BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:23 ( #) | Andreas Cornelius Charles Litz ft. Dane Dehaan Sang-mêlé 21 ans Célibataire Pansexuel Offensive Magique Spécialité Sortilège Rouge-gorge/Phyllobates Terribilis Pro-Ordre crédit images | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Litz. Précairement Litz. Triste Sire Litz. Jusque-là l’essence des Litz demeurait inhérente à un infini état de précarité, ils n’en demeuraient pas moins glorifiés par cette généalogie dans laquelle soit disant furent comptés quelques grands noms. Actuellement la famille Litz sert les Nott depuis 1788, s’ils virent jadis dans la domesticité une meilleure condition que celle qui était la leur, cela n’est plus qu’une horripilante plaie pour les plus belliqueux d’entre eux. La plupart des dissidents de cette famille se voient ainsi réduit à la marginalité retournant à leur ressource inexistante et devant se débrouiller par eux-mêmes.Prénom: Andreas Cornelius Charles, simplistes voir clairement empreint d’une certaine aura traditionnelle commune, ces quelques futiles appellations qui sont siennes n’ont guère les lauriers d’un sulfureux exotisme et pas même ceux ternes d’un attrait ne serait-ce que vague ..Cela est au prime abord presque navrant et le devient parfaitement avec une indéniable plénitude lorsque ce dernier déblatère faussement indifférent avec quel probable détachement cette flopée quelconque de dénominatif fut élu parmi tant d’autres. Comme si au creux de l’étreinte éphémère de ce sentiment novateur qu’était de côtoyer l’infinie valse de la vie via une naissance fructueuse l’accoucheuse s’était soudainement lassée. Frappée d’une foudre morose en déblatérant ainsi telle une morne litanie les appellations de ses chérubins bien portant. Âge et Date de Naissance:21 oblongues années fastidieuses, laborieuses, infâmes souillées d’une horripilante lutte frondeuse pour une maigrelette survie. Naquît le six juillet 1960, le sorcier s’avère fils de l’été et que cela lui sied piètrement au teint ! Au sens propre … Nature du sang: Sang-Mêlé. Issu d’une lignée à laquelle on compta quelques grands noms dont la postérité fut définitivement émaillée à l’aube de l’année 1788. Situation familiale: Le sorcier n'a jamais véritablement eu l'épanchement de la cohésion familiale et cela ne cesse de croître à mesure que le temps s'écoule et qu'avec les années passe. Tel une abjecte cohorte de prémices sa paternité demeure encore actuellement d'une absolue et saisissante vacuité. Tel un orphelin de père, ce dernier ne fut oncques évoqué, pas même effleuré dans les dires de ceux qui composaient de près ou de loin ce que l'on nomme parfois utopiquement son cercle familial. Si bien qu'à défaut de repère paternel ne serait-ce que stable ou même vaguement acceptable, il ne sût que déprécier par pléthore ces hommes peu regardant qui foulait le seuil du bordel londonien où il vécut jadis avec sa tante Ostende. Singulière présence aimante et atypique à ses côtés, elle fut et demeure encore une de ces allégories qui viennent rythmer l'enfance et fonder les bases de l'adulte. Quant à sa défunte mère cracmolle, Andreas ne la côtoya que deux ans tout au plus avant qu'elle ne succombe à une de ces maladies qui couraient si fréquemment le pays des "petits gens". En dépit de cela, le jeune homme possède un jumeau dont il fut séparé aux primes pulsations de sa vie. Une vague existence abstraite que sa tante évoquait en quelques suppositions éparses, celle-ci les semaient au grès de ses dires constamment pétris de mesure arborant une mine quasi contrite à cette simpliste évocation. Il ne rencontra qu'à celui-ci à son arrivée à Poudlard.Patronus: Un agité rouge- gorge qui prend également les traits d’une nocive Phyllobates terribilis (aussi nommée grenouille à dard) nommé Ego Miroir du Rised:Probablement que nul ne saurait véritablement émettre d'hypothèse viable quant à cette hypothétique reflet que le Litz saisirait en cet ancestral vieillerie. Lorsque l'on a connaissance de son tic obsessionnel compulsif lié à son ample vénalité découlant de l'effroi du manque, on pourrait se targuer d'être sur une voie clairement indicatrice. A cela faudrait-il encore fureter son goût de la collection émérite corolaire probable de sa pathologie et une certaine curiosité pour les mystiques. Ainsi vous seriez probablement à proximité de ses plus intimes desseins pétris par ses méandres énigmatiques. Le reflet du Risèd n'est que l'allégorie d'une spacieuse pièce lugubre aux travers grisâtre, aux volutes anguleuses de jais dont perle quelques gouttelettes humides … un coffre-fort de Gringotts dont l'antre avide renfermerait moult objet de légende divers autant de valeur que de pacotille qu'il aurait par des voyages nombreux amassait à lui seul. Epouvantard: Un sombral, autant pour sa symbolique ancestral que pour ses os cagneux noirâtre qui le compose et lui confèrent cet aspect spectral qu'il haït tant. Andreas Litz, familier des misères les plus odieuses ne s'est toujours illustré que tel un belliqueux agitateur, frondeur poing tendu rageur aux cieux des tumultes, il demeure intimement horrifié à la perception du trépas. Téméraire rebut obnubilé par une survie au goût de péril, l'inéluctable fin ? Il la relaye acquise aux horizons lointaines du temps qui passe. Hors qu'est-ce que le sombral si ce n'est guère le spectacle de cet éphémère instant entre vie et trépas ? Composition de la baguette magique: Incurvée vers le bas comme lorgnant avec dépit le sol crasseux de ce biotope abjecte, cette choyée être boisée de 29,9 centimètres se composent de bois de frêne et d'un crin de licorne. Cette composition ne saurait laissé de marbre un érudit en la matière, effectivement bois du parfait buté allié au courage alloué ? Ne serait-ce guère le reflet de la témérité du sorcier et de son opiniâtreté à bien des égards excessives ? Etudes suivies: Initialement le jeune sorcier s'était spontanément orienté vers le cursus commerce magique. Cultivant l'attrait lascif quoique purement fantasmagorique d'un jour tenir un commerce d'antiquaire il lui semblait propice de ne s'immerger ne serait-ce qu'à moitié dans cette vocation outrepassé par son serment aux Nott. Cependant, n'étant guère dupe et après avoir pris connaissance des quelques enseignements dispensés dans ce cursus, il ne s'y engagea guère sachant ses bases trop fragiles et possédant des difficultés dans la plupart de celle-ci. Ainsi il s'orienta vers des études plus pratiques, telle que l'offensive magique notamment pourvu de la spécialité sortilège poussé.
Animal de compagnie: Un rat replet grisâtre à la démarche chaloupée nommée « Nott ». | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Caractère De prime abord il serait le comble abject de l’absurdité de nier une telle évidence. Aussi âpre soit-elle, celle-ci n’en demeure pas moins véritable, Andreas est une odieuse teigne. Pétris d’une certaine agressivité qui embaume d’une abstraite aigreur l’aura du sorcier, nulles prunelles céruléennes ne sauraient se hisser à celles bavant d’une désillusion morose d’Andreas. Incisives et d’une dureté irrémédiable ses iris à défaut d’altruisme se complaisent dans ces bribes grondant d’une amertume susurrée tel un infâme leitmotiv à son être tant qualifié d’essence « méchante ». Une ample futilité réside en cette affirmative émaillée de par son existence infondée et ainsi profondément faussée, certes le sorcier n’est guère d’approche aisée et même d’une nature frondeuse haïssable. Néanmoins ce manichéisme ne saurait l’étayer d’une quelconque justesse bien que coïncidant fatalement avec un immuable ton tranchant voir cassant aliénant parfois ses dires les rendant abruptes, cagneux à l’assimilation malaisée pour autrui. Il faut lui reconnaitre ce blâme, le sang-mêlé est empreint d’une certaine brutalité qui vient clairement briser sans nulle tergiversions sa silhouette aux travers opalins dont s'échappe une affres suintante d’une délicatesse agonisante à la perception de ses prunelles, mais qui ne semble que reluire de concorde effarante avec ses éparses plaies dispensées par la vie même. Lorsque l’on considère ce sorcier c’est un travers primordial, l’âpre existence qui s’avéra sienne dès ses infortunées prémices vitales ne peut guère être brimé, tût.
C’est probablement parce qu’il fut promptement écorché à vif se connotant d’une tristesse terne, morose, latente, que dans ses torpeurs il excelle d’une méfiance avide. Telle une infâme toile de fond les intrigues qu’on lui soumet en demeure tapies. Blessé voir inconsciemment apeuré par ce biotope ardu et surtout peu désireux qu’on ne lui assigne pas le rôle de l’éventré, il s’est ainsi paré d’un acariâtre , une carapace. Un ample fossé, un effroyable gouffre agité d’une noirceur intense venant puiser jusque dans les veines de ses torpeurs les plus anguleuses et profondes le rendant solitaire voir pour certain estompé jusqu’à ce que ces ingénus se heurtent à sa présence omise jusque-là avec effrois puisque jamais aimable, toujours renfrogné…Andreas s’apparente davantage à un teigneux strangulo qu’à un tendre boursoufflet. Entre sa personne et les autres ne s’érige qu’un mur, une parade, une esquive habile, vive, filante qui se constitue d’innombrable railleries critiques trop acerbes, d’une rouste de cynisme ainsi que d’un certain égoïsme par crainte d’un manque quelconque héritée de la précarité de sa lignée qui dissuaderait probablement le plus aimable et charitable des sorciers. Rendu nécessiteux plutôt que de mendier en laqué, Andreas mène la fronde s’il n’est qu’un piètre leader de par son essence quasi muette extrêmement peu bavard le rendant énigmatique et peu sociale de prime abord, il demeure dans sa singularité une ressource intarissable d’une volonté guerrière puisée dans la somme de sa frustration qui s’alliant à sa témérité lui équivaut un reluisant statut d’agitateur corrosif mais également d’acharner battant (Considérant qu'il n'est possesseur de rien … il lui semble qu'il n'a rien à risquer, la témérité qui n'est qu'un courage pétris de désillusion lui convient fort bien). Il souffle plus qu'il n'articule mais cela n'est que porteur d'un calme agressif et finalement il se répand en ruade verbale autant qu'un être extravaguant, venimeux, épineux qu'il est. Andreas est un critique assassin et avide qu'on préfère percevoir tel un allié tant sa mécanique archaïque de vengeance basée sur le talion le rend ...Égalitaire et ainsi douloureux. Qui plus est que lorsque le jeune homme est arrêté sur une idée il est tout sauf aisé de l'en détourner. N'ayant aucun sens du compromis propre, ni même de la diplomatie le convaincre de quoique ce soit s'apparenterait prêcher à un mangemort que la mixité sanguine et culturelle est un véritable renouveau et progrès sociale! Un douceâtre utopie en somme qui ne l'exclue pas de simplement vous omettre si vous vous acharniez à cette besogne. L'indifférence ? Le pire des mépris, le jeune sang-mêlé est autant exclusif que partial ce sera tout ou rien. De plus qu'étant plutôt indépendant et concevant à grand maux de geindre pour quémander une aide quelconque au vu d'une fierté présente quoique mesurée, il se façonne assez aisément un idéalisme propre, bien que la réflexion ne soit pas son plus ample attrait, ce qui l'oppose globalement à l'opinion publique sur une pléthore de sujet.
Si l’on devait qualifier sa scolarité, le vocable « difficulté » s’y appliquerait on ne peut mieux. Car cela est immuable, le jeune homme n’a jamais bénéficié de base solide qui le fragilise aujourd’hui encore préférant ainsi la dextérité de l’acquis manuel lorsqu’il le peut à l’apprentissage théorique qui le font briller d’une nonchalance qu’on lui alloue pour approximativement toute activité nécessitant ne serait-ce qu’une once d’enthousiasme. S’inscrivant dans la négativité, Andreas n’est jamais réjoui, jamais euphorique, jamais partant se complaisant dans le mauvais esprit du réaliste briseur de rêverie ou étincelant sous les traits acariâtres de l’absent fureteur de biotope imaginaire impalpable (un refuge acquis à l’enfance). Egalement, le jeune se double d’une certaine impatience peu désireux de s’appesantir de façon générale il ne prend son temps que lorsqu’il est confronté à une difficulté qu’importe sa nature, son essence, son épicentre .. qu’il résout systématiquement après une vague réflexion et une cohorte de ressentis qui le font parfois résoudre des nœuds avec de l’instinct plus que de la logique.
Cependant, Andreas ce n'est guère que cela, c'est également des failles diverses qui avec le temps enflèrent en comportement puis en trait de caractère. C'est parfois une ambition absente persuadé que les Nott seront une constante le pourrissant jusqu'à la moelle de son échine, ou même une certaine fragilité reniée qui le rend plutôt instable et lunatique. Totalement imprévisible. C'est probablement même l'épicentre de sa vénalité héritée de la précarité des Litz…Mais c'est tout autant certaine de ses ressources. Effectivement, si au cours du parcours de l'ampleur de son caractère s'y dénote un activisme frondeur le rendant souvent apte à l'opposition systématique …Le plaisir de dire non, le délice de contrarier voyez-vous. Andreas demeure solitaire, estompé, discret ceux qui peuvent être comptés comme autant de qualité à double tranchant. Si vous ne le provoquez guère logiquement il ne restera qu'une ombre parmi la somme des étudiants grouillant à Poudlard en observateur qu'il se plaît à être parfois. De même sa fierté malmenée dans son existence le rend certes relativement ingrat dans l'expression de ses ressentis ou de sa gratification, néanmoins il l'appréhende à sa manière et pourra parfois agir de façon extrêmement imprévisible à votre égard sans même que vous ne sachiez pas interpréter cela, car peut-être aurez-vous oublié ce qu'il considère comme vecteur d'égalisation favorable à votre égard. D'ailleurs ce mécanisme fondé sur une certaine cohérence demeure exactement le même que pour ses vengeances, la loi du Talion au centuple (bien sûr il faut prendre la peine d'omettre la cohorte de ses critiques acerbes, de ses railleries cyniques et autre « méchancetés » corrosives qui rythme le peu de mot qu'il déblatère dans ses journées et caractérise une part de son essence). De même il jouit d'une certaine franchise, bien qu'il sache lorsqu'il faut s'exprimer ou guère le faire, il ne vous gratifiera jamais de l'économie d'une acerbité diverse …Ne soyez guère dans la stupeur s'il se montre mordant et incisif au-delà de vos attentes. Le sang-mêlé est tel qu'il est et régulièrement sans nul véritable précaution certainement par manque de considération pour autrui ou même de bonté. Cela en dépit même de sa timidité, héritée de la conscience qu'il a de l'exigence sociale l'incommodant et qui régulièrement le conforte à se complaire dans son mutisme sachant pertinemment qu'il n'y convient guère tout en luttant contre ce fait même considérant comme infamant d'être sous-estimé tant son esprit contradictoire le galvanise dans sa fronde et sa tendance à la compétition le pousse à résister pour se hisser à hauteur de ses détracteurs.
Chaque faille devient une ressource. Cela s'étendant également à ses difficultés scolaires qui le prédisposant à l'approche "matérielle" de son entourage lui permette des travers ingénieux ainsi qu'une certaine curiosité en tant qu'ample collectionneur qu'il s'avère être. Par la même la distance entre autrui et son être peu certes le desservir et bien que brillant guère d'altruisme ne serait-ce que ténu, il saura défendre ce en quoi il pourrait s'investir au-delà même de ce que l'on pourrait s'attendre ou lui prédisposer que cela soit de façon idéologique ou même comportementale tant il est malaisé d'effleurer ses véritables songes. Dire qu'Andreas tient à une certaine notion du "juste" serait probablement excessif ,mais disons que pour être confronté à l'inégalité depuis ses plus frêles années, il la combat pour lui-même avec hardiesse au grès de sa lutte pour sa survie. Il n'est cependant guère naïf et n'étendra certainement pas sa lutte à autrui, agir pour lui seul est suffisamment ardu et son égoïsme lui fait songer que cela est l'issue la plus favorable à son propre intérêt. Effectivement l'indifférence globale qu'il peut conférer à autrui ne le pousse cependant pas à endosser le rôle de héros justicier. Nombreux seraient décontenancés d'appréhender véritablement la personnalité du sorcier relativement insaisissable et énigmatique.
Son statut de domestique Nott depuis sa majorité le contraint à une certaine attitude de soutiens et de servitude envers ces derniers mais également une attente sociale à laquelle il s'affère, mais qui lui est déconseillé d'outrepasser telle la prestance, la discipline... Et c'est précisément pour cela qu'en dehors de ce cadre (et même parfois pendant) il s'en abroge les codes ces derniers n'étant absolument pas inhérents à son essence propre et individuelle ! Il outrepasse ces frontières convenues avec une certaine provocation qu'on lui décèle dès que l'on obstrue sa volonté égoïste et son esprit outrageusement borné. Bien qu'il apprécie sous certain aspect les reliures de l'élégance le sorcier ne s'encombre guère de futilité qui le révulse désormais tant il fut poussé à la minutie de la mignardise futile dans sa besogne domestique. Le zèle consciencieux ? Un fardeau ! (A tel point que désormais la notion d'ordre lui est parfaitement étrangère) Néanmoins, il en hérite également une certaine rigueur qui lui permet lorsqu'il s'arme de son réalisme et de sa désillusion d'hériter d'une sagesse légère qui lui est salutaire de saisir de temps à autre, car le sorcier demeurant relativement hermétique aux sentiments (peu fleur-bleu et compatissant voir clairement intransigeant et incompréhensif en faisant un bien piètre homme de cœur) n'en demeure pas moins doté d'une sensibilité (même si celle-ci n'est certainement pas le trait caractéristique de son aspect psychologique) qui a parfois besoin de recul pour mieux frapper …là où ça fait mal si le besoin s'en faisait pressentir. La défense étant omniprésence chez le jeune homme obnubilé par sa « survie ».
On pourrait par la même s'appesantir sur ce « sarcasme » présent, cette amertume qui pourrait laisser sous-entendre une certaine tendance à l'emportement et pourtant ilen n'est rien. Dénué de nervosité ? Ce serait hyperbolique, cependant ce ne sera pas ce qui marquera le plus un parfait inconnu, car bien que cela surprenne Andreas demeure relativement placide, voire parfois détaché mais finalement simplement absent ou lassé... parfaitement indifférent. L'appréhension d'épineuse situation est cependant à éviter avec ce dernier pour lequel la moindre concession ou acte de pacifisme est devenu une corvée atrabilaire dût à sa domesticité et à laquelle il ne cède plus qu'après une lutte certaine. La diplomatie lui ait donc lointaine, la complaisance égarée, la compassion absente, le pacifisme ? Pur idéalisme d'autrui à son égard. Andreas demeure ainsi fidèle à lui-même, pour résoudre il se complait dans l'exercice de sa nature agressive, c'est-à-dire qu'il « mord ». On pourrait le percevoir comme débordant d'une confiance infaillible, mais ce n'est guère une constance, ses tendances au mutisme le font valoir de façon implicite, s'il n'est guère épris de raisonnement métaphysique, d'introspection mûrie... Le sorcier demeure humain, donc faillible et par extension parfois incertain. Un léger manque d'assurance peut faire irruption à l'aube d'une situation interrogatrice tant son existence fut rythmée de dépréciation extérieure diverse et de balafre nombreuse, cependant il l'outrepasse rapidement en réagissant quasi à vif, sans la moindre réflexion...globalement plus occupé à foncer tête baissée qu'à évaluer avec recul une situation donnée. L'impasse n'est qu'un effroi duquel il se protège avec hardiesse. Quoiqu'il en soit Andreas Litz fut omis de la patiente bonté propre aux grands justes s'apparentant davantage aux travers corrosifs du tumultueux battant, aigris et envieux…. L'opposant à abattre.
Clairement vénale et craignant implicitement le manque sous toutes ses formes régulièrement Andreas agit par compensation, attisé d'une envie rampante qui le rend régulièrement aigris, il rumine en ses torpeurs toute l'horreur de ses songes parfois .. haineux, parfois agités d'une simpliste intolérance en ce qu'il aurait pût être et ce qu'il n'est définitivement pas. Socialement, son détachement cinglant le rend pour certains agaçant, pour d'autre insaisissable, ne tendant guère la main à autrui qu'en cas d'extrême nécessité et rarement sans escompter une contrepartie. Cependant, encore une fois son j'en foutisme latent lui confère le recul nécessaire et surprenant à l'absence globale de jalousie ou même de notion possessive.
En dépit de cela .. le « pardon » lui est totalement étranger ce serait … un comble pour lui ! Pardon ? Ce n'est pas même négociable, tout au plus vous concèdera-t-il un vague grognement mais n'escomptait guère plus. Céder à cela .. ne serait-ce guère s'avouer vaincu ? Parfaitement, ainsi pouvons-nous voir poindre un égo bercé d'une tendance bornée outrancière. S'il n'est pas spécialement susceptible, il est extrêmement rancunier ce qui lorsque ce travers se mêle à son essence butée le rend reluisant d'une intransigeance dure, parfois même inique. Mais n'étant guère charitable et peu scrupuleux cela le laisse de marbre la plupart du temps bien que conscient de son comportement excessif il ne fera rien pour s'adoucir. Aucune concession. Néanmoins, lorsqu'une personne réussie à tisser une amitié solide avec ce dernier, il pourra troquer ses railleries acerbes contre des travers taquins insoupçonnés ou encore se répandre en une certaine compétitivité bien qu'armé d'une solide tendance à râler lorsqu'on le surpasse il n'en demeure pas moins capable de reconnaître une défaite à gage de revanche.
De façon plus matérielle, le sorcier se voit gâté d’une dyslexie plutôt malvenue ainsi que d’un toc lié à sa curiosité d’essence mais également et surtout à la précarité de son existence, le toc dit du « collectionneur ». De même suite à l'accident du Poudlard express celui-ci est atteint d'acouphène. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus
Allégorie de sa propre conscience, notion transcendantale de la singularité du « moi », jadis il fut déclamé dans le monde moldu, l'existence d'un sujet … un sujet pensant « Cogito ergo sum ». Cette atypique sphère grisâtre aurait ainsi pu se nommer Ergo, mais guère latiniste, ni même savant il lui préféra la vocable commune « Ego ». Moi, je … Voilà ce que constitue la résultante de cette bévue parachevée de la magie des glorieuses élites du ministère. Lorsqu'il lui apparut de prime abord, le jeune ne l'avait pas même saisi. Parfaitement aspiré par l'éreintante nuitée de servitude qu'il venait d'asséner pour ce Noël de l'année 1978, le sorcier n'avait qu'eu l'instinct de la fuite. Une bolée d'air grisante chapardée à la vacuité des cieux sous les flocons londoniens d'une immaculée blancheur voilà ce à quoi il aspirait jusqu'à ce que le timbre novateur de l'abstraite créature vint à s'élever puis se matérialiser sous les traits communs d'un rouge-gorge qui à ses devants sautillé gaillardement dans la piètre poudreuse grisâtre des ruelles de la ville. Le réflex premier du sorcier fut d'asséner au volatile une vague provocation en lui octroyant le rôle peu envieux de « cible » destinée à être heurtée par une boule de neige peu convaincante quoique compacte. Ce dernier n'ayant oncques produit un patronus depuis sa 3ème année ne pouvait guère ne serait-ce qu'imaginer l'affront odieux qu'il s'apprêtait à commettre envers lui-même. Emérite tireur, l'oiseau vrilla sous la masse propulsée mais qu'elle ne fut guère la surprise de Litz lorsqu'à l'instar de la créature il sentait son crâne vriller. Quelques minutes à appréhender cette perplexité et l'évidence ne fut qu'extrêmement peu ignorée de celui-ci, Ego lui était relié et cela se cristallisa tel immuable lorsque celui-ci s'offusqua parmi ses songes d'un tel accueil. D'un moule commun, d'une même âme s'en effilochait une part infime insoupçonnée, ainsi naquît un être singulier et distinct. Car effectivement Andreas peut bien appréhender Ego tel un prolongement inéluctable de son être, ce dernier n'en demeure pas moins extrêmement novateur. Conformément à l'allégorie significative du rouge-gorge qui s'apparente à la guérison dans la plupart des allégories traditionnelles, il semblerait que ce dernier ne soit que l'incarnation d'une plaie pansée. Une part de son être qui en dépit même des odieuses expériences de son existence s'étaient relevée frondeuse, vengeresse…Ego est le plus certain de ses soutiens, certes outrageusement bavard, extravaguant … sa frêle constitution semble compensé par l'omnipotente place que la créature se fraye dans les songes de son sorcier. Doté d'un caractère profondément impulsif, Ego n'en demeure pas moins profondément lunatique tel son sorcier de façon aléatoire à cela près que chez le volatile c'est une valse incessante d'humeur qui se succèdent avec le goût de l'infini en toile de fond. Outre ce reflet clairement actif de l'oiseau il n'en demeure pas moins ronflant, effectivement ce dernier semble partager au centuple les lacunes de son sorcier en ce qui concerne autrui. Flegmatique, Ego bien que poussant son sorcier dans les retranchements de sa sociabilité ténue n'en demeure pas moins toujours extrêmement séduit par la perspective de "l'inexploitation" de la dépense physique sous toutes ses formes. Cependant, ce travers qui semble être régulièrement adopté par Ego n'est pas unitaire puisque ce dernier troque aléatoirement son plumage contre l'épiderme luisant d'un amphibien venimeux aux teintes vivaces, intrigantes, résolument criardes.
Si la singularité de la créature peut créer l'attrait cela n'est pas pour autant pas spécialement signe de réjouissance, lorsqu' Ego adopte sa seconde forme ce n'est que signe d'un « agitation » psychique plus profonde qui s'avère enraciner dans les torpeurs du sorcier. Cette forme-ci convient par ailleurs fort bien aux particularités de l'espèce auxquelles elle empreinte les traits, puisque le patronus ne fait que se répandre en amertume, acerbité, morosité et médisance tel le venin pernicieux de cet amphibien. Comme l'allégorie du dynamisme "négativiste" d'Andreas Ego s'avère profondément teigneux, car là réside toute la ruse et la subtilité de ce patronus. Ego est d'un infini positivisme envers son sorcier mais d'un égoïsme tellement saisissant qu'il en devient véritablement méchant et acariâtre envers autrui.
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Dernière édition par Andreas C. Litz le Jeu 10 Déc - 11:52, édité 13 fois |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:23 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Dans les lueurs crasseuses des réverbères pendant au-dessus de ses pas la jeune femme toisait l'oblongue vacuité qui courrait le long de la ruelle grouillante de coulure. La fraîche averse semblait avoir craché un spleen prostré duquel elle ne savait guère se défaire. Sans nulle attache ses perles céruléennes roulaient sur les divers pavés empreint de morosité sur lesquels ses pas semblaient aléatoirement glissés tandis qu'à ses songes ternes s'illustrait un dépit certain. Sûrement que l'ancestral Londres sorcier avait de ces splendeurs immuables qui poussaient à l'art de la contemplation les êtres les plus rêches de vie, néanmoins de ces pavés suintaient comme d'une plaie une rancœur rampante aux torpeurs haineuses qui la faisaient vibrer au centuple. Il n'y avait guère à débattre, pour les naissances inopinées, pour les commencements infructueux …Londres n'octroyait que ses dédales les plus abjectes et aucune de celles-ci ne convenait à l'épanouissement d'un enfant. Une silhouette anguleuse qui reluisait d'une pâleur aigre la dépassait, les travers chétifs du garçonnet tendait à extirper quelques bienveillances des rares passant tandis que ses cernes noirâtres dispensaient quiconque de s'en approcher. Ses prunelles bleutées reluisaient d'une implicite mature désillusion vestige de ses plus récentes brisures, sa tignasse d'or n'inspirait pas même une once de véritable innocence enfantine … Andreas Litz à l'apogée de ses sept ans semblait d'ores et déjà avoir omis toute vitalité. Sa maigrelette constitution étreignait contre lui un paquet user, voir noirci aux coins qui remuait de façon hasardeuse. Occupé à lorgner le présent d'anniversaire que sa tante lui avait octroyé en dépit de ses maigres revenus de fille de joie et là résidait toute l'ironie de cette jeune femme aux faciès pétris de concision qui ne faisait qu'être effleurer par des sentiments qui lui coûtaient de laisser vivre, il le secouait en quelques gestes timorés. « Tu vas finir par le tuer .. » soufflait-elle suspicieuse quant à ce qu'elle savait contenir la boîte suranné. Andreas tentait de suspendre ses foudres d'impatience qui l'agitait alors qu'emboîtant le pas de sa tante Ostende il passait le seuil d'une arche miséreuse sur laquelle courrait le lierre conquérant. La bâtisse alambiquée se dressait là endossant la fonction crasseuse autant que peu émérite de refuge des âmes vicieuses, des maris peu vertueux et autres cohortes de clients atrabilaires. S'épanouir dans un bordel sorcier londonien, la besogne parait cocasse, mais le jeune sorcier avait de ces planques insoupçonnées.. qui permettait à lui seul de s'octroyer quelques portes idéalistes sur des biotopes abstraits à l'existence toute relative. Parmi ces quelques recoins qu'il faisait sien… s'illustrait comme son favori les combles. Cape de sorcier usée, mannequin de bois jadis vernis aujourd'hui démembrer y résidait, mais surtout une vacuité prisée. L'odieuse marâtre à qui la propriété, qui constituait une infâme maison close, n'avait jamais véritablement émit l'émoi de s'en emparer. Certainement que ces combles étaient trop étroits pour en faire quoique ce soit, mais il convenait à Andreas qui parvenait à s'en accaparer l'existence. Sa tante après un prompt baiser sur le front et quelques félicitations pour cette année supplémentaire à fouler la surface de ce monde infâme lui accordait enfin l'autorisation curieuse de véritablement s'emparer de son présent. Le jeune Litz allait écarter les pans de la boîte usée tandis qu'un mégot fumant s'écrasait sur le dos de sa main blême. Dans une exclamation spontanée l'enfant la secouait sous l'étreinte douloureuse de sa brûlure qui se résorbait sous ses yeux. « Ha ! Grâce à moi t'a fait ton premier acte de magie gamin » se gaussait la voix grasse d'un de ces êtres auxquels sa tante conférait le plus ample mépris, la paume de celui-ci venait s'écraser sur son épaule manquant de le faire chanceler. Le sorcier disparaissait au coin du couloir alors que sa tante lui emboîtait le pas la mine mauvaise. Andreas gratifiait d'un regard intrigué sa paume à l'épiderme parfaitement lisse, parfaitement blême.. Cela ne l'étonnait guère d'être d'essence magique, l'inverse l'aurait davantage ému puisque la somme des individus foulant ce parquet usé étaient tous munis de baguette. Après un éphémère laps de temps toute son attention retournait à ses convoitises en écartant les pans de carton y découvrant un boursoufflet rosâtre. Il se saisissait téméraire de la créature la posant au creux de sa main ravalant une première envie irrépressible d'éternuer, puis une seconde. L'allergie insoupçonnée à cette créature ne lui faisait que conclure du bon goût de ce présent dont il faisait d'ors et déjà l'ode, persuadé que Slaine allait également l'adorer en propriétaire vaniteux qu'il était. Nul ne prend véritablement l'ampleur d'un être tant qu'il n'est guère confronté à sa perte. Jusque-là Andreas Litz n'avait considéré sa génitrice que sous les traits d'une femme lointaine dont le spectre ne semblait que docilement planer au-dessus de ses émois et subsister dans la poignée ténue de photographie que ce dernier avait jadis accrochée dans les combles du bordel londonien. Lorsqu'Ostende s'était résolument arraché à sa misérable existence enfantine l'éploré jeune sorcier ne songeait guère que de pareil maux pourraient se réitérer, mais à ces hypothèses celui-ci demeurait bien ingénu. Oncques véritablement le petit Litz fut gâter par l'existence et cela semblait s'apparenter à l'entièreté de sa lignée dont les membres menant qu'une vie de domestique ployait docilement l'échine de front un blason, un nom. Celui des Nott. Jusque-là épargné d'une fonction parasite qu'est celle de la domesticité, Andreas avait ainsi évolué avec un de ces êtres marginaux qui s'offusquait de la docilité des Litz depuis 1788. Telle une constance, les Litz avaient toujours été synonyme de précarité et sa tante n'y échappait pas. Résolue à celle-ci l'un des patriarches jadis perçu en cette saugrenue domesticité des horizons plus … louables, plus enviables. Le seul pêché de cet homme n'était que l'avarice et au tiers contentement de celui-ci dont les volutes gracieuses de l'oisiveté n'étaient pas même siennes, il précipita l'entièreté de sa lignée dans la dégradation progressive. Pourvu d'un sang-impur et toujours repu de la maigreur de leur patrimoine les quelques dissidents Litz n'ont que leur propre être pour soutien et cela Andreas l'avait compris à la nuance près qu'il se voyait désormais contraint de s'atteler à l'odieuse condition reniée de toute son essence par sa jeune tante qui ne concevait guère le joug des Nott. Ainsi, le sorcier dans ses prémices vécues de façon extrêmement souffreteuse cette novatrice conception, chaque pore de son épiderme suintait d'une indécence qu'on matraquait à coup de silencio pour une ample partie du temps jusqu'à-ce que d'apparence il n'y cède. Certes il demeurait frondeur, mais la somme de ses rancunes aigres s'apparentait désormais à une corrosion perpétuelle. La désillusion transcendait tout son mécanisme de pensée tandis qu'il se répandait en critique âpre le rendant réputé comme teigneux. Ces quelques travers ne surent que s'accentuer lorsque sa génitrice Philomène Litz cracmolle vint à passer la baguette à gauche. Elle ne percevait que telle un garanti d'un avenir serein et acceptable pour l'un de ses fils reniés de naissance cette condition domestique et lui ancra ainsi cette idée avec hardiesse dans les derniers mois de sa vie réduisant toute ambition notable. Lorsque l'endeuillé spectre fataliste du trépas se pencha sur l'existence tortueuse de cette femme, Andreas ne s'en fana que davantage officialisant ainsi sa lutte pour la survie concevant désormais avec fatalité le joug de cette lignée de sang-pur, celle des Nott. Fréquentant Arseni Gaunt de quelques années son aîné puisque évoluant "côté à côté", Andreas endura un laborieux autant que fastidieux été. Conformément à ses membres épars qui déambulaient au creux du foyer Nott avec tout le zèle connu à cette ample famille de domesticité, il avait reçu sa lettre. La missive qui attisait la somme de ses convoitises et ses fureteuses curiosités le rendait agité et jamais en un été il ne se pris tant de sortilège. Entre deux labeurs lorsque la nuitée encombrait les horizons du manoir Nott, le jeune sorcier se mêlait anormalement à ses êtres auxquels il s'avérait relier de façon biologique. Qu'en était-il du choixpeau ? Qu'elles furent leur maison jadis ? Autant d'interrogation auxquelles on lui apportait des bribes de réponse demeurant désireux d'entretenir la mystique qui embaumait l'ample château de Poudlard. Son grand-père Arsène, un homme soupirant d'une bonté inlassable et qui jadis avait arboré le blason des Poufsouffle avec une certaine nostalgie, se répandait en éloges éprises quant à ces quelques années qui s'annonçaient, selon lui « fructueuses et salvatrices » pour tout Litz. Certainement disait-il cela au regard des décennies de servitudes qui avaient ensuite constitué sa fade existence peinée. Mais qu'importait au trépidant sorcier qui avait cure de ces présages positifs se complaisant davantage dans l'impatience agitatrice. Le comble … il osait arborer un rictus fièrement victorieux dans le dos d'Audric ...lorsqu'il le croisait au détour d'un couloir. On réduisait ses immondices grognements, ses acerbités au profit de silencio sentencieux, nul ne savait plus comment contenir son effusion frondeuse si bien qu'il n'était plus surprenant de retrouver Andreas pendu par les pieds au profit d'un levicorpus au coin d'un couloir pour l'immobiliser ne serait-ce qu'une poignée de seconde. Lorsque sur le quai du Poudlard express le sorcier s'engouffrait dans la gueule de la bête fumante, on eut certes un pincement léger au palpitant, mais davantage un soupir de soulagement. On se réconfortait en songeant que nul désormais ne sera plus en proie aux foudres d'Audric Nott, car si la somme de la lignée Litz reluisait d'une application zélée et d'une servitude exemplaire ce n'était guère le cas pour Andreas constamment protestataire, s'exécutant en quelques moues renfrognées ..Ce dernier eut par la suite une scolarité plutôt classique quoique fragile, la seule véritable agitation fut l'appréhension de ce jumeau qu'il retrouva à cette occasion. Bien que son existence fusse également secouée des quelques péripéties communes à tout élève de Poudlard, notamment l'été bélizien au cours duquel ce dernier reçu un sort qui ne lui permit qu'au profit d'une vive douleur un évanouissement lui conférant l'avantage de ne guère assister à l'entièreté de ce fiasco. De même le déraillement du Poudlard express fut encore un aléa auquel il survécut grâce aux bonnes grâces de Merlin, gâté suite aux tonneaux nombreux de son wagon d'un acouphène et d'un bras cassé. Cependant, le sorcier fut épargné de la peste des patronus à son ample réjouissance.
Dernière édition par Andreas C. Litz le Jeu 10 Déc - 11:59, édité 5 fois |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:28 ( #) | Re-bienvenuuue /me l'attache. |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:35 ( #) | Re bienvenue |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:42 ( #) | Re bienvenue à la maison tu sais ce que j'en penses j'arrivebientôtc'estpromis |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:48 ( #) | Re bienvenue toi |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:49 ( #) | |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 17:57 ( #) | Merciiiiiii Laine, Orphe, River, Léli, Charlie /me se fait attacher Léli jet'attends Charlie lien |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 18:01 ( #) | TOOOOOI Surveille ton langage, valet de mon coeur Mais qu'est-ce que t'es beau J'ai hâte de rp avec toi Bon courage ! (et pour ton information, la touche entrée, existe toujours sur un clavier ) |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 18:09 ( #) | |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 18:31 ( #) | Rebienvenuue |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 18:33 ( #) | Rebienvenue ! |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 20:26 ( #) | MOOII Tsss AndreasferalesyeuxdouxàAserniaprèsavoircrachédanssasoupe Moi aussi J'en ai fait quelques uns Merci Ombre *lance un fauteuil* Merci Meg et Madi |
| Isaure Lenoir admin - war is the sea i swim in Répartition : 27/09/2015 Hiboux Envoyés : 656
| Re: Just, shut up - ACLpar Isaure Lenoir, Sam 5 Déc - 20:28 ( #) | Rebienvenue à la maison |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Invité, Sam 5 Déc - 20:34 ( #) | Merci je veux un lien j'aipaseuletempsdetempottercommejet'avaisdit |
| | Re: Just, shut up - ACLpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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