| Marie — Normalerweise haben die Kinder keinen Unterschied. Sondern es gibt den Zauber.par Invité, Sam 14 Juin - 20:46 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Marie Wenday FEAT. Dasha Sidorchuk 15 ans ϟ Cursus primaire ϟ Cheval — Lapin ϟ Née-moldue Nom: Wenday Prénom: Marie Âge et Date de Naissance: 12/03/1965 (→ 15 ans) Nature du sang: née-moldue Situation familiale: [parents divorcés & un frère] Son père est un ex-homme d'affaire, arrêté pour fraude fiscale alors que Marie n'avait que 4 ans. A sa sortie de prison, 6 mois plus tard, il apprit l'intention de sa femme de divorcer, et s'empressa de conclure l'affaire afin de partir aussi vite que possible pour le Brésil. Plus de nouvelles depuis. Sa mère était une chimiste reconnue jusqu'à ce qu'elle demande et obtienne le divorce. Après ça, elle entreprit des études de pâtisserie/chocolaterie, et ouvra un modeste salon de thé en banlieue londonienne. Mais l'entreprise ne marche pas. Son frère, moldu jusqu'au bout des ongles, travaille comme serveur dans un bar londonien. Il a 7 ans de plus que Marie, et ne s'entend pas avec sa mère et sa soeur. Patronus: Un cheval qui se transforme en lapin (ou l'inverse ) Miroir du Rised: Être capitaine d'une équipe de quidditch avant de devenir journaliste à la Gazette du Sorcier Composition de la baguette magique: Bois de vigne et plume de phoenix, 40 cm Epouvantard: Une femme en robe de mariée, mutilée, ensanglantée avec des membres arrachés qui rampe vers elle en respirant bruyamment Etudes Suivies: Cursus primaire [+ divination et soins aux créatures magiques] Animal de compagnie: / Caractère Si vous croisez Marie, vous ne remarquerez rien, à part peut-être ses longs cheveux roux et son visage mutin. Si vous vous attardez un peu plus, vous verrez ses nombreuses tâches de rousseur, qui, comme les nuages, dessinent des formes sur ses joues et son cou. Et si vous la détaillez, vous la trouverez probablement très banale, voire négligée : ses cheveux sont tantôt gras, tantôt rêches, ses avant-bras sont constellés de plaques d'eczéma, son front de boutons d'acné, un de ses yeux louche légèrement, ses dents ne sont pas d'une blancheur éclatante, sa peau est trop pâle, son corps n'est pas idéalement proportionné, et ses vêtements datent d'un temps révolu depuis longtemps... Mais ce n'est pas ça qui vous interpellerez le plus ; si vous détaillez vraiment Marie, vous vous direz sans doute que ce doit être là une adolescente bien taquine. Et vous aurez raison. Du moins, en partie. Marie est d’un naturel facile, drôle et dynamique. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, mais reste néanmoins toujours correcte avec tout le monde. Naturellement, il lui arrive de ne pas mesurer ses paroles, d’être insolente ou de s’emporter, toutefois ces moments restent relativement rares, et c’est toujours chez elle la joie qui prime : elle aime rire, faire des farces, être la victime de ces mêmes plaisanteries, s’amuser de manière infantile… En somme, c’est une adolescente tout à fait normale. La plupart du temps. En fait, Marie ne s’énerve quasiment jamais, ou du moins pas sérieusement. Mais il y a bien une chose qui la fait sortir de ses gonds : quand on la traite de « sang de bourbe ». Elle ne comprend pas d’où vient cette haine des moldus. Les gens à Poudlard sont là car ils méritent leur place, en tant que sorcier. Alors qu’ils soient sangs-purs, sangs-mêlés, ou moldus, le résultat est le même : ils sont tous dotés de pouvoirs à priori surnaturels, qu’ils doivent apprendre à maîtriser, avec plus ou moins de talent. D’ailleurs, Marie ne s’investit pas particulièrement dans ses cours, et cherche juste l’application. Elle connaît les sorts, elle sait les lancer. C’est tout, et ça lui suffit. Au final, Marie n’est ni belle, ni intelligente, ni avenante ou enjôleuse ; elle possède juste une certaine joie de vivre, une vision simpliste mais terriblement optimiste de la vie, un courage dû à son manque d’analyse et de discernement. Elle a un certain charme, qui vient peut-être de sa voix et de son rire enroués, ou de son haussement de sourcils particulier, ou bien des ses grands yeux noirs rieurs… a little something from you. Décembre 1978 Depuis quelques jours déjà, il y a une espèce de lapin qui me suit ; je ne sais absolument pas ce que c'est, ni d'où ça provient, mais je suis attirée par lui. Il m'intrigue. C'est très étrange, certes, mais ça possède un petit quelque chose qui me plaît énormément. Comme si j'y étais reliée, que c'était un ange gardien, un protecteur, un ami. En plus, c'est un bien drôle d'animal : ce lapin est, contrairement à tous les lapins, d'un calme absolu. J'ai l'impression que ça me surveille, que ça me regarde, mais que ça ne trouve pas d'intérêt à s'amuser, courir, et sauter comme toutes les bêtes. Je ne sais même pas si ça touche tout les sorciers, ou juste une poignée. Maman n'est pas une sorcière, donc c'est tout à fait normal que cette chose surnaturelle ne la suive pas... C'est la même chose pour mon frère. Ce n'est clairement pas à Londres, éloignée de toute forme de magie et de magicien que je vais pouvoir comprendre ce phénomène. Janvier 1979 Apparemment, ce sortilège ne touche pas que moi, mais bien toute ma génération. Tous les élèves sont suivis de ce petit (ou grand) animal. Observer la diversité de ces choses qu'on a nommées patronus est plutôt drôle, puisqu'il y a de tout, mais je n'en comprends pas davantage ; d'autant plus que certains élèves entretiennent déjà une relation on ne peut plus fusionnelle avec leur patronus. Moi, je m'y suis juste habituée, j'ai compris que ça me suivrait partout, et que je ne pouvais m'en séparer sans ressentir une terrible douleur. Des ragots courent sur les sorciers qui auraient tenté d'anéantir leur patronus ; et ils seraient (selon ces mêmes rumeurs) tous décédés. Cette bête est donc comme un nous intérieur, comme une partie vitale de notre corps de sorcier qui aurait mutée à l'extérieur... Mars 1979 D'ores et déjà, plusieurs élèves ont découvert qu'ils avaient deux patronus. En fait, plutôt que leur patronus prenait deux formes. Ceux-là possèdent les animaux les plus gais, les plus joyeux, ceux qui par leur vivacité ont l'air les plus normaux. Moi, j'ai toujours ce lapin dépressif derrière moi. Quoiqu'il peut s'estimer heureux de ma relation avec lui. Après tout, je ne suis pas comme ces sorciers qui haïssent leur patronus, et ne le supportent uniquement par nécessité absolue. J'aime bien ce lapin, mais c'est lui qui me fixe avec un air indifférent. J'imagine que je ne m'y prends pas bien. Je dois sûrement le traiter comme un ami fidèle, plutôt que comme un animal stupidement stoïque. Je vais m'y employer de ce pas... Mai 1979 Aujourd'hui, Monsieur Lapin m'a fait une belle surprise. Alors que j'étais dans la cour, occupée à discuter avec un professeur, il s'est brutalement transformée en un magnifique étalon à la robe foncée. J'ai été si surprise que j'ai totalement ignoré l'enseignant avant de m'approcher encore davantage de ce cheval. Je l'ai caressé, comme je le fais avec sa forme lapinesque lorsque je m'ennuie. Je ne m'attendais pas à ce qu'il change comme ça, sans raison, surtout après tout ce temps. Au moment de rentrer, il redevint lapin, comme par respect. Ça m'a fait sourire. Et puis je suis partie en cours. You're not a sad story. Le téléphone du salon sonne. Je regarde ma montre : c'est probablement ma mère, encore au travail. Elle sait que je suis rentrée de l'école, mais elle n'a pas pu venir me chercher à la gare. Je décroche : « Allô ? - Chérie, c'est toi ? - Oui, comm... - Comment s'est passé ce premier trimestre dans ta... hum... nouvelle école ? - Très bien. - Tu es bonne élève ? Tu sais, tu ne dois pas négliger cet aspect-là, même si tu te sens privilégiée par rapport à nous-autres, les humains normaux. - Ecoute ça passe ; je ne suis ni la meilleure, ni la pire. - Fais des efforts. On en reparlera quand je rentrerai. Tu pourras réviser en attendant. Est-ce que c'est drôle, la magie ? - Parfois. Mais il y a aussi des sorts macabres dont tu ne voudrais pas entendre parler. D'ailleurs, je ne devrai même pas les connaître. - Ah. - Maman ? - Oui ma chérie ? - Est-ce que papa est au courant, pour la magie et tout ça ? - Je suppose que non, tu sais après le divorce, il est parti au Brésil avec une nouvelle conquête j'imagine. On n'a plus de nouvelle, il vous a laissé, toi et Patrick. Mais on s'en fiche. - Pourquoi vous avez divorcé ? - Marie, ça ne te regarde pas. - Arrête ça, ça fait terriblement cliché, film d'orphelin et tout. - C'était un sale pervers bourré de défauts. Je ne lui ai pas trouvé une seule qualité, à ce pauvre homme. - Tu t'étais mariée pour l'argent ? - Non. Mes parents m'avaient mariée pour l'argent. Bref. Ça devient tout autant cliché que ton film d'orphelin, là. Et puis c'est pas important pour toi. Mmmh... est-ce que ton frère est rentré ? - Oui, mais il est parti avec ses amis au cinéma. - Ca va encore coûter une fortune. Il ne comprend pas ce que ça coûte. Et puis, tout cet argent pour une centaine d'images de mauvaise qualité en noir et blanc... Je suppose qu'il y va juste pour voir Lucy. - Maman, j'ai décidé d'écrire un livre. - Ah oui ? Et sur quoi ? - Poudlard. - Tu es folle. - Non, j'en ai vraiment envie, et puis c'est une bo... - Je dois y aller. Je rentre dans deux heures. Travaille bien ! » Sur ces entrefaites, elle raccroche. Je me dirige vers la cuisine, remplis une bouilloire de lait, puis craque une allumette pour allumer le gaz. Je pose sur la flamme le lait, et m'assieds sur le plan de travail. Je vais chercher une feuille, et commence à écrire : « Ce matin-là, il faisait froid. Maman s'éventait avec le Times de l'avant-veille, et pestait contre les coqs de la voisine, en disant que de mettre la recette du coq au vin dans la boîte aux lettres n'avait apparemment pas suffi. » En fait, tout ça est absolument inventé (sauf l'histoire du coq au vin). Ça ne s'est pas passé comme ça. La vérité c'est que maman s'est juste levée pour prendre le courrier, et que je dormais comme un bébé. Mais ça fait mieux comme ça. Je continue : « Soudain, elle me demanda d'aller voir si le facteur était passé. Je sortis donc, et découvris une pile de lettres et de cartes postales à côté des trois bouteilles de lait que le laitier avait livrées. Je ramenai le tout à l'intérieur, avant de trier le courrier : une carte postale de France, où ma tante passait ses vacances, une autre de mon parrain, une lettre de Lucy pour mon frère, un colis expédié d'Amérique, et une enveloppe cachetée, à mon nom. » Une autre petite couche de mensonges nostalgiques : c'est ma mère qui a pris le courrier, on ne s'est jamais fait livrer le lait, il n'y avait que l'enveloppe cacheté, je n'ai ni tante, ni parrain, juste une marraine, et Lucy et Patrick n'étaient pas encore ensemble. Mais bon, le mélodrame est plus vendeur. « Je m'assis sur la chaise de la salle à manger, et ouvris précautionneusement la lettre qui m'était destinée. Retrouver précisément les mots est inutile et impossible, mais il était question de mon intégration dans une école de sorciers, puisque je maîtrisais apparemment la magie. Une partie de la lettre était destinée à ma mère, l'informant de ma véritable nature de sorcière, la rassurant, et tentant de la convaincre. Ma mère cru d'abord à un canular maladroit, mais réalisa bien vite que tout ou presque avait une allure véridique. Elle finit par y croire, et accepta de m'envoyer dans cette école de magie, bien qu'un peu sceptique au départ. Tout était minutieusement indiqué pour que mon entrée dans l'école se fasse dans les meilleurs conditions possibles : liste de fournitures, adresses, recommandations spéciales... Elle fut très surprise et du, sans aucun doute possible, reconnaître que la magie existait. » Ce passage-là est quant à lui un concentré de vérité. Tout s'est passé précisément comme ça. Je ne sais même pas si ma mère l'a bien vécu ou pas, mais je ne peux que la remercier d'avoir été aussi tolérante et... investie dans sa tâche de parent de sorcier. Heureusement, je n'étais pas la seule moldue à avoir été admise à Poudlard, et maman trouva bien vite d'autres parents avec qui partager ses angoisses, sa joie, sa peur, son incompréhension... « On m'attribua une baguette, des affaires spéciales, des livres poussiéreux mais terriblement mystérieux... » La bouilloire siffle, je cesse d'écrire. Il y a un peu de fumée dans la cuisine, j'ouvre la fenêtre, l'air s'engouffre, je sors le lait du feu, et le verse dans une tasse. Le temps pour ma feuille d'être transportée au grès du vent. Elle vole quelques instants dans la cuisine. Je trouve ça drôle. Nettement moins quand elle prend feu en effleurant la flamme du gaz resté allumé. Paniquée, je ferme vite la fenêtre, et regarde le papier s'échouer sur le carrelage. Ravie d'empêcher ainsi la combustion de ma maison, je le piétine, avant de l'arroser avec le reste de lait. Tant pis pour le livre.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Marie, 14 ans depuis quelques jours, enchantée ϟ Où as-tu trouvé le forum? petite recherche google x) ϟ Personnage: Inventééééé (: ϟ As-tu un autre compte sur BP? No. ϟ Présence: Je passerai au moins 2 jours par semaine (sûr), probablement 3, et peut-être 4 (paye ton info ) ϟ Une remarque? C'est mon premier RPG donc bon... j'espère que c'est bien, et que je vais m'amuser (mais ça à l'air marrant, surtout le vôtre XD). Sinon bonjour, bonjour, et désolée pour le titre en allemand, mais c'était un acte de rébellion vis-à-vis de l'anglais
Dernière édition par Marie Wenday le Jeu 26 Juin - 13:21, édité 3 fois |
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