BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux » | | | Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 21:54 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Niamh Krystal Black FEAT. Emily Kinney 23 ans ϟ Médecine magique ϟ Vautour fauve et hyène tâchetée ϟ Toujours pure Nom: Black. Frémissez. Prénom: Niamh Krystal. Niamh pour tout le monde, Krystal, un nom pur et limpide pour ceux seulement qui savent voir à travers moi. Âge et Date de Naissance: 23 ans, née le 23 juillet 1957, quelques minutes après Lou'la. Elle a toujours su prendre son temps. Nature du sang: Pur. Toujours, pur Situation familiale: Je suis la fille de Lysandra Berkeley et d'Orion Black. Je suis la jumelle de Lou'ka Lakhshan Black. Nous sommes nés pour sauver la très noble et très ancienne maison des Black. Notre naissance, a elle-seule, a su effacer la honte de l'indigne. Notre naissance, en duo, a su réparer et compenser les premiers sacrifices faits. Lysandra Berkeley n'a toujours voulu que deux enfants, de toute façon. Il importe maintenant d'en être digne. Je m'entends bien avec les membres de la famille, je les aime bien. Mais pas d'un amour inconditionnel. C'est une idée ridicule. Ëtre un Black, ca se mérite. En côtoyer aussi. Je me loverai au sein des miens, je jouirai de leur présence et de leur protection et de leur puissance, jusqu'à ce que cela ne me rapporte plus (c'est-à-dire, donc, qu'il est fort improbable qu'un jour je leur tourne le dos) Patronus: Royal et ignoble, tour à tour vautour fauve et hyène tâchetée, symbole de protection et de renouvellement, symbole de lâcheté, de cruauté, de perfidie. Le jour et la nuit. Miroir du Rised: Ça me trouble, ce miroir. Je suis assise sur un luxueux fauteuil de velour bourgogne, derrière un bureau immaculé. Tout est lumineux autour. Je me sais observée. Je suis assise, mais je crois me savoir enceinte. J'ai sur le visage, l'expression de ceux qui ont le pouvoir de vie ou de mort. Je suis probablement à la tête de Sainte-Mangouste, mais je pourrais me tromper. Les désirs sont trompeurs. Composition de la baguette magique: ventricule de coeur de dragon, bois d'aubépine, 31,5 cm. Epouvantard: être souillée par un impur. Etudes Suivies: 12e et dernière année de médicomagie, avec Occlumencie et métamorphose en prime (J'ai d'abord suivi psychomagie en première année de second cycle, avant de décider que je préférais directement ce qui se cachait dans les têtes (et les corps) Animal de compagnie: Les Black n'ont pas d'animal de compagnie. Les Black ne s'occupent pas des bêtes, ce sont à elles de s'occuper des Black. Caractère "Ce monde, tel qu'il est fait, n'est pas supportable. J'ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l'immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde". Je serai la hyène qui ricane, hilare, la hyène qui observe et se délecte de la putréfaction lente mais inarrêtable de votre avenir abandonné par votre flagrant manque d'ambition. Je me nourrirai de vos petites morts puis... Puis je serai le vautour, royal, planant haut dans le ciel, vous observant agoniser, attendant que les autres fassent le travail. Ceux de ma race sauront survivre. Je te jugerai selon qui tu haïs, et non selon qui tu aimes. L'amour est certes une belle et grande et puissante... chose. Mais quand la nuit tombe et que la solitude t'enveloppe dans ses brumes, ton cœur implode et par Merlin, j'ose espérer pour toi que tu auras su garder quelques onces de lucidité pour ne pas sombrer dans une amère dépression ou une rancœur aveugle. Calcule. Calcule toujours. Il te faut savoir en tout instant les risques à courir, les conséquences et les bénéfices qui en découleraient, les probabilités que cela te rapporte ou non. Laisse la balance décider. Elle est aveugle et juste et cruelle. Mon père et ma mère et mon frère devine peut-être mon penchant égoiste. Ce n'est probablement qu'un murmure, une impression qui leur rôde au fond de l'esprit, cette idée que je ne me sacrifierai jamais, même pas pour eux, l'idée qu'on ne peut pas toujours compter sur moi, et surtout, surtout, qu'on ignore quand on ne le pourra définitivement plus. Rassurez-vous, famille. Cela n'a pas a arriver. N'importe que Black serait fier que je suive la tradition familiale de faire passer l'honneur du nom avant l'amour de l'individu. Je suis de celles qui mentent avec tellement de franchise qu'on se laisserait prendre. Il n'y a que le pouvoir qui compte réellement. Le trouverai-je par l'accumulation d'un savoir infini? Le gagnerai-je par la peur que ma folie répandra comme une traînée de poudre son mon passage? Ou vous charmerai-je avec mon grand sourire et mes pommettes hautes, ma taille fine et mes cheveux dorés? Peut-être serai-je adorable, innocente, jouant le jeu de la dure au grand coeur. N'oubliez pas que je ne fais jamais rien pour rien. Calcule, calcule toujours. Et rapidement. Je réagis promptement. Surtout, surveille tes paroles parce que j'aime jouer. Confronte-moi, séduit-moi, menace-moi si tu veux. Je vais gagner, mais peut-être qu'avec un peu de chance - pour nous deux- la partie sera intéressante. Regarde-moi aller. Regarde moi mentir, faire semblant, t'attirer dans des pièges. Si je te promets quelque chose, par contre, réjouis-toi (ou tremble), car je respecte toujours mes engagements (toujours à condition que je n'y perde pas trop, vraiment, la règle de la balance, c'est la numéro 1, toutes les autres en découle. Je joue au jeu de la vie). Je ne suis ni froide, ni réservée. « Drôle, n'est-ce pas? Tu ne ris pas. Personne ne rit? Écoutez alors. Je veux que tout le monde rie. »Je sautille et rayonne. D'une terrible lueur. Je suis le sourire inquiétant sur le visage de celle qui vous veut du mal, je suis la malice derrière toutes les intentions cachées qu'on devinne avec anticipation. Je tire mon bonheur des privlièges qui sont miens, je suis heureuse quand je le suis plus que vous. Oh! S'il vous plaît, demandez moi de vous rendre service, qu'on négocie un prix.. Je suis adorable, je vous le jure. Je ne suis pas violente. Je ne me délecte pas de la violence, mais de ses effets. Tu peux t'épargner beaucoup, donc, en obéissant simplement. Autrement... je suis aussi directe, franche et insolente en paroles qu'en gestes. Si tu n'es pas un sang-pur, jamais ma peau ne touchera la tienne. Pour être arrogante, pour jouer avec le feu, il faut savoir à qui l'on s'adresse. Pour ne pas se brûler les doigts. Je sais toujours à qui je m'adresse. J'ai une mémoire des noms et des titres assez impressionnante. De toute façon, si je ne sais pas qui vous êtes, personne ne le sait non plus. Votre importance est mineure, le cours de l'histoire peut se passer de vous. Aussi, je lis beaucoup. Il n'y a pas de place pour les imbéciles dans la grande maison des Black. Ainsi, j'ai l'imagination particulièrement fertile. Mon esprit contient une dizaine de siècles et tout autant de nations ayant manigancé, triché, trompé, cherché revanche, philosophé sur leur sadisme. Je me lave souvent les mains. Je prends beaucoup de bain. Je dors 7 heures par nuit. Toujours. C'est bon pour l'esprit (et pour le teint). J'aime la beauté ordonnée du chaos. À suivre
a little something from you.
Nous recevions, au manoir. Lou'ka était parti prendre l'air - sans le dire, bien sûr, il avait prétexter quelque chose de bidon pour quitter la table et me laisser ainsi avec tout le monde. Je n'étais pas d'accord avec la tournure que prenait la conversation, cela devenait un peu lassant. Il était question de savoir si oui ou non il devrait être acceptable pour une famille noble de ne pas avoir une profession libérale - sans ne nommer personne, bien que tous savaient de qu'elle famille il s'agissait. Mes ongles tapotaient la table alors que je les écoutais enchainer les arguments. Je ricanais intérieurement. Mère me parla. Je levai la tête. Mais je n'écoutai pas ce qu'elle me dit. Quelque part, à l'intérieur, quelque chose ricanait encore. Je regardai mes mains. Elles semblaient enveloppées d'une brume argentée. C'était subtil, mais je savais remarquer immédiatement tout changement dans l'apparence des gens. Sur ce, Lou'ka rentra, monta directement les escaliers. Je m'élancai à sa poursuite. Je cognai à la porte de sa chambre. Mère m'appela, je me retournai. Et c'est là que je le vis. Un énorme vautour (fauve, je l'apprendrais plus tard) était perché sur la balustrade.
Je n'ai pas choisi mon prénom. Il me convient. Il n'appartient qu'à moi. Il ne tient plus qu'à moi de faire en sorte qu'il devienne porteur d'histoire. Je n'ai pas choisi le nom de mon patronus non plus. Il s'est imposé à nous. Il serait Caligula. Il me montra les deux formes qu'il allait prendre. Noble et horrible à la fois. Le jour, il est souvent perché sur mes épaules, ostentatoire, presque aussi grand que moi. Je peux sentir la puissance de ses serres enserrer mes épaules. Il a le regard perçant. Il ouvre ses ailes pour impressionner. Il n'y aura pas de contact, mais il n'a pas besoin de vous toucher pour vous effrayer. La nuit, ou accompagnant ses méfaits, il prend la forme d'une hyène, perfide, carnassière, savourant, hilare, les malheurs que cause sa sorcière. Il est d'un tempérament vif, impatient, sournois, lunatique et vindicatif. Nous nous complétons parfaitement.
Si vous saviez les horreurs qu'il murmure à mon oreille. C'est délicieux. L'arrivée de Caligula est une bénédiction. Nous nous complétons. Nous nourrissons notre imagination mutuelle. Il n'y a rien de plus satisfaisant que de se surprendre soi-même, que de s'aimer soi-même à ce point.
La maladie des patronus, c'est la faute des impurs. Ils n'ont pas assez de magie, elle est instable, ce sont des gouffres qui tentent d'absorber celle des autres.
You're not a sad story.
Je suis née la dernière. J'ai laissé mon grand frère tâter le terrain. J'étais une Black. Il y avait de quoi être fière. Je ne serais pas ingrate envers la vie en crachant sur ses cadeaux. Petite, j'étais un bébé qui calculait ses pleurs afin de ne pas user leur pouvoirs. J'étais une enfant obéissante – il est toujours plus facile de demander des faveurs lorsque l'on est une enfant obéissante. J'ai très tôt su manier l'art de la négociation. J'ai très tôt su manier l'art de la déléguation aussi – déléguer la faute sur les autres, déléguer les choses ennuyantes aux autres, etc. Peut-être que quelques cousins m'en veulent encore d'avoir su tirer profit d'une situation qui les avait mis dans le pétrin. Ce serait de la mauvaise foi. Ce n'étaient que de petits pétrins d'enfant. Je ne leur en veut pas non plus pour les coups pendables qu'ils m'ont joué. Nous sommes parfois allés loin, mais ça a testé notre vivacité. ...
À Poudlard, tout le monde me connaît automatiquement par mon nom. Je ne lâche pas Lou'ka. Je le suis, j'écoute, j'observe. Nous sommes les deux parties d'un tout. Nous ordonnons à deux, nous décidons à deux, nous jouons à deux. J'apprends très vite deux choses : 1. le monde entier m'est accessible. Je peux y faire presque n'importe quoi. 2. À condition de ne pas se mettre à dos les autres sang purs. Ma mégalomanie s'emballe. Heureusement. Je me serais peut-être ennuyée, autrement, et il faut craindre une puissance blasée plus que tout autre chose. Les cours du deuxième cycle sont arrivés à point, aussi. J'ai toujours été une bonne élève, quoique plus intuitive et impulsive intellectuellement qu'appliquée et minutieuse. Vous connaissez déjà mon avis sur les gens stupides. Or, comme je disais, le deuxième cycle amenait de nouveaux défis. L'occasion d'exceller dans un domaine. J'ai choisi la médecine magique. N'est-ce pas formidable de connaître les nombreuses façons de sauver et de tuer un sorcier? Il y en a plus que vous ne le croyez... ... « C'est une conne »Lou'ka lève les yeux de son livre et me regarde, un sourcil haussé, perplexe. « Theodora? » Il retourne à son livre. « C'est une sang pur très jolie ». Je ne supporte pas qu'il ne me regarde pas pendant que je lui parle. Il le sait très bien. Je soulève son menton avec mon index. « Voilà. Tu viens de faire le tour de sa personne » « Et elle est aussi jolie par devant que par derrière. Tu devrais te trouver quelqu'un avec qui jouer aussi. T'as de bons gênes pour y arriver, tu sais.» Il retourne à son livre. Je dégage. Je rage. Je m'en fous. Il m'exaspère. Il m'amuse. Il a du potentiel, ce gamin. C'est un Black, nom d'un gobelin, il mérite mieux qu'une très jolie sang-pur. Ce n'est pas tout, d'être noble. Faut-il encore le mériter, et tous ne le mérite pas. Et puis elles accaparent beaucoup trop de son temps. Personnellement, je n'ai eu que très peu de relations intimes. Une main suffit à compter ceux qui on eu le droit de me toucher, et encore, parfois pas très longtemps, ni partout. Ce qui me stimule, c'est le flirte qui précède. La chasse. À la seconde où l'intérêt devient réciproque, je ne suis moi-même déjà plus intéressée. … « Hé venez voir, Krystal a un admirateur ! » Ce grand insignifiant qui me sert d'ainé agitait une lettre dans tous les sens, surexcité par sa trouvaille, surexcité, surtout, par ce rouge haine qui enflammait malgré moi mes joues, surexcité par « Arrête! »Il n'arrêta pas, bien évidemment. Les Black sont bien parmi les seuls à ne pas obéir aux injonctions d'autres Black. Or, je déteste qu'on ne m'obéisse pas. A quoi sert le langage s'il ne réussit pas à servir notre volonté? Je tends les bras. Il est plus grand que moi. Il déplie la lettre, fier, l'enfant, fier, et commence à lire les mots infâmes. « J’ai pris en ce jour ma plus belle plume pour t’écrire ce que mon cœur n’ose te dire : tu hantes mon esprit. J’avais oublié… » J'en ai un haut le cœur. Ca suffit. Lou'Ka et plus grand que moi, certes. Qu'à cela ne tienne. Je le pousse de toute mes forces, j'utilise tout mon poids, je m'effondre sur lui, et je récupère ce qui m'est adressé, avec rage, avec furie, non pas destinée à mon frère -il a le droit, après tout, de m'indisposer, c'est le droit du sang- mais destinée à l'infâme sang-de-bourbe qui a osé lui écrire, osé pensé à elle, osé... non non non, elle ne veut surtout pas s'imaginer ce qu'il a pu imaginer. Lou'ka me pousse, je n'en ai cure, je n'ai pas fini de réduire en miette la preuve d'un amour sale. Mon frère me tend la main. Je l'accepte. Il est fier, je le vois dans son sourire. « Alors Krystal, plus docile que tu veux nous le faire croire finalement. » se prononce ton voisin, lui aussi, sourire aux lèvres, Je tourne la tête vers le garçon qui vient de parler. Il trouve l'histoire drôle, lui aussi, apparemment. Je le regarde férocement, et toute la haine tantôt dirigée vers l'admirateur impur est redirigée vers lui. Docile? Moi, docile? Moi, flirter avec un impur? Je vous demande pardon! Si le sang-de-bourbe a pu croire qu'il avait une chance, c'est qu'il est soi fou, soi masochiste. « Levicorpus » j'esquisse un petit sourire alors qu'il est soulevé dans les airs « Tu saisies pas à qui tu parles je crois, Hodge. Tiens-tu vraiment à ce que je te rappelle qui je suis ? » Voila un jeu amusant. Mon corps est parcouru d'adrénaline, je peux sentir toute mon énergie affluer vers le bout de ma baguette magique, vers ce pauvre Hodge qui croit qu'il détient les mêmes privilèges que les privilégiés. Il est suspendu à ma volonté. Il apprend vite, le gamin. Il s'est tut. Je sens le silence, je respire la puissance. « C’est bon Krys’, fais le descendre. » C'est Lou'ka. Rabat-joie. Avec dépit, j'obéis. Avec le moins de délicatesse possible. Je me retourne, j'entends un bruit de choc lourd sur le sol. Il n'est déjà plus digne d'intérêt. Je dois aller me laver les mains. ... Ka va être marié à une Malefoy. Lou-Ann Malefoy. L'annonce s'est fait traditionnellement : c'est-à-dire dans la banalité, comme on annonce le menu du déjeuner ou qui sera à la réception du soir. Je le suivis en dehors de la salle commune. Il avait quelque chose de sombre dans le regard. Il n'aimait pas la demoiselle, je pouvais presque sentir son aversion comme si c'était la mienne. Ce n'était pas la mienne. « Rien ne change » Je souris. Bien sûr, que rien ne changeait. Rien ne devait changer. Je devinais son dépit pour la chose sans réellement le comprendre. Le parti était pur et l'histoire était prévisible. De qui donc aurait-il voulu. Les parents ne m'ont pas encore annoncé mon parti, mais Lou'ka n'en fait pas de cas. Je ne suis pas pressée, remarquez, et Lou'ka est l'ainé, après tout. Un autre privilège de première naissance. Je jette un regard de mépris sur celle qui vient de le bousculer. Je ne suis guère réjouie non plus, à l'idée de devoir partager mon frère, mon jumeau, mais autant que ce soit une Malefoy qu'une de ces épidémie. Nous continuons notre chemin. « Allons te changer les idées, un peu » .
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Vous pouvez encore m'appeller Momo, 25 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Sur la page d'accueil ϟ Personnage: Inventé ? Scenario ? PV ? Scénario du jumeau Lakh. ϟ As-tu un autre compte sur BP? oui ϟ Présence: régulière ϟ Une remarque? J'ai emprunté des parties de l'histoire de Niamh directement sur la fiche de Lak, mais en changeant le point de vue, en décidant que si c'était signifiant pour lui, ce l'était aussi pour elle.
Dernière édition par Niamh K. Black le Mar 6 Jan - 20:58, édité 10 fois |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 21:59 ( #) | Rebienvenue ! Et puis Emily frbfienfiuef elleesttellementchou et c'est Beth |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 22:04 ( #) | Re bienvenue |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 22:08 ( #) | Cousiiiine BOn choix de scenar' et bienvenue chez nous Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas ! |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 22:11 ( #) | Rebienvenuuue |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 22:12 ( #) | niamh, c'est un de mes prénoms préférés (re)bienvenuue |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 22:16 ( #) | Rebienvenue ! Oops. La soeur de Lakh Bon courage pour ta fiche ! |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Dim 4 Jan - 23:43 ( #) | Beeeth Bienvenue la petite soeur de mon tit protégé Bon choix d'avatar et bon courage pour ta fiche je passerais te réclamer un lien, cela va de soi |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 1:48 ( #) | Bienvenue chère cousine |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Guest, Lun 5 Jan - 2:57 ( #) | Ce scénarioooo Re-bienvenue avec cette jolie Black =) |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 4:33 ( #) | Merci! (Et t'es potentiellement dans le pétrin, Gisèle ) |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 10:08 ( #) | rebienvenue j'ai réparé ta fiche puisque tu as supprimé des balises, ce qui casse les codes tout ces machins-là: - Code:
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</div> </center> </table> on dirait pas comme ça mais c'est très important, donc fais bien attention (ça marche pour les balises de début aussi ) |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 13:28 ( #) | (Mais non c'est bon c'est un secret ) |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 18:30 ( #) | RE BIENVENUE |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Invité, Lun 5 Jan - 18:43 ( #) | re-bienvenue. |
| | Re: Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux »par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Niamh K, Black - « Il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux » | |
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