BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. | | | Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Dim 5 Oct - 23:02 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Dilys Jane Rosier FEAT. Magdalena Zalejska Dix-neuf ans ϟ Justice magique ϟ Serpent ϟ Sang-purNom: Tu portes fièrement le nom de cette famille aux allures aristocratiques. Les Rosier. Cette famille si pure, qui à tes yeux oeuvre pour le bien. Cette famille dont tu ne peux dénoter, dont tu t'efforces de préserver le prestige qui la caractérise depuis maintes décennies. Tu es leurs. Et tu devras porter, élever ce nom au sommet jusqu'à ce que de ton corps s'évade ton dernier souffle. Prénom: A ton prénom ont prête l'autoritarisme, l'impulsivité, mais aussi l'égocentrisme. Dilys, prénom gallois délivré aux caractères ombrageux, tes parents n'auraient pu trouver mieux pour t'honorer. Âge et Date de Naissance: Dix-neuf années se sont écoulées depuis que pour la première fois tu as ouvert les yeux sur ce monde. Tu es née le treize novembre de l'année 1960, en Ecosse, ce pays dans lequel tu résides encore aujourd'hui au sein du manoir familial. Nature du sang: Indéniablement pur. Situation familiale: Tu es fiancée. A un homme que tu ne connais pas, que tu n'as même jamais rencontré. Choix de ton père pour son enfant aîné, sûrement a-t-il réussit à modeler ton esprit de façon à ce que tu penses que cet homme est une bonne chose pour toi. Pureté, stabilité et richesses. Il n'est nullement question d'amour, seulement de prestige. Patronus: C'est un serpent-roi de Californie qui depuis une poignée d'années maintenant te suit. Miroir du Rised: Tu te vois, la tête haute, un sourire aux lèvres. Heureuse. Oui, tu ressens cette joie en celle que tu peux admirer, c'est presque palpable. Aux bras d'un homme que tu aimes, la main reposant sur l'épaule d'une fillette aux longs cheveux châtain. Seulement vous trois, personne d'autre. Et tu aimes ça. Composition de la baguette magique: Faites en bois de tilleul argenté, mesurant vingt-six centimètres et renfermant un ventricule de cœur de dragon. Sûrement n'as tu jamais vu plus rigide. Epouvantard: Ton père. Le regard dur, l'allure violente, dont le faciès transpire de reproches à ton encontre. Etudes Suivies: Présentement en deuxième année de justice magique, c'est le sous-cursus Connaissances Approfondies du Monde Magique que tu as choisis, avec pour seule option la défense contre les forces du mal. Animal de compagnie: Aucun. Tu n'as jamais voulu refaire acquisition depuis le décès de ton hibou grand-duc il y a de ça trois années maintenant. Caractère Tu descends d'une longue lignée de sang-pur et par conséquent, tu te dois de respecter une certaine étique. Dans ta famille, il n'y a pas de place pour l'improvisation. Depuis toute petite, on t'as inculqué des valeurs que tu devras respecter jusqu'à la fin de tes jours et parmi celles-ci se trouvent la haine envers les impurs. Ces gens ne mérites aucune attention, encore moins la tienne et de toute manière, tu te dois de suivre les dictâtes des tiens, de les respecter à la lettre, de les faire respecter. Nul choix n'est possible. Tu ne peux y échapper. Et comment pourrais-tu ne serait-ce qu'y songer ? Petite fille éduquée telle une princesse, tu n'as jamais connu le besoin, jamais manqué de rien. Choyée par ce père qui depuis toujours est ta plus grande force, tu suis ses dires à la lettre et n'oses le contrarier, ce dernier étant à tes yeux davantage un mentor qu'un père. Sûrement est-ce de là que provient ton côté studieuse, ainsi que ta docilité. Pourtant il t'effraie, plus que n'importe qui, plus que n'importe quoi. Sûrement est-il l'unique personne devant laquelle tu n'oses assumer tes pensées, ni même piper mot sans les avoir longuement pesés. Néanmoins, tu tiens tout de lui. Sûrement n'es-tu même qu'une pâle copie de cet homme qui t'a donné la vie. Ambitieuse, rien ne semble te rebuter. Et pourtant si lâche. Oui, lâche, tu prônes constamment la facilité. Fille calme en apparence, discrète, loin d'être froide mais indéniablement secrète, tu n'es en réalité qu'observatrice, même si munie d'une grande sagesse d'esprit puisque tel un serpent dans l'ombre, tu attends simplement le bon moment pour piquer. D'ailleurs, sûrement ton endurance est-elle ta plus grande qualité. Réfléchie, tu sais laisser le temps au temps, attendre le bon moment. Mais déterminée, puisque tu n'abandonnes jamais. Conservatrice aussi, car tu fais preuve d'une grande loyauté envers ce qui te tient à cœur, là encore signe de l'éducation stricte de ton père. Mais finalement, tu te reposes beaucoup sur le statut de ton sang, car nombreuses sont les personnes qui à ton oreille ont soufflées qu'il t'apporterait l'immunité. Et sûrement est-ce pour cette raison que parfois tu es qualifiée comme hautaine. Toutefois réaliste, bien consciente de la réalité, du monde qui t'entoure. Constamment tu sembles voir en premier les mauvais côtés, mais là n'est sûrement qu'une façon de te protéger. Mais si un seul et unique adjectif devait t'être dédié, sûrement serait-ce la droiture, car malgré quelques défauts ancrés, tu ne fais définitivement pas partie de ceux pour qui briser les règles est signe de contentement. a little something from you. Une brume argentée t'entourait. Légère, mais vive. Cette dernière semblait provenir de ton propre corps, semblait ne plus vouloir s'effacer. Et ton père te regardait, silencieux, immobile, avant de finalement tourner les talons sans un mot, sans une once d'explication. Rien. Il te laissait là, seule avec ce phénomène que tu ne comprenais pas. Que tu ne voulais pas comprendre. Que tu espérais voir disparaître. Pourtant les jours s'écoulaient, et à mesure que le temps passait, l'ampleur de cette brume grandissait, prenait une forme, semblait vouloir prendre le contrôle sur toi, ou du moins c'est ce que tu croyais. Un sortilège raté, tels étaient les mots qui t'étaient parvenus aux oreilles lorsque tu avais surpris l'une des conversations de ton géniteur. Mais pourquoi toi ? Pourquoi cela ne s'en allait-il pas ? Pourquoi. Tant de questions, si peu de réponses. Ou du moins, aucune réponse que tu désirais entendre, car il y avait cette voix. Ce semblant de voix. C'était comme si cette lueur qui dorénavant avait pris la forme d'un serpent voulait te parler, voulait communiquer, t'expliquer, te rassurer. Mais cela t'effrayait, terriblement. Te pensais-tu folle ? Définitivement. Et tu n'osais en parler à quiconque, te contentait simplement d'attendre qu'elle disparaisse et qu'avec elle, tes maux s'envolent, te quittent, te laissent en paix. Mais rien. Rien ne s'était produit, ou plutôt tout était resté ainsi. Et alors que tu comprenais que cet être, ou cette chose que tu ne savais nommer ne te quitterait pas, tu tentais de t'en défaire. Incapable de supporter un nouveau poids sur tes épaules, une nouvelle chose pour te guider. Incapable de ne serait-ce qu'imaginer qu'à nouveau, tu serais prise entre les mailles du filet de cette ombre qui se jouerait de toi. Alors tu voulais t'éloigner, t'échapper. Mais tu ne pouvais pas. Et les nombreux sortilèges utilisés ne semblaient avoir effet sur quiconque d'autre que toi. Souffrance. Plus tu te débattais, plus tes chaînes semblaient se resserrer. Et cette sensation d'être rassurée par cet être que tu ne contrôlais pas t'effrayais. Dépendante. A mesure que les jours passaient, tu te sentais dépendante de ça. A nouveau. Oui, à nouveau, le sort semblait s'acharner sur toi, semblait vouloir te montrer que seule, tu ne survivrais pas. Et alors que l'erreur du ministère devenait publique, tu doutais même de la véracité de ces propos. Torturée, ébranlée. Tu ne savais quoi penser, ne pouvais penser. Et comme à l'habitude, tu finissais par lâcher prise, par choisir la facilité. Se débattre devenait trop dur, physiquement, moralement. Alors tu stoppais le combat, laissait cette brume s'éprendre de toi. Tu la laissais infiltrer tes pensées, ou plutôt te délivrer les siennes. Tu la laissais t'apaiser, simplement, lâchement, mais sereinement.
Toutefois, pour une fois ta lâcheté semblait s'avérer payante, car ce qui te faisait si peur s'était avéré n'être nul autre qu'une force. Un bouclier, un être là pour te protéger. Oui, un être, car lointaine à présent était la brume difforme, cette dernière ayant depuis quelques mois laissée place à un véritable serpent-roi de Californie, tantôt fait de chair, tantôt sous sa forme lumineuse de patronus. Et contrairement à d'autre, le tien restait fidèle à cette forme, ne ressentant visiblement pas l'envie d'en changer, mais sûrement préférais-tu la chose ainsi. Tu n'avais jamais aimé le changement, ainsi de n'avoir qu'un seul être à tes côtés te satisfaisait pleinement. Un seul être auquel tu avais fini par t'attacher, un seul être qui semblait t'épauler, qui ne te quittait jamais. Et ses soixante-dix centimètres de véritable chair n'étaient pas un poids sur tes épaules, contrairement à ce que tu avais par le passé pensé. Non, cette erreur n'avait pas eu pour but de te punir en t'infligeant un être de plus qui tirerait les ficelles de ton existence. Au contraire, celui-ci avait pour seul dessein de t'aider à surmonter ce que jusque-là tu avais abordé seule. Un compagnon, un allié. Et définitivement un miroir, dans lequel ton âme semble se refléter. Parfois docile, aisé à manier, il s'avère provocateur lorsque le temps s'y prête. Et jamais à haute voix tu lui parles, sûrement est-ce pour cela que jamais tu ne l'as prénommé. A quoi bon ? Ce n'est pas un ami, non, à tes yeux ce n'est que la partie la plus forte de toi-même qui s'est extirpé de ton corps, comme pour qu'à chaque seconde tu te souviennes d'à quel point tu peux être solide. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Minie. (vingt ans) ϟ Où as-tu trouvé le forum? Bazzart, I guess ! ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non, c'est mon premier ϟ Présence: Régulière ϟ Une remarque? JOFFREY SUR LE HEADER J'aime beaucoup le contexte, il sort du lot et c'est pile ce qu'il me faut en ce moment
Dernière édition par Dilys J. Rosier le Mer 8 Oct - 16:07, édité 7 fois |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Dim 5 Oct - 23:02 ( #) | You're not a sad story. On dit souvent qu'il ne faut pas juger un livre à sa couverture, hors lorsqu'il s'agit de ta personne, cette citation s'avère fausse. En effet, la noirceur de ton regard ne reflète que la cruauté de ton âme, l'obscurité de ton coeur. Coeur que tu n'es d'ailleurs pas certaine d'avoir, tant celui-ci fut modelé de manière à devenir quasi-inexistant. De toute manière, conçois-tu seulement l'éventualité de ressentir quelconque attachement pour quelqu'un ? Depuis toujours, les tiens t'ont appris à ne faire confiance qu'à toi-même, à rester réfractaire aux autres, ou plutôt à toute personne qui pourrait s'avérer nuisible. Mais sûrement aux yeux de ceux qui t'ont élevé, toute personne qui un jour s'est approché de toi semblait néfaste. Trop. Ils attendaient trop de toi. Surtout ton père. Cet homme froid, souvent violent, qui certes te traitait telle une princesse, mais qui pourtant laissait reposer tant de pression sur tes épaules. Ces épaules que sûrement il pensait plus fortes qu'elles ne l'avaient jamais été. Oui, il voyait en toi l'excellence, la grandeur. Et le chemin qu'il avait imaginé pour toi n'accédait à nulle autre chose que le sommet. Alors tu l'as rendu fier, tu continues à le faire. Et dans ton regard tu espères que jamais il ne verra une autre personne que celle qu'il voulait que tu sois. Mais es-tu cette personne ? Peut-être pas. A vrai dire, sûrement n'as-tu jamais voulu te poser cette question. Lâche. Tu es lâche. Mais encore une fois, n'était-ce pas ce qu'il voulait que tu sois ? La vie te semble facile, car à ta portée tu as tout. Oui, rare voir inexistante sont les choses que tu désirais et qui ne sont pas venues à toi. Et sûrement nombreux sont les envieux, pourtant toi, tu ne réalises pas. Non, tu n'es qu'un pantin dont les ficelles sont tirées par une seule et même personne. Personne qui n'est pas toi. Et sûrement le pire dans cela est que ça ne te dérange pas. De contrôle sur ton existence, tu n'en as pas. Et pourtant tu te plaîts à te penser heureuse. Car quand bien même chacun de tes pas sembles être contrôlé, ne pas avoir à regarder où tu poses les pieds te satisfait, te rassure. Définitivement lâche, tu prônes la facilité. Et pourtant, personne ne t'en veux pour cela, pas même toi. Car sûrement sans cela ne serais-tu pas celle que tu es aujourd'hui. Sûrement ne serais-tu pas aussi efficace, aussi utile. Petite fille forgée à l'image d'un père dur. Ce père auquel tu ne ressemblais pas. Auquel pourtant tu as fini par ressembler, soucieuse de ne pas le contrarier. Car depuis toujours, cet homme t'effraies. Mais, as-tu seulement une autre personne à laquelle t'attacher, excepter lui ? Non. Et sûrement n'est-ce pas ton petit frère qui aurait pu faire quoi que ce soit. Ce même frère qui t'as enlevé ta mère, cette femme dont tu peines à reconnaître le visage sur les rares photos prisent durant ton enfance. Cette femme dont tu n'as aucun souvenir de la voix. Cette femme, que tu ne connais pas.
Sûrement est-ce pour cette raison que tu restes si froide, impassible en toute circonstance. En effet, depuis toujours les tiens ont cru bon de t'apprendre que les sentiments étaient preuve de faiblesse, faisaient perdre toute objectivité. Oui, ils t'ont appris à réfléchir avec ta tête, non avec ton coeur. L'amour n'est que foutaise disait ton père. Chose incompréhensible qui te pousse dans la mauvaise direction. Et pourtant, tu aimes les tiens. Profondément. La moindre parcelle de bons sentiments qu'il y a en toi, c'est pour eux. Ces personnes qui t'ont élevée. Qui t'ont tout appris. Élevée dans les valeurs de l'aristocratie, tu as appris très jeune à savoir bien te tenir, à user d'un langage correct et à défendre des valeurs. Les valeurs des sang-purs. Et seuls ces derniers devraient être susceptible d'attirer ton attention. De mériter ton attention. Alors que les autres, les autres doivent périr, tous. Est-ce dur pour toi d'être ainsi ? Tu ne le sais pas, te contente de suivre les règles, de faire le bien. Tu te contentes d'écouter, simplement. Car tu ne sais réellement faire autre chose. Petite princesse élevée dans la richesse, sûrement n'as-tu jamais été choyée de manière physique, sûrement n'as-tu jamais ressentis le confort que pouvait apporter une accolade sincère, aimante. Et sûrement est-ce pour cette raison qu'à tes yeux, les choses matérielles prennent tant d'importance. Ont tant d'importance. Oui, sûrement est-ce pour cela que tu souhaites que l'on t'admires pour ce que tu as et non pour ce que tu es.
Foncièrement mauvaise, ainsi es-tu décrite par plus d'une personne. Et pourtant en regardant ton visage d'ange, comment jurer qu'ils ont raison ? Et toi, qu'en penses-tu ? Te vois-tu réellement telle que tu es ? Nombreuses sont les personnes que tu as pu malmener, briser. Et dans ton regard, sûrement peut-ont apercevoir la satisfaction que te procure une tâche accomplie. Forte, tu aimes te sentir forte. Et sûrement ce plaisir que tu prends à torturer n'est qu'égoïste. Sûrement derrière cela ne se cache qu'un besoin de montrer que tu es quelqu'un. Que tu peux être quelqu'un. Que tu peux faire de grandes choses. Oui, sûrement veux-tu montrer que la richesse des tiens n'est pas seule cause du prestige de ton nom. Et que pour ta famille tu n'es pas qu'un maillon inutile. Inutilisable. Cruelle. Sûrement ne te l'avoues-tu pas et pourtant, tu l'es. Mais est-ce seulement de ta faute ? Tu as été éduquée dans ces valeurs. La haine, le pouvoir. Et sûrement ces choses sont-elles à présent bien trop ancrée en toi pour que tu ne puisses seulement songer à t'en défaire. Mais tu ne veux pas t'en défaire. Non, tu sembles avoir bien trop sacrifié jusque-là pour t'arrêter en si bon chemin. A quoi bon de toute façon ? Que te resterait-il si toutefois tu décidais de rebrousser chemin, de tourner le dos aux tiens ? Rien. Pas même toi. Oui, tu te perdrais toi-même, car au fond tu ne sais réellement qui tu es. Parfois tu détestes l'emprise que ton entourage à sur toi et pourtant, tu ne pourrais vivre sans. Ne saurait vivre sans. Et sûrement imaginer devoir exister par tes propres moyens te fais peur. Toi, Dilys, fille Rosier qui depuis toujours fut guidée. Et pourtant dans ton apprentissage, sûrement quelque part tu as échoué. Garder la tête haute, faire preuve de sang-froid. Là sont les premières choses que ton entourage t'a enseigné et pourtant, tu ne sais rester stoïque face à ceux qui te provoque. Tu perds patience, vite. Trop vite, même si avec le temps tu as appris à te canaliser. Est-ce besoin d'être au-dessus des autres qui t'as depuis toujours poussé à montrer ta force d'esprit ? Sûrement. Ou peut-être n'est-ce là qu'un moyen de montrer que tu peux exister. Que tu peux sortir du sentier sans toutefois te perdre. Tu ne cherches pas à parler, considérant que les mots ne sont que du vent. Que ceux-ci s'effacent à peine sortit des lèvres. Muette, discrète. Tu as su faire de ces attitudes ton arme de prédilection, car jamais tes ennemis n'entende le son de ta voix. Tu sais ce que tu veux et comment l'obtenir. Comme tu sais comment éliminer les obstacles qui se dressent sur ta route. Qui se dressent entre toi et le sommet. Et ta détermination te mène à tes fins, peu importe le moyen. Des scrupules, tu t'en as pas. Manipulation et ruse sont de rigueur dans la famille, tout comme l'arrogance et la domination. Et dès ton plus jeune âge, ton âme a été modelée à cette image, pour devenir aujourd'hui aussi opaque que le ciel d'une nuit sans lune. Pour que l'entièreté de ton corps, de tes songes deviennent si noires qu'on ne puisse en distinguer les contours. Mais sûrement au fond n'es-tu pas cette fille. Ou peut-être que si...
Dernière édition par Dilys J. Rosier le Mer 8 Oct - 16:14, édité 2 fois |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Dim 5 Oct - 23:07 ( #) | Bienvenuuue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Dim 5 Oct - 23:21 ( #) | Bienvenue à toi miss Si tu as des questions sur quoique ce soit, n'hésite surtout pas |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Guest, Dim 5 Oct - 23:38 ( #) | Bienvenuue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Dim 5 Oct - 23:51 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 0:26 ( #) | Bienvenuuuuue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 0:28 ( #) | Bienvenue parmi nous |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 9:29 ( #) | Rosier bienvenue parmi nous bon choix d'avatar |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 10:04 ( #) | Bienvenuuue |
| Demetria Argyris admin - high above, the greatest wonder Répartition : 19/08/2014 Hiboux Envoyés : 1509
| Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Demetria Argyris, Lun 6 Oct - 11:52 ( #) | On dirait que tu as fini par céder Bienvenue darling, et j'ai hâte de voir Dilys :magnus: (et il nous faudra un lien, obviously) |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 12:30 ( #) | Bienvenue. Je te souhaite bonne chance pour le petit bout de fiche qu'il te reste ^^. |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 13:07 ( #) | Merci beaucoup tous |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 16:24 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Invité, Lun 6 Oct - 19:31 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Dilys - Toute rose est proie de l'hiver. | |
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