trouvait en dessous. Il allait aussi bien chez la maison de Rowena Serdaigle que celle de Godric Gryffondor mais après de longues réflexions, le chapeau l’envoya à Gryffondor. Dans cette maison il développa son hardiesse et se découvrit une réelle passion pour la défense contre les forces du mal mais aussi pour l’histoire de la magie.

C’est lors de sa troisième année que son hibou lui apporta un courrier qui était extrêmement rares. La lettre provenait de sa mère.  Elle avait des nouvelles à lui annoncer. Tout d’abord la future naissance d’un frère. Mais également la mort de son père dans les rues de Budapest. Il était alors partagé. Partagé entre l’euphorie d’avoir un petit frère, une nouvelle compagnie dirait-on. Mais il était aussi ensevelit par de la rage. Mais il ne pourrait pas se permettre d’exploser ainsi et surtout maintenant. Non, il devait se canaliser. S’il avait extériorisé, les dégâts seraient énormes. Mais il trouva une chose pour apaiser ses tensions, il bûcha. Aussi étonnant que cela puisse paraître il trouva dans le travail une échappatoire. Cela se ressentit dans ses résultats qui excellèrent. EE était la mention commune dans les devoirs du jeune homme.

L’année touchait à sa fin et il rentra chez lui – il habitait désormais en Angleterre, plus rien ne retenait sa mère en Hongrie. Il découvrit alors un petit garçon, mais pas comme les autres. On l’aurait dit atteint du mutisme. Pas un sourire pour son frère, pas un regard aimant. Rien. Déçu d’apprendre que son petit frère était atteint d’une maladie moldue : l’autisme, il se referma encore plus. Il fallait dire qu’il allait de déception en déception. Il considéra tous les malheurs qui lui arrivaient comme une certaine injustice. Il ne comprenait pas pourquoi tout lui tombait subitement dessus.  
Laszló savait une chose : son père avait été fier de lui et même s’il n’était plus une raison pour abandonner. Le fils voulait faire honneur à son père et pour se faire, il passa le reste de sa scolarité à bosser d’une manière si surprenante qu’on pouvait se demander s’il n’était pas malade. Il progressait de manière fulgurante et se montra presque comme l’élève le plus puissant de toute sa génération, ce qui lui valut les félicitations d’Albus Dumbledore.

C’est donc très facilement qu’il trouva du travail au ministère de la magie britannique. Il eut le poste d’auror qui est un des plus réputé mais aussi l’un des plus difficiles à atteindre. Son talent indéniable le conduit bientôt à être l’un des meilleurs de son département. Il a réussi à se faire un tas de relations au sein du ministère et eut une liaison avec une auror. Une certain Amber qui, pour être honnête, a fait chavirer le cœur insensible de Lazsló. Jamais il ne lui avoua que dès qu’ils purent faire connaissance, son cœur s’est emballé et que chaque fois qu’il la voyait, son cœur tambourinait contre son torse.
Aujourd’hui, alors qu’il est parti du ministère, il tente de refouler ses sentiments, en vain.