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alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
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par Invité, Lun 1 Juin - 23:17 (#)

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Alice Ludivine Boismenu
FEAT. Macarena García
18 ans ϟ 7ème année ϟ Bouvier Bernois - Rouge-queue  ϟ Née-moldu


Nom: Sánchez Boismenu; elle a décidé au début de sa puberté qu'elle voulait qu'on l'appelle par le nom de famille de sa mère. Prénom: Alice Ludivine; elle aime son premier prénom en revanche elle ne supporte pas "Ludivine". Sa famille et ses plus proches amis le savent très bien et ne ratent pas l'occasion de le lui rappeler. Âge et Date de Naissance: 18 ans, née le 24 Janvier 1963 Nature du sang: Ses deux parents sont moldus. Situation familiale: Alice a deux sœurs, une ainée et l'autre plus jeune, ainsi qu'un frère cadet. Elle s'entend très bien avec sa grande sœur, avec qui elle n'a que 15 mois d'écart. Elle a moins de relation avec les plus jeunes car elle est a 7 ans de plus que son frère, 9 ans de plus que sa petite sœur. Elle les aime à la folie mais n'a pas la même complicité avec eux qu'avec Amanda, sa grande sœur. Elle est pour l'instant la seule dans sa famille à posséder de la magie [Jade, la petite dernière, n'a que 9 ans et pourrait encore se révéler être une magicienne] ce qui a été cause de quelques tensions pendant un certain temps. Elle se considère néanmoins chanceuse, car sa condition a été très rapidement acceptée par sa famille; sa mère s'est montrée ouverte d'esprit et Alice lui en sera toujours reconnaissante.  Son père est parti peu après la naissance de Jade,  avec la promesse de venir les voir régulièrement. Elle ne l'a jamais revu depuis.Patronus: Haroëris, Haro pour les amis, est un gros Bouvier Bernois baveux, Rouge-Queue Noir à ses heures mortes.  Miroir du Rised: Elle-même avec son père, même si elle se déteste un peu à cause de ça. Elle aimerait être totalement  débarrassée du fantôme que représente son père, mais elle reste finalement la petite fille de 10 ans qui aimerait savoir pourquoi son père l'a abandonnée.Composition de la baguette magique: Baguette de 21,5 cm; au coeur de crin de licorne et en bois de Saule. Epouvantard: Étrangement, il prend également la forme de son père. Même si elle désire plus que tout de le revoir enfin et d'avoir des explications, elle craint aussi de connaître les vraies raisons de son départ parce qu'après tout, et si c'était vraiment de sa faute? Et si elle et sa famille n'étaient pas suffisantes pour lui? La réponse l'effraie. D'autre part, il représente cet abandon dont elle a si peur. Etudes Suivies: Actuellement en 7ème année, elle compte passer son ASPIC et continuer dans le domaine de la médecine magique. Elle se présente aux cours de Botanique, Sortilèges et Enchantements, Potions, Métamorphose, Histoire de la Magie, Arithmancie, Arts et Musiques Magiques et Soins aux Créatures Magiques.Animal de compagnie: Une belle chatte noire au poil long qu'Alice a vu naître et grandir et qu'elle a nommée Isis.

Caractère
Ce n’est pas évident de décrire le caractère d’une personne, que ce soit en 10 ou en 200 lignes. Les gens sont surprenants : on pense bien les connaître et, finalement, ils réagissent d’une façon qui nous est totalement inattendue. C’est donc une tâche ardue de résumer en quelques centaines de mots la personnalité d’Alice. Mais nous pouvons toujours essayer.

Il y a un feu qui brûle dans son âme. Elle est passionnée, aimante de la vie, elle ressent profondément. Dans ce et pour ceux qu’elle aime, elle se donne à fond. C’est bien cela, le problème.

Même si elle aime prétendre le contraire, la disparition soudaine de son père a beaucoup marqué Alice. Elle qui, enfant, offrait son amour généreusement à quiconque croisait son chemin, s’est retrouvé face à l’abandon d’un être cher. Elle a appris plusieurs choses lorsque son père n’est pas revenu, même après 4, 6, 10 mois : ceux que l’on aime ne restent pas toujours à nos côtés ; aimer, c’est s’exposer à la douleur, à la trahison. Elle a pris deux décisions alors, au tendre âge de 10 ans. Que son nom serait non pas Sánchez, mais Boismenu, parce que la famille est celle qui ne nous abandonne pas, et  qu’on ne l'y prendrait plus.
Hélas on ne change pas de nature lorsqu’on le souhaite ; elle ne pouvait pas choisir ainsi de ne plus aimer, de ne plus chérir si férocement.  Mais depuis, elle s’est refermée. Elle ne donne plus son affection si librement parce que, à tort ou à raison, elle a l’impression qu’on ne lui rend pas. La jeune femme croit qu’elle aime les autres plus qu’ils ne l’aiment et cette sensation la terrifie. Elle est réticente à l’idée de s’attacher aux autres et a du mal à accorder sa confiance. Une chose est certaine, quand vous la gagnez, vous gagnez une amie qui vous aimera inconditionnellement.

Alice a entre autres, avec le temps, développé l’idée incongrue que le départ de son père est d’une façon ou d’une autre à cause d’elle. Alors qu’elle sait, rationnellement, que son père ne pouvait pas savoir qu’elle est une sorcière  quand il est parti, elle a réussi à se convaincre qu’il avait dû sentir quelque chose, ou qu’elle était trop différente et que cela a fini par le faire fuir. Cette culpabilité mal placée la ronge malgré elle et crée en elle un sentiment d’insécurité constant. Elle ne doute pas d’elle-même en soi, de la personne qu’elle est, mais elle a tendance à se penser responsable des malheurs des autres. On a beau lui dire « Ce n’est pas ta faute », elle ne pourra pas échapper à cette sensation oppressante lui disant que finalement, si, c’est elle la coupable.

Elle peut aux premiers abords sembler renfermée, voire un peu froide, mais ce n’est qu’une mascarade. Elle a juste du mal à parler aux gens qu’elle ne connait pas, parce que dans sa peur de se faire blesser elle en a perdu l’habitude. C’est une fille qui est en réalité très douce, très honnête. Après des débuts un peu maladroits, peut-être même embarrassants, elle se montre tout à fait abordable, quoiqu’un peu réservée. Elle parle avec mesure, choisit délibérément de ne pas trop en révéler sur sa personne. Alice ne parle pas beaucoup sans qu’on l’incite, préférant écouter et apprendre plutôt que de partager avec les autres. Dans ce qu’elle dit, elle fait preuve d’intégrité : elle n’aime pas le mensonge, les cachoteries. Elle préfère ne rien dire plutôt que d’avoir à mentir. Principalement parce qu’elle trouve cela immoral, mais aussi parce qu’elle est très mauvaise bluffeuse et  se fait vite repérer.

Elle n’apprécie pas vraiment quand les gens essayent de lui soustraire des détails sur elle alors qu’elle n’a pas envie de les donner, et peut s’énerver très vite si on ne la laisse pas tranquille. Elle ne supporte pas qu’on insiste alors qu’elle dit « non ».  Comme elle ne parle pas énormément, elle a en horreur qu’on la coupe quand elle prend la parole. Quand ça arrive, elle hausse la voix rapidement ; elle n’a aucune patiente pour ceux qui n’écoutent pas les autres. Malgré tout, elle n’est pas rancunière et n’en veut jamais à personne pour très longtemps.

Avec ses amis, elle se montre cependant plus ouverte, plus joyeuse. Elle sait se montrer généreuse et, surtout, peut être comme une maman poule avec ceux qui lui sont chers. Même si elle fait tout de même preuve de retenue, il lui arrive dispenser volontairement des informations sur elle-même. En présence d’une personne qu’elle apprécie, elle sentira parfois l’envie d’expliquer un fragment de ses mémoires, ou un fait totalement banal comme la nature de son animal préféré, ou pourquoi elle aime observer les étoiles. C’est complètement aléatoire et cela peut la faire sentir un peu vulnérable après coup. Partager mène à des relations plus profondes et ces relations mènent au risque de se faire planter à nouveau. Elle préférerait ne pas avoir ces accès de sociabilité mais elle aime le monde qui l’entoure tellement, si profondément qu’il lui est des fois impossible de ne pas partager sa vision de la vie.

En effet, Alice est une curieuse dans l’âme ; non pas pour les commérages qui peuvent parcourir les couloirs du château, mais pour la vie. Elle aimerait pouvoir connaître le fonctionnement de tout ce qui se trouve autour d’elle : comment font les avions pour voler ? Qu’est-ce qui explique la présence de la magie ? Comment s’organisent les abeilles dans leurs ruches ?  Lorsqu’elle se trouve chez sa mère, pendant les vacances, elle peut passer des heures devant les reportages de tout genre qui passent à la télévision. Ceux-ci lui manquent d’ailleurs énormément lorsqu’elle se trouve à Poudlard, mais elle prend un plaisir intense à parcourir la bibliothèque de l’école ou simplement à observer la vie à l’intérieur ou à l’extérieur du château. Elle aime tout particulièrement se délecter à l’observation de la vie animale, près du lac ou à la lisière de la forée. Sa soif d’apprendre fait d’elle une excellente élève, si ce n’est un peu dispersée (comment choisir, après tout, une voie à suivre quand tout est si intéressant ?). Elle présente d’ailleurs des facilités d’apprentissage, tout particulièrement dans les matières demandant de la compréhension. Elle est capable d’apprendre, même si elle n’a jamais vu l’intérêt du par cœur ; mais elle est surtout douée pour voir la logique des choses. Ce don lui sauve la mise car même s’il s’agit d’une étudiante sérieuse, elle se donne facilement à la procrastination. Elle se laisse aisément distraire par ses entourages, par la chouette qui traverse le ciel et qu’elle peut voir depuis sa fenêtre, par le crépitement du feu de la cheminée. Alice a donc tendance à laisser ses devoirs pour le dernier moment mais est finalement capable de les rendre à temps. Elle se  connait et sait prévoir quand elle doit commencer une rédaction avant que ce soit trop tard. Généreuse dans ses capacités, elle n’hésitera à donner de l’aide à ceux qui la demandent mais n’ira que très rarement la proposer d’elle-même.

Malgré une curiosité générale par à peu près tout, il y a certains sujets qu’elle tient particulièrement à cœur. Elle aime avec une passion profonde la vie en soi. Ayant grandi dans une famille athée, elle ne croit en aucune déité. Pour elle, l’existence d’une quelconque forme de vie est un pur hasard et elle contemple ce fait avec une fascination un peu morbide : il aurait été si facile de ne pas avoir de vie, de ne pas exister, d’en terminer une. C’est une chose de fragile qu’Alice chérit viscéralement et qu’elle s’est promis de protéger. C’est de cet amour que naît son intérêt pour la médecine, ainsi que de sa curiosité pour le fonctionnement du corps humain.

Il y a d’autres points pour lesquelles elle s’enflamme. Ayant grandi dans une famille constituée majoritairement de femmes, elle a toujours été très consciente des problèmes sociaux que rencontre le sexe féminin. C’est grâce à son intérêt et adhérence pour le féminisme, mouvement en plein essor,  qu’elle a réalisé qu’il existe de nombreux exemples de discrimination.  Bien que dans le monde de la sorcellerie, certaines de ces ségrégations soient plus nuancées, elle est très attentive à toute sorte d’injustice. Quand elle fait face à quelconque iniquité, elle n’hésite pas à laisser sa réticence de côté pour faire entendre son avis sur la question. Elle est particulièrement sensible au sujet de l’homosexualité puisqu’elle se considère elle-même pansexuelle, terme qu’elle a découvert lors des recherches qu’elle a entrepris après s’être aperçue qu’elle ne se sentait pas attirée exclusivement par les hommes.

Elle est par ailleurs rarement séduite par une personne dès le premier regard : ce n’est qu’après la connaître un minimum qu’elle se rend compte qu’elle lui plait ou non.  Seulement sa peur d’être abandonnée l’empêche la plupart du temps d’agir selon ses envies. Elle craint trop de tomber amoureuse et de perdre la personne après. Comme déjà dit, elle aime férocement, sans conditions, et elle ne veut pas tomber dans une relation malsaine.

Petit addendum qui n’a rien à voir avec sa personnalité : Alice étant née d’une mère française et d’un père espagnol mais née en Angleterre, elle domine parfaitement les trois langues.


a little something from you.

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Quand Haroëris est apparu, Alice a d’abord été très surprise. Étant rentrée chez elle pour passer les vacances de Noël en famille, elle avait peu de contact avec le monde sorcier et n’a pu apprendre que plus tard que ce n’était pas un phénomène isolé.

Même si elle s’est laissée en première instance emporter par la panique générale (qu’était-ce donc cette brume argentée qui la suivait partout ? était-ce un mauvais sort ? qu’est-ce que cela impliquait pour sa santé ?), sa nature curieuse a vite fait de reprendre le dessus. Ce nuage amorphe ne lui faisait finalement aucun de mal. C’était certes contraignant, notamment parce qu’elle devait se déplacer en milieu moldu, mais elle ne s’en est pas trop plaint. Quand le brouillard a pris forme, elle a tout de suite compris que cette créature était en quelque sorte liée à elle plus intimement que n’importe quelle personne pouvait l’être. Elle ne pouvait pas l’expliquer, c’était juste un ressenti. Ressenti qui s’est par ailleurs très vite confirmé quand elle a commencé à sentir une présence dans son esprit, une voix qu’elle semblait être la seule à entendre. Pragmatique dans l’âme, Alice n’a que vite fait d’ajouter deux et deux.

Elle s’est très vite attachée à la boule de poils énorme qui l’accompagnait à tout moment. Elle l’a dès le début identifié comme une Bouvier Bernois, aimante des animaux qu’elle est. Quand elle s’est aperçu qu’il possédait sa propre personnalité, sa propre voix, elle a entreprit de lui trouver un nom. Passionnée par toute sorte de mythologies anciennes moldues, elle lui a proposé Haroëris. Il a visiblement apprécié le patronyme, puisqu’il l’a adopté.

Haro s’est donc tout d’abord présenté sous la forme d’un chien. Un gros chien, en plus de ça, au poil long et aux tendances légèrement baveuses. Autant dire que la mère d’Alice, Hélène, n’a pas vraiment apprécié d’avoir un si gros animal chez elle. Mais son animosité envers le patronus (mot qu’Alice a découvert en rentrant à Poudlard à la fin de ses vacances) était sans doute aussi liée à sa peur pour le bien-être de sa fille. Passons.

La jeune sorcière a appris à connaître son patronus, qui est devenu son confident, son meilleur ami. Haro est d’une nature joyeuse, quoiqu’un peu dramatique. Là où elle procède avec caution, il est impétueux, avivé d’une fougue passionnée. Il a une tendance nette pour l’exagération, souvent dans le but de faire rire Alice. Autant dire qu’il ne réussit pas souvent, mais il arrive cependant à lui remonter le moral, voire même à la faire sourire. Il incite souvent la jeune fille à s’ouvrir un peu plus, à partager avec le monde la personne qu’elle est, sans succès. Il n’insiste jamais longtemps, car il sait à quel point elle a horreur de ça. Les quelques fois où il a voulu pousser un peu trop loin, ça a fini dans des disputes explosives. C’est extrêmement gênant d’être en froid avec quelqu’un qui n’est jamais à plus de 5 mètres de vous. Heureusement, aucun des deux n’est de nature vindicative, ni rancunière par ailleurs, et ils ne peuvent restés fâchés l’un contre l’autre très longtemps.  

Malgré son caractère ardent, Haro sait se montrer calme quand la situation l’indique. Il aime blaguer et prendre les choses comme des plaisanteries la plupart du temps, mais il peut se montrer très sérieux, particulièrement quand il s’agit d’Alice. Il est extrêmement protecteur envers elle, parce qu’il ressent à travers elle son angoisse, sa peur d’être abandonnée par ceux qu’elle aime.

Il se montrera donc toujours méfiant envers les personnes qu’il ne connait pas, parfois tombant dans une hostilité ridicule aux yeux de la sorcière. Cependant il lui en faut peu pour décider si quelqu’un représente ou non un quelconque danger pour son humaine. Quand il juge qu’un individu est digne de confiance, il se montrera relativement agréable envers eux (du moins dans son attitude, puisqu’il ne peut parler qu’avec Alice). Au contraire, s’il ressent qu’une personne ne lui plait pas, il sera pour lui difficile d’en démordre (au grand désarroi de la jeune fille, qui préfère réserver ses jugements pour quand elle connait la personne plus en profondeur).

Quelques mois après s’être présenté sous la forme d’un bouvier, quelle n’a été la surprise d’Haroëris en se réveillant un jour pour se retrouver en tant que rouge-queue noire, de toutes choses. Autant vous dire que ça a été un coup difficile pour son égo de gros canidé poilu. Mais il a vite découvert que l’humiliation d’être un tout petit oiseau valait largement la peine de pouvoir voler. Même s’il préfère être sous sa forme mammifère, il prend de temps en temps la forme du rouge-queue, spécialement quand il veut taquiner Alice avec ses petits cris stridents.

Haro a une relation très conflictuelle avec la chatte de la sorcière, Isis. Il en est quelque peu jaloux, car il ne peut pas se poser sur les genoux de la fille pour recevoir des caresses. Il est bien trop grand quand il est un chien, et n’a pas les mêmes sensations sous forme d’oiseau. Il prend donc un malin plaisir à aboyer bruyamment pour faire fuir le félin. Hélas pour lui, ça marche de moins en moins bien, Isis s’étant habitué aux bouffonneries du patronus. Elle se venge d’ailleurs en essayant de la chasser dès qu’il a des ailes. Ça ne fait pas rire Haro mais Alice trouve cela très drôle, ce qui est la seule raison pour laquelle il ne s’en prend pas sérieusement au chat. Après tout, il aime profondément Alice  et elle le lui rend bien. Il ne veut que la rendre heureuse.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: gotheim ; 20 ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Publicité sur un forum lgdc.
ϟ Personnage: Inventé pour mon bon plaisir ;)
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop.
ϟ Présence: Je suis actuellement en vacances sans rien de prévu donc très présente s'il le faut.
ϟ Une remarque? Vous avez un très beau forum et surtout un contexte extrêmement développé, je suis très impressionnée. Mélanger l'univers d'Harry Potter et de "À la croisée des mondes"? I'm in. Si je peux me permettre un commentaire, je trouve que la première partie de la présentation fait très brouillon; c'est difficile de distinguer les différentes parties et ça fait un peu pavé. Mais ce n'est que mon avis, bien entendu!  J'aime vos smileys, sinon.  Slurp
J'aimerais également qu'on me dise si les cours que j'ai mis pour Alice sont les bons afin de pouvoir faire les études de médecine plus tard (j'avoue être un peu perdue sur cet aspect là du forum). 


Dernière édition par Alice L. Boismenu le Ven 5 Juin - 2:39, édité 17 fois
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Lun 1 Juin - 23:17 (#)
You're not a sad story.

24 Janvier 19684 Frithwald Road, Chertsey, AngleterreCaminante, son tus huellas / el camino y nada más; / Caminante, no hay camino, / se hace camino al andar. / Al andar se hace el camino, / y al volver la vista atrás / se ve la senda que nunca / se ha de volver a pisar. / Caminante no hay camino / sino estelas en la mar.

Alice a encore reçu une carte pour son anniversaire. Ses grands-parents paternels lui en envoient une tous les ans ; elle a cinq ans aujourd’hui. Même si elle ne se souvient pas de ses trois premiers anniversaires, sa mère le lui a dit, et elle la croit. Elle ne se rappelle plus trop d’eux non plus, de comment ils sont. Elle ne les a vu qu’une fois, quand ils sont tous partis à Barcelone pour les vacances, il y a deux étés. Amanda dit que la plage était jolie, et qu’il y avait une place avec plein de pigeons ; elle a même réussi à en attraper un. Alice ne sait pas trop si la croire – sa grande sœur s’invente parfois des histoires pour l’embêter – mais elle aimerait bien, elle aussi, attraper un pigeon.  Sa mère dit que ce n’est pas très hygiénique (elle a appris ce mot il n’y a pas longtemps, elle sait que ça veut dire propre), mais prendre un oiseau dans les mains, ça a l’air drôle.

Elle aimerait bien retourner à Barcelone ; elle n’a plus beaucoup de souvenirs de l’endroit, parce qu’elle était trop petite. Et elle veut voir ses grands-parents une nouvelle fois ; elle a déjà visité pépé et mémé en France plusieurs fois, elle ne voit pas pourquoi elle n’irait pas voir les abuelos - son père lui a dit que ça veut dire grands-parents en Espagnol. Elle aime bien apprendre la langue de son père ; elle est différente de l’Anglais et du Français.

Alice a demandé à sa mère pourquoi ils ne retournaient pas en Espagne, pour voir la famille de papa, et la plage, et les pigeons. Hélène lui a répondu que c’était difficile, parce que le pays est sous l’emprise d’une dictature et elle ne sent pas à l’aise avec ses enfants là-bas. Alice ne sait pas ce que c’est une dictature – elle ne l’apprendra que plus tard. Dans quelques années, quand Franco mourra, quand elle cherchera la définition des mots qui seront écrits des dizaines de fois dans les journaux. Elle apprendra que parfois, certaines personnes croient savoir ce qui est le meilleur et veulent imposer leur vision au reste du monde. Elle apprendra que ces personnes sont prêtes à commettre des actes horribles ; que certaines populations souffrent, vivent dans la peur. Elle apprendra, avec le temps, qu’il existe des gens foncièrement mauvais.

Mais pour l’instant, elle se dit juste que sa mère n’a juste pas trop envie de voyager. C’est dommage, mais elle reçoit une carte tous les ans, donc ce n’est pas si grave.


21 Mars 1970 –  6 Frithwald Road, Chertsey , AngleterreThings base and vile, folding no quantity, / Love can transpose to form and dignity: / Love looks not with the eyes, but with the mind; / And therefore is wing'd Cupid painted blind: / Nor hath Love's mind of any judgement taste; / Wings and no eyes figure unheedy haste: / And therefore is Love said to be a child, / Because in choice he is so oft beguiled. / As waggish boys in game themselves forswear, / So the boy Love is perjured every where

Amanda est insupportable ces derniers temps, mais rien de neuf dans cela. Alice la comprend, en quelques sortes. Ce n’est pas très drôle de devoir rester quelques jours avec leur vieille voisine, Mrs. Darcy. Elle n’aime pas que les filles fassent trop de bruit – mais un rien est trop, pour elle –, sa maison sent bizarre et elle a plein de petites poupées en porcelaine éparpillées de partout. Elles font un peu peur et même Amanda n’ose pas la taquiner sur le sujet, parce qu’elle aussi était d’accord pour ranger celles qui se trouvaient dans leur chambre dans le placard. Au moins, Mrs. Darcy a deux chats avec qui elles peuvent jouer – même si les animaux ne semblent pas enclins à se laisser faire.

Non, être chez la voisine n’est définitivement pas très amusant, mais leur mère est à l’hôpital. Elle y restera encore deux ou trois jours, le temps de retrouver ses forces. Alexandre, Alex, est né il y a deux jours. Alice ne s’y connait pas beaucoup, mais on lui a dit que tout c’était bien passé, mais que la naissance de son petit frère avait épuisé sa mère.

Sa grande sœur et elle sont allées la voir à la maternité ; elles ont toutes deux vu leur petit frère. Alice n’a pas osé le dire, mais elle l’a trouvé très moche. Elle ne sait pas si ce n’est que lui ou si tous les bébés sont pareils. Ce n’est pas grave, elle l’aime quand même. Elle l’aime beaucoup.


29 Août 1971Lac Queen Mary, Chertsey, AngleterreNavega, velero mío, / sin temor / que ni enemigo navío, / ni tormenta, ni bonanza / tu rumbo a torcer alcanza, / ni a sujetar tu valor.

Alice est tellement contente qu’elle tient à peine sur place. Leur père les a emmené au lac, Amanda et elle, pour passer un peu de temps tous les trois. Alex n’est pas venu, il est beaucoup trop petit. Il est resté avec sa mère, celle-ci bien trop contente de voir son mari passer quelques heures avec ses filles pour se plaindre. Miguel n’est pas un homme froid ; il s’est toujours montré très tendre avec ses enfants, mais il n’a pas le temps de passer énormément de temps avec elles.

C’est pour cela qu’Alice  est ravie. Même Amanda n’est pas trop pénible, ce qui n’est pas peu dire. Elles vont apprendre à pêcher et vont bien s’amuser. Elle sait en plus qu’elle aura droit à une glace – son père ne résiste jamais très longtemps quand toutes les deux demandent un goûter. Même s’il commence à faire un peu plus frais, les journées sont encore chaudes et Alice ne peut pas imaginer une meilleure journée qu’une baignade au lac, suivie d’une partie de pêche et une bonne crème glacée pour couronner le tout. Surtout qu’elle va bientôt devoir retourner à l’école.

Le lycée français de Londres accueille les élèves depuis leurs 3 ans jusqu’à la fin de leurs études de lycée mais elle n’y est qu’en primaire pour l’instant.  Elle n’en a pas encore très bien conscience, mais elle sait que l’école est très chère. Sa mère le lui a dit, mais elle a aussi dit que c’était important pour elle que ses enfants parlent Français. Il n’y a pas d’école espagnole, sinon ils auraient dû choisir, avec leur père. Mais il leur parle en espagnol, et elles ont des cours particuliers, alors elles s’en sortent plutôt bien.  

Avant, quand Alex n’était pas encore né, c’était Miguel qui les emmenait à l’école, sur la route du travail, et leur mère les récupérait et passait l’après-midi avec elles avant de se préparer pour son tour de nuit à l’hôpital. Maintenant, elles prennent le car. Apparemment, leur père a eu besoin de prendre plus d’heures. L’école est chère – deux enfants, c’était facile ; avec trois, il a fallu trouver un moyen d’augmenter le salaire. Alice trouve que c’est dommage : ils s’amusaient bien, dans la voiture.

Mais quand elle passe des journées comme celles-ci, avec son père (et même avec sa sœur), à rigoler et à profiter des quelques jours de soleil, elle se dit que ce n’est pas si grave, après tout.


25 Décembre 197315 Saville Road, Twickenham, AngleterreYou've close my eyes so I can't see / Well you're hurtin' my body / You make me cold / You run my life right outta my soul

Il y a beaucoup de premières fois, ce Noël. L’ambiance à la maison n’est pas la même que d’habitude, mais c’est compréhensible. C’est le premier Noël sans son père. Alice s’accroche encore vainement à l’espoir qu’il appellera, au moins pour souhaiter de bonnes fêtes. Mais sa partie plus rationnelle sait parfaitement qu’il n’y aura rien. Cela fait une dizaine de mois que Miguel est parti. Sa mère a voulu lui faire croire qu’il partait juste en voyage, pour son travail. Mais elle n’est plus une enfant, elle a dix ans maintenant, et elle sait que ses parents ne s’aiment plus – ou du moins son père ne les aime plus. Elle le sait, parce que les parents de Jenny, dans sa classe, ont aussi décidé de ne plus vivre ensemble. Mais Jenny, elle, voit toujours son père.

Le sien n’est pas revenu les voir. Sa famille a dû déménager : sa mère ne pouvait plus payer l’ancienne maison et l’école de ses enfants. Depuis que Jade est née, c’est encore plus difficile. L’endroit est plus petit : les deux filles doivent partager une chambre et le berceau du bébé est dans la chambre d’Alex. Mais Hélène ne se plaint pas ; elle ne dit rien. Elle prend plus d’heures à l’hôpital, part tôt l’après-midi et rentre tard le matin. Amanda et Alice s’occupent d’emmener Jade à la garderie, à côté de la maison, et Alex les accompagne jusqu’au lycée. Il a commencé sa première année de maternelle – il se croit très grand.

Alice ne comprend pas pourquoi son père n’a toujours pas fait de signes de vie. Peut-être qu’il n’a pas le numéro de téléphone de leur nouvelle maison ? Il avait promis, pourtant. Il avait dit qu’il reviendrait les voir, qu’elle n’allait même pas se rendre compte qu’il était parti. Mais si, elle s’en rend compte.

Amanda l’a mal pris. Elle a passé des heures enfermée dans la chambre, à pleurer parce que son père ne l’aimait pas assez. Alice aurait voulu pleurer, elle aussi, mais elle devait s’occuper de son petit frère qui, lui, n’y comprenait rien. Elle se demande s’il se souviendra de Miguel, s’il saura le reconnaître sur les photographies. Jade, elle, ne le connaitra jamais. Alice se demande si c’est pour le mieux ; après tout, veut-elle vraiment d’un père qui les a abandonnés ?

C’est le premier Noël sans leur père, donc. Le premier dans une nouvelle maison, plus petite, avec un jardin ridicule. Le premier avec si peu de cadeaux, aussi. Hélène a fait des efforts, et les deux grandes aussi, pour faire perdurer la magie du père Noël. Mais ce n’est pas facile, et tout ce qu’elle gagne va pour l’école.

Alice n’en a que faire du manque de cadeaux. Mrs. Darcy, leur ancienne voisine, est venue les voir il y a quelques semaines.  Sa chatte, Princesse – Alice pense que c’est un nom ridicule – attend des petits. Sa mère est d’accord pour en garder un. Mrs. Darcy a dit qu’elle l’appellerait quand les chatons seront nés, pour qu’elle aille choisir lequel elle veut. Peu lui importe, à vrai dire. Elle est juste heureuse d’avoir un chat.

Alors elle prend son nouveau pyjama et elle sourit. Elle n’a pas besoin de plus. Elle aurait juste voulu voir son père, ou lui parler. Ou simplement qu’il ne soit jamais parti, qu’il soit resté avec eux et ait été suffisamment heureux pour ne pas avoir le besoin de s’éclipser. Alice ne sait plus si être triste qu’il ne soit plus là, ou simplement furieuse contre lui. Dernièrement, elle se sent surtout amère, amère et lasse.

Noël serait peut-être mieux si son père était là. Mais il lui reste encore l’espoir ; cette folle illusion qu’il reviendra un jour. Il n’est pas impossible qu’elle le retrouve, après tout. Elle connait un garçon dans sa classe, Jack, dont le père est mort il y a deux ans. Lui ne pourra jamais le revoir. Alors Alice se dit qu’il y a pire dans la vie, finalement.


8 Juillet 1974 15 Saville Road, Twickenham, Angleterre To stay behind bars, until use and old age accept them, and all chance of doing great deeds is gone beyond recall or desire.

Quand Alice reçoit sa lettre d’admission à Poudlard, elle croit bien évidemment que c’est une farce. Amanda se croit très drôle, même si elle ne l’est pas. Mais elle-même doit avouer que sa sœur aînée s’est dévouée pour sa blague. Le papier semble d’un autre temps ; ancien, décrépi, comme les vieux parchemins dont les photos trouvent leur place dans ses livres de cours.

Lorsqu’ Alice se réveille, ce matin-là, elle ne se fait pas trop d’illusions sur la journée à venir. Voilà deux semaines qu’elle est en vacances et qu’elle ne trouve rien à faire. La plupart de ses amis de l’école sont déjà partis ailleurs et parmi ceux qui sont restés, personne n’habite Twickenham. Sa mère ne veut pas qu’elle prenne le bus pour aller à Londres toute seule, dit qu’elle est trop jeune. Alice, bien entendu, ne se sent pas trop jeune. Elle a 11 ans, après tout, déjà au collège. Mais ce que dit Hélène fait loi, et la fille n’a qu’à subir une autre journée de pur ennui.

C’est pourquoi la carte est une vraie surprise. Mais Amanda n’a rien fait, et elle s’en rend vite compte. C’est étrange, pourtant, parce que personne d’autre ne pourrait lui jouer le tour. Jade et Alex sont bien trop petits, après tout.

Elle ne comprend pas, au début. Comment pourrait-elle ? Jamais elle n’a entendu parler de magie, de vraie magie. La sorcellerie fait partie des contes de fée, rien d’autre. Elle n’y croit plus, depuis un bout de temps déjà. Les histoires de princesses où tout finit bien, où la demoiselle en détresse se fait sauver par le prince charmant et où tous vécurent heureux, avec une belle et grande famille; elles ne l'émerveillent plus. Elle, l’illusion, elle l’a perdue. La foi dans la magie aussi.

Elle ne voit pas encore ce qui l’attend – Poudlard, les sortilèges, les parchemins, la solitude d’être séparée de sa famille, les patronus, Voldemort – mais ce n’est pas grave. Elle comprendra, avec le temps.


31 Décembre 197815 Saville Road, Twickenham, AngleterreNow I have moved and I've kept on moving / Proved the points that I needed proving / Lost the friends that I needed losing / Found others on the way

Elle devrait cesser d’être surprise, depuis le temps. Cela fait plusieurs années qu’elle est rentrée à Poudlard, Alice devrait savoir que rien n’est jamais normal dans le monde des sorciers. Honnêtement, après découvrir le genre de créatures et sorts qui existent, plus rien ne devrait l’étonner. Il lui reste apparemment beaucoup à apprendre.

Sa mère est inquiète pour elle, ce qu’elle peut concevoir. Elle aussi s’est préoccupée, au début. Elle a vu beaucoup de choses étranges depuis qu’elle a appris qu’elle possède de la magie ; mais la brume argentée qui la suit depuis plusieurs jours a réussi à l’ébahir et même à l’alarmer un peu. Elle ne peut même pas avoir ce qui se passe dans le monde de la sorcellerie – sa mère refuse qu’elle se fasse livrer La Gazette du Sorcier quand elle rentre à la maison pour les vacances. Allez savoir, les chouettes sont vraisemblablement trop remarquables dans le petit voisinage de Twickenham.  Alice est contente de retrouver sa famille : ses sœurs et son frère lui manquent, ainsi que sa mère. Mais elle se sent entre deux mondes, quand elle quitte l’école. Tout un monde la sépare de sa famille moldue – ils sont ouverts d’esprit, mais ils ne peuvent tout simplement pas comprendre – et elle est totalement isolée du reste des sorciers. Elle doit attendre à ce que l’un de ses amis lui envoie une lettre pour pouvoir elle-même communiquer avec les autres. Très étonnement, sa mère n’a pas voulu qu’elle ait sa propre chouette. Alice trouve cela injuste, parfois, mais elle a Isis. Elle n’a besoin de personne d’autre.

Mais elle aurait particulièrement apprécié de pouvoir contacter ses connaissances, cet hiver. Cette espèce de vapeur est tout aussi inquiétante qu’elle lui est totalement inconnue : jamais elle n’avait entendu parler d’un tel phénomène. Elle n’en perd pas le sommeil, mais elle aimerait tout de même savoir de quoi il s’agit, et se trouver ainsi coupée de toute information l’irrite. Elle ne peut même pas savoir si son cas est isolé ou si quelqu’un d’autre a le même problème. D’autant plus que ça la contraint à rester enfermé chez elle. Un brouillard qui talonne ses moindres pas est visiblement trop anormal pour la petite communauté moldue dans laquelle elle réside pendant ses vacances.

C’est désagréable, mais elle s’y est vite habituée. Elle est résiliente comme ça, Alice. Elle s’adapte. Ce à quoi elle ne s’attend pas quand elle ouvre les yeux ce matin, néanmoins, c’est de voir un énorme chien au pied de son lit. Son premier réflexe est de se demander quand est-ce que sa mère a accepté de laisser entrer un Bouvier Bernois dans la maison. Mais quand elle remarque la teinte légèrement argentée de l’animal, sa clarté tenant presque de la transparence, elle comprend qu’il lui reste encore beaucoup de choses à voir, dans l’univers de la sorcellerie.

Mais quand elle entend une voix plaintive résonner dans sa tête – « Tu  te réveilles enfin, ça fait des heures que je suis debout à t’attendre » – elle se dit que, franchement, le cosmos ne sait plus quoi lui jeter à la figure.


Dernière édition par Alice L. Boismenu le Ven 5 Juin - 1:14, édité 17 fois
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 0:34 (#)
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche. Brille Je ne connaissais pas ton avatar. GNOE

Pour ce qui est des cours, c'est parfait. Robert47cm Et pour l'aspect de la fiche, j'avoue que ton argument tient la route mais perso ça m'avait jamais choquée. RIP Mais c'est cool de donner ton avis. Chou
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par Invité, Mar 2 Juin - 0:36 (#)
Bienvenue Brille elle est jolie cette fille Chou Bon courage pour ta fiche Haww
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 0:43 (#)
Merci, je complète peu à peu, mais je crois que c'est fini pour ce soir. :P

Et merci pour la réponse sur les cours, j'ai au moins réussi quelque chose du premier coup!

Sinon la fille en question est une actrice espagnole donc ça ne m'étonne pas qu'elle vous soit inconnue. J'espère qu'elle compte comme une celeb' même si elle n'est que connue dans un pays. What a Face
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par Invité, Mar 2 Juin - 0:44 (#)
Bienvenuue Brille
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 0:47 (#)
Bienvenue  alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer 1094600113
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 0:50 (#)
Bienvenue à toi Brille

Et ne t'inquiète pas pour ta célébrité, elle compte sans problème GNOE
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 0:52 (#)
Merci à vous!
Super pour l'avatar alors, parce que j'aime beaucoup cette fille! ^^


Sinon, je viens de passer 5 bonnes minutes à regarder le gif du renard, je ne vais pas tenir si c'est tout le temps comme ça. bave
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 1:00 (#)
Bienvenue Brille
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 1:37 (#)
Bienvenue à toi parmi nous  alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer 1094600113
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Guest, Mar 2 Juin - 7:01 (#)
bienvenue sur BP et bon courage pour la suite de ta fiche Daengelo
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 7:30 (#)
bienvenue ! Chou
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 8:36 (#)
Bienvenue sur BP Yaaa
Bonne rédaction pour la suite de ta fiche
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
par Invité, Mar 2 Juin - 10:46 (#)
Citation :
Si je peux me permettre un commentaire, je trouve que la première partie de la présentation fait très brouillon; c'est difficile de distinguer les différentes parties et ça fait un peu pavé. Mais ce n'est que mon avis, bien entendu!

cette fiche a été faite il y a plus de deux ans maintenant et je t'avoue j'ai tous les jours envie de la recoder  alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer 4248863152 j'y songe sérieusement pour une des versions à venir mais en tout cas, j'apprécie ton honnêteté Brille
quoiqu'il en soit, bienvenue parmi nous Chou Daengelo
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Message Re: alice boismenu - que yo soy el rey del mar y mi furia es de temer
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