| Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 12:40 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Slohan Ysia Jones FEAT. Taissa Farminga 19 ans ϟ Première année du cursus Zoologie ϟ Lapin bélier/Renard ϟ Sand-mêléeNom: Jones Prénom: Slohan Ysia Âge et Date de Naissance: 19 ans - 9 avril 1961 Nature du sang: Sang-mêlée Situation familiale: Considérée comme orpheline mais connaît son père. Patronus: Lapin bélier noir et renard. Miroir du Rised: Dans le miroir, Slohan n'est jamais seule. Composition de la baguette magique: Bois de châtaignier, 20.8cm et cheveu de vélane. Epouvantard: Son père qui tue Lutan. Etudes Suivies: Après avoir suivi un cursus ordinaire, Slohan s'est réorientée en Zoologie et est donc en première année. Elle a choisi la spécialité Soins poussés aux Créatures Magiques dans le but de devenir éleveuse et suit donc les cours de SACM, SACM poussé, Sortilèges, Etudes des Patronus ainsi que les cours optionnels de DCFM et Potions. Animal de compagnie: aucun. Caractère Comme une personne sur cent dans le monde, je suis atteinte de schizophrénie. Du moins, c'est ce que les médecins ont dit à la directrice de l'orphelinat quand mes crises l'ont poussée à m'emmener faire des examens. Oh, rien de bien effrayant, la schizophrénie n'est pas synonyme de "psychopathe" contrairement à ce que l'on croit. J'ai juste de légers symptômes et quelques cachets suffisent à les annihiler - lorsque je veux bien les prendre. Du coup, ce que l'on peut penser être mon caractère provient en réalité de cette maladie. Je suis parano, complètement. J'ai toujours l'impression que quelque chose de mauvais va se passer, surtout venant de mon père. C'est pour ça que je me balade toujours avec une tonne de grigris sur moi, comme pour conjurer le mauvais sort. On me trouve aussi tête en l'air, mais là encore il s'agit de l'un des nombreux symptômes de la schizophrénie : difficulté à se concentrer. Il y a aussi les sautes d'humeur - mais c'est plus joli de dire que je suis lunatique - ou encore les phases dépressives voire suicidaires - on m'a déjà reprochée mes discours très noirs et mon attrait pour la mort. Mais la maladie ne fait pas tout et ne suffit pas à me définir, bien heureusement. On dit de moi que je suis un concentré de contraires, c'est peut-être pour ça que mon patronus prend la forme d'un lapin et d'un renard, bien que le second chasse le premier. Je peux être douce et attentionnée, toujours prête à aider mes amis, et aussi de très bonne compagnie puisque j'adore me laisser aller et agir comme bon me semble. Rire est une meilleure cure que les médicaments et je la préfère de loin ! Et même si je peux sembler déconnectée de la réalité parfois, n'allez pas croire que je n'ai rien dans la tête : tout comme le renard, je suis plutôt futée et je n'ai besoin de personne pour sortir d'une situation périlleuse. Ca ne m'empêche pas d'être très maladroite parfois, surtout avec les objets qui ont tendance à se casser facilement. J'y peux rien si ma curiosité me pousse à toucher tout ce que je vois ! Mais ne pensez pas me connaître parce que vous savez quelques petites choses sur moi. S'il y a bien une chose qui est certaine, c'est que vous ne parviendrez jamais à comprendre ce qu'il se passe dans ma tête. Que mon visage soit dénué d'expressions ou illuminé d'un sourire, je resterai toujours un livre fermé. Et un dernier petit conseil : ne vous mettez pas trop en travers de mon chemin. Quand j'ai décidé d'une chose, je peux devenir très instable si cela ne se déroule pas comme je l'ai prévu. a little something from you. La première fois que j'ai vu mon patronus, j'étais en troisième année. Nous étions en cours de Défense Contre les Forces du Mal et nous apprenions ce sortilège assez difficile. Bien évidemment, je n'arrivais qu'à obtenir un peu de fumée brillante les premiers temps. La vérité est que j'ai eu beaucoup de mal à dénicher un souvenir suffisamment heureux pour donner à mon patronus sa forme animale. Puis je me suis souvenue de ce garçon dont le regard croisait souvent le mien, mon coeur s'est mis à battre plus vite comme à chaque fois et Ki est apparue. Avant Noël 1978, Ki n'était qu'une petite lapine de brume, elle n'avait même pas de nom. Puis un soir, elle est apparue d'elle-même, sans que je ne prononce le moindre sortilège, et a peu à peu pris forme réelle. Je m'en souviens encore, je dînais dans la Grande Salle à cet instant et je m'étais retrouvée avec un lapin bélier au pelage noir posé sur mes genoux, à l'instar des autres élèves qui avaient également vu apparaître leurs patronus ainsi. La salle avait été prise d'un flot d'émotions allant de la surprise à la panique, tout en passant par l'émerveillement. Dumbledore nous avait demandé de rester calme et de rejoindre nos dortoirs avec nos supposés patronus. Ce n'est que lorsque je me suis retrouvée seule dans mon lit avec ma lapine que celle-ci a communiqué avec moi pour la première fois, me faisant sursauter. Depuis, je l'ai baptisée Ki et je sais qu'elle peut également se transformer en renard si nécessaire, mais elle préfère sa forme initiale.
Tout comme le lapin, je suis une personne imprévisible, à la fois affectueuse et rebelle. J'ai l'air adorable mais je peux infliger des blessures très douloureuses. Contrairement aux autres animaux de compagnie, le lapin ne se laisse pas dompter, il a sa volonté propre et peut vous aimer un jour et vous faire la guerre le second. Il paraît aussi que je sautille comme Ki lorsque je marche. Et comme le renard, je sais me faufiler agilement, je suis rusée et très curieuse.
Ki et moi sommes fusionnelles, je l'ai immédiatement acceptée et il en est de même pour elle. Elle n'aime pas particulièrement que je la prenne dans mes bras mais me laisse faire lorsque j'en ai envie. Lorsqu'elle en a marre de bondir à mes côtés, elle préfère reprendre sa forme de brume et voleter dans mon dos plutôt que de se transformer en renarde. You're not a sad story. La vie de Slohan a toujours tenu sur un unique bout de papier. Dans le monde moldu, ils appellent ça un dossier, et Slohan a pu lire le sien lorsqu'elle a atteint sa majorité. Il était bien au chaud à l'orphelinat St James de Londres où elle avait passé les premières années de sa vie ainsi que les étés entre chaque année scolaire. Sur ce bout de papier, on pouvait lire son nom Slohan Ysia Jones, sa date de naissance, son sexe, le nom de sa mère Louise Mary Jones et le fait que son père était inconnu. En quelques lignes, il était expliqué qu'elle avait atterri à St James après l'accident de voiture qui avait emporté sa mère alors qu'elle n'avait que deux ans. Si Slohan a des souvenirs de sa mère ? Pas vraiment, ou alors il ne s'agit que des sensations, d'un vague air de comptine et de reflets de cheveux.
Pour le reste du dossier, une ribambelle d'ordonnances et d'avis médicaux suffisait à donner l'illusion que sa vie n'était pas que trois misérables phrases sur une feuille jaunie. La schizophrénie de Slohan avait été détectée alors qu'elle atteignait ses neuf ans. Schizophrénie juvénile qu'ils disaient. C'était rare que quelqu'un de si jeune soit atteint, mais pas impossible. Les cauchemars à répétition, les crises d'angoisse et finalement les objets brisés avaient fini par pousser la directrice à emmener la gamine consulter. Tout cela s'était calmé avec le traitement, même si la maladresse et le développement des pouvoirs de Slohan continuaient de faire quelques dégâts matériels.
Si l'on omettait ces détails, l'enfance de Slohan avait été plutôt heureuse et, ma foi, banale. Elle avait des amis à l'orphelinat et à l'école, obtenait des notes correctes en cours et était toujours volontaire pour aider les autres. Elle avait bien sûr son petit caractère, mais tout le monde avait appris à composer avec. C'est pourquoi Slohan ne fut pas particulièrement soulagée ou ravie lorsqu'un professeur de Poudlard vint un jour la voir pour lui expliquer qui elle était. Bien évidemment, l'idée d'avoir des pouvoirs magiques était très alléchante, mais la jeune fille sortait suffisamment du lot pour avoir envie d'en rajouter une couche. Ce ne fut que lorsque la bonne femme mentionna que son père était un sorcier également que sa curiosité l'emporta et lui fit accepter de venir à l'école de sorcellerie.
Son père... c'est en troisième année qu'elle a pu enfin mettre un nom et un visage sur cet inconnu qui les avait abandonnées sa mère et elle. Il était venu la voir dans le plus grand secret pendant l'été et lui avait tout expliqué. Son nom est Nelius Amaranth Black, héritier de la très célèbre famille de sang-pur. Contrairement au reste de sa lignée, il avait été envoyé à Gryffondor par le Choixpeau, ce qui lui valait encore un grand dédain au sein de sa propre famille. Nelius n'était pas quelqu'un de foncièrement mauvais et avait toujours eu une certaine ouverture d'esprit, mais sa loyauté envers les Black était plus forte que tout. Aussi, lorsqu'il apprit qu'une Moldue rencontrée lors d'une soirée arrosée portait son enfant, il entreprit de modifier la mémoire de tous ceux qui pourraient être au courant de la trahison qu'il avait faite à son sang. Il ne put pas se résoudre à tuer l'enfant. Bien évidemment, certains membres de la famille Black avaient fini par l'apprendre en dépit de ses efforts et il échappa de justesse au coup de baguette qui aurait brûlé son nom sur la tapisserie de famille. Même si l'honneur de son nom comptait plus que tout, Nelius aimait sa fille et espérait qu'un jour ils pourraient marcher côte à côte sans honte. C'était ce qu'il avait écrit dans sa dernière lettre, après lui avoir expliqué qu'il avait décidé de devenir Mangemort pour racheter ses fautes. C'était en sixième année et Slohan n'avait plus eu de nouvelles directes de son père depuis. Elle repensait souvent à leur conversation et relisait ses lettres, toujours torturée par la demande implicite de son père à rejoindre les rangs de Vous-savez-qui. Torturée entre son devoir de fille et son côté moldu qu'elle ne pouvait renier.
À Poudlard, la vie de Slohan poursuivait son cours comme elle l'avait fait avant cela. Elle obtenait toujours des notes correctes et était appréciée de ses camarades et de ses professeurs. Elle avait néanmoins arrêté son traitement et les crises de paranoïa avaient repris. On la pensait lunatique à venir vers vous par moment, un grand sourire aux lèvres, et à vous fuir comme la peste l'heure d'après. Slohan, c'était cette fille un peu bizarre que l'on aimait bien mais qui n'avait pas de véritables amis. Sans compter cette manie absurde de sautiller dans les couloirs au lieu de marcher. Et puis, tout le monde savait qu'elle ne fumait pas que des cigarettes, malgré les interdictions du règlement. Mais Slohan aimait vivre ainsi. Elle aimait avoir plein d'amis, bien que personne ne put prétendre à un lien vraiment fort avec elle, car elle ne se sentait jamais totalement seule de cette façon. Elle aimait fumer, que ce soit du tabac ou autre, car elle parvenait à laisser de côté l'ensemble de ses problèmes. La seule à qui cela déplaisait, c'était Ki, mais le patronus ne disait rien.
Puis il y a eu Lutan. En vérité, il y avait toujours eu Lutan. Elle l'avait croisé dès la première année et avait immédiatement été attirée par l'aura qu'il dégageait, bien qu'elle n'avait su mettre de mots dessus à un si jeune âge. Au détour d'un couloir, elle avait entendu quelqu'un héler son prénom et l'avait soigneusement inscrit dans son esprit, puis dans son coeur. Ce n'est que quelques années plus tard que Slohan avait compris ce qu'elle ressentait pour ce garçon dont elle ne savait rien. Juste son prénom et le fait qu'il était né-moldu. Deux éléments suffisants pour la convaincre de ne jamais l'approcher plus que nécessaire : que dirait son père ? Mais il y avait eu ce jour. Leurs regards s'étaient croisés et elle l'avait invité à la rejoindre sur le muret où elle s'était assise, les jambes dans le vide. Le silence avait vite pris le dessus tandis qu'ils se noyaient dans le regard de l'autre. Slohan avait eu envie de l'embrasser, et Slohan n'était pas le genre de personne à beaucoup réfléchir. Ses lèvres avaient un goût de pudding. Il était parti, paniqué, et elle l'avait suivi de sa démarche sautillante alors que, pour une raison qu'elle ignorait, il avait fait apparaître son patronus. Avait-il ressenti le besoin de se protéger d'elle ? Il aurait peut-être dû, au lieu de revenir la prendre dans ses bras. Depuis, ils n'avaient jamais pu se quitter, bien que Slohan ait essayé à de nombreuses reprises, de peur que son père découvre l'existence de Lutan. Alors elle gardait ses distances. Jamais ils ne se parlaient vraiment, se contentant de profiter de la chaleur de l'autre sans un mot. Elle ne lui avait jamais dit qui elle était et n'avait pas posé de question sur lui. Et quand bien même elle essayait de mettre fin à ce petit jeu, elle ne pouvait résister bien longtemps avant de chercher les bras de Lutan. Être amoureuse était son pire fléau.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Lilibel - 22 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Dans les partenaires de The Phoenix's Song ϟ Personnage: Scénario de N. Lutan Liptorius ♥ ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope ϟ Présence: 7/7 et 3/7 pour RP je dirais ϟ Une remarque? Hm non, je pense avoir posé mes questions avant de m'inscrire !
Dernière édition par Slohan Y. Jones le Mer 24 Sep - 11:39, édité 13 fois |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 12:54 ( #) | Bienvenue |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 12:55 ( #) | Bienvenue parmi nous ! |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 12:58 ( #) | |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 12:58 ( #) | bienvenuuue |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 13:13 ( #) | Merci |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 19:44 ( #) | Bon bah... BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE!!!!!!!!! Merci de tenter ma petite Slohan d'amour, depuis le temps que je l'attends Je suis pressé de lire (la fin de) ta fiche *_* |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 19:48 ( #) | Qui peut résister au Farminga-Peters hein ? |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 19:54 ( #) | Chouette, un civet ! Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ce qu'il te reste à faire dans ta fiche. |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 19:56 ( #) | Tu touches à ma lapine, je t'étrangle avec ton serpent :lilah:
Merci ~ |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 20:24 ( #) | bienvenue bon choix de scénario Puis Farminga quoi |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 20:30 ( #) | |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 22:07 ( #) | Bienvenue ! |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Invité, Jeu 18 Sep - 22:13 ( #) | Merci ! On va être dans la même classe ** |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Guest, Ven 19 Sep - 8:45 ( #) | Bienvenue sur le forum |
|
| Re: Slohan - Do you really think that you know me?par Contenu sponsorisé, ( #) | |
|