EN CONSTRUCTION
en attendant;
Nom: Dawkins, nom de son père. Sa mère, quant à elle, portait le nom de Kaufman avant de se marier.
Prénom: Jared Sean, deux prénoms d'origine hébraïque, comme le désirait la tradition.
Âge et Date de Naissance: Âgé de vingt-deux ans, il a vu le jour pour la première fois le 20 décembre 1957 à Jérusalem (Israël).
Nature du sang: Sang-mêlé. Son père est un sorcier ; sa mère, quant à elle, est une moldue qui rejette toute idée que le monde sorcier puisse exister.
Situation familiale: Célibataire. Il vit avec son père en Angleterre, après que sa mère l'ait mis à la porte en apprenant qu'il était en réalité sorcier. Depuis, il n'a absolument aucun contact avec elle, et son père s'est remarié avec une sorcière et lui a donné deux demis-soeurs en plus de sa petite soeur qu'il avait déjà.
Patronus: Un chat américain à poil court qui peut prendre la forme d'un coyote.
Miroir du Rised: Sa mère qui le serre dans ses bras. Il n'a jamais réellement accepté le rejet qu'elle lui a fait subir lorsqu'elle s'est rendu compte qu'il était sorcier comme son père.
Composition de la baguette magique: Trente-et-un centimètres, bois de cèdre, plume de phénix ; d'après ce qu'on a pu lui dire, elle serait parfaite pour la métamorphose, mais Jared attend toujours le jour où elle lui fera faire des merveilles.
Epouvantard: Une foule qui désire le voir sur un bucher, traumatisme qui le hante depuis qu'il est parti d'Israël.
Etudes Suivies: Justice Magique (justice), douzième année, option psychomagie et droit moldu.
Animal de compagnie: Aucun, il a déjà bien assez d'un patronus qui lui colle aux basques toute la sainte journée.
Caractère
Incompris, sans doute. Loin de faire partie du même monde que les autres, certainement. Jared est une personne de bien plus intelligente que la moyenne. Littéralement
brillant, il aurait très bien pu se hisser au titre de futur Ministre de la Magie. Ou devenir un mage renommé. Ou faire parler de lui durant des années, encore et encore, balayant sur son passage toutes les autres personnes qui auraient bien pu prétendre lui arriver à la cheville.
Mais rien de tout cela n’arrivera. Incompris, incompris. Incompris, oui. Mais il ne se comprend même pas lui-même. Il ne comprend pas ce cerveau qui va beaucoup trop vite. Il ne réussit pas à suivre ce rythme déchainé qui lui coupe le souffle ; alors, forcément, il ne cherche même plus à y arriver. Il ne cherche même plus à y parvenir. On le traite de
paresseux. De fainéant. De bon à rien. Mais ce que les autres ne réussissent pas à comprendre est qu’il ne réussit pas à changer ce qu’il est ; ce que les autres ne parviennent pas à assimiler est que cela est bien plus facile pour lui d’être
distrait et
désordonné. De lever le nez en l’air plutôt que de se concentrer. De dire n’importe quoi plutôt que de réfléchir à une question qu’il n’a aucun sens. C’est comme cela. Il n’aime pas perdre son temps avec sa propre intelligence. Il n’aime pas se dire qu’il pourrait faire mieux s’il avait eu un peu plus de volonté. Mais être
négligé est tellement simple.
Jared voit tout en grand. Jared fait tout en grand. Il est
excessif dans les moindres choses qu’il peut faire ; il a des avis bien arrêtés sur certaines questions et pourrait être capable de parlementer des heures durant pour faire admettre à la personne en face de lui qu’il a raison. Il est peut-être paresseux, mais cela ne lui retire pas ce caractère de feu qu’il peut avoir ;
impulsif et
coléreux, il s’emporte facilement, grince des dents quand une chose le dérange et tient des propos démesuré pour la moindre petite broutille.
Au fond, il est comme cela. Jared s’emporte. Jared perd pied. Pourtant, cela n’est jamais pour longtemps ; il oublie tout à la seconde. Il est
extraverti. Fier, presque. Quand il parle, il parle fort, avec assurance, avec un sourire en coin et un air assuré. Quand il est calme, ses paroles sont chargées d’humour ; il rit facilement et s’anime.
Charismatique, sans doute, si on lui retire ses côtés impulsif.
Sociable, également, mais les personnes autour de lui sont loin de se douter de ce qu’il y a derrière. Parce qu’au fond, tout le monde le prend pour un abruti. Parce qu’au fond, personne ne se rend compte qu’il est intelligent. Peut-être même trop. Incompris, oui. Sans doute suffisamment pour que cela le nuise.