Nom: Combulus Prénom: Honoria Âge et Date de Naissance: Dix-neuf ans, née un cinq novembre Nature du sang: Né-moldu Situation familiale: Seule, elle est une orpheline depuis sa naissance, ses parents lui sont inconnus Patronus: Paresseux & Écureuil Miroir du Rised: Réussir sa vie, en obtenant un bon boulot, une belle demeure et une famille presque parfaite Composition de la baguette magique: en bois d'érable avec une plume de phénix comme cœur Epouvantard: la forêt interdite Etudes Suivies: Enseignement magique, profil enseignement Animal de compagnie: aucun

Honoria est née à quelque part dans la fameuse ville de Londres, un cinq novembre frisquet, il y a déjà dix-neuf ans de cela. Par contre, la pauvre n’a jamais vu les visages de ses véritables parents. Ils étaient beaucoup trop jeunes à l’époque pour s’occuper d’une autre âme, la mère n’avait que dix-sept, tandis que le père était un peu plus âgé. Celui-ci n’était pas présent lors de la naissance, il avait déjà abandonné la mère et l’enfant. La jeune mère ne pouvait pas subvenir à tous les besoins que la petite devait obtenir, donc elle n’a même pas hésité et l’a envoyé en famille d’accueil, puis avec le temps Honoria se retrouva à l’orphelinat. Cet orphelinat était bien situé et était bien réputée. Elle y est restée toute son enfance jusqu’au début de l’adolescence, soit vers les dix et onze ans.

En ayant des parents inconnus, elle n’a jamais pu savoir la véritable nature du statut de son sang, dans ce cas, elle se considère né-moldu. Cela ne lui déplaisait pas d'être ‘’classé’’ dans cette catégorie, même si elle sait que les sang-purs ne les tolèrent vraiment pas, car pour eu ils sont les intrus du monde magique. Malgré tout, elle capable de se défendre et de prouver qu'elle a autant sa place ici que ceux-ci. Honoria n’est pas du genre à se laisser abattre par les autres, elle encaisse et préfère de ne pas se venger, pour elle la vengeance n’est pas la meilleure des solutions. Encore moins si elle utilise des sortilèges, pour prouver à quel point quelqu’un est puissant, elle essaie de s’éloigner des gens qui ont ce genre de pensées. D’ailleurs, sa baguette est faite en bois d'érable avec une plume de phénix comme cœur. Honoria à peur de peu de choses, les coins sombres et mal éclairés l’amuse étonnamment, cependant, la forêt interdite lui donne la frousse juste à en entendre parler. Seulement regardant l'entrée macabre et effrayante, lui fait faire des cauchemars la nuit.

Honoria a eu beaucoup de chance dans sa malchance. Son enfance n'a pas été si terrible comme l’on pourrait l’imaginer. Elle a toujours gardé un grand sourire et un sens de l'humour dans tout ce qu'elle faisait. Honoria a toujours voulu faire plaisir aux autres et les rendre heureux, car c'est ce qui la rendait heureuse. À son jeune âge, elle aimait faire rire les gens autour d'elle, même si parfois c'est d'elle qu'ils riaient. Étrangement, ça ne lui dérangeait pas plus que ça parce que l'on ne peut pas plaire à tous les gens qu'on rencontre. Il est dur de la mettre en colère, mais elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle aime dire son opinion et exprimer ses valeurs lorsqu'on le lui demande tout comme elle aime répondre aux questions des professeurs. Elle aime répondre et partager son opinion, elle ne peut pas nier qu’elle aime lorsqu’on l’écoute, elle aime avoir un peu d’attention comme la majorité des jeunes. Honoria n'est pas la plus intelligente de sa génération, mais elle beaucoup cultivée. C'est pourquoi elle est apte à se démarquée des autres, grâce aux efforts qu’elle fait en classe. Mise à part ces qualités, elle a des défauts, qui la mettent parfois dans le pétrin. Son honnêteté la trahit parfois, tout comme ses paroles très directes, elle dit des choses sans y penser deux ou trois fois avant de les dire à haute voix. Si seulement les défauts feraient le charme d'une personne.

Au moment de l'événement de l'apparition des patronus dans le monde magique, la jeune femme pensait qu'elle était devenue cinglée. C'est au fil des premières minutes, qu'Honoria a compris qu'elle n'était pas la seule à les apercevoir. Au début, son patronus avait la forme d'un paresseux, très lent et presque immobile, à l'instant où Honoria c'est approché de celui-ci, il s'est rapidement métamorphosé en un petit écureuil qui lui grimpa sur l'épaule. Étonnée et intéressée de ce changement, elle s'est vite fait à l'idée que l'important est de bien en prendre soin et de ne surtout pas s'en éloigner. Donc, elle n'a jamais vraiment eu de difficulté à se comporter avec ceux-ci. De plus, elle a rapidement apprécié leur présence. Comme certains autres sorciers, avec le temps elle s'est aperçue que son patronus représente une réflexion de son âme, ce qui a facilité l'approche entre eux. Ensemble, les deux formes animales, soit le paresseux et l'écureuil, de son patronus sont un équilibre, un milieu parfait et stable, qui définit Honoria.

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