Mon nom est Thyra Siggy Black. Je suis née au mois de janvier, le 15 plus précisément. Contrairement à mes cousins, je ne suis guère née au Royaume Uni, ma mère, Hydril est norvégienne. Sorcière de ses parents, celle-ci possédait un grand père moldu, ce qui fait de moi une sang mêlée. Peu commun certes dans une famille se battant pour la pureté du sang.
Je suis donc norvégienne de terre et anglaise de sang. Cela parait lorsque j’ouvre mes lèvres, laissant un tintement agréable s’échapper lorsque je chante où converse. Je n’ai jamais réellement cherché à dissimuler celui-ci, bien au contraire !
Quand à ma baguette magique, celle-ci est faite de bois de roses, de crin de licorne et mesure 25cm. Elle est assez souple, ce qui lui donne une capacité incontestable en sortilège et en défense contre les forces du mal.
Enfin, mon épouventard prend ma propre forme, a vrai dire, seul le caractère change, et cela ce voit à l'attitude: Thyra règne sur ma vie, elle se montre à tous et la population peut alors se rendre compte à quel point je suis malade...

Caractère :

Il y en Siggy deux personnes : Thyra, la jeune femme sauvage, incontrôlable aux tendances sado masochiste et Siggy, la douce enfant, joyeuse et intelligente.

Siggy est la personnalité la plus présente. Ambitieuse Siggy est une personne qui souhaite absolument réussir dans tout ce qu’elle entreprend. Disons que pour elle, il n’y a aucune limite entre le bien et le mal, elle ne peut expliquer pourquoi, mais, la demoiselle reste persuadée qu’il est impossible de lui donner une limite dans sa pensée.
Travailleuse, Si’ ne supporte pas de recevoir des notes non excellentes, il lui arrive d’avoir des notes passable en études des moldus.
C’est pour être la meilleure qu’elle ne quitte que rarement ses livres et son monde d’études. Obstinée et butée, cette demoiselle adore avoir raison et ira le prouver dans une accumulation d’argument tenant la route. Dans le cas où son argumentation ne serait suffisante pour prouver son avis, la jeune femme préférera le silence et ne se lancera aucunement dans une bataille de mots.
Généralement amicale, sociale et chaleureuse avec la population environnante, la demoiselle agit ainsi que pour obtenir l’amour des autres. Cherchant par tous les moyens d’ouvrir ses relations en accumulant les amis et connaissances. Amicale donc, elle possède un esprit ouvert et ne refuse jamais à se faire des amis, bien qu’elle possède quelques ennemis, surement jaloux où méfiant de la perfection qu’elle montre chaque jour.

Joueuse et créative, la demoiselle apprécie non seulement les belles choses mais aussi cette merveilleuse possibilité de faire tourner son monde en bourrique. Jouant sur les sentiments des autres afin de les aider à grandir intérieurement, la demoiselle n’hésite jamais à proposer un petit jeu que ce soit pour débloquer dans un devoir où guérir les cœurs de ses amis !
Créative donc, la demoiselle joue de plusieurs instruments : elle apprit le piano très tôt ainsi que le violon. Bien qu’elle n’ai pas touché à un piano depuis des années, la jeune femme a apporté dans ses valises son violon. Siggy a aussi une passion pour la peinture et peut passer plusieurs jours enfermés dans son petit monde à peindre. Elle ne quittera sa concentration qu’a la fin de l’œuvre d’art.

Dynamique, Siggy fut toujours une enfant active, courant partout dans le manoir de famille et accumulant les activités sportives. Depuis quelques années, la jeune femme ne peut s’empêcher de sortir de son école de magie pour s’amuser aux trois balais, jouant aux cartes avec les voyageurs s’arrêtant dans l’auberge. Il n’est pas rare de la voir plumer ses compagnons !

Combattante, la jeune demoiselle s’est toujours battue pour cacher ses défauts et principalement sa maladie. Siggy ne souhaite en aucun cas montrer Thyra aux autres et bien que celle-ci ait une vie de nuit, il n’est encore jamais arrivé que l’on reconnaisse la jeune femme. Ainsi, elle eu à subir en silence durant son enfance des heures et des heures de thérapies pour camoufler cette honte.

Enfin, bien éduquée, la Black a eue le droit à une éducation stricte, certes, mais aimante. Les bonnes manières lui furent donc imposées très tôt. Ses tuteurs lui ont toujours inculqué une éducation digne de ce nom allant des cours de cuisines à ceux de maintient en société.

Thyra quand à elle, a fait rapidement son apparition dans la vie de la famille Black. Bien qu’au fil des années celle-ci fut renfermée dans une partie de l’esprit de Siggy, l’esprit dominant, Thyra vit de nuit. La double personnalité de la Black représente tous ses défauts, toutes ses envies cachées et besoins malsains. Ainsi, Thyra est une femme sauvage, sexuellement assumée, violente et difficilement contrôlable. Quand Siggy est une parfaite Serdaigle, Thyra quand à elle est une Serpentard des plus dominatrices.
En parlant de domination, n’essayer surtout pas d’enfermer la jeune femme dans un placard où de tenter d’avoir le dessus sexuellement parlant. Bien au contraire, la demoiselle est d’une violence rare, aimant frapper, déchirer la peau de ses amants où encore jouer à des jeux pervers. Récemment la double personnalité prend le pouvoir sur Siggy la nuit, l’été, la jeune femme fait partie d’un donjon et y joue le rôle d’une maîtresse dominatrice. Peu commun pour une enfant de 17 ans, je vous l’accorde, mais malheureusement Thyra fut rapidement enfermée dans l’esprit de Siggy, incapable de se mélanger à celle-ci, préférant se jouer de la demoiselle qui, au matin, découvre toujours les nouvelles lubies (et nombreuses sont-elles) de la seconde personnalité.

Ambitieuse, Thyra sait manipuler son petit monde, le pousser à bout, jouer sur les petits défauts et envies cachées de ceux-ci. La jeune femme ayant un certain attrait envers les désirs les plus pervers et les plus honteux de ses compagnons, n’hésite en aucun cas à proposer la réalisation de ceux-ci, en échange d’un petit coup de pouce. Bien évidement, votre petit secret entre ses mains sera des mieux gardés, à moins que plus offrant ne fasse apparition.

Sauvage, Thyra résista durant des années à cet enfermement, ayant très tôt conditionnée dans une partie du cerveau de la jeune femme, la liberté de celle-ci lui a été volée. A l’âge de 3 ans jusqu’à leurs 8 ans, Thyra et Siggy vivaient ensemble, partageant les expériences d’une vie de petits. Thyra étant sauvage et incontrôlable maitrisait Siggy et usait de son corps comme bon lui semblait. N’hésitant donc jamais à se salir, courir dans la rue avec les enfants de moldu, frappant ceux-ci et déchirant ses vêtements. Cela arrivait souvent que l’on retrouve la chambre de l’enfant, meubles brisés et sans dessus dessous. Siggy pleurant au milieu des décombres, accusant Thyra.
Thyra n’est cependant pas qu’une sauvage, elle est aussi une demoiselle très indépendante, elle n’apprécie guère qu’on lui donne des ordres où que l’on force celle-ci à faire quoi que ce soit. Ayant un répondant cassant, la sauvage est une dominante des plus difficiles à cernées. Il est déjà arrivée qu’elle se soit enfouie de chez elle à l’âge de 9 ans, déclenchant alors la psychanalyse qui allait l’enfermée dans une partie de Siggy.

Séductrice et mystérieuse, elle possède une aura assez particulière. Sachant se jouer des hommes, la jeune femme a un certain amour pour la décadence, l’amour de la chair et apprécie tout autant dominer les hommes que de les partager. Le dicton : « plus l’on est de fou et plus on rit » lui collerait merveillement à la peau si elle n’était pas si difficile à dompter et si apte à se sauver de la vie des autres. Infidèle, elle considère sa vie et son corps comme une entité n’appartenant à personne.
Appréciant les grands espaces et le froid, elle est l’archétype même de la Norvégienne qui n’a peur de rien et n’a surement pas froid au Royaume Uni ! Appréciant la nudité mais aussi les vêtements qui la mettent en valeur, elle est du genre à vivre comme bon lui semble, n’ayant peur de rien puisqu’après tout : elle est la peur de Siggy, sa non acceptense de soit.
L’on dit souvent de Thyra qu’elle ressemble à ces rêves que l’on fait, plein de séductions, de charme, de sensualité, de bestialité, de réalité mais voluptueuse et impossible à saisir. Ses yeux verts vous envoutent et capture votre âme, l’étouffant alors avec une certaine jouissance jusqu’à votre propre mort.

Sadomasochiste, Thy’ ne conçoit pas l’amour ainsi que l’acte sexuel sans violence. Ayant été domptée et calmée à l’endoloris durant son enfance, elle trouve l’absolution dans la douleur, devenant rapidement adepte de celle-ci. Chose quelque peu particulière étant donnée que la demoiselle souffre parallèlement de son enfermement dans Siggy, sans pouvoir dire où faire quoi que ce soit tant que celle-ci est consciente.

Enfin, Thyra n’accepte pas l’origine de son sang. Dans ses ambitions de dominer Siggy (et de perturber celle-ci) Thy’ est à la recherche d’un moyen de rendre son sang pur. Elle passe souvent ses nuits dans les draps d’amants aux capacités variées qui pourraient l’aider dans sa quête. Ainsi, son sang pur, elle pourra sans aucun doute rejoindre les rangs de la menace qui nait et grandit au sein des sorciers. Tant qu’à ses yeux elle ne sera pas digne d’un sang des plus purs, elle ne pourra mettre en place son plan de domination. Elle sera la prochaine sur la liste à devenir Lord Voldemort.

Floki est apparut pour la première fois durant les vacances de Noel. Cela ne fait pas encore une année qu’il vit en compagnie de la jeune sorcière mais rapidement, les parents de celle-ci ont remarqués que le patronus de celle-ci avait tendance à changer de forme uniquement lorsque Thyra faisait son apparition.
Floki connait deux formes : il peut prendre l’apparence d’un léopard de l’Amour où celle d’un Fennec. Ces deux formes bien distinctes connaissent leurs propriètaires et agissent de la même façon.
Ainsi lorsque le patronus aura sa forme de léopard, celui-ci sera en compagnie de Siggy. Sous sa forme de Fennec Floki sera sous les ordres de Thyra. Aussi étrange que cela puisse paraitre, jamais Floki ne fait mention de Thyra à Siggy et vise versa. Attendant tout simplement le bon moment pour tenter de concilier les deux personnalités en une.

La relation que le patronus a avec les deux personnalités de la jeune femme est d’une complexité incroyable. Dans un premier temps, le patronus se faisait souvent chassé par Siggy, ayant peur de lui et ne comprenant pas pourquoi cela était arrivé. Bien que cela lui fasse beaucoup de mal, repousser celui-ci ne résolvait guère les choses. Ce fut avec un immense effort que Si’ finit par accepter l’apparition de Floki dans sa vie, débutant avec une installation simple dans sa chambre pour que la forme physique de celui-ci ait un espace pour lui. Au fils des mois, il finit par la soutenir mentalement dans sa peur de Thyra et tenta tant bien que mal d’essayer de lui faire comprendre qu’elle ne devait aucunement avoir peur de sa double personnalité.
Chaque soir, le patronus a pris l’habitude de s’allonger aux cotés de la jeune sorcière, attendant le réveil de Thyra.

Pour Thyra, cette histoire de patronus fut tout un autre effet. Elle vit en le fennec un signe. Animal nocturne, elle adopta celui-ci dès son apparition, le prenant dans ses bras et le choyant, ayant rapidement comprit que si elle se montrait violente envers celui-ci, la violence se répercutait sur lui (et étrangement, bien qu’elle ait à plusieurs reprises fait souffert le patronus, elle en dégagea un sentiment de douleur des plus exquises). Floki devint alors son protecteur et surveilla d’un œil sage la jeune femme, usant de son ouïe pour détecter quel qu’on que danger lorsque celle-ci se prenait d’une envie de nudité subite où d’aller plonger la tête dans la piscine privée des voisins. Bien évidement, Floki tenta de raisonner quelques fois l’enfant sauvage mais n’eut guère de succès et fut forcée de suivre celle-ci sous peine de souffrance pour le patronus mais aussi pour Thyra (qui aimait cette souffrance bien trop malsaine).
Thy’ dira souvent à propos de celle-ci que c’est : « comme s’auto mutiler en plein acte sexuel, le plaisir ressentit de la douleur est équivalent à une masturbation malsaine, mais appréciable ».