BELLUM PATRONUM
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Version 34
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| White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks » | | | White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 0:39 ( #) | White Walker Winhurry ft. Peter Capaldi Né Moldu Cinquante huit ans Veuf, mais encore marié dans sa tête Hétérosexuel Professeur d'astronomie et astrologue pour le magazine Sorciere-Hebdo Forme de patronus inconnue Pro-Ordre Défenseur solitaire des moldus Tumblr | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Winhurry, un nom plein de promesses au bord des lèvres, qui pourtant ne garantit pas grand chose lorsque l'homme qui le porte est face à vous. Prénom: White, il n'a jamais compris pourquoi sa mère tenait tant à ce prénom, il n'en a jamais su l'origine d'ailleurs. Walker est son second prénom, qu'il doit à son oncle décédé peu avant sa naissance. Il est nommé parfois Mister W, mais il n'accepte que peu les surnoms, qu'il trouve embarrassants et inutiles. Pourquoi s'encombrer d'un surnom lorsque l'on peut déjà être appeler par celui qui est notre? Âge et Date de Naissance: Cinquante huit ans, né un certain 11 juillet. Nature du sang: Né Moldu Situation familiale: Issu d'une famille de moldus, il est le seul sorcier d'entre les siens. Ses deux parents sont encore vivants et en de bon thermes avec White. Son frère ainé de trois ans vit en Ecosse avec sa femme et ses enfants, mais White et lui n'ont jamais réussi à vraiment se comprendre de l'un à l'autre. Veuf, il a perdu sa femme il y a vingt cinq ans, et ne s'en est jamais vraiment consolé. Donc veuf il est, et restera, pour le restant de ses jours, selon ses propres projets, mais qui sait ce que le destin peut lui réserver. Il a une fille de trente années dont il est parfaitement fier.Patronus: Il est bien l'unique sorcier de son âge à n'avoir encore jamais fait apparaitre son patronus ! Il ne sait donc pour l'instant pas la forme qu'il peut prendre. Miroir du Rised: Sa femme... Il abuse du nombre de fois où il se retrouve « par hasard » devant ce miroir. Sa femme est là, jeune, en bonne santé, elle rit ou époussette ses vêtements. Elle porte toujours cette robe qu'il lui a offerte pour le premier anniversaire qu'elle fêta en sa compagnie, cette robe blanche tapissée de motifs cerise, elle n'a pas perdu sa couleur. Leur fille est plus petite, et s'amuse avec le bas de la robe de sa mère. L'image change parfois. Epouvantard: Sa propre baguette, parmi bon nombre d'autres, se retournant contre lui. La magie lui fait encore peur aujourd'hui malgré qu'il ait fait quelques progrès en magie. Composition de la baguette magique: Bois de hêtre, avec en son cœur un crin de licorne, trente et un centimètres tout pile, et relativement souple. Elle a su trouver au fond de lui une certaine sagesse et une ouverture d'esprit tout aussi ample. Emploi: Professeur d'astronomie depuis 1962, White fait maintenant partie intégrante du mobilier de Poudlard. Il n'a jamais cherché à en partir depuis qu'il y est, et même s'il ne se sent pas très à l'aise en compagnie de sorciers trop démonstratifs de leur magie, il aime cet endroit, et se montre être un bon enseignant. Il peut parfois être immature avec ses classes, et ne pas voir le danger auquel il peut exposer ses élèves. Avant de devenir professeur, White a été engagé pour la rubrigue astrologie du magasine Sorciere Hebdo, bien qu'il n'ait aucune notion d'astrologie. Feindre était aisé cependant, il a toujours gardé ce demi emploi pour "le fun" !Animal de compagnie: Un poisson rouge, il l'a fait ensorcelé pour rallonger sa vie. Seul compagnon, Galactic lui est fidele depuis plus de cinq ans. | Caractère White est sans doute l'homme le plus minable qui soit lorsqu'il s'agit de relations humaines, il les rejette, il les admire en même temps, mais il en est à croire que jamais plus, il ne saura comment on aime véritablement, mais surtout, comment le montrer sans être blessant. De qualités à défauts, il reste un homme complet qui ne cache pas ses vices au monde. Parce que grand dieux qu'il en a des vices le bonhomme. Le pire est sans doute son sarcasme perpétuel... Il n'est pas toujours agréable de converser avec lui tant il en use. C'est aussi en quelque sorte, une arme d'auto-défense contre la douleur que pourrait lui infliger d'aimer. Alors il vexe, il blesse, et la plupart du temps il ne s'en rend pas compte, ou plutôt, il ne s'en rend jamais compte. Il ne fut pas toujours comme ça, autrefois, il était bienveillant et on le savait, mais maintenant, cet adjectif est difficile à lui être décerné. Orgueilleux, il est un véritable vantard au plus haut point, parce qu'il aime parler de son travail, de ses 'excursions', de ses exploits passés et présents, orgueilleux tout simplement, et ajouté au fait qu'il ne connaisse pas le sens de l'expression « avoir du tact », il n'en devient que plus désagréable aux yeux des autres, et surtout à ceux des inconnus. Mais à vrai dire, il se fiche un peu de ce que peuvent penser les gens. Il est un électron libre, et ne se reconnaît pas dans la masse. Les règles ne le régissent pas, il ne veut pas, ne peut pas, ne sait pas les suivre, il n'arrive pas à les accepter. Pour lui, les règles sont une invention de ses semblables, elles signifient qu'il faut se plier au bon vouloir de quelqu'un, et il se sent être un homme entièrement libre de toute contrainte. Alors il arrive, surtout professionnellement parlant, que l'on soit forcé de se séparer de lui, aussi talentueux, aussi doué soit-il. Évidemment, il a des limites, ses propres limites qui constituent ses propres règles. Aussi, c'est quelque chose que l'on peut voir très vite chez lui, White est perfectionniste. Tout doit être parfait, surtout dans les domaines qu'il chérit. Il accepte mal quand il rate ne serait ce qu'un dixième de ce qu'il fait. Il est plus exigeant envers lui-même qu'envers les autres, parce qu'il n'aime pas être moins bien que les autres. Oui, un brin vaniteux le bonhomme, il faut qu'il soit toujours le meilleur, et c'est souvent vexant. Pour bien continuer la liste des défauts, il faut noter à quel point monsieur Winhurry est têtu. Si une chose lui vient en tête, elle ne peut plus en sortir, piégée dans les méandres de sa mémoire. Il n'a aucune patience et voudrait tout avoir tout de suite. Mais quoi qu'il en soit, même si son but doit rester en suspend pendant des années par manque de choix, même si le chemin doit être parsemé d'embuches, il ne baisse pas les bras et se maintient au but qu'il veut atteindre. Puis il y a ce rejet constant de la part de magie qui vit en lui. Il a toujours détesté être un sorcier, et dès ses dix sept ans atteints, il a quitté Poudlard pour ne plus jamais remettre un pied dans cette vie magique. Ce n'est qu'il y a quelques années qu'il a renoué avec cette part de lui même, pour sa fille, pour lui même un peu aussi, alors qu'il était perdu et qu'il ne lui restait que ça. Encore aujourd'hui, il a tendance à nier être un sorcier, et défend corps et âme les droits des moldus.
A côté de cela, il subsiste tout de même chez lui quelques qualités qui demandent parfois que la surface soit grattée pour les retrouver. Il sait se montrer volontaire, il est d'ailleurs le premier à se proposer lorsque quelque chose de périlleux requiert sa présence, et quel que soit le domaine en question, il n'hésite pas à s'imposer et se salir les mains pour que les autres soient épargnés. Ne lui demandons pas d'être un as de la baguette, il ne connait que les sorts élémentaires, mais sait en faire bon usage tout de même. Il n'en a pas pleinement conscience, mais il aime les sorciers, et veut protéger toute vie quelque soit son origine. Oh, quand il s'agit de travail, il ne rechigne pas. Un bourreau de travail dira sa fille. Il passe son temps dans ce que l'on pourrait appeler 'boulot' qui pour lui est en fait un loisir. Le travail, c'est toute sa vie après sa fille, c'est ce qui l'a aidé à tenir le coup lors de ses passes dures, c'est ce qui lui a permit d'élever sa fille comme elle l'est, c'est ce qui prend le plus d'importance dans sa vie, juste après cette dernière et sa défunte femme. Bon, aujourd'hui, il n'est qu'un simple professeur, mais ses habitudes un peu trop aventureuses se rapprochent facilement à des explorations dignes de celles que pourraient faire des cartographes géographe. Le danger ne lui fait pas peur, au contraire, plus c'est dangereux, plus il est prêt à s'engager dans 'l'aventure'. Il pourrait d'ailleurs s'aventurer à emmener des élèves dans la foret interdite sans n'y voir aucun inconvénient... Certains disent qu'il est fou, parce qu'ils pensent qu'il n'a aucune conscience du danger, alors que tout simplement, il considère qu'il n'a rien à perdre aujourd'hui que sa fille est adulte, et surement plus à gagner à braver le danger. Et puis, White est un fin stratège, des plans, il estime ne pas en avoir besoin, il improvise toujours et semble savoir se sortir de bien des situations des plus dangereuses aux plus compliquées. En fait, il peut s'adapter à tout. Par seule fin stratégique, il peut devenir un très bon orateur et devenir aussi très convainquant. Mais bon, il est humain, et a déjà du à plusieurs reprises 'accepter' l'aide d'autrui bien qu'il déteste cela. Dans ce cas, il sait être reconnaissant. Quand on l'aide une fois, il considère qu'il a une dette envers cette personne. Il fait toujours en sorte de ne rien devoir à personne pour être tranquille avec lui même. Par ailleurs, quand il aime quelqu'un, il peut être très protecteur, mais ce n'est pas envers n'importe qui, il faut vraiment être proche de lui pour qu'il laisse vraiment ressortir son côté protecteur. Sa fille est celle qui doit le plus supporter les débordements presque possessifs de son père. Oh vous vous demanderez comment un homme de son âge peut-il se montrer performant dans une discipline qui pourrait recueillir de la force ? Cinquante huit ans lui ? Peut-être, mais il ne les a pas mentalement. En effet, il est toujours aussi vif et animé que lorsqu'il avait sa vingtaine, si ce n'est pas plus. Avant, il pouvait rester des heures entières assis, alors qu'à pressent, il ne pourrait pas rester aussi tranquille. Depuis qu'il est arrivé sur Poudlard, il n'a de cesse de vouloir explorer ce nouveau monde sans trop prendre en compte qu'il est entouré d'éléments magiques, il a besoin d'action dans sa vie, dans son quotidien.
Pour bien terminer, parlons peu mais parlons simple, White est un être distant, encore plus avec les femmes, du moins, les femmes de son âge. Il n'est pas un séducteur, il ne se trouve aucun charme et ne cherche pas à en savoir plus. Pour lui, son mariage n'a jamais été rompu au décès de sa femme, il est donc sans fin, il a gardé son alliance, et surtout, il lui reste beaucoup de choses de son ancienne vie, du moins, c'est ce qu'il s'est mit en tête. Non seulement le visage de sa fille lui rappelle la beauté exceptionnelle de sa femme, mais depuis qu'il est arrivé à Poudlard, son passé le rattrape, son cerveau lui joue des tours, et en scientifique qu'il est, il en est pourtant à penser que la science n'explique sans doute pas tout.. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Un patronus. Pour White, ce n'est rien de plus qu'un mot dénué de sens, il est incapable de s'étendre sur ce sujet. Il lui reste quelques vagues souvenirs de cette époque où, en tant qu'élève à Poudlard, son professeur faisait des pieds et des mains pour tenter de lui faire comprendre comment lancer le sort qui le ferait apparaître, mais il n'en obtenait qu'une boule brillante au bout de la baguette du jeune sorcier qui s'impatientant, la faisait aussitôt disparaître. Inutile donc de dire que White n'a jamais vu la forme de son patronus, et si auparavant il n'y voyait aucun inconvénient, depuis la bourde du ministère, il se sent plutôt mal à l'aise. Il est bien le seul sorcier en âge adulte, à Poudlard, à être incapable de faire le sortilège du patronum, il ne peut pas le négliger. Donc personne n'est au courant, il ne ment pas si on lui demande la forme de son patronus, il fait juste en sorte d'éviter la question, et jusqu'ici, personne n'est venu lui demander seulement s'il savait le créer non plus. Lorsque les patronus ont prit forme constante chez tous les jeunes sorciers, il fut soulagé que sa fille ne soit pas atteinte par le sort. Il voit tout cela d'un œil noir, et traitera aux oreilles de qui le voudra, le ministère d'incapables, des aurors jusqu'au ministre lui même ! | Pseudo et âge: Toujours le mêmes et 24 ans Où as-tu trouvé le forum ? J'y suis déjà Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Plusieurs, ,je lance les paris à qui trouvera c'est facile... Présence: 24/24 h 7/7j enfin peut-être pas quand même Une remarque ? C'est mon premier fo avec 4 perso c'est vraiment que je vous aime pour faire ça ! |
Dernière édition par White W. Winhurry le Ven 30 Oct - 18:38, édité 5 fois |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 0:40 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
GOOD MORNING AMERICA
L'Amérique, berceau de l'espoir, tant convoité chez les Winhurry, elle était là, sous les yeux enfin satisfaits du jeune White. Dix sept années qu'il entendait parler de ce pays capable de tout, dix sept années qu'il en avait le rêve d'y poser un jour le pied, et aujourd'hui que l'évènement était en train de se produire, il avait cette impression amère qu'il laissait derrière lui, des choses importantes qu'il ne retrouverait jamais ici, cette sensation qu'il servirait beaucoup plus dans sa campagne écossaise dans laquelle il aurait voulu grandir au lieu de ce château plein de sorcier, que ce paysage urbain américain, pour lequel il ne représentait qu'un point parmi tant d'autres. White avait quitté Poudlard dès l'échec de l'obtention de ses ASPICS, et il s'était promis de tirer un trait sur le monde magique pour lequel il ne portait pas grande affection. C'est tout juste s'il n'aurait pas jeté sa baguette, ce jour la rangée au fond de sa valise... A vrai dire, White ne s'est jamais senti chez lui à Poudlard ou parmi les autres sorciers, il était d'ailleurs certain qu'il n'avait aucun talent magique, il détestait sa maison autant que possible, et ne supportait aucunement ses camarades, il comptait les années qui le séparaient de la réalité (car pour lui la magie n'était pas concevable), au point qu'il en voulait à ses parents de l'avoir fait tel qu'il était... Bref, une vraie mascarade que tout ça à ses yeux, plus jamais se disait-il à l'époque ! L'Amérique donc. L'air y était plus étouffant à son avis, plus rare peut-être, mais selon ses parents, la vie lui serait facilité ici, et ils n'avaient pas tort. Une fois oublié cet épisode de sa vie, il voulait se recentrer sur des choses plus concrètes qui le mèneraient vraiment quelque part. Pourtant, changer tout ce qui représentait ses points de repères depuis sa naissance, une seconde fois, fut un coup dur, il était jeune, et à vrai dire, il ne savait pas encore vraiment quelles étaient ses vraies aspirations dans la vie, si ce n'était qu'il voulait travailler avec la vie. Déjà à cet âge, il avait des rêves de grandeur, des ambitions portées sur la planète, les astres, l'univers... L'astronomie à Poudlard était une matière qui l'avait marqué au plus haut point et pour laquelle il s'était montré exigeant envers lui-même. Aussi, il était soucieux des problèmes écologiques, dès l'instant où il eut la capacité de comprendre ces choses là. Sa mère a toujours su qu'il était un enfant exceptionnel, qu'il n'était et ne serait jamais comme son frère aîné.. Tandis que son frère avait peur des ombres des arbres qui reflétaient leur balancement sur son lit, lui voulait toujours avoir vue sur les étoiles avant de s'endormir, craignant qu'un jour elles ne puissent s'éteindre, que la vie dans l'espace se meure, que celle de la Terre ne suive, et en grandissant, cette peur ne l'a pas quitté une seule seconde. Jamais très optimiste, White passait tout de même ses journées, seul, à faire des plans pour sauver la nature, et peut-être même changer la vie sur la planète, un rêve d'enfant qui s'estompait au fil des années, qui prit fin lorsqu'il entra à Poudlard. Et pourtant, avec force et volonté, il réussit parmi ceux qu'il considérait vraiment comme les siens. Meilleur de sa promotion, meilleur tout simplement en fait, il n'avait pas eu les finances pour étudier au MIT comme il l'aurait voulu, mais il avait fait bonne impression sur beaucoup de monde lors de ses examens de fin d'année. Une classe avait été laissée de côté pour atteindre une marche plus haute, et le voilà qu'il devint un heureux diplômé, d'une école quelque peu modeste, certes, mais qui ventait ses connaissances et son talent aux organismes de renommée mondiale. Ce qui lui valut que les portes s'ouvrent à sa sortie de l'école, ce fut cette thèse innovante sur les univers parallèles , les multivers et la théorie des cordes, un raisonnement cheminé qui fit parler de lui au delà d'une simple école. Prit sous l'aile d'un scientifique américain, White apprit les joies de la liberté au travail, très mauvaise habitude qu'il n'avait pas besoin qu'on ne lui donne, et se révéla être un excellent astrophysicien, ce qui lui valut par la suite, d'être engagé à la NASA pour un poste mineur, rêve supérieur à presque tout autre, parce qu'enfin, il serait vraiment utile à la vie sur Terre et dans l'espace... mais non, rien de tout cela... il ne se sentait qu'être un pion que l'on pouvait mener à la baguette, un pantin sordide qui n'était là que pour obéir à des ordres fantasques dénués de sens. White aurait aimé partager son savoir à la population avant que ce ne soit officiel, il était l'ami du peuple en quelque sorte, mais ses décisions contraires à celles prises par ses supérieurs, lui valurent le licenciement, purement et simplement. Il ne regrette rien, encore aujourd'hui, il se dit que ce ne sont que des frustrés de la vie, qu'ils manquent de beaucoup de discernement pour prendre les bonnes décisions, que leur système n'est qu'un programme voué à l'échec... Finalement, bien que légèrement déçu d'être si déprécié malgré ses connaissances et son apport plus que certain à leurs affaires, White se focalisa sur sa famille. Souvent il eut quelques pensées pour la magie, l'utiliser pour sa propre personne, lancer quelques sortilèges pour retrouver son travail, mais en quoi lui aurait-elle été utile avec le peu de connaissances qu'il avait ? Et puis il avait complètement oublié ou se trouvait sa baguette !
Il n'avait heureusement pas laissé sa vie professionnelle piétiner sa vie personnelle... entre temps, il avait épousé Sambre McNeill, une journaliste. Rencontre envoûtante à laquelle même lui ne résista pas. Hypnotisé par son regard, il lui demanda sans s'en rendre compte, de lui faire l'honneur de l'accompagner à une conférence sur la fragilité constante des écosystèmes, chose qu'elle accepta... et les choses se firent d'elles-même étonnement de la part de White. Elle avait le privilège de passer avant son travail, de passer avant tout en fait, jusqu'à ce que naisse leur fille qui prit l'attention sur toute chose. Année 1951, Sambre fut atteinte d'un cancer, la maladie la plus moldue qui puisse exister, doucement, elle sombra, elle s’éteignait, son sort filait si vite entre les doigts des médecins, que White n'eut pas le temps de se préparer au pire. Il n'avait jamais été optimiste, mais pour sa femme, il voulait le meilleur, il s'attendait à périr avant elle, le plus tard possible, mais la vie en avait décidé autrement. Père au foyer, il réfugia son chagrin dans les premiers pas de sa fille, dans ses sourires, mais jamais il ne ressenti de peine aussi foudroyante que celle qui le frappa lorsqu'il apprit que sa femme était vraiment condamnée, qu'il n'y avait plus rien à faire mis à part la regarder mourir. Mais il y eut cette promesse, ce dernier acte d'amour qui demanda tant d'effort au Winhurry : celui de renouer avec ses origines, pour que sa fille n'en souffre pas, pour qu'elle ne soit pas aussi fermée et prise au dépourvu qu'il ne l'avait été lui, pour qu'elle comprenne les bases et ne déteste pas cette part de magie qui vit déjà en elle alors qu'elle n'est qu'une enfant. Sa femme connaissait tout des détails importants qui concernaient la magie, et elle l'avait cru immédiatement... Évidemment, il ne céda pas sur l'instant, pensant égoïstement à ses pires années, mais l'état de santé de Sambre semblait indiquer que sa vie ne se comptait plus qu'en journées, et en dernier souhait pour la femme qui demeurait dans son cœur, il exhaussa cette volonté profonde qui consistait à ce que lui et sa fille, reprennent le chemin vers ce qui était complètement inconnu à madame Winhurry qui elle était une vraie moldue.
COME BACK TO THIS NEW OLD WORLD
Dignement il avait contenu ses larmes alors qu'elle était mise en terre, parce qu'il savait que tout ce qu'il lui resterait de sa femme à présent, se limiterait à sa fille, quelques photographies, et surtout, les souvenirs à tout jamais gravés dans son cœur, qui constituaient les moments les plus chers de sa vie. Il ne s'inquiétait pas de ce retour prévu dans le monde sorcier, pour l'instant il n'en avait que faire, mais il n'oubliait pas cette promesse. Endeuilli, White laissa cette vie terne à présent parmi les moldus, et trouva une vieille maison à la frontière de Pré-au-Lard. C'était bien là le seul village sorcier qu'il connaisse, et il ne se sentait pas encore prêt pour l'exploration. L'arrivée dans le monde magique, il s'en souvient comme si c'était hier. Combien de fois contesta t-il les décisions des sorciers qui sortaient leur baguette à tout va pour des choses bien trop facile à faire simplement sans se prendre la tête de faire quelque sortilège que ce soit ! White avait beaucoup de mal à accepter de vivre entouré de magie, parce qu'il était un scientifique malgré le fait qu'il ne l'était plus professionnellement parlant. Ce changement radical de situation le pesait, il commençait à ne plus supporter beaucoup de monde, en réalité, trop de gens n'étaient pas compatibles avec la personne qu'il devenait peu à peu, il se renfermait sur lui-même et devenait de moins en moins loquace, il changeait quelque peu, mais en aucun cas avec sa fille. Plus elle grandissait, plus elle ressemblait à sa mère. Si les personnes le connaissant le dénigraient, ils savaient tous qu'il avait la meilleure qualité qui soit, c'était un père investit et aimant. Toute sa vie ne tournait qu'autour de sa fille, et si aujourd'hui elle partage sa place avec la science et sa redécouverte de la magie, sa fille reste toujours la plus privilégiée, et celle autour de qui tourne le petit monde de monsieur Winhurry. Le temps de trouver un emploi était arrivé, et c'est tout d'abord dans un salon de thé qu'il trouva une place, place qu'il ne garda pas plus de deux mois après excès d'autorité sur son employeur, et arrogance à perte de vue, et ce n'est pas l'unique emploi qu'il perdit de la même façon ! Il eu la brillante idée de se décerner astrologue et de se proposer aux journaux sorciers par lesquels il se trouva rejeté si ce n'est un. Le sorcier novice retrouva un peu de liberté alors que Sorcière-Hebdo l'avait nommé à la rubrique Horoscope, puis au fil du temps, à tout ce qui concernait l'astrologie, dont il se moquait éperdument, mais qui ramenait tout de même un peu d'argent à la maison. Puis sa fille grandit, et reçu cette fameuse lettre, il fallait qu'elle la reçoive un jour, il le savait, il était préparé. Il ne voulait pas la laisser partir, il ne pouvait tout simplement pas, il avait fait d'elle une princesse et il savait très bien qu'il y avait quelques sauvages parmi les élèves, il n'avait pas encore tout prévu! White revivait avec sa fille, sa première rentrée à Poudlard en parcourant le chemin de traverse. Ne sachant pas transplaner, il avait trouvé âme charitable qui les porte jusque là bas – étant donné qu'il avait trop peur d'utiliser de la poudre de cheminette. Il retrouva aussi sa baguette ce jour là, elle était comme, morte, asséchée de son pouvoir, et c'est à cet instant qu'il comprit vraiment que la magie faisait intégrante de sa personne. Dépité par le départ de sa fille, il s'occupa l'esprit en essayant sorts après sorts, encore et toujours, il avait tout oublié si ce n'était le wingardium leviosa. D'entrainement il usa et abusa jusqu'à y passer certaines de ses journées, mais monsieur Winhurry avait toujours cette attitude mensongère de feindre ne toujours pas supporter la magie devant les autres. Alors seul il essaie d'avancer, en compagnie d'autres sorciers, il dénigre la magie, la traitant de solution pour les faibles et d'arme destructrice. Malgré tout, parfois il se demandait s'il n'aurait pas du contrer la volonté de sa femme et demeurer parmi les moldus, pour laisser cette expédition aux plus téméraires. Mais chaque jour où ses yeux se posèrent sur l'être le plus précieux à son cœur, il savait que Sambre avait eu raison, il sait que là-bas, sa fille n'aurait pas pu devenir la femme qu'elle est aujourd'hui, et rien que de voir le sourire qui se dessine sur les lèvres de la jeune femme lorsqu'elle le regardait, il perdrait presque tout remord d'avoir abandonné le monde moldu. Donc l'anticipation de cette lettre de Poudlard qui arriverait pour sa fille, changea ses envies et ses projets, malheureusement, le poste qu'il convoitait à Poudlard était occupé, et l'idée de retrouver sa fille tout au long de l'année en habitant lui aussi le château, s'était envolée au cours de la lecture de cette lettre qui lui annonçait qu'ils retenaient tout de même sa candidature. Puis deux années plus tard, sans qu'il ne fasse sa demande, il fut convié à rejoindre le corps professoral. Malgré le fait qu'il ait prit plus d'importance au journal Sorcière-Hebdo, il accepta, enthousiaste et déterminé sans pour autant tourner le dos à son premier emploi. Plusieurs fois il subit les moqueries, et les sortilèges plus ou moins enfantins d'élèves qui connaissaient son appréhension envers la magie, mais il ne baissa pas les bras, et trouva toujours par lui-même le moyen pour que cela ne recommence pas, non pas toujours de façon conventionnelle, mais de la manière la plus efficace qu'il trouve. Oh, il retiendra de bons souvenirs quand à ses années en poste, beaucoup de bons souvenir, dont le plus marquant restera la toute première fois où il se rendit chez une famille de moldus pour les rassurer, et bien évidemment s'assurer que le jeune garçon puisse devenir élève à Poudlard. Il était encore dans sa période noire au niveau magie, et il n'était pas certain que le choisir lui pour cette tâche était bien sage, mais il le fit. Il arriva aux alentour de midi, il s'en souviendra parce qu'il n'y avait pas moins opportun qu'une heure pareille, mais il n'avait pas la notion du temps, il arrivait quand il arrivait, point, et s'imposer dans un mauvais moment ne le dérangeait pas le moins du monde de toute manière. De sa haute stature, il avait observé chacun des membres de la famille qui se trouvait sous ses yeux, laissant planer un certain air supérieur qu'il affichait à tous, pour finalement se décider à adresser un signe de sympathie à Ciceron, c'était pour lui qu'il était là. Il se souviendra de la réaction du paternel qui s'offusqua suite aux explications (teintées d'annotations sarcastiques) que leur avait donné le cinquantenaire à propos du monde de la magie. Se mettre à la place du jeune garçon n'était pas bien difficile et c'est la raison pour laquelle il se permit d'émettre cette phrase "La seule erreur est votre aveuglement !" Les minutes s'étaient fais longues et au fond de lui, il avait déjà un certain attachement envers ce futur poufsouffle dont il suit encore la carrière périlleuse pour son plus grand plaisir. Exemple que tous les nés moldus ne sont pas aussi entêtés que lui à rejeter leur nature sorcière. Depuis, c'est lui-même qui se porte parfois volontaire pour aller dépoussiérer quelques parents moldus ! Et c'est ainsi qu'il tint son poste durant dix sept longues années que lui même ne vit pas défiler sous ses yeux. Avait-il finalement trouvé sa place entre les murs de Poudlard ? La question se posait encore, il lui arrivait parfois de vouloir plier bagage et retourner avec les gens qu'il avait côtoyé tout sa jeunesse, mais il se sentait tout de même chez lui malgré le fait que sa place n'était pas forcément encore toute trouvé parmi les sorciers. Malgré sa peur de la magie, il fait l'effort de vouloir progresser, malgré le fait qu'il n'aime toujours que très peu se servir de sa baguette de façon inutile, il met à bien les leçons particulières qui lui sont données. Pour White, la vie pourrait donc être un long fleuve tranquille, mais il arrive que ce ne soit pas le cas. Depuis quelques mois, il est persuadé d'avoir aperçu la silhouette de sa femme à la lisière de la forêt interdite. L'ombre de Sambre n'était apparu qu'une et une seule fois, le laissant dans ce doute qui le hanta pendant bien longtemps, mais elle n'était plus, et il était impossible que ce fut elle qu'il ait vu ce jour là. Il s'en convainc du moins jusqu'il y a quelques semaines. Au loin, elle se tenait encore debout face à lui, et il jurerait que c'était lui et lui seul qu'elle regardait. Seulement quelques mètres les séparaient, mais pas assez pour que sa vue ne soit troublée. Cette fois, il en était sur et certain, il restait quelque chose de sa femme, et c'est après ça qu'aujourd'hui, il court. De plus en plus intrépide à tout danger, délaissant de plus en plus les problèmes qui rythment ce monde,White court après son passé, ou peut-être est-ce son passé qui le poursuit, mais une chose est sure. Jamais il n'a pu remplacer sa femme dans son cœur, jamais il n'a pu ôter l'alliance qui les a officiellement uni, et bien qu'il ait connu d'autres femmes, de courte durée, jamais aucune n'a compté si ce n'est elle. Hallucination, fantôme, élève, ou créature de la forêt, White ne pourrait dire quelle solution se porte à ce qu'il voit, la seule chose à laquelle il pense, c'est cette chance qu'il voudrait saisir, de reconstruire sa vie avec celle qu'il aimera éternellement, et pour cela, il n'hésite pas à mettre son emploi en danger, il fait d'énormes frayeurs à sa fille en disparaissant parfois quelques jours, et se vend en pâture à la faune magique, car il est prêt à tout. Qu'est ce qui pourra le ramener un jour à la raison ? Sa femme, sa fille, la science voire même peut-être la magie... ou allez savoir, seul l'avenir est capable d'en juger.
Dernière édition par White W. Winhurry le Lun 2 Nov - 2:37, édité 5 fois |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 0:46 ( #) | PREUMMMMMMS. (J'editerais plus tard papy) |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Guest, Mer 28 Oct - 1:05 ( #) | Triple W Club des triples lettres Né-moldu et Christopher T'as de bon goût comme toujours Rebienvenue chez toi |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 8:16 ( #) | Bébé papyyyyyyyyyyyyy Tu sais ce que j'en pense, tu le SAIS |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 8:25 ( #) | Rebienvenuuue J'ai hâte de voir ce perso du coup Bon courage pour ta fiche |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 9:03 ( #) | Mouahahahaha ! Il a trop la classe j'viens même te dire bonjour avec Cicé ! Bon couraaaaaage |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Nam So Hyun, Mer 28 Oct - 9:32 ( #) | Rebienvenue |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 12:57 ( #) | WHITE Tu l'as faiiiit Et dit donc, tu fais exprès pour battre mon doyen c'est ça? Bah pour la peine: lien obligatoire puisque tu seras plus vieux qu'Adèle Content de revoir ce bon vieux papy, et hâte de voir ce que tu vas en faire! (astronomie, faut que je vérifie mais c'est l'une des matière, je crois , où Adèle avait eu un Optimal aux aspics hihi) |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 13:43 ( #) | |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 14:07 ( #) | Rebiiiienvenue White Walker, ca fait [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], merci, culture populaire |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 14:45 ( #) | Whiiiiiite omg ça fait trop plaisir de le revoir ici Re bienvenue |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 17:38 ( #) | Re bienvenue ! |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 20:15 ( #) | DARK RIVOU : J'attends ton éditage alors Vieux loup Mais tu marques un bon point avec ton preums BONNIE : La où le triple B prend tout son sens pour vous charmante demoiselle, c'est qu'il prend l'initiale de la beauté Merci ma belle RAAYON : Je saaaaaais parce que j'ai un côté télépathe aussi Merci MEGAN : En espérant te ravir (avec un adulte c'est possible d'avoir la chanson du choixpeau ) CICERON : Merci C'est un honneur CYTHERE : Merci Cythou ADELE : Je n'oserais pas Forcément je te réserve un lien (et pas de beaucoup hein ) En plus forcément, on aura un lien de badass Merci merci merci L'astronomie c'est la vie HAILYNN : Merci chooooute Je vous y attendrez jeune élève LUXY : Je connaissais pas Attention alors (Il est beau White sur la photo ) Merci BLOOM : Je suis contente que l'idée de la reprise te plaise Merci MADI : Merciiiii ma jolie
Dernière édition par White W. Winhurry le Mer 28 Oct - 20:32, édité 1 fois |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Invité, Mer 28 Oct - 20:29 ( #) | C'est génial ! Je le redis mais tellement bon choix d'avatar !!! Christopher ! Et les prénoms j'aime beaucoup ! J'ai vraiment hâte de découvrir ce perso qui à l'air et au possible ! Re bienvenue en tout cas papy gâteau ! |
| | Re: White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks »par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | White • « Old-fashioned heroes only exist in old-fashioned storybooks » | |
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