chronologie et évolution
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] du 03/09/79 au 07/09/80.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé (anachronisme).Pendant près d’une année entière, et aussi étrange que cela puisse paraître, il sera obsédé par cette fille de la maison Poufsouffle, dont il n’a jamais réellement adressé la parole. Il se souviendra toujours la première fois où il aura croisé son regard. C’était à la rentrée 1979. « Tu peux pas faire attention ?! » avait-il adressé, hautain, à son attention. Elle venait de le percuter alors qu’il déambulait dans les couloirs aux côtés de sa sœur, Krystal, laissant tomber tous ses livres au sol. Il ne l’aura même pas aidé à les ramasser, et jamais ça ne lui aurait traversé l’esprit d’ailleurs. Mais depuis cet événement, il n’aura de cesse de la voir partout autour de lui. La première fois qu’il a entendu son prénom, il l’aura inlassablement répété intérieurement tout au long de la journée. Il éprouve une attraction qu’il ne comprend pas. Jamais un Black ne devrait se lier à une Diggory.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Octobre 1980, pendant le bal d’Halloween.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé.Après des mois passés à croiser la Poufsouffle dans les couloirs sans ne jamais vraiment lui adresser la parole, il décide de la suivre au fond de la grande salle, derrière de grands rideaux de velours noirs, à l’abri des regards, prétextant un oubli dans son dortoir afin de ne pas éveiller de soupçons quant à ses intentions. Ils échangent quelques paroles, notamment à propos de son déguisement de mangemort qu’il n’apprécie pas du tout, mais il tente également de la faire revenir à la réalité à propos de sa relation avec son petit-ami. Mais cette discussion, sur le point de tourner en rond, lui fait prendre conscience de la façon dont il s’adresse à elle, et il commence à éprouver des regrets. Il ne lui montre cependant pas, égal à lui-même, et coupe court à cet échange. Il retrouvera rapidement ses amis, ainsi que sa sœur, pour le reste de la soirée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Novembre 1980, après le bal et le 1er match de Quidditch.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé.Il avait passé ces derniers jours hanté par le visage de Diggory, déçu de ne pas l’avoir aperçu depuis le bal. Et c’est totalement par hasard, au détour d’un couloir, en entendant le son d’une dispute qu’il put ne de nouveau la revoir, pas vraiment au meilleur de sa forme. Elle était en train de rompre avec son petit-ami, et les choses se sont d’ailleurs mal terminées pour lui – victime du
Volate Ascendere – ce qu’il lui provoqua un sentiment de satisfaction. Après ça, Gisèle s’enfuie pour se réfugier dans une salle de classe vide. Il la suivit, curieux, mais également envieux de la retrouver. Seuls dans cette intimité, ce fut certainement la plus longue conversation qu’ils n’aient jamais eu auparavant. Ils se cherchaient mutuellement au début, plutôt taquin avec elle. Ils parlèrent ensuite de la situation, avec son ex, et de son ressenti face à l’avenir qu’il lui avait déjà tout préparé. Il lui a également sous-entendu son mariage forcé que les traditions obligent, avant d’évoquer sa passion pour le Quidditch, désireux d’en faire sa carrière. Elle le complimente d’ailleurs sur sa prestation durant le premier match de l’année. Elle semblait elle aussi passionnée par ce sport, en tant que spectatrice tout du moins. Mais là encore, leurs points de vues divergent. Et la discussion finit par se dégrader, aussi à cause d’un message de son ex adressé à l’attention de Gisèle qu’elle n’évoque pas à Lakhshan, ce qui le froissa alors qu’auparavant elle ne s’était pas gênée de se confier à lui. Il l’envoie alors sur les roses, plutôt maladroit, et elle décide d’en terminer là, lui indiquant qu’il ne vaudrait mieux pas qu’ils se revoient à l’avenir, dévoilant également son attirance pour lui.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Novembre 1980, après le 1er match de Quidditch.[ Iélenna Evans ] Abandonné.-
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Novembre 1980.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé.Complètement obsédé par les dernières révélations de Gisèle, il décide de lui faire parvenir un parchemin ensorcelé pour lui donner rendez-vous au septième étage du château. Tandis qu’il attendait impatiemment son arrivée, la salle sur demande lui apparaît pour la première fois. Peu de temps après, Gisèle arrive enfin et il l’entraîne alors à l’intérieur de cette dernière. Lakh’ commence par s’expliquer avec elle et il est très rapidement pardonné sur son comportement de la dernière fois. Il se met à jouer les séducteurs, lui avouant son attirance pour elle. Mais, Gisèle, extraordinairement sage, veut d’abord apprendre à le connaître avant d’aller plus loin. Elle démarre donc un interrogatoire auquel il se plie sans trop rechigner (matière préférée, professeur préféré, matière détestée, révélations à propos du frère cracmol). Mais plus elle avance dans les questions, plus un rapprochement se fait évident. Il se retient difficilement de ne pas aller trop loin, cette dernière étant encore vierge. Mais, à sa grande surprise, Gisèle fait le premier pas et l’embrasse. Leur relation débute ainsi, sans franchir de cap (à la demande de la noire et or), auquel il doit se plier, sans en avoir vraiment le choix de toute façon. L’interrogatoire continue mais les questions de Gisèle se font trop indiscrètes (pourquoi est-il un homme à femmes ?). Il ne lui donne pas de réponse clair, et reste implicite dans ses propos. Malgré cela, il la blesse quand même, mais ne se sent pas coupable. Elle lui confie ensuite, après avoir évoqué son prénom et après qu’il lui ait demandé qui était-ce, qu’elle a déjà parlé de ses sentiments et de ses discussions avec lui à Charline, sa meilleure amie. Ce dernier se sent trahit et prend peur que Charline vende la mèche à son tour. Gisèle tente alors de le rassurer mais elle évoque avec maladresse son amour pour lui : la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Il prend alors ses jambes à son cou et s’enfuit.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Novembre 1980.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé.Le prochain match contre les Serdaigle n’était plus que dans quelques jours et ce matin-là, bien que
mf ne faisait pas partie de l’équipe, il avait décidé de se joindre à vous pour un petit entrainement. Tandis que vous rejoigniez le terrain, ce dernier reconnu au loin Gisèle J. Diggory et proclama vouloir se marier avec elle, soulignant ses désirs. Évidemment, pour ne pas paraître louche, malgré la colère qui montait en lui d’entendre quelqu’un s’adresser à elle de cette façon, Lakh’ agit comme à l’habitude et la rabaissa publiquement «
M’ouais. La pureté ça fait pas tout. Enfin, faut avoir envie de vivre dans la pauvreté quand même. » haut et fort, certain que cette pique tomberait dans l’oreille de l’intéressée, avant de commencer le match. Lorsque celui-ci fut terminé, les verts et argent retournèrent se changer dans les vestiaires. Lakhshan était encore en train de discuter avec son ami lorsque Gisèle pénétra à son tour dans le vestiaire. C’est alors que
mf, qui n’en avait pas fini avec elle, s’était mit à la tripoter sous les yeux ébahis du Serpentard, alors à deux doigts de le tuer sur place. Une fois n’est pas coutume, et heureusement, Gisèle se défendit aussitôt, déboitant au passage l’épaule du pervers, avant de réparer les dégâts et de s’enfuir, emportant au passage la mauvaise écharpe. Après quelques dernières paroles échangées avec son ami, bien que les envies de meurtres surpassaient le reste désormais, il rattrapa très vite celle qui avait échangé les deux tissu. Était-elle prise au jeu ou était-elle vraie ? Elle qui, d’ordinaire si joyeuse paraissait bien triste. Cependant, il ne pouvait pas se permettre de lui adresser un quelconque intérêt. Puis, à peine l’avait-elle remercié d’avoir récupérer son écharpe qu’elle s’en retourna au château.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Novembre 1980.[ Ryan A. Rosier ] En cours.Décrivez ici l'évolution de votre personnage mois par mois, que les événements soient survenus avant ou après que vous ayez commencé à le jouer. Vous pouvez lier les rp correspondants s'il y en a.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Décembre 1980.[ Gisèle J. Driggoy ] Terminé.Attiré par un brouhaha d’élèves de Serpentard qui se disputent à propos d’un rappeltout, Lakhshan, Gisèle et d’autres élèves présents sur les lieux se retrouvent projetés suite à l’explosion de l’objet. La Poufsouffle, éraflée sur la pommette, décide alors de se rendre à l’infirmerie, tandis que le blond prétexte de même afin de la retrouver. Les deux jeunes élèves, si tôt soignés par madame Pomfresh, sont renvoyés dans les couloirs de l’école. Ils décident alors de se retrouver à la salle sur demande pour un moment d’intimité. Un grand sofa règne au centre de la pièce alors que tous deux continuent d’apprendre à se connaître. Ils évoquent les vacances de Noël : lui rentrera chez lui, elle passera les fêtes à Poudlard. Gisèle tente de lui parler de leur dernière rencontre au stade, mais Lakh’ finit par se braquer. Espérant alléger la conversation en abordant le prochain match de Quidditch contre les Poufsouffle, elle ne fait que l’empirer à cause de leur capitaine, Queen, un ancien ami d’enfance du vert et argent. Heureusement le sujet dérive et les tensions s’apaisent finalement. Puis, les jeux de jambes incessants de la blonde ne fait que l’attirer davantage. Un malheureux malentendu d’ailleurs. Finalement, de fil en aiguille, il lui demande de voir sa robe de bal, tandis que Gisèle lui demande de la faire danser, tout ça pendant qu’il se trouve allongé au dessus d’elle. Très vite, la situation dérape et la Poufsouffle se retrouve avec trop peu de vêtements sur le corps, tout comme Lakhshan d’ailleurs. Enfin, Gisèle arrête tout – ce qui était sans surprise – et avoue qu’elle ne peut pas passer à l’acte sans lui avoir dit ce qu’elle ressent. Mais le Serpentard, qui n’est pas prêt à entendre ces mots, se force pourtant, mais la prévient qu’il ne pourra pas y répondre dans l’immédiat. Finalement, les amants se séparent sur cette note positive.
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