BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
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équilibre des groupes
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| Sören Swensson - Hello from the outside | | | Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 20:56 ( #) | Sören Lukas Swensson ft. Martin Wallström Sang Mêlé 22 ans célibataire Orientation sexuelle: désespéré 5ème année - Médecine Magique Patronus: Paresseux/Fennec Pro Ordre crédit images | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Swensson Prénom: Sören, Lukas Âge et Date de Naissance: 22 ans, 15 juin 1959 Nature du sang: Sang Mêlé Situation familiale: Sören avait d'excellentes relations avec ses parents, avant que ceux ci ne fassent la rencontre percutante dun pare choc d'un camion venant en sens inverse. Pour cette raison, et parce que personne d'autre ne voulait de lui dans sa famille, il a été élevé par sa grand mère de laquelle il est resté très proche. Patronus: Paresseux/Fennec Miroir du Rised: Contrairement à toutes les Miss France qui le disent sans le penser: la paix dans le monde Epouvantard:Une pièce silencieuse et mal éclairée par un feu de cheminée à bout de souffle. Au centre, un vieux fauteuil où repose une silhouette recroquevillée, seule. De rares cheveux d'un blond scandinave ornent encore son crâne au centre duquel deux billes bleuâtres fixent le vide. A l'intérieur, toujours plus de vide. Il est seul, désespérément seul, et ça le tue à petit feu. Composition de la baguette magique: Crin de licorne, Bois de Peuplier, 27 cm Etudes Suivies: Sören poursuit actuellement sa cinquième année en Médecine Magique, spécialisation Psychomagie. A vrai dire, il s'y était inscrit par erreur en cochant la mauvaise case au début de sa huitième année, souhaitant à l'origine se spécialiser en confection de potions. Les interactions sociales étant beaucoup plus rares avec un scarabée mort ou une mandragore, il pensait ainsi faire un cadeau au monde, mais avant tout à ses camarades qui le supportent déjà depuis 7 années pour la plupart. Mais parce qu'on ne peut fuir pour toujours, a fortiori parce qu'il ne peut se fuir lui même (même en courant très vite, il a essayé), il s'est dit que ce ne serait peut être pas si mal de se confronter à ses peurs. Peut être même qu'il règlerait ses propres problèmes. Animal de compagnie: Son patronus lui prend déjà beaucoup trop de temps et d'énergie | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Caractère « Bercé trop près du mur », « On l’aime bien au village » sans oublier le fameux « Fini à la p*sse », autant de qualificatifs qui le mettent tout à fait à son avantage. Parce que des générations de consanguinité ne font jamais de miracle, même quand grand maman a la bonne idée d’apporter un peu de mixité, il est, à bien des égards, le type bizarre. Celui à côté duquel on s’assoit pas trop en classe, des fois que la loose serait contagieuse. En réalité, le problème n’est pas qu’il est bête. C’est tout simplement qu’il a l’air de l’être, ce qui est peut être pire puisqu’il s’en rend parfois compte.
Heureusement pour lui, c’est quand même rarement le cas.
Ce qu’il avait été facile et confortable au début, de se cacher derrière sa langue maternelle. Pour dissimuler le léger chuintement de sa diction, pour cacher ses incompréhensions. Des autres, il ne comprend pas souvent le sarcasme, ni l’humour noir. Des autres, il ne perçoit pas les signaux. De moquerie, lorsqu’une de ses réponses tombe à côté de la plaque ou qu’il rit en cœur avec les autres de lui même. Ou même d’ennui, lorsqu’il lui arrive de monologuer une bonne vingtaine de minutes sur sa dernière passion farfelue en date sans se rendre compte du côté égocentrique de la conversation. Aussitôt, ses lèvres se scellent, sa voix finissant par mourir dans un silence embarrassant, ce même silence qu'il essaye désespérément d'éviter par ses monologues nerveusement débités. Etre un gentil garçon, se rendre invisible, ça il sait faire à la perfection.
Il est le bitume qui s’écrase sous le rouleau compresseur de la méchanceté humaine
Il est aussi celui qui rit un peu trop fort, trop longtemps. Celui qui rit quand il ne le faut pas vraiment non plus (et qu’on regarde franchement de travers parce que rire à un enterrement, c’est pas du meilleur effet). Celui qui donnait tous ses gâteaux aux « copains » à l’école, juste pour avoir le droit de les appeler ainsi. Celui qui faisait leurs devoirs aussi, parce que chaque chose qu’il lit, il la retient alors forcément s’il peut faire quelque chose pour ses chers amis. Celui qui sanglote, et pleure trop souvent « pour un garçon ». Celui qui s’envoie plus de pots de glace devant un téléfilm de Noël qu'une ménagère de moins de 50 ans après un rateau. Celui qui aime un peu trop les gens (à en devenir embarrassant), ou qui les déteste complètement au point de trembler à leur approche. Chez lui, il n’y a pas de demi-mesures et ses colères seraient dévastatrices, s’il n’avait pas une âme si tendre.
Alors non, il ne cessera jamais d’ouvrir les bras à ceux qui l’enfoncent toujours plus bas. Parce qu'aimer les gens, c'est tout ce qu'il sait faire. Les aider, comme on ne l'a jamais aidé à comprendre le monde, c'est tout ce qu'il souhaite faire. Et si cela fait de lui un idiot, et bien…il n’a pas trop le choix. Alors il se taira
Jusqu’au jour où il ne se taira plus.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Au début ça n’avait été qu’un mot, un murmure susurré au coin du feu de sa salle commune. Un mot en suédois qui plus est, qui le fit presque se retourner en sursaut pour constater que sa plus fidèle amie, la solitude, était sa seule compagne ce soir là.
Il n’y avait pas vraiment prêté attention.
Puis un autre, en pleine nuit. Et un autre, au réveil. Le tout, formant une phrase, que son interlocuteur visiblement imaginaire n’était pas franchement pressé de livrer vu la lenteur de la transmission. Pas très intéressante d’ailleurs, puisque la personne –la chose ?- invisible se contentait de livrer son nom. Lars. Un prénom bien de chez lui qui n’était pas franchement courant entre ces 4…multiples murs mouvants.
Il avait fallu des jours. Presque des mois avant qu’il ne se montre comme les autres. Tous les autres qui se baladaient déjà avec leurs doubles fluorescents ou bien de chair et de sang. Et, comme chaque chose dans sa vie, cette surprise avait été évidemment décevante. Un paresseux. Qui était sensé refléter sa nature profonde, d’après les rumeurs. Lui qui n’avait déjà pas la côte vit la sienne plonger dans le négatif, avec le peu d’amour propre qui lui restait jusque là. Alors, comme d’autres avec lui, il s’était mis à le fuir. Et, pour ne pas se vanter, il avait réussit un temps, ce qui n’était somme toute pas si dur face à un animal d’une telle vélocité. Mais tout cela, c’était sans compter les petits cris d’agonie déchirants que semblait pousser la bête lorsqu’elle était trop loin de lui, réduisant à néant sa volonté de lui échapper.
La …chose avait donc pris ses aises. Grimpant souvent sur son dos comme un espèce de sac à dos assez laid, il passait le plus clair de son temps à somnoler, lorsqu’il n’était pas occupé à essayer de communiquer avec lui, ce qui lui prenait au moins…8 h de sa journée. Au final, ils avaient finit par s’habituer l’un à l’autre car à part son côté spatialement envahissant, Lars était somme toute de bonne compagnie. Et puis, ils allaient à peu près au même rythme biologique alors…
Enfin ça. Ca, c’était avant qu’il ne lui révèle son autre forme, bien plus énergique. Pour ne pas dire, perfusée à l’ecsta. Le fennec. Animal qui évidemment attira au passage quelques bonnes réflexions hautement intellectuelles sur une éventuelle odeur corporelle dérangeante (ce qui, bien entendu, n’était pas le cas vu le temps astronomique qu’il passe sous une douche). C’est alors qu’il se mit à regretter amèrement la lenteur de Lars sous son autre forme car il fallait le dire, maitriser une petite bête bondissante et surexcitée quand on est naturellement lent n’était pas franchement une partie de plaisir. Depuis, pas une minute ne passe sans qu’il ne doive aller sauver la bête d’une fâcheuse posture, souvent suspendue entre la vie et la mort au bout d’un quelconque précipice.
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Pseudo et âge: Lsine, 24 ans Où as-tu trouvé le forum ? Via quelqu'unPersonnage: Inventé ?As-tu un autre compte sur BP ? NonPrésence: 5/7Une remarque ? J'aime bien les couleurs d'ici |
Dernière édition par Sören Swensson le Mer 9 Déc - 15:06, édité 16 fois |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 20:56 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times - Mais pousse toi !
Un grognement suivi d’un autre, poussé avec si peu de conviction que la chose tomba à terre, laissant enfin le champ libre à l’énorme valise qui ne tarda pas à s’écraser en un grand fracas sur le lit. Derrière, une tête blonde au visage rendu cramoisie par l’effort s’essuya le front en lançant un regard vaguement courroucé au paresseux qui n’avait toujours pas bougé de son point de chute.
Cet animal était décidément, en plus d’être agaçant, profondément inutile. Et terriblement attendrissant, à voir le regard d’un calme olympien que son attachant patronus lui renvoya malgré tout. Soit ça, soit il n’avait toujours pas réalisé qu’il n’était plus sur le lit, mais bien écrasé sur le plancher.
Avec un soupir, la silhouette se laissa tomber sans aucune grâce sur son matelas qu’il côtoyait presque depuis…11 années maintenant. Une vague de désespoir s’abattit sur lui à cette pensée alors qu’il se retournait paresseusement sur le côté, incapable de se décider à sortir les affaires de sa valise pour les ranger. De toute manière, le rangement c’était surfait. Il trouvait bien mieux ses affaires lorsqu’elles étaient en forme de montagne, c’était plus feng-shui.
Sa sacoche en vieux cuir élimé qui dégueulait ses affaires sur son lit, ça c’était Feng-Shui. Ca c’était zen. En en suivant les bords râpés des yeux, le coin corné d’une photo attrapa son regard et un vague sourire ourla le coin de ses lèvres alors qu’il la reconnaissait. Une banale photo de famille d’une famille tout aussi banale à ceci près que les personnages bougeaient. Un homme et une femme blonds, les yeux clairs et se détachant à peine sur le fond pâle d’une plage recouverte de neige au nord du Danemark. A leurs pieds, un gosse qui tendait vainement les bras pour atteindre le confort des bras de son père alors que celui ci le couvait d’un regard bienveillant.
La piqûre douce-amère de nostalgie qui lui faisait autant de bien que de mal.
Fermant les yeux, il écouta les bruits du château fourmillant de nouveau d’activité après de longues vacances d’été qui avaient laissés les murs et l’air gorgés de soleil. Le ronronnement des valises plus ou moins trainées sur le sol, des bruits de pas réguliers et des murmures empressés eurent raison des miettes de sa vivacité. Sa respiration se fit naturellement plus lente et posée alors qu’aux pieds du lit, Lars tentait toujours d’en atteindre le bord pour s’y hisser.
* * *
- Fils de p….
Ainsi s’était achevée la vie du bien aimé Johan Swensson, comme un ultime doigt levé face à cette famille de coincés qui ne l’avait jamais apprécié. Autour, quelques silhouettes effondrées, mais surtout d’autres, beaucoup plus nombreuses, affichaient un air soulagé.
- Quel être exquis
Ultime pique contre un homme à terre, un tir inutile contre une ambulance qui avait déjà rejoint le fossé pour le plus grand plaisir d’une partie de l’assemblée. Car cet homme, au visage si paisible et affable, avait été pendant des années la clé de voûte d’une guerre familiale sans répit. La pièce rapportée qui animait toutes les discussions en soirée. Parce qu’il était lui, parce qu’il était différent, et surtout, ô sacrilège, parce qu’il était né moldu. Ce qui, dans cette famille très ancienne de Sang-Purs suédoise, faisait pour le moins tâche dans l’arbre généalogique. Un peu comme lui, qui n’y figurait pas non plus.
Premier Sang Mêlé depuis des siècles, rendez vous compte.
Cette position précaire, plus communément appelée « le cul entre deux chaises », il ne l’a plus jamais quittée. Ressemblant aux autres, mais pas tout à fait comme eux.
Sa grand mère avait alors posé ses mains sur ses épaules. La pièce était désormais vide depuis des heures alors que ses parents venaient de se suivre à quelques minutes d’intervalle dans la mort. Morts dans un accident de voiture, un accident si …banalement moldu. Comme les parents de Batman. D’ailleurs, c’est ce que lui avait dit sa grand mère, celle qui l’élèverait ensuite toute sa vie jusqu’à sa majorité. Un batman certes sans parents, mais ni classieux, pas vraiment justicier, et encore moins riche.
Du moins jusqu’à ce qu’un heureux coup de fil d’une société d’assurances bien moldue ne l’informe qu’il était le titulaire d’une assurance vie d’un montant faramineux. Ce qui changea, à de nombreux égards, considérablement la donne. Les ricanements se muèrent en flatteries mielleuses et obséquieuses tandis que, soudainement, toute sa famille issue d'une aristocratie ruinée prenait un plaisir fou à venir à chacun de ses anniversaires, qu’ils avaient pourtant soigneusement évités jusque là. Chaque occasion, chaque fête enfantine fut littéralement transformée en débauche de présents et de gâteries dont il n’aurait jamais rêvé auparavant.
Un sourire naïf s’étirait alors sur ses lèvres alors qu’il remerciait consciencieusement chacun d’entre eux en s’efforçant de retenir les noms et les titres désuets qui les accompagnaient comme le lui avait appris sa grand mère, qui n’était elle, pas vraiment dupe. Raison pour laquelle elle avait finit par prendre son petit fils sous le bras et l'emmener en Angleterre, terre d'une partie éloignée de sa famille, loin de cet entourage pour le moins toxique.
Là comme en Suède, les mauvaises habitudes héritées des Swensson reprirent le dessus et, comme n'importe quel enfant, il voulait le meilleur pour sa grand mère. Le meilleur quartier, la plus grande maison, la plus jolie vue. Comment dire non à cet enfant qui ne voulait que son bonheur?
Bientôt, cette soudaine popularité s’étendit également à tous ses camarades de classe ravis de voir débarquer cet étranger à l'accent exotique avec sa piscine et ses chateaux gonflables géants. Peu nombreux auparavant –quoique toujours plus que maintenant-, les mères de grandes familles pressaient leurs marmailles entre les grilles travaillées de leur petit domaine qui fleuraient bon la livre sterling. Maison qui avait été, au fil des années, enlaidie par des ajouts que la famille plébiscitait pour leur propre confort, lorsqu'ils insistaient pour revoir leur cher petit neveu/cousin. De toute façon, peu importe le lien de parenté qui les liait à lui, puisque cet idiot était toujours ravi de les recevoir. Piscine chauffée, sauna, tout y était passé. Ce qui n’était pas pour déplaire à ses « nouveaux amis » qui l’appréciaient encore davantage pour sa salle de jeu avec un home cinéma que pour ses passions bizarres.
En même temps, quelle idée de collectionner des miniatures de Hotchkiss, voitures françaises des années 50 ? Ne pouvait il pas aimer jouer à la guerre comme les autres ?
Visiblement non. Ce qui ne l’empêcha donc pas de passer une enfance, puis une adolescence très entourée puisqu’il s’était bâti une assez solide réputation de fêtard. Des réceptions bien évidemment organisées dans sa toute nouvelle maison flambant neuve par d’autres que lui, Sören ne se contentant que de s’émerveiller benoitement de la présence de tous ces gens qu’il croyait être ses amis. La plupart du temps, il restait juste calmement assis sur une banquette, à regarder curieusement les gens rire et s’amuser. Parce que c’était le plus important, même s’il ne comprenait ni leurs blagues, ni leurs codes. Les gens étaient heureux, et c'était un peu grâce à lui.
Avec les années, le vernis de l’hypocrisie finit cependant, une fois de plus par s’écailler. Les moqueries plus acides n’étaient plus vraiment plaisanterie et la villa Swensson finit par fermer ses portes, comme lui celles de son cœur. * * * Quelques coups sur la porte l’extirpèrent de ce sommeil où résonnait encore quelques notes d’une musique oubliée. Les yeux encore voilés de fatigue n’aperçurent qu’une silhouette vague à la porte. Fine, les cheveux mi longs bruns foncés, cela fut suffisant pour lui arracher un sourire sincère alors qu’il sautait hors de son lit pour aller la retrouver. Elle, qui avait partagé tant de ses heures esseulé sur un banc, était l’une des seules à réveiller en lui cette bonhomie et cette joie enfantine qu’il dissimulait aux autres par crante.
La silhouette eut l’ombre ténu d’un sourire alors qu’elle tournait les talons en une silencieuse invitation.
Invitation qu’il s’empressa d’accepter.
Dernière édition par Sören Swensson le Mer 9 Déc - 15:33, édité 7 fois |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 21:02 ( #) | Martin est tellement beau Biencenue |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 21:02 ( #) | Bienvenue parmi nous J'aime beaucoup le patronyme Amuse toi bien pour ta fiche |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 21:16 ( #) | J'aime beaucoup ton pseudo aussi Où as-tu trouvé le forum ? Via quelqu'un Faut balancer qu'on félicite Bon courage pour ta fiche en tout cas |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 21:20 ( #) | Hello, it is me you're looking for? Bienvenue officiellement, mate Megan> je me dénonce pour le "quelqu'un" |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 21:51 ( #) | ce prénom martin wallström mr robot bienvenue |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 22:07 ( #) | Merci pour votre accueil Ma fiche risque de prendre...un peu de temps, vu comme je la casse à chaque fois que j'écris un truc 8D *pointe Khira du doigt* I BLAME HERRRR |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 22:16 ( #) | Bienvenuuuuuue J'ai très très hâte de voir ce que ça va donner et je réserve un lien d'avance si Khira t'aime, je t'aime Par contre je voudrais pas m'avancer mais je crois que le renard est pris tu as regardé dans le bottin ? |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 22:22 ( #) | AVEC PLAIZIR! Ah non. My bad, je vais aller voir ça de suite xDD *enchaine les bourdes like a boss* |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 22:47 ( #) | OMG je meurs Martiiiiiiiiiin *mode fan off* Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Jeu 3 Déc - 23:26 ( #) | Bienvenue J'aime beaucoup ton prénom |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Ven 4 Déc - 1:44 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Ven 4 Déc - 5:13 ( #) | Bienvenue |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Invité, Ven 4 Déc - 9:58 ( #) | Bienvenue Quel choix de prénom |
| | Re: Sören Swensson - Hello from the outsidepar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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