BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy | | | it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Sam 10 Oct - 23:02 ( #) | Aidan Jake Malefoy ft. boyd holbrook sang-pur vingt-trois ans célibataire hétérosexuel offensive magique - douzième année cerf (et vipère d'Orsini) pro-mangemort tumblr & blondie | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom : Malefoy. Je fais partie de l'une des plus grandes familles de sang-purs qui existent, et autant vous dire que j'en suis très fier. Prénom : Aidan. Âge et date de Naissance : vingt-trois ans, né un cinq octobre. Nature du sang : Comme tous les Malefoy, mes parents et leurs aïeux avant eux, sont issus d’une lignée de sang-pur, ce qui est pour eux à la fois un honneur et une gloire : ils abhorrent, les « sangs-de-bourbe », comme ils se plaisent à appeler ceux qui ne sont pas nés de sorciers, et blâment ceux qui ont fauté avec des moldus pour engendrer un sang impur. Situation familiale : Aujourd'hui, il ne me reste plus que Mère. Père et mon frère Kevan sont morts au service de Lord Voldemort. Patronus : mon compagnon est un cerf du nom d'Adriel qui prend parfois la forme d'une vipère d'Orsini. Miroir du Rised : « Je ne montre pas ton visage mais le désir de ton cœur » est l’inscription qui se lit sur le miroir, et c’est en effet pourquoi je me vois couvert de richesse, fortuné et plus heureux que jamais. Ce que je recherche par dessus tout, c'est le succès ; c'est réussir ma vie et rendre Mère fière de moi. Epouvantard : Combattre mon épouvantard, c’est avoir le courage de m’affronter moi-même : le courage d'affronter un homme déchu, qui mène désormais une existence misérable. C'est là ce que je redoute le plus au monde : l'échec. Composition de la baguette magique : vingt-huit centimètres, charme et ventricule de dragon. Etudes Suivies : offensive magique (option : legilimancie, sous les recommandations de Père : « ça te sera très utile dans la vie » m'avait t-il dit. « Bien plus utile que faire carrière dans le sport ou apprendre à soigner de foutues créatures ») Animal de compagnie : un colley à poil long tricolore du nom de Jayden (si tu veux le voir, t'as qu'à cliquer [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Caractère Narcissique. Cynique. Impulsif. Froid. Présomptueux. Quand les gens vous parleront de moi, ils utiliseront sûrement ces adjectifs pour me qualifier. Mon but n'est pas de démentir ces propos, loin de là : ils reflètent justement ce que je suis, ou tout du moins le personnage que je joue, et je n'ai absolument aucune raison de le nier. Au contraire, je préfère en rire et je joue d'ailleurs de ma réputation pour arriver à mes fins. Il est plutôt rare qu'on vienne me chercher les noises quand on sait qui je suis. Vous le remarquerez très vite, je suis également d'un naturel arrogant et rebelle. Transgresser les lois, tenir tête aux autres, c'est mon passe-temps favori et rien ne me fera changer. Ma philosophie, est telle que, pour moi, la vie est une aventure audacieuse ou rien d'autre. De quoi vous laisser méditer quelques temps, n'est-ce pas ? Je suis quelqu'un qui aime bien se faire remarquer : je sais parler fort quand je veux être entendu, et je sais me faire voir quand je veux être vu. J'ai quelque charme, je le sais, et c'est pourquoi je n'éprouve aucune crainte à côtoyer les femmes - elles sont d'ailleurs, je l'avoue, l'une de mes plus grandes faiblesses : je ne peux pas leur résister. Jusque-là, j'ai eu maintes aventures mais jamais rien de sérieux : je ne crois pas en l'amour véritable, l'amour qui transfigure, qui dépasse de loin tout ce que l'on s'était imaginé. Pour moi, ce ne sont que des histoires que se racontent les gens, des mythes, des légendes qui restent bien loin de la terne réalité.
Chose étonnante, je n'ai pas toujours été comme ça. Je veux dire, je n'ai pas toujours été ce bouffon que vous détestez de toutes vos forces. Enfant, j'étais timide et je passais le plus clair de mon temps dans les méandres de mon esprit, à penser à des choses et à d'autres. Je ne parlais que très peu, pour ainsi dire jamais, et j'étais fasciné par tout ce qui m'entourait, du rire de quelqu'un jusqu'au coucher de soleil. J'étais un enfant sage, peut-être le plus sage de tout Londres, et j'étais très loin de me douter que je finirais par prendre le parti du Seigneur des Ténèbres. A cette époque, je n'aspirais alors qu'à devenir un auror réputé : je voulais que le nom d'Aidan Malefoy figure sur la première page de la Gazette du Sorcier à chaque arrestation de Mangemorts et je voulais par-dessus tout me targuer de faire partie de l'élite spéciale du ministère de la Magie. Mais Père ne mit pas longtemps à remarquer que je n'étais nullement attiré par tout ce à quoi l'on me prédestinait, et il décida de mettre un terme aux extravagances auxquelles je me livrais. Je reçus une éducation rigoureuse qui me ramena dans le droit chemin - du moins dans le chemin qu'on avait tracé pour moi - et en l'espace de quelques années, tous mes rêves d'antan s'étaient envolés.
Je crois que c'est en partie à cause de ça que je suis tel quel aujourd’hui. On m'a appris à haïr les sang-de-bourbe et les moldus et à ne croire qu'en la toute suprématie des sorciers bien nés ; on m'a appris les règles de la bienséance et on n'a eu de cesse de me répéter que je n'étais pas n'importe qui. On m'a poussé, d'une façon ou d'une autre, à devenir hautain, imbus de moi-même et à mépriser tous ceux qui ne méritaient pas le respect d'un sang-pur. Plus tard, on m'a même exhorté à servir le Seigneur des Ténèbres et à revêtir le capuchon noir, comme le reste de ma famille. Tout ça, je l'ai fait sans broncher jusqu'à faire miennes les idées que l'on m'avait inculquées toute ma vie.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Je voudrais m'arrêter, je ne peux plus respirer, et pourtant, je continue de courir. Je n'entends plus que le martèlement de mes pas dans les couloirs du château. Ce crétin de concierge m'a pris en chasse alors même que j'essayais de rejoindre Alessandra dans l'aile ouest du château. « ÉLÈVE HORS DES DORTOIRS, ÉLÈVE HORS DES DORTOIRS ! » Emporté par la fougue -et notamment l'envie de ne pas me faire botter le cul- j'ignore complètement les vociférations du concierge et je continue de courir.
Soudain, une voix s’élève derrière moi et je me fige, mû par la surprise. « Tu vas où comme ça Aidan ? » Sans réfléchir, je fais volte-face, un sourire innocent sur le visage, prêt à trouver une excuse pour expliquer ma présence dans les couloirs en pleine nuit, mais les mots sont bloqués au fond de ma gorge. Je reste là, abasourdi, à me demander s’il s’agit bien de la réalité ou du fruit de mon imagination, quand la créature reprend. « T'as perdu ta langue ou quoi ? » Je secoue la tête et recule de quelques pas. Au cours de ma vie, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreuses créatures magiques mais cette fois-ci, les bras m’en tombent. « Par le caleçon de Merlin ! » m’exclamé-je. « C'est si étonnant que ça ? » réplique alors le cervidé avec sarcasme. Jamais je n'avais eu l'occasion de voir un cerf aussi grand et majestueux, encore moins dans l'enceinte de Poudlard au beau milieu de la nuit.
Je reste sans mot dire quelques instants puis je m'apprête à partir, ayant conclu qu'il ne s'agit ni plus ni moins que d'un foutu bordel - première option - ou que je suis en train de devenir fou - ça, c'est la deuxième mais pas franchement ma préférée. Je n'ai pas esquissé un pas que je suis arrêté dans mon élan par une force invisible. Le cœur battant, tous les sens en alerte, nous sommes là, la créature et moi, à nous regarder en chiens de faïence, et l'espace de quelques instants, je savoure le calme ambiant et le feu qui dévale le long de mes veines pour s'emparer de mon être, tandis que la stupéfaction, elle, disparait peu à peu. Sous le regard du cerf, j'ai l'impression de me consumer sur place, ni plus ni moins, et je vibre intérieurement, d'un savoureux mélange d’excitation et d'intérêt : sans le savoir, la magie opère déjà en moi.
Finalement, la créature finit par me convaincre de l’écouter et je la laisse me conter sa joyeuse histoire : c’est ainsi que nous nous dissimulons dans un recoin du château, à l'abri des regards, et surtout de celui du concierge. Nous parlons toute la nuit, ou plutôt il m'a parlé toute la nuit, et même plus encore, jusqu’à que j’accepte l’idée qu'Adriel, comme je ne l’ai nommé que bien plus tard, est mon patronus, né de l’échec du sortilège que le Ministère a lancé pour détruire Lord Voldemort.
Au début, je n'ai pas été très enthousiaste à l'idée d'avoir un hydride mi-cerf mi-serpent, capable de prendre l'une ou l'autre forme à n'importe quel moment, qui me suit dans mes moindres déplacements. Mais finalement, avec le temps, sa présence est devenu supportable et par moments presque plaisante. A ce jour, notre relation est encore tumultueuse : nous avons le même caractère, ce qui conduit à de très nombreux désaccords sur de très nombreux points ; nous nous moquons l'un de l'autre, nous nous lançons des piques et il n'est pas rare que l'un fasse une blague de mauvais goût à l'autre, mais au fond j'aime bien ça.
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Pseudo et âge: caspian, et dix-huit ans Où as-tu trouvé le forum ? on va dire qu'il est plutôt connu hein Personnage: inventé (famille de sorciers : Malefoy) As-tu un autre compte sur BP ? non Présence: je passerai aussi souvent que mes études me le permettront. |
Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je suis né dans le manoir familial, à Londres, tout ce qu’il y a de plus banal pour un Malefoy tel que moi. A l’instar de mon frère aîné, j’ai été élevé dans le but de devenir un grand sorcier. Convaincus de notre supériorité, mes parents m’ont appris à haïr ceux étant de « sang-mêlé », d'ascendance moldue, ou n'ayant pas de pouvoirs magiques. Mais à cette époque j’étais jeune, j’étais insouciant, et tout ce qu’ils me disaient me passait au-dessus de la tête : j’étais fort de mes convictions et je ne faisais que ce que je voulais. Quand on est encore enfant, la seule chose qui nous importe c’est de faire tout ce que l’on veut. On est persuadé que les limites n’existent pas. On transcende les règles établies. On s’attend à ce que l’impossible devienne possible, et le monde entier nous semble fait de magie. Mais cette heureuse période, où la cruauté du monde m’était encore inconnue, dura peu de temps. Elle prit fin un soir, alors que toute la famille – au grand complet – était réunie : je me souviens avoir eu la bonne idée de sous-entendre que plus tard, je voudrais devenir un auror. Je ne sais plus pourquoi je l’ai dit, mais je me rappelle encore l’effet produit. Un silence de mort était brutalement tombé autour de la table et j’étais resté là, à interroger du regard chacun des membres de ma famille, tour à tour, sans comprendre ce qui se passait. Père, lui, avait commencé à prendre une teinte écarlate et je voyais les veines de son cou gonfler, gonfler, gonfler… Tellement que j’ai eu l’impression qu’elles allaient exploser d’un moment à un autre. « DANS TA CHAMBRE ! TOUT DE SUITE ! » avait t-il soudain hurlé en reposant brutalement ses couverts. « Mais papa… » Je n’avais même pas eu le temps de répliquer que celui-ci me prit par le col de ma chemise et me traîna dans ma chambre sans que je pus opposer la moindre résistance. C’était comme ça chez nous. On ne rigolait pas tous les jours. J’avais à peine dix ans mais je ne mis pas longtemps à comprendre ce qui avait tant scandalisé ma famille ; et Père, soucieux du tournant que devait prendre mon existence, décida de régir ma vie toute entière, jusqu’aux idées qui devaient me traverser l’esprit. Tout ce que je devais dire ou faire devait obéir aux principes de notre famille. Plus question de devenir auror ou de côtoyer les « sang-de-bourbe » : Père y veilla d’ailleurs à tel point qu’à mon entrée à Poudlard, il recommanda à deux garçons de ma maison, bien plus âgés que moi, de me fliquer et de regarder si je me comportais comme tout sorcier bien né. _______ Le temps a passé, trépassé et la vie allait son train, avec une lenteur infinie. Au fil des années, j’étais devenu un véritable Malefoy, tel que Père l’avait toujours espéré. J’étais déjà loin du petit garçon naïf et insouciant d’antan. Je n’avais plus comme ambition de devenir un auror, mais celle, non pas moins délurée, de devenir l’un des plus grands sorciers - et le plus fidèle mangemort – de tous les temps. Pour ça, je savais qu’il fallait que je m’entraîne et c’est ce que je fis. Personne n’était-là pour m’apprendre, comme l’aurait fait un mentor avec son apprenti. Ce fut la vie elle-même qui m’inculqua tout ce que je devais savoir – et également quelques livres de magies noires que je réussissais à me procurer. Je devins fort, rapide et plus rusé que je n’aurais jamais pu l’espérer. J’avais la rage de réussir, l’espoir de voir mon rêve se réaliser et je savais que j’étais une lame et Lord Voldemort la pierre sur laquelle je m’aiguisais. J’étais trop solide pour me briser aussi facilement, et je m’améliorais et m’affûtait un peu plus chaque fois que je pensais à lui. Il fallait que je sois à la hauteur, il le fallait. Ma vie prit un tournant inattendu lors de l’été 1979, quand j’appris que Père et mon frère furent tués par des aurors, alors même qu’ils perpétraient une attaque contre des sangs impurs. Cette nouvelle me glaça et j’eus le cœur lourd de chagrin, impossible de le nier. Mais loin de me briser, ce qui s’était passé m’avait rendu – d’une certaine manière – plus fort que je ne l’aurais cru. Ma volonté n’avait pas faibli, loin de là : j’avais non seulement l’ambition de servir Lord Voldemort mais aussi de me venger de ceux qui avaient tué Père et Kevan.
Dernière édition par Aidan J. Malefoy le Mar 13 Oct - 22:16, édité 23 fois |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Sam 10 Oct - 23:08 ( #) | RE-BIENVENUE |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Sam 10 Oct - 23:40 ( #) | Un nouveau petit sang-pur avec qui jouer |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 1:13 ( #) | Re bienvenue |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 8:35 ( #) | bienvenue |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 10:14 ( #) | Emile Bienvenue |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 11:32 ( #) | BIenvenue à toii Par contre, ton avatar ne colle pas vraiment aux Malefoy. Il faudrait une célébrité plus blonde que ça |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 13:49 ( #) | merci et effectivement, je n'y avais pas du tout pensé. Le problème devrait être réglé maintenant |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 14:32 ( #) | malefoy bienvenue parmi nous, hâte de voir ce que tu vas en faire |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 16:40 ( #) | |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 17:16 ( #) | |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 17:47 ( #) | Re bienvenue parmi nous ! |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 18:55 ( #) | Bienvenue |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Dim 11 Oct - 22:49 ( #) | Bienvenue charmant jeune homme |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Invité, Lun 12 Oct - 2:16 ( #) | Bienvenue |
| | Re: it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | it is the unknown we fear when we look upon death and darkness, nothing more — aidan j. malefoy | |
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