| Abby-Gaëlle B. par Invité, Mar 11 Nov - 0:35 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Abby-Gaëlle Bourgeois FEAT. Mackenzie Foy 11 ans ϟ 1ère année ϟ Renard ϟ Sang-mêléNom: Bourgeois Prénom: Abby-Gaëlle Âge et Date de Naissance: 22 décembre 1968 Nature du sang: sang-mêlé Situation familiale: Fille unique. Mère moldue, père absent. Elle le haït parce que c'est un idiot et un lâche. Elle préférerait retourner vivre avec sa mère, quitte à ne plus entendre parler de magie. La famille n'est qu'une vaste illusion, de son point de vue. Patronus: Renard Polaire Miroir du Rised: Le miroir change constamment dû à la nature indécise de la demoiselle ainsi qu'à son univers qui est tout boulversé. Composition de la baguette magique: Hêtre et crin de licorne Epouvantard: L'épouvantard d'Abby-Gaëlle prend la forme d'une nuée d'insectes qui se ruent sur elle. Elle est un peu phobique de ces bêtes là, je crois. Etudes Suivies: 1ère année cursus primaire Caractère Abby est une jeune fille qui réfléchit beaucoup. Peut-être trop, parfois. Elle tente constamment de se reposer sur sa logique, mais cela ne l’aide pas souvent, maintenant que plus rien ne l’est. Néanmoins très curieuse, elle s’intéresse à tout, sur tout les sujets. Elle adore lire, s’instruire. De la magie en général à la politique du jusqu’aux potins de l’école, ne pas savoir est une vraie torture pour elle. Ne vous étonnez donc pas si elle pose constamment des questions, c’est sa façon à elle de faire. Mais quand tant de choses se bousculent dans sa tête, elle se montre plutôt lunatique et indécise. Par contre, elle a tendance à se montrer timide avec les inconnus. Faisant rarement le premier pas, elle accorde cependant, une fois que vous parlez avec, sa confiance trop rapidement et se lance naïvement dans toutes sortes d’amitiés parfois à sens unique. Essayez de ne pas lui briser le cœur, elle déteste ceux qui la trahisse ou la blesse et aura énormément de mal à vous le pardonner. Elle est un peu rancunière, mais a un grand cœur et si vous prenez le temps, il se pourrait quand même qu’elle efface l’ardoise. De son côté, c’est une personne de confiance. Elle fait toujours tout ce qu’elle peut pour tenir parole, ne révèle jamais un secret et attend des autres qu’ils fassent de même. Quelqu’un qui se montre lâche face à son devoir ne peut pas espérer qu’elle ait beaucoup d’estime pour lui. Les insectes sont une véritable phobie chez elle. Les papillons et les coccinelles ne sont bien qu’en dessin et le reste ferait mieux de rester cacher. Pourtant, les autres animaux ne lui posent aucun problème, au contraire. Elle adore toutes les autres créatures, magiques ou non. a little something from you. Le patronus d’Abby est un renard, qu’elle a décidé de nommer Snooze. Ça, c’est parce qu'il dort dès qu'abby-Gaëlle ne lui donne pas toute son attention. Très petit, il n’est pas encombrant et reste souvent calme. Il a la taille d’un gros renardeau. La jeune fille a d’abord rejeté ce nouvel être qui symbolisait pour elle la fin de sa tranquille en compagnie de sa mère, mais a appris au fur et à mesure à l’accepter.
Snooze est devenu son confident, à qui elle raconte en pensée tous ses problèmes. Et cela la décharge d’un poids. Que ce soit parce qu’elle se sent seule, tourmentée ou qu’elle se pose trop de questions, le petit animal est toujours là pour l’écouter.
Très patient, il est toujours là pour Abby, mais n'est pas très bavard. Par contre, très patient, il peut l'écouter lui parler pendant des heures sans montrer de signe de lassitude.
Il prend la forme d’un renard polaire, parfois réel au pelage doux et, rarement, brumeux. Il représente le côté innocent de la jeune fille, sa confiance aveugle et sa naïveté. Quand elle se sent en danger, il prend la forme d'un Caracal, petit lynx couleur sable. Ce n'est pas un animal très grand, mais plutôt rapide et agile. Cela concorde avec Abby qui préfère la ruse, la stratégie et la vitesse à la force brute qui lui fait défaut.
You're not a sad story. « Arrête ça, Lothar ! T’es complètement paranoïaque, c’est tout ! » Ma mère claqua la porte du séjour et s’enferma dans la chambre. Mon père s’approcha assez pour qu’elle puisse l’entendre. « Je ne suis pas le seul à penser ça. Le monde des sorciers n’est plus assez sur pour elle. Je ne veux pas que notre fille vive dans la peur. Elle n’aura peut-être pas de père, mais au moins elle vivra. » La porte se rouvrit presque aussitôt, laissant apparaître le ventre rebondi de ma mère, puis son visage rougit par la colère et les larmes. « Comment ça, pas de père ? » Elle voulu ajouter quelque chose, mais sa voix se brisa. « Tu sais très bien que si je viens avec, ça ne servira à rien. Le monde moldu est plus sur que le monde sorcier de nos jours. Mais ne t’inquiète pas, le jour où ça tournera en notre faveur, je reviendrai vivre ici avec vous. Promis. » Elle fondit en larme. Avait-elle le choix ? Devait-elle s’autoriser à croire en l’espoir d’un retour à la normale, un jour ? Je devais naître quelques semaines plus tard, sans rien connaître du monde des sorciers, sans rien connaître de mon monde.
Pouvait-on appeler cela de la paranoïa, dix ans avant que Lord Voldemort retrouve ses forces ? Surement. Cela importait peut à mon père qui ne voyait en ce don de la magie que danger pour ma vie. Comment pouvait-il être assez naïf pour croire qu’on pouvait séparer ainsi un sorcier de son monde ? Comment pouvait-il croire que cela arrangerait quelque chose ? C’était un idiot et trouillard.
Je vécu mon enfance dans la confortable banalité moldue, éloignée de toute forme de magie. Sans père, sans explication, j’avais appris à vivre avec. Chaque fête des pères était plus morne, plus triste. Était-il mort ? Me connaissait-il ? Tout cela m’importait peu, il ne représentait rien pour moi. Du moins avant que ça ne commence.
J’avais remarqué que de plus en plus d’événements étranges se produisaient dans ma vie, des choses inexplicables. Je n’osais pas en parler, je voulais juste rentrer dans le moule, comme toutes les filles de mon âge. Pourtant, je me réveillai un matin avec une étrange lumière bleutée qui semblait flotter autour de moi. Avais-je un problème de vue ? Était-ce simplement le soleil qui me jouait des tours ? En descendant retrouver ma mère, je dus me rendre à l’évidence, je n’étais pas la seule à voir cette lueur. Elle resta interdite, puis se jeta sur le téléphone. « Lothar... Je sais que je ne devais pas t’appeler, mais c’est Abby, elle … Oui, je suis sûre que ce n’est plus … de mon ressort. Viens. S’il te plait. ». Elle revint vers moi, l’émotion se lisait sur son visage. Elle m’embrassa sur le front. « T’inquiète pas, me susurra-t-elle ».
La lueur bleutée prenait de plus en plus de consistance et ne me lâchait plus. Devais-je en avoir peur ? Surement, mais je n’y arrivais pas. Elle me semblait faire partie de moi-même. Comme si une partie de mon corps avait fui durant toute ma vie et me revenait enfin. Quelqu’un frappa à la porte, ma mère courut ouvrir. Un homme dans la trentaine se tenait sur le pas de la porte, les traits anxieux. Il plongea son regard dans celui de ma mère. Le temps sembla suspendu quelques secondes, puis ils s’étreignirent chaleureusement. Je n’avais aucune idée de ce qu’il se passait. J’étais restée dans le salon, assez loin pour que la lueur bleue passe inaperçue, mais cela commençait à devenir compliqué. L’homme rentra à l’intérieur et me scruta du regard, à la recherche de l’enfant qu’il avait laissé, encore dans un berceau. « Abby. Je suis Loth... Je suis papa. ». Je ne comprenais rien à ce qui se passait et interrogeai ma mère du regard. Son expression était interdite et elle ne semblait pas en mener plus large que moi. « Maman ? » suppliai-je dans l’espoir d’une réponse. Ce fut mon père qui répondit. « Cette lumière bleue, il ne faut pas en avoir peur, ok ? ». Je détestai immédiatement sa façon de me parler comme si j’avais 5 ans. Qui était-il pour débarquer ainsi chez nous. Papa ? Je n’avais pas de père. Et quand bien même il l’aurait été, un père est celui qui vous élève, pas celui qui vous donne ses gènes. « Je ne te connais pas, je ne suis pas ta fille ! ». Je m’éclipsai et allai m’enfermer dans ma chambre e courant. Je voulais que tout redevienne normal. En bas, j’entendis ma mère discuter avec lui. « Tu ne peux pas me l’enlever ainsi, Lothar. Elle n’a que 11 ans. Elle ne connait rien de ton monde, c’est normal qu’elle réagisse ainsi. Laisse-lui le temps. » « Mon monde, s’étonna-t-il, notre monde tu veux dire. Je te rappelle que c’est le sien aussi, Marie. » « Je sais, soupira-t-elle, au fond, toutes ces années n’auront servis à rien. » « Elle ne peut plus rester ici, maintenant. » « C’est toujours pareil, avec toi. » Elle fondit en larme.
J’appris que j’étais une sorcière de sang-mêlée, qu’il m’avait laissé vivre ici pour me protéger, mais que maintenant que je savais à propos de la magie, je me devais d’aller l’étudier à Poudlard. Je le haïssais. Il était arrivé comme un fléau dans ma vie et tout ce qu’il faisait n’était que la briser d’autant plus. Dans le monde des sorciers, je vins habiter avec lui, qui me montra ce qu’on pouvait faire avec la magie. Il semblait tellement fasciné par cela. Il m’expliqua que la lumière bleue qui avait pris la forme d’un renard après quelques jours était mon « patronus », qu’il me protégeait. Je n’en avais rien à faire. Je développai en quelques semaines une haine pour tout ce qui touchait à la magie et refusai obstinément de m’essayai à toutes ces nouvelles choses qu’il me montrait.
Lorsqu’il m’annonça qu’il m’avait inscrite à Poudlard et que je ne tarderais pas à m'y rendre pour commencer mon cursus, j’arrêtai tout simplement de lui parler. Je n’étais pas naïve, je savais que je devrais tout de même aller à cette école. Aussi je me plongeai aussitôt dans ces nouvelles études. Les livres ne m’effrayaient pas, plus je passais de temps dedans, moins j’en passais dans cette nouvelle « famille ». La seule chose qui me soulagea fut que l’école était en internat et que je n’aurais pas à vivre avec lui. Ma mère m’accompagna sur le quai de la gare. Elle pleurait, mais elle n’avait pas l’air inquiète pour moi. Snooze, mon patronus, suivait fidèlement. J’embrassai celle qui m’avait élevée pendant tant d’année et passai à travers le mur. Mon père était derrière moi. « Au revoir » dis-je sobrement avant de monter à bord du train sans plus de cérémonie. On me dirait peut-être rancunière, mais je ne pouvais toujours pas le voir en peinture.
Aussitôt assise dans le train, je fondis en larmes. A quoi rimait tout cela ? N'aurais-je pas dû être heureuse de ces nouvelles capacités que je me découvrais ? Etait-ce ingrat de ma part ? Etait-ce moi la méchante, au fond ? Je ne savais plus où j'en étais. Toutes ces questions me tourmentaient, me donnaient mal à la tête. Pourquoi ne pouvais-je pas être comme tout le monde. Je passai ma main dans la fourrure blanche du renard assoupi. Au moins, je n’étais pas toute seule.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Alix - 17 ϟ Où as-tu trouvé le forum? Pour tout dire, je ne sais vraiment plus ... ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop' ϟ Présence: Pas tous les jours, mais plusieurs fois par semaine en temps normal (hors examens, par exemple) ϟ Une remarque? Heu .. Nop'
Dernière édition par Abby-Gaëlle Bourgeois le Mar 11 Nov - 17:47, édité 4 fois |
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| Re: Abby-Gaëlle B. par Invité, Mar 11 Nov - 1:00 ( #) | |
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| Re: Abby-Gaëlle B. par Invité, Mar 11 Nov - 10:30 ( #) | Ahah, merci à tous Arzhur : Hum .. J'ai jamais pris le pseudo de Wana, donc je crois pas, mais bon et je n'ai plus fait de rpg depuis ... au moins deux ans ! Mais bon, ça me manque |
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Leviathan Faust admin - shame to die with one bullet left Répartition : 04/11/2013 Hiboux Envoyés : 830
| Re: Abby-Gaëlle B. par Leviathan Faust, Mar 11 Nov - 12:47 ( #) | Bienvenue |
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