[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]SIX YEARS OLD ∞ Their was a time i used to look into my father eyes.In a happy home i was the king i had the golden troneUne vie s'éteint dans un murmure, une autre commence dans un cri. En somme, le cycle de la vie. Tu étais née, ta mère était morte. Complication à l’accouchement, les médecins n'avaient rien put faire, comme toujours. Et en un instant le monde de ton père, c'était retrouvé complètement bouleversé. D'un côté, il avait perdu l'amour de sa vie de l'autre, il t'avait gagné toi, sa fille. Voilà ton arrivée ensanglantée dans ce monde. Tu es Angharad Lullaby Lannister . Tu es née dans ce que tu appelles encore, ta maison, un manoir dans les environs de Londres, il y a de cela 20 ans. Fille unique de feu Scarlette Pendragon et Laserian Lannister, un mariage d'amour qui ne finit malheureusement pas en Happy Ever After.
Et cette histoire à peine commencé aurait put encore plus mal tourner, si l'homme, qui est ensuite devenue ton père, t'avais accusé d'être la raison du départ de ta génitrice. Mais il n'en a rien fait. Au contraire, il t'a chérie comme un princesse et élever comme l'héritier qu'il avait espéré. Te récompensant comme il le fallait et te punissant au besoin. En somme, tu as eu une enfance à peu prés normal, bercé dans le culte du sang pur et les arts de combat. Quand certaine petite fille apprenait à danser et à bien se tenir. Laserian, lui préférait t'apprendre les arts du combat et te laisser vagabonder dans le jardin et apprendre de ses erreurs. Ce qui ne t'empêchait pas d'apprécier des activités plus calmes comme la lecture et le piano. Tu adorais en jouer et le fait que ton père aime tellement t'écoutais en jouer. Tu avais aussi entrepris d'apprendre le violon, cet instrument étant l'un des prédilections de ta mère. Une manière pour toi de l'honorer en quelques sortes.
Père aussi présent que possible, Laserian Lannister t'a élevé du mieux qu'il pouvait, jonglant entre son rôle de père, sa couverture au ministère et ses missions de mange mort. Se débrouillant pour être le plus présent pour toi. Dans ton imaginaire, comme dans celui de toutes les petites filles, ton père était un héros. Tu comprendras bien plus tard à quel point tu t'étais trompé. Mais en ce tant là, tu l'admirais et l'aimer de tout ton cœur. Votre relation étant très complice, vous partagiez beaucoup de temps tous les deux.
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Papa ! Papa !" Tu cours dans ses jambes, t'accrochant à son pantalon, levant tes grands yeux dorés vers lui. Tu lui demandes d'une voix infantile "
Ou est-ce que tu vas ? " Il pose les yeux sur toi et te sourit avant de te répondre qu'il avait du travail. Immédiatement, tu perds ton sourire le remplacent par une moue triste, tu n'aimais pas le voir partir. Même maintenant que tu pouvais rester seul, tu sentais simplement que ce qu'il allait faire était dangereux. Qu'un jour, il ne pourrait tout simplement pas revenir. Mais tu ravalais ce sentiment le regardant simplement. Contrairement à ce qu'on pourrait croire de ta personnalité explosive. Tu n'étais pas du genre à faire des caprices ou des esclandres. Il te sourit pour s'accroupir à ton niveau te serrant dans ses bras. Il pouvait lui aussi sentir ta détresse et détestait être la source de ton inquiétude. Alors il essayait de te rassurer comme il le pouvait. Les mots étaient inutiles, vous les saviez aussi bien l'un que l'autre, seul les acte comptais vraiment. Puis il se lève en t'ébouriffant les cheveux et tu reprends la parole "
Quand est-ce que tu reviens ? " La question inévitable. Cette fois, il avait une réponse, mais, dans d'autre occasion, il n'en avait aucune te laissant donc dans une attente presque intenable. Il se retourne en souriant "
Dans deux jours ma chérie, d'ici là travaille bien et écoute les elfes de maison. Si à mon retour, tu as était sage, j'aurais une surprise pour toi" Automatiquement, tu sautilles de joie à ses mots, tu adorais les surprises, ton père le savait très bien. Mais évidemment, tu ne peux pas t'empêcher de demander "
Qu'est-ce que c'est ? " Ne manquant pas de faire rire Laserian "
Si je te le dis ce n'en seras pas une " Évidement, ce n'était plus drôle sinon. Tu fais une moue qui ne dura pas longtemps avant que tu ne lui répondes "
J'arriverais bien à trouver de toutes les manières. "Cette remarque lui tire un rire et tout le suit bientôt dans son hilarité. Quelques minutes, l'ambiance était plus triste, ton père était parti, te laissant derrière. Mais tu savais qu'il reviendrait pour toi. Il le faisait toujours.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]ELEVEN YEARS OLD ∞ Smile the worst is yet to come, will be lucky if we ever see the sun.Tu revenais de ta première année à Poudlard excitée comme une puce. Tu ne pouvais pas t'en empêcher l'année avait était plus que grandiose. Tu avais mis un peu de temps à t'y habituer, même si la séparation entre toi et ton père avait était dur durant les premiers jours. Vous vous étiez débrouillé, vous envoyant des lettres régulièrement. Question cours, tu t'étais débrouillé. Les débuts aussi avait était difficile, tu avais du mal à tenir en place, n'ayant jamais eu à rester aussi longtemps assise sur une chaise. Mais tu as très vite compris que plus tu te concentrer rapidement. Plus vite, tu pouvais sortir rapidement. De plus, ton goût de la compétition t'a très vite amené à être dans les têtes de classe. T'attirant la sympathie de tes professeurs qui passait plus simplement l'éponge sur tes nombreuses farces et péripéties. Ton entourage aussi était nouveau, tu n'avais généralement pas l'habitude de voir autant de monde. Ça aussi, tu t'y es vite habituée. Te faisant rapidement un groupe d'amis, t'affirmant à leur côté, ne t'écrasant devant personne, ce qui t'attirait quelques ennemis sur lesquels tu déchaînait tes foudres. Évidemment, tu as immédiatement était attiré par les sports, quel qu'il soit individuel ou en équipe. Tu aimais simplement courir et te défouler au milieu de tes compagnons, tu en avais besoin après tant d'heures passées assise derrière un bureau. Tu es devenue moins sauvage, plus ouvert aux autres.
En bref, cette année avait était bien remplis pour toi et tu ne pouvais attendre de tout raconter à ton père et plus simplement de le revoir. Mais ton excitation fut coupée dans l'œuf, il n'était nul part. Tu fronces les sourcils, cela n'était pas dans son habitude, de te laisser seul et en plan. Mais à sa place, tu ne trouvas que deux hommes qui s’avançaient vers toi. Tu leur souris malgré tout en leur déclarant "
Que puis je faire pour vous Messieurs ? " "
Mademoiselle Lannister, nous aimerions vous présenter nos plus sincères condoléances "Automatiquement ton sourire tombe et tes sourcils se froncent "
Mais qu'est-ce que... Qui est-ce qui est décédé ? " Un mauvais sentiment monte dans ta poitrine te faisant hésiter dans ta question. Pendant un instant, tu espères que c'est un de tes grands-parents ou un lointain cousin, mais l'homme dissipe bien vite tes veines illusion "
Je suis désolé mademoiselle, Laserian Lannister est mort hier soir ". Un choc, ton cerveau déconnecte. Et tu restes là planté au milieu de la gare. Un visage inexpressif a maintenant remplacé ton visage anciennement souriant. Ce n'est simplement pas possible. Et la seule pensée qui te passe par la tête. Le policier te demande si tout aller bien et tu te sens hocher la tête, mais tu avais plus tôt envie de lui crier dessus que non tout n'allait pas bien. Ton père était mort comment cela pourrait bien allait ?! Mais tu n'en fais rien au contraire, tu les suis calmement chez toi. Il avait besoin de ton aide pour une identification du corps et tu n'y crois pas, tu crois que ce n'est pas lui que la police a fait une erreur. Mais arrivé chez toi, il n'y a plus aucun doute possible.
C'est bien ton père allongé dans ce cercueil entouré de fleur blanche, comme endormie, un dernier sommeil. Tu trembles, mais toujours aucune émotion sur ton visage. Tu repenses au dernier moment ou tu lui as parlé, ou tu l'as vu, ou vous vous êtes battu, tout, ces moments assez banals dans l'ensemble, mais qui ne se reproduirait maintenant plus jamais. Des larmes coulent silencieusement, sur ton visage pas de cris ni d'esclandre, juste des larmes roulant sur tes joues. Tu attends d'être seul pour lâcher la tempête pleurant à ses côtés, puis quand tu ne put ni pleurer, ni crier, tu restas devant le cercueil, devant ton père vaillant sur lui. Il était parti, tu étais maintenant seul.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]TWELVE YEARS OLD ∞ Poor woman begged for a sheep but raise a wolf L'enterrement n'eut lieu que quelques jours plus tard, mais pour toi, tous cela ne, c'était passé que dans un brouillard. Un tas de choses se passer autour de toi et un tas de monde se presser pour te présenter leur condoléance. Mais tu ne pouvais pas te dégager des souvenirs qui resurgissaient et se bousculer dans ton cerveau. Mais une pensée restait au-dessus de tout. Qui avait fait ça ? Surement, ton père ne s'était pas tuer tout seul. Tu ne pouvais pas envisager l'idée que ton père est trouvé plus fort que lui. Mais pourtant la preuve était bien là devant ton nez. Et puis, ils t'ont apporté la réponse, deux hommes en noir, intriguant et plutôt imposant. Les personnes présentes s'écartaient d'eux, s'en méfier, mais tu n'avais pas peur d'eux. Au contraire, tu étais intriguée par leur présence, tu as donc tendu l'oreille. Tu ne pouvais pas t'en empêcher, une de tes vielles habitudes, tu écoutais et regarder tous. Et même si cela ne t'apportait généralement que des ragots inutiles. Aujourd'hui, cette habitude avait porté ses fruits. Tu n'avais pas tout entendu, évidemment leur conversation couverte par celle des autres, mais tu en avais tiré l'essentiel. Une cible. L'ordre. En fait, tu n'avais pu entendre que quelques mots comme "une honte que cela se soit fini de cette manière", "excellent sorcier", "du gâchis". Mais ce qui était vraiment ressorti, avait, était les mots "mange-mort" et "l'ordre" . Il ne t'en avait pas fallu plus pour comprendre l'ordre avait tué son père. Ils allaient payer.
Ce que tu ne savais pas, c'était que les choses étaient bien plus compliquées que ça. Ton père était un traître. Depuis la mort de ta mère, il avait changé petit à petit, voulant t'apporter un meilleur foyer qu'un père meurtrier. Alors il avait fait un pacte avec l'Ordre et éventuellement avait était découvert. Résultat ? Il avait succombé à la torture des manges morts. Mais toi petite Angharad, tu n'étais pas au courant de tous ça. Tu avais même compris l'inverse et c'est ce qui t'avait sauvé la vie. Tu ne savais rien et tant que cela restait de cette façon, tous se passeraient bien pour toi.
Étant une jeune fille mineure et maintenant orpheline, il a donc fallu te trouver un foyer. Et quoi de mieux que de retourner dans ta famille. C'est comme ça que le juge a eu la bonne idée de te placer dans l'autre famille Lannister. Changeant radicalement ta vie. Tu entrées dans une famille, une vraie. Ton père et toi étiez une famille, mais tout ça était différent. Tout ça était nouveau. Un père modèle, une mère parfaite et deux enfants, un garçon et une fille, la famille exemplaire. Enfin pas exactement, vu de l'extérieur tout était complet, mais il ne fallait pas chercher loin pour faire voler cette image en éclat. Premièrement, le chef de famille, Oliver,n'étais que rarement présent, le plus long moment que tu avais dû passer en sa compagnie -bien que lui aussi très bref- avait était le jour de l'enterrement de ton propre père, son frère de sang. Le reste du temps, il était en mission pour les manges morts ou auprès du ministère. Ensuite venaient tes cousins Zéphyr et Phoebe, tu t'entendais bien avec chacun d'entre eux, tu n'avais jamais eu de frère et sœur, mais tu considérais tes amies comme ta famille, une meute dont tu protégerais chacun des membres avec férocité. Et c'était ce que tu pensais être une relation frère /sœur. Mais eux étaient complètement différents,à l'opposé même, les deux Lannister ne pouvaient se supporter, il suffisait qu''ils soient dans la même pièce pour que les deux se sautent à la gorge. Toi dans tous ça ? Tu étais la balance, l'arbitre, essayant tant bien que mal de régler les conflits avant que les deux bruns n'en viennent aux mains - ce qui arrivait généralement dans 80 % des cas - .
Et puis il y avait la mère, pour toi ce n'était qu'un mot parmi tant d'autres, tu ne savais pas ce que c'était réellement, tu n'en avais jamais eu. La tienne, tu l'avais tué. Ton père détestait que t'entendre dire ça, mais c'était la vérité, si tu n'avais pas était là, elle, le serait toujours. Ou pas qui sait ? Tu avais appris à ne plus te poser ce genre de question. À ravaler ta culpabilité au fond de toi pour ne plus y penser, à sourire pour au moins donner l'image que tout allait bien, que tu t'en sortais.
Mais revenons à madame Opaline Rosier, une femme froide, unie à un homme pour des raisons aussi banales que le pouvoir et l'argent. Tu voyais leur mariage comme de la reproduction, tel des canidés desquels, on veut préserver la race, la pureté du sang. Au début elle ne t'as pas adressé un regards, mais tu ne put t'empêcher de remarquer la manière dont elle traitait Phoebe, tu ne savais pas ce que c'était mais tu y trouver quelque chose d'anormal, de presque malsain. Puis tu rentras une nouvelle fois à poudlards l'année fut plus difficile. En apparence, tu restais la même, mais à l'intérieur, tu étais en ruine, même si petit à petit, tu es redevenue égale à toi-même, tu savais que tu ne redeviendrais plus jamais celle que tu étais auparavant. Comme les anciens châteaux que les moldus n'avait de cesse d'essayer de rénover. C'est ça que fait la douleur, elle change les gens, fait grandir les enfants et fragilise les adultes. Toi, tu y avais survécu, pas toute seul évidemment, mais tu en étais sortie plus forte, car il n'y avait pas pire douleur que de perdre un être proche.
Cette année-là, tes notes n'avaient pas chuté, mais tout le reste s'était détérioré. Tu dormais peu et t'épuisais avec les nombreux sports mis à ta disposition. Tu étais devenu plus indépendante, mature même si parallèlement tes conneries et heures de colle avait-elle aussi augmenté, tu étais maintenant plus sauvage, presque incontrôlable. Et ça n'avait pas du tout plus à madame Rosier. Pour elle, une femme devait être égale à une poupée, une sage et jolie figurine, dont l'on peut disposer à son bon vouloir et déposer dans un coin quand on en est lassé. Elle voulait faire de toi un joli visage à marier, mais tu avais d'autre projet pour ton avenir. Tu n'étais pas cette chose, tu étais plus, beaucoup plus et tu le resterais. Mais Opaline était presque aussi têtue que toi et employer tout le moyen à ça disposition pour te plier à son bon vouloir. Au début, cela n'était que quelques cours et bien qu'il soit ennuyant et que tu n'écoutais pas pour la plupart, tu les suivais essayant de faire à peu prés bonne impression. Mais plus les choses aller bien, plus les cours et règles augmentées, t'empêchant assez vite de faire tout autre activité. Ainsi plus la matriarche serrée les boulons, moins tu te laisser faire. Et tous cela se transforma bien vite un jeu pervers. Elle se mit dans la tête de te briser et tu n'allais pas lui faciliter la tâche. Mais elle n'avait pas dit son dernier mot et utilisa bien vite des punitions corporelles, sous forme du sortilège d'Endoloris et de séquestrations. Tu ne comptais plus les heures que tu avais passées, enfermée dans cette cave à cogner de tous les côtés jusqu'à l'épuisement. Tu ne supportais pas d'être enfermée, de ne rien pouvoir voir, d'être à la merci de cette femme. Cela te rendait folle et tu as rendu les armes, enfin seulement en apparence. Dans les faits, tu attendais simplement de pouvoir sortir d'ici, utilisant ce qu'elle t'avait appris pour la provoquer.
Mais dés que tu sortais de sa juridiction, dés que tu entrais à Poudlard, tu redevenais celle que tu étais. Ou peut-être en amélioré. En effet, les enseignements de madame Rosier n'avaient pas était complètement inutile. Aussi dur pour toi que c'était de l'admettre, elle t'avait rendu plus féminine, et plus, manipulatrice. Plus à même d'obtenir ce que tu voulais des hommes, mais aussi des femmes - tu avais trouvé que tu n'avais pas de préférence - rien qu'avec ton corps. Elle t'avait aussi rendu plus fêtarde voulant en profité un maximum avant de rentrer au manoir.
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En dehors des cours, vous vous évitiez généralement, mais un jour que tu rentrée dans ta salle commune, à l'abri des regards sur le toit, une étrange chose sur les oreilles. Intriguée, tu t'approches, t'apercevant bien vite que cette chose diffusait de la magie et qu'elle n'était absolument pas d'ici. De la magie moldue. Tu souris te glissant derrière lui avant de lui chuchoter à l'oreille "
Tu sais que je pourrais te reporter pour ça " il se tourne violemment vers toi, d'abord apeuré puis plus d'étendue lorsqu'il comprit à qui il avait à faire. Il sourit et te demanda "
pourquoi tu ne l'as pas déjà fait hm ? "Tu lui réponds immédiatement "
La curiosité ", "
C'est un vilain défaut " Tu lui souris effrontément et t'asseoir à ses côtés "
J'en ai des pires... Puis soudain, tu lui arraches la machine des mains pour la regarder sous toutes les coutures, tu finis par retourner ton attention sur lui brandissant l'objet ...
Et donc qu'est-ce que c'est exactement ? " Il te sourit probablement amusée de ton innocence "
Disons que c'est une boite pour écouter de la musique " Tu fronces les sourcils comment ce machin pouvait faire de la musique ? Il continue à sourire avant de te poser ce qui pourrait être un casque sur la tête. Tu lui lances un regard interrogateur auquel il te répond en te désignant ses oreilles. Puis il appuya sur un bouton et la musique démarra. Immédiatement, tu enlèves l'objet de tes oreilles "
Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?!" Tu te tournes pour avoir des explications, mais tu n'es accueilli que par Zadig tordue de rire. Vexée, tu grognes un peu avant de te tourner pour bouder, gêné le rouge te montes aux joues. Il te pousse un peu "
Allez boude pas " Tu continues de l'ignorer, il te remet un des écouteurs dans les oreilles, l'autre étant plongé dans son oreille. Cette fois, tu laisses la musique envahir tes oreilles. Et un certain sentiment de sérénité s'empare de toi, ta posture commençant à se relaxer. Après un moment, tu reposes ton regard sur ton camarade qui était occupé avec quelques choses dans sa bouche. Tu hausses un sourcil "
Qu'est-ce que c'est ça encore ? " Il te lance un énième sourire e en coin avant de répliquer "
ça aide seulement à se détendre, tu veux essayer ? "Pendant quelque instant, tu le regardes, incertaine et il reprend la parole "
Ou peut-être que la grande Angharad aurait peur ? "
That's it, il avait touché ton point faible et il le savait. Tu ne pouvais pas reculer devant un défi. Tu t'empares donc violemment du bâton et le portes à tes lèvres. Tu entends vaguement le brun te dire d'aspirer et tu l'écoutes docilement. Mais à peine le désagréable fumé eut-elle atteint tes poumons, tu ne pus t'empêcher de la recracher violemment. Te gagnant un autre fou rire moqueur de Zadig, tu le fusilles du regard t'apprêtant à lui lancer une pique, quand tout d'un coup, une voix n'appartenant à aucun de vous s'éleva "
Hep vous deux ! " Merde ! Un surveillant, normalement, tu te serais enfui, mais il t'attrapait déjà le bras, rendant impossible toute manœuvre d'extraction. "
Lannister ! Encore toi ? Qu'est-ce que c'est cette fois ? " Tu hausses un sourcil et te retournes t'attendant à rencontrer le regard vert de Zadig, mais ce dernier avait disparu. Oh le con ! Il te laissait derrière pour prendre toute la responsabilité de ses actions. Il allait payer !
Une heure et un énième savon passé, tu ressortais du bureau de ton chef de maison. La discussion avait à peu près cette teneur "
Est ce que vous savez ce que sait Mademoiselle Lannister ? " T'avait-il demandé. Tu l'avais regardé deux minutes, indécises, en même temps, tu n'avais absolument aucune idée de ce que c'était, pas aucune. Mais il te fallait trouver quelque chose et rapidement, alors tu sortis la première chose qui te passa par l'esprit "
Ben ça, c'est euh... Mon projet de botanique". Évidemment, il ne t'avait pas cru. Tu ne pouvais pas leur en vouloir même pour toi cette excuse ne semblait pas valable.
Deux jours plus tard, le pauvre garçon, c'était retrouvé au milieu de la salle commune en caleçons rose agressif, bonnet de père noël et affublé de maquillage tape à l'œil.
Une semaine plus tard, il te rejoignait en détention, les mois qui suivirent vous rapprochèrent de plus en plus, vous ne faisiez que vous lancer des défis qui terminaient généralement en colle. Bien assez vite, vous étiez devenu amis, finalement assez semblables vous vous ressembliez trop pour ne pas vous entendre. Bientôt des rumeurs coururent sur vous deux, il n'en était rien, la vérité était bien que tu aies déjà eu quelques expériences avec différente personne. Tu t'es assez vite rendu compte que tes goûts penchaient plus vers la gente féminine. Zadig, lui était quelque chose d'autre, de plus, contrairement à ce qu'aurait put laisser entrevoir vos premier rapport, tu t'étais énormément attaché au garçons. Ce qui remit en cause ton opinion sur les sangs purs, tu avais bien vu que tu n'étais pas meilleur ou supérieur à Zadig cela, c'était prouvé dés les premiers mois. Plus entraîné, habitué à la magie, oui, mais pas forcément meilleur. Ou peut-être, c'était seulement lui, peut-être que Zadig était simplement spécial.
Le grand brun prenait d'ailleurs un malin plaisir à te faire découvrir le monde moldu. D'abords réticente, ta curiosité à bien vite prit le dessus te laissant entrevoir, un monde à la technologie beaucoup plus avancé. Tout ce qu'il n'avait pas par la magie les moldus l'avait compensé par ce qu'il appelait "la science".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]NINETEEN YEARS OLD ∞ Why do all the good people die? When you're in a garden wich flower do you pick? The most beautiful one . Exactly Tu avais était nerveuse toute la matinée et le pire dans tous ça étaient que tu ne savais même pas pourquoi. Tu détestais ça, ne pas être en contrôle de tes émotions te rendait faible - émotions qui était devenus de plus en plus instable depuis la mort de ton père- et tu ne le supportais pas. Et alors que ce mauvais sentiment grandissait en toi tout ce que tu pouvais faire était tournait en rond dans ta chambre, Misfits, déjà sous sa forme de tigre te regardant d'un œil.
Finalement, tu atteins un point ou attendre les bras croisés était devenu impossible pour toi. Tu es donc descendu chercher quelque chose pour essayer d'apaiser ses symptômes, quand tu entendis la voix de Madame Rosier "
Angharad vient voir par là ma chérie "Oula voix trop sucrée, gentille. Quelque chose ne tournait pas rond, tes sourcils se froncent et tu n'as qu'une envie, celle de remonter dans ta chambre le plus vite possible. Mais tu étais déjà à l'entrée du salon. Tu ne pouvais plus te permettre de reculer. Ce serait vu comme une faiblesse. Et tu te refusais à paraître faible devant cette femme. Alors tu entres dans la pièce l'air de rien, dévisageant madame Rosier, puis son mari - qui a t'as grande surprise était lui aussi présent - . Tu semblais maître de toi et la seule chose qui trahissait ton réel état d'esprit était l'agitation de Misfits qui les dévisageait à tes côtés, prête à te défendre. Opaline souris et te demande de t'asseoir en désignant le fauteuil face à eux. Tu obtempères et t'assoies sans un mot, droite, les jambes croisée, tu les regardes tour à tour, cachant ton anxiété du mieux que tu le pouvais mais tu ne put t'empêcher de tambouriner tes doigts sur tes genoux dans un geste typiquement nerveux. Opaline te dévisage visiblement très satisfaite de la petite torture à laquelle elle te soumettais. Finalement, tu ne supportes plus ce silence et lâche "
Alors, puis je savoir qu'elle est cette grande nouvelle ". Puisqu'il devait bien y avoir une raison pour que les parents Lannister t'aient demandé de venir les rejoindre. Et finalement, la bombe fut lâchée "
Tu vas te marier !" Et bien qu'est-ce que tu dis de ça, hein Angharad ? Tu ne dis rien, tu es trop soufflé pour parler ou même sortir une pensée cohérente. Tu entends feuler à tes côtés,Misfits peu inclinent à cette idée elle aussi. "
N'est ce pas fantastique ?! " Reprit-elle te faisant reprendre le peu de moyens qu'il te restait "
Je N-" "
Tu es enchanté de cette décision et va t'y plier sans résistance" Te coupa t-elle, dans une sorte d'avertissement qu'elle n'accepterait aucun refus "
Non ! " Cette fois, tu as vraiment récupéré tes moyens, la colère montant lentement en toi. Tu lances un regard haineux à Opaline avant de tourner tes iris vers le chef de famille
"Sérieusement ... Tu ne peux pas là laisser faire ça !" Il ne t'adresse même pas un regard préférant répondre par un simple "
Tout est déjà arrangé "Une colère sourde monte en toi. Tu n'écoutais plu personne essayant de te contenir, puis le geste de trop la main ferme d'Opaline sur ton bras essayant de regagner ton attention. Vodka gronde bondissant entre toi et la matriarche alors que tu te recules violemment. Opaline se recule aussi choquer alors qu'Oliver se lève dans une attitude autoritaire. Tu le fixes toujours avant de reprendre la parole"
Et tu crois vraiment que je vais accepter ça ? ... Ta voix augmente d'une octave...
Que je vais vous laisser me vendre comme ça au premier venu ?!" Parce que c'était exactement de quoi il s'agissait pour toi, une vente, une manière de faire des profits en se débarrassant de toi du même coup. Il ne te lance qu'un regard dur tintement clairement de te calmer et de te rasseoir. Tu n'en fis rien et il reprit '
Tu feras simplement ce qu'ont te dit Angharad, tu n'as pas le choix ici, tu l'épouseras que ça te plaise ou non " Un rire sarcastique et sans humour s'élève dans la pièce et il te faut un moment pour te rendre compte que la voix t'appartient et tu continues sur ta lancée "
Alors c'est comme ça ? Tu es à peine là pendant... À peu prés toute mon enfance et là, tu te pointes et me dis de marier un illustre inconnu ? Sans que j'aie mon mot à dire ? Tu crois vraiment que je vais accepter ça ? " "
Bon sang arrête d'agir comme une enfant." Tes sourcils se haussent et un mauvais sourire prend place sur ton visage "
Une enfant. T'as raison, je n'en suis plus une. Je peux faire mes propres décisions ! Donc si vous voulez marier quelqu'un, vous pouvez toujours essayer avec Phoebe ! Pour moi, ce n'est même pas la peine d'y penser ! " "
Tu sais très bien que c'est ce que Laserian aurait voulu ", C'est la phrase de trop, celle qui te fait partir au quart de tour. Lâchant ta colère sur le pauvre homme, tu le plaques dos au mur sifflant dangereusement "
Qu'est-ce que tu en sais toi ? Hein de ceux que mon père aurait voulus ? ".. Tu le jettes sur le côté "
Dis moi ? ! " Ton point se serre et tu n'attends leur réponse et fonces directement hors du manoir puis de la propriété. Sans t’arrêter tu finis par courir. Courir, fuir tes problèmes. Tu cours jusqu'à Carteburry, un coup de fil et Z étaient sur son chemin pour te récupérer. Tu t'assis sur le sol humide, épuisé, faisant de ton mieux pour penser à tout sauf à ce stupide mariage.
La prochaine chose dont tu te rappelles, Z était à tes côtés une énième cigarette à la bouche - ça consommation avait augmenter depuis la disparition de son patronus- . Il te regarde un instant et tu lui lances un sourire comme si tout était normal. Mais tu savais que ce soir, ton jeu n'était pas convaincant et Zadig n'était pas dupe. Comment pouvait-il l'être ? Tu étais trempé jusqu'au os, recroquevillé sur Misfits sous forme de loup pour te tenir chaud, et même si tu faisais tout pour le cacher, il était évident que tu avais pleuré.
Mais Z ne dit rien et te sourit en retour, te déclarant "
Votre voiture est avancé mademoiselle " Cela ne lui quand hochement de tête. Et quelques minutes plus tard, vous étiez dans sa voiture et il te ramenait chez lui. Il avait compris. Quoi qu'il se soit passé, tu ne retournerais pas là-bas. Et tu lui en étais reconnaissante. Pendant un moment, il ne fit que te regarder alternativement toi puis la route, créant une espèce de malaise que tu finis par dissiper avec un "
Quoi ? " Exaspérée . Presque agressif, tu pestes et t'apprêtes à t'excuser quand, il te coupe la parole "
Je me demande juste ce qui s'est passé pour que tu sois dans cet état." Tu le regardes quelques instants, incertaine, puis finalement, tu te décides "
Ils veulent me marier " cette déclaration te gagne un rire du conducteur et tu ne peux t'empêcher d'avoir un sourire en coin, même lui pensait que c'était une blague et tu continues sur ta lancée "
Mais le pire dans tous ça est que c'était leur plan depuis le début ! Il ne me voit comme un objet, une poupée sur une étagère, utile et docile. Ce n'est pas moi absolument pas. J'ai l'impression que les gens me voient seulement comme ceux qui veulent et pas comme je suis..." Tu te retournes vers lui prête à essuyer une remarque sarcastique comme c'était dans votre habitude, mais il préfère te regarder droit dans les yeux avant de te chuchoter "
Moi, je te vois" il aurait dû voir la route. ...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tu es étendue sur le parvis. Ton corps entier n'est qu'une immense plaie. Tu cherches du regard ton patronus. Mais ton regard ne rencontre que le cadavre de la voiture en feu alors que tu perds petit à petite connaissance. Tu cherches Z du regard, mais tu ne le trouves nul part. Tu essaies de bouger, sans en avoir la force, ton corps est en feu et tu sais que ce n'est pas seulement dû à la disparition de ton patronus. Autour de toi tout est silencieux. Et puis tu le vois, son corps et toujours courbé au-dessus du volant, la voiture prenant lentement feu autour de lui. Tu essaies de l'aider, de l'appeler, faire quelque chose pour le réveiller. Mais il ne bouge pas et tu perds lentement connaissance face à cette vision.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] TWENTY YEARS OLD ∞ Strenght comes from the good things those are the things who keep you whole Tu te réveilles doucement au son des bips du moniteur. Rapidement aveuglé par la lumière, tu grognes, ta gorge proteste immédiatement. Tu cherches la pièce du regard sans vraiment savoir ce que tu cherches. Mais tu sais que ce n'est pas là. Dans quelques minutes, tu apprendras que tu as eu un accident de voiture et que tu comates depuis un mois. Tu es passé par le pare-brise, mais tu t'en étais sortie chanceuse. Le problème était la chose manquante, ou plutôt la personne. Tes yeux scannent toutes les personnes dans la pièce, il n'est pas là. Tu apprendras plus tard qu'il n'a pas survécu, mais qu'il n'a pas souffert, qu'il était mort sur le choc. Comme si tout cela pouvait être d'un quelconque réconfort pour toi. Il t'avait laissé seul ici. Encore une fois, tu te retrouvais laissé derrière.
Tu avais déjà eu affaire à ça et tu pensais savoir comment le gérer depuis le temps, mais tu avais tort. Il n'y avait pas plus grande douleur que de perdre un être cher. Et il n'y avait aucun moyen pour que tu sois préparé à ça. Le problème avec la vie, qu'elle ne vient pas avec un mode d'emploi, elle nous tombe dessus sans prévenir. Quelques fois, elle est magnifique comme des milliers de feux d'artifice qui éclairent le ciel et nous rend tellement heureux et légers qu'on pourrait presque s'attendre à s'envoler. Mais d'autres fois, elle est aussi dévastatrice et dangereuse qu'un ouragan ou un incendie ne laissant sur son passage qu'un être cassé. Et c'est là qu'intervient le pire sentiment. Le regret. Cette émotion tapie au fond de nous qui nous dévore de l'intérieur telle une bête sans que rien ne puisse l'arrêter. Alors on pense, on réfléchit à ce qu'on aurait dû faire, dire ou décider. À ce moment-là, il y a principalement deux sortes de personnes, ceux qui croient au destin et que tout ce qui arrive doit le faire d'une manière ou d'une autre. Et ceux qui ont le plus de remords, qui pense être libre et par extension que leur mauvais choix sont entièrement de leur fait. Dans les deux cas, à un moment ou à un autre, tôt ou tard la bête se calme, elle est repue. Tout d'un coup tout s'arrête la peine, le chagrin, la douleur et on se reconstruit comme ont peu. On continue à vive sa vie. Mais tout au fond de nous il y a toujours des cicatrices, des marques, de griffes et de crocs, des souvenirs qui resteront comme des marques au fer rouge, gravé à vie.
Éventuellement, tu es sortie de l'hôpital quelques mois plus tard, tu avais fait ton deuil. Tu n'es pas rentrée chez toi, préfèrent la familiarité de Poudlard supportant plus de rester dans ce manoir. Le mariage avait était annulé ou plutôt reporté comme il le disait, jusqu'à la fin de ma scolarité, me laissant tout le loisir de revoir ma position avait déclaré Oliver. Mais pour toi, c'était déjà tout vu. Tu ne retournerais pas là-bas et le mariage ne se passerait pas.