| PRISM - she insidepar Invité, Mer 21 Jan - 19:36 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Prism Mollie Ollivander FEAT. Phoebe Tonkin 19 ans ϟ Communication Magique ϟ Biche & Ours Polaire ϟ Sang-MêléNom: Ollivander. Qui ne connaît pas ce nom de famille? Lorsqu'entendu, il est automatiquement relié à la fabrication des baguettes magiques, pour tout sorcier se respectant. Particulièrement connaisseurs dans ce domaine, les membres de cette famille, qu'ils soient femmes ou hommes, se transmettent la boutique et le savoir de parents en enfants. Cette entreprise familiale est connue à travers tout le Royaume-Uni, et reconnue dans le monde sorcier tout entier. Prénom: Prism Mollie. Un prénom harmonieux, beau, étincelant. Il a rapidement été le choix premier des parents de la jeune fille, au moment où ils ont appris la grossesse de la future mère, et n'a pas changé depuis ce moment. Quant à Mollie, il s'agit d'un prénom à la valeur sentimentale pour Monsieur Ollivander, puisqu'il est celui de sa défunte mère. Ainsi, il a réellement voulu transmettre le souvenir de sa génitrice à son enfant. Âge et Date de Naissance: Née un 15 mars 2062 (19 ans). Elle naquit à Londres, et fit la plus grande joie de ses parents. Elle pesait 3 kilos exactement, et mesurait 51 centimètres. Elle arriva au monde sous le nom d'Ollivander, et depuis ce jour, se promit de l'honorer. Elle veut ainsi reprendre, sans hésitation aucune, l'entreprise de baguettes magiques familiale depuis son plus jeune âge. Nature du sang: Sang-mêlé. Situation familiale: Prism est la fille de Ludwig et Tori Ollivander, et a une soeur, Opal, de deux ans sa cadette. Patronus: Une biche, qui a tendance à se transformer en ours polaire, et qu'elle a appelé Ruby. Miroir du Rised: Se voir à la une de tous les journaux grâce à ses prouesses dans l'art de confectionner des baguettes. Composition de la baguette magique: Bois d'épicéa, 29 centimètres exactement, contenant un ventricule de coeur de dragon. Epouvantard: Le monstre de ses cauchemars, lorsqu'elle était petite. Etudes Suivies: Première année en Communication Magique (Commerce) - Options Langues & Etudes des Moldus. Animal de compagnie: Une chatte (chartreux) nommée Fizzy. Caractère On dit que je souris beaucoup, et j’ai bien ma raison pour ça : il faut toujours voir la vie du bon côté. Je sais que je suis un yo-yo émotionnel, et que j’ai tendance à avoir des hauts et des bas plus que quelqu'un de normal, et que durant ceux-ci, je n’ai tout simplement pas envie de sourire, mais oui, la plupart du temps, sourire fait partie de moi. On me dit aussi que je suis quelqu’un d’attachant. J’ai un peu de mal à être d’accord sur ça, parce qu’avec mes sautes d’humeur, je me demande beaucoup si les gens n’en ont pas un peu marre de moi. Visiblement non… Et puis, on me qualifie aussi d’amicale et de drôle, deux qualités que je suis contente qu’on m’attribue, vraiment. C’est un plaisir de savoir que les gens me voient d’un tel œil. Je pense, personnellement, que je suis quelqu’un de dynamique, et joueur. J’ai toujours beaucoup d’énergie, j’aime bavarder et bouger. J’ai déjà entendu qu’on me désignait comme une personne avec un grand sens de la répartie, et je ne peux qu’acquiescer, car je l’ai remarqué moi-même maintes fois. Il faut dire que j'ai d'excellentes notes, j'ai une mémoire auditive, et rien n'est plus simple pour moi que de connaître mes laçons en ne faisant qu'écouter mon professeur en cours. Evidemment, j'adore me plonger dans mes livres pendant un après-midi complet, tranquille, au calme de la bibliothèque, entourée de tous ces livres qui renferment un savoir important. Je rêve de tous les lire et pouvoir dire que je sais tout, mais je ne suis pas idiote, je sais bien que cela n'arrivera jamais. J'aime avoir et établir des priorités. Dans l'immédiat, mes études sont au centre d'absolument tout. J’ai bien souvent le dernier mot aussi, mais c’est surtout le fait que si l’on m’attaque, j’ai toujours quelque chose à répondre, et je sais choisir mes paroles, j’ai des qualités d’oratrices. Je ne reste que rarement sans voix. Enfin, j’aime à penser que je suis quelqu’un de courageux. Peu de choses me font peur, et je sais prendre mon courage à deux mains afin d’accomplir quelque chose. Pour ce qui est de mes défauts, il y a évidemment le fait que je sois un yo-yo émotif, mais c’est une chose avec laquelle j’ai appris à vivre malheureusement. Je pense être un individu possessif et jaloux. J’aime que ce qui m’appartient reste en ma possession, et je ne suis pas une grande fan du partage d’amis. Evidemment, mes amis peuvent avoir d’autres fréquentations, mais s’ils sont vraiment proches de moi, j’aime qu’ils le restent. J’angoisse beaucoup, mais j’ai cet avantage : je garde les choses pour moi. De ce fait, si je me trouve angoissée pour X ou Y raison, je sais que je serai capable de le cacher un maximum aux yeux des autres. Je suis méfiante aussi. Je me suis tellement fait marcher sur les pieds que j’ai maintenant ce réflexe d’analyser, d’observer et de ne pas trop vite juger. Enfin à mon grand désarroi, je dois me résigner à avouer que je suis quelqu’un de susceptible, qui s’énerve pour si peu et qui prend la mouche trop rapidement, et d’impulsif. Combien de fois ai-je fait quelque chose sur un coup de tête, sans complètement réfléchir aux conséquences et autres… ? Pourtant, je suis parfois à l'opposé, je réfléchis beaucoup, parfois trop. Disons que ça dépend de la situation, mais oui, je peux aussi être quelqu'un de réfléchi. Pour finir, autant avouer que je suis vindicative… très vindicative… Ce n’est pas que j’aime me venger, mais c’est tout simplement un besoin. Je peux offrir ma confiance rapidement, par exemple, mais au moment où elle est souillée, j’aurais ce besoin de faire payer cette personne. Je suis rancunière, je n’oublie pas, jamais. a little something from you. J’ouvrais les yeux en ce frais matin de Noël. J’étais à la maison, et Maman était, vu l’odeur qui parfumait l’ensemble de la maison, en train de préparer ses fameux pancakes pour notre petite fratrie. Je m’asseyais sur mon lit, les pieds encore sous la couette, afin de faire face à ma sœur, que j’entendais chuchoter. « Opal... », lançais-je les yeux encore embrumés. Je n’étais de toute évidence pas encore réveillée, puisque j’avais l’impression d’apercevoir une espèce de masse sur son lit. Je me frottai les yeux, avant de réaliser que je ne rêvais absolument pas, et qu’un animal se trouvait bien à ses pieds. « Opal ! T’es complètement inconsciente ou quoi ? Où est-ce que tu as trouvé ça ? », l’agressais-je, à moitié en chuchotant, et en ignorant le regard noir duquel m’attaquait silencieusement l’animal, comme s’il m’avait compris. « Chuuuuut ! Baisse d’un ton ! », me reprocha t-elle, jetant un coup d’œil apeuré à la porte. « Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais il n’arrête pas de me répéter qu’il est mon patronus, et qu’il sera maintenant matérialisé à mon côté de manière permanente. Cool, hein ? D’ailleurs hum… ne prends pas peur quand tu regardes au bas de ton lit. Ton patronus est là aussi. Evite de crier ! Je te préviens, t’as écopé d’un plus grand que moi ! », s’esclaffa t-elle. « HEY ! C’est pas sympa ça ! », s’offusqua une voix à l’endroit même où ma sœur m’avait prévenu que serait mon patronus. Ma surprise fut immense lorsque celui-ci se mit à quatre pattes. « Oh mon Dieu ! Mais… Oh mon Dieuuu ! C’est quoi ça ?! Et ça parle ! MAMAAAAAAAAN !!!! », criai-je. Les pas se précipitèrent dans l’escalier. Ce ne fut pas seulement ma mère qui entra dans ma chambre, mais aussi mon père. Passée la seconde de peur dans les yeux de tout le monde, l’atmosphère se détendit grâce à la douce voix de ma mère : « Bonjour tout le monde ! Cette situation est probablement bien étrange pour tout le monde, mais il semble que vos patronus se soient matérialisés à vos côtés. Le ministère a simplement fait part de cette information. Pour votre père et moi, ce n'est pas le cas, et nous ignorons encore pourquoi. Mais ne vous inquiétez, un patronus ne devrait rien avoir de dangereux pour son maître. En tant que sort, il s'agit de votre meilleur allié pour éloigner les forces du mal, alors s'il se matérialise, il devrait en faire de même. En attendant, le petit-déjeuner est servi… et les cadeaux vous attendent sous le sapin, je vous le rappelle. », nous informa t-elle avant de quitter notre chambre.
Il m’a fallu toute la durée des vacances de Noël pour m’habituer à la présence constante de Ruby. Elle était particulièrement grande, mais comme l’avait dit Maman, elle n’avait rien de dangereux. J’appris plus tard, après l’avoir vu de mes propres yeux, que Ruby n’était pas seulement une biche, non. Elle prenait aussi la forme d’un ours polaire, cette immense bête blanche. Mais je ne pouvais plus imaginer ma vie sans l’un, ni l’autre. Et bien qu’avoir mon patronus matérialisé à mes côtés n’avait rien de naturel, je ne cessais d’espérer que le Ministère ne trouve pas la solution pour remédier à leur erreur. You're not a sad story. Il était une fois, deux jeunes gens qui tombèrent amoureux. La jeune fille, Tori Blackpool, avait alors vingt ans, et vivait dans une petite ville d'Irlande, et le jeune homme, Ludwig Ollivander, en avait vingt-deux, et vivait à Londres, sur le Chemin de Traverse. Ils se rencontrèrent lors d'une escapade dans la capitale anglaise. Elle était venue passer un week-end entre filles, il était présent dans la grande ville pour des raisons liées à son travail. Cependant, tous deux avaient décidé, en compagnie de leurs amis respectifs, d'aller passer une soirée dans un bar luxueux du côté moldu. Elle était au bar, commandant des boissons pour le groupe avec lequel elle était, et il ne la quittait pas des yeux. Il décida de l'aborder: c'était le moment parfait. Ils discutèrent longtemps; à vrai dire, jusqu'à ce que l'établissement ne ferme ses portes, alors ils amenèrent leur conversation dehors, et continuèrent d'apprendre à se connaître dans la petite rue éclairée par le soleil déjà levant. Leurs groupes d'amis respectifs étaient partis, et les deux nouveaux amis se dirigèrent vers la chambre d'hôtel de la jeune fille. Loin d'eux l'idée de faire ce que vous pensez, non, ils s'assirent sur le sofa moelleux, et poursuivirent leur causerie. Rapidement, ils tombèrent dans un lourd sommeil, pour n'ouvrir les yeux que sur les coups de quinze heures. Ils se réveillèrent blottis l'un contre l'autre, en se rendant compte que l'alchimie qu'ils ressentaient chacun de leur côté était partagée. S'en suivit un tendre mais timide baiser qui marqua le début d'une relation magique, digne des meilleurs films romantiques. Ils étaient tous deux sorciers: Ludwig ayant fait sa scolarité à Poudlard, et Tori à Beauxbâtons, étant donné que sa famille était franco-irlandaise. Après seulement deux ans de relation, ils prirent la décision d'essayer d'ajouter une vie à leur petit couple modèle. En effet, la jeune française tomba enceinte pour la première fois, et c'est lors d'une matinée très froide de Janvier, où la neige empêchait les gens de circuler autrement que par des moyens magiques, que le jeune couple se retrouvait pour la première fois à l'Hôpital Sainte-Mangouste, lors d'un week-end romantique à Londres. La jeune fille était enceinte de son premier enfant, alors que le jeune homme, en panique et ne sachant trop que faire, allait devenir papa d'une petite fille dont il imaginait un avenir splendide: celui de reprendre l'entreprise familiale. Après toute une journée de contractions, de pleurs et d'épuisement, une petite fille naquit, malheureusement morte-née. L'enfer s'ouvrit alors au jeune couple, qui tenta encore et encore d'avoir un enfant pour les deux années suivantes, mais n'essuyèrent tristement que deux fausses couches. Après ce qu'ils s'étaient promis d'être leur dernière tentative, un soir de 15 Décembre, si proche de la date prévue de l'accouchement, la jeune femme sentit en elle un sentiment qu'elle n'avait auparavant jamais connu. Elle savait que cette fois-ci était la bonne, et qu'elle allait avoir son enfant. Elle ignorait encore le sexe du bébé, car ils s'étaient déjà trop enthousiasmé auparavant, et ne voulaient plus tomber dans le piège de faire et refaire une chambre d'enfant qui, en fin de compte, ne servirait pas. C'est donc à l'hôpital Sainte-Mangouste, à Londres, qu'un bébé, un garçon pour tout dire, venait de naître, poussant des cris de douleur à cause de son "premier souffle", que l'on appelle le "souffle de vie" chez les Moldus. Douze minutes plus tard, la mère eut de nouveaux des contractions et un second enfant, une fille cette fois-ci, était sur le point de naître. Ils étaient nés le même jour! Quelle joie pour les parents! La petite fille fut nommée Prism, et était particulièrement calme déjà. La jeune mère ignorait alors comment appeler son deuxième enfant, et y pensa quelques instants, quand le père intervint en prononçant le magnifique prénom de George. C'est alors que sans hésitation, elle décida d'appeler le premier des deux jumeaux George. Dieu que les deux enfants se ressemblaient! C'était tout simplement impressionnant! Pourtant, quelques minutes plus tard, une infirmière entra dans la chambre de la jeune mère et lui annonça la première horrible nouvelle de sa vie de nouvelle maman. Le premier des deux jumeaux était décédé. Son coeur avait simplement cessé de battre, et n'était donc plus de ce monde, malgré tous les efforts que les médecins et médicomages avaient mis dans l'action. Les parents avaient alors décidé qu'ils étaient plus qu'heureux d'avoir une enfant en pleine santé, et qu'ils n'essaieraient plus d'en mettre d'autres au monde, apeurés d'essuyer d'autres échecs cuisants. Son père était un des héritiers de la fabrique de baguettes magiques très célèbre Ollivander, et poète incompris à ses heures, qui avait trouvé en sa femme une source d'inspiration. En effet, elle était sa Muse. Par surprise, deux ans plus tard, Tori tomba à nouveau enceinte, et accoucha d'un second enfant, une petite fille, magnifique et particulièrement énergétique.
Le père imposa une éducation stricte à sa première progéniture, dès son plus jeune âge, bien qu'il fut peu présent de sa vie en dehors des heures de punitions, de morales et autres privations. La maman tomba malade, épuisée, sans force, elle restait clouée au lit, n'ayant envie de rien, ne mangeant plus, comme si elle avait décidé de se laisser mourir. Bien rapidement, Prism devint la femme de la maison, fit à manger pour la petite patrie, s'occupait du ménage, du linge sale, de veiller sa mère, de l'aider, la réconforter, la soigner, bref, elle remplissait merveilleusement bien le rôle que sa chère maman lui avait confié à contre-coeur. A côté de tout cela, la jolie brune suivait régulièrement son père jusqu'au magasin de baguettes, observait, apprenait silencieusement, sans se faire remarquer, de peur de le déranger. Elle notait tout ce qui lui semblait bon de savoir, et enregistrait rapidement ce qu'elle voyait. Petit à petit, elle se fit un peu plus présente, et s'asseyait aux côtés de son papa pour mieux voir. Emu par son intérêt, il tenta de lui apprendre quelques gestes, l'invitait lorsque quelqu'un venait choisir une baguette, et elle, silencieuse mais passionnée, mémorisait tout, validait bon nombre d'informations, et comprenait beaucoup de choses. L'apparition de ses pouvoirs se fit dans le magasin, justement, où son père lui demanda d'aller chercher une certaine baguette pour un gamin qui venait en acheter une avec ses parents. Alors qu'elle n'arrivait pas à l'atteindre, la longue boîte décolla tout simplement de l'étagère, et vint se poser en toute douceur dans sa petite main. Témoin de la scène, le père ne pouvait être plus fier de sa progéniture. Madame Ollivander se rétablissait doucement, notamment grâce à l'aide de sa fille adorée. Puis vint le jour où les parents l'emmenèrent pour son départ à l'école de magie, un peu soucieux, alors que le père voyait surtout le fait que la future héritière du magasin s'éloignait de lui, et allait peut-être s'intéresser à autre chose que l'entreprise familiale. Il lui remit une baguette qu'il avait fabriqué juste pour elle, une baguette qui n'avait pas de double, créée spécialement pour Prism, et qui lui correspondrait parfaitement, elle s'en rendrait compte dans un futur plus ou moins proche. Ce fut sans aucun soucis que l'enfant s'intégra avec des gamins d'origines différentes, voyant la vie comme un rêve... Elle excella immédiatement en Vol et en Sortilèges, qui devint sa matière de prédilection, et qu'elle approfondit petit à petit, bien plus que ce qui lui était enseigné en cours. Les Sortilèges étaient sa passion, et sa baguette l'aidait particulièrement à être la meilleure dans ce domaine. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Windust/25 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Ca fait longtemps que je le connaissais, et j'y étais il y a longtemps. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non. ϟ Présence: 3 ou 4 jours dans la semaine. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Prism M. Ollivander le Lun 9 Fév - 15:49, édité 10 fois |
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