Fermer les yeux, imaginer donc cette maison qu’on connait tous, rustique fait surement a 95% de bois… Des bibelots qui racontent l’histoire de cette longue lignée des Weasley… C’est bon vous avez le terrier en tête ? Bien… Maintenant, imaginez une femme, jeune a peine dans la vingtaine, un homme aux cheveux noir… Vous les voyez ? Eh bien ce sont mes parents, ce fut bien avant ma naissance et cela se voit non ? Et puis on rajoute un parc pour enfant, un mobile de créature magique… Une petite bestiole rousse… Et oui, un nouveau venu… C’est moi ! Méliès ! Appelé aussi Lyès, mais il y a que Amos qui m’appelle comme ça maintenant. Six ans à être seul et pourtant j’y ai de bon souvenir… Je me souviens d’un moment qui me fait encore rire et l’un des souvenirs que ma mère se remémore lors de ses crises… J’avais 5 ans, ma mère venait d’annoncer à mon père l’arrivé d’un nouveau Weasley. Je gambadais dans la maison comme si je vivais l’une de ses grandes aventures d’enfant… Et puis je me cache dans la cheminé… Quelle mauvaise idée… Ayant de la poudre dans la main je la fais tomber quand ma mère me support et ce mot qui sort de ma bouche : « Bl… Buston ! » Les flammes vertes s’enroulent autour de moi, j’ai peur et j’en tremble comme un saule-cogneur en plein hiver, une fois que j’avais rouvert les yeux, je me retrouve dans une grande ville face à un panneau de Signalisation « Boston »… J’étais encore en pyjama et mon accent Ecossais était à couper au couteau… Je me cache dans un endroit à l’abri… J’ai peur il faisait froid tout de même et là je l’entends… Le cri d’une mère en pleure… Je les vois au loin, je reconnais les cheveux de ma mère et mon instinct y joue beaucoup… Elle et mon père avait emprunté la cheminé et la poudre de cheminette pour venir me chercher Le Fils s’est retrouvé à l’autre bout du continent Américain. Elle se pose avec mon père, mon père avait ce tic qui le rendait unique à cause de la grande guerre… Il boitait et sa démarche me rappel souvent la démarche de popeye… Ma mère me sert dans ses bras et je me sens en sécurité… On fait en sorte de rentrer plus vite grâce à un porte-au-loin. Pas question de rester une minute de plus dans le pays des Yankee disait si bien mon père… .

L’un des souvenirs les plus marquants pour moi et celui qui m’a beaucoup aidé, c’est ce jour de pluie… Tout le monde était à cran, je me souviens de mon père qui faisait les cents pas à se ronger les ongles avec sa jambe folle, j’avais a peine six ans à l’époque. Je jouais avec un vieux camion en bois ensorceler pour me divertir… Je ne vois pas le temps passer qu’on m’appelle : « Méliès ? », mon museau se redresse voyant alors le visage de mon père plus détendu et la porte ouverte… Je me lève, les jambes qui tremblent de par la fatigue et je m’approche du lit… Je vois cette petite chose dans ses bras… « Je te présente Amos… Ton petit frère… » La voix faible de ma mère est resté à marquer à jamais dans mon cœur… C’est la première fois que j’assistais à la naissance d’un enfant… J’avais eu tant de questions pendant la grossesse… Que sa venue était béni rien que pour moi… J’ai juré un peu maladroitement que je protégerai mon frère ainsi que mes parents…

Mais comme si un frère ne me suffisait pas… fallait qu’il y en ait d’autres qui déboule comme ça… EN mode « Hello ! Je squatte une petite place ? »… Sauf qu’on s’entasse vite dans le terrier… Ça devient limite étouffant, ma mère était une femme génial, très organisée on ne s’ennuyait jamais au terrier… Je les ai toujours aidés… J’étais exemplaire du moins jusqu’à mes 10 ans… Car vient alors cette lettre que tout le monde connaît… « Dear Mister Méliès Oswald Weasley… » Ma lettre pour Poudlard… Quand ma mère me l’amenait ce fut comme un lendemain de Noël… Tout bascula pour le coup… J’entre à Poudlard, Mon père me prête ca vielle robe de sorcier qui puait le vieux… Et puis on arrive a avoir toute mes fournitures…
Premier jour, premier ennui, premier cassage de gueule dans les escaliers, bref tout de quoi pour faire un monde c’était bien ce que je me disais. Surtout quand j’arrive près du grand escalier qui mène à la grande salle, cette femme qui semblait si fragile de par son physique gringalet. Je ne la connaissais pas et pourtant elle était connu pour être le bras droit du Directeur : Le professeur Minerva McGonnagall : « Vous venez à peine d’arriver que vous êtes déjà en retard Mr Weasley… » Dit-elle de sa voix hautaine qui donnerai presque envie de l’appeler Masha Beranger. C’est le grand soir des répartitions des premières années… Je stress, car mes parents voudraient que j’aille dans leurs maisons, mais je n’avais pas envie de rejoindre leurs maison… j’avais déjà cette envie de montrer mes preuves… Mais je ne voulais pas aller chez les serpentards, leurs sales gueules ne me revenaient pas. Le Choixpeau posait sur ma tête : « Tien donc ! Cette crinière me rappelle un vieux dicton… Ne vous fiez jamais à un Weasley… Tu ne veux pas aller à Gryffondor ? Hum pourquoi ? Ah je vois, dans ce cas les Serpentards… Oh mais je vois un grand potentiel… Une intelligence plutôt claire… POUFSOUFFLE ! » Un tonnerre d’applaudissement de ma futur maison et me voilà atterrir dans une maison que je n’allais pas quitter de sitôt. Mais la rentrée à Poudlard signifia une chose ma mère m’emmena avec Amos pour vivre à Godric Hollow’s avec son nouveau Mari Eric, un Aurore. J’avais un profond respect pour lui, car pour moi les Aurores étaient le signe du bien.

Ce fut un Noël pas comme les autres, alors que j’étais resté à Poudlard pour réviser pour les examens. J’étais du genre solitaire surtout pendant les périodes de fêtes. Alors que je lisais mon cours de potion, j’entends un bruit et puis on tambourine à la porte de ma chambre « Méliès ! Ouvre vite ! » Je me précipite en ouvrant c’était mon Cousin, Arthur… « Méliès vient avec moi, tu as reçu un hibou venant de Godric Hollow, ta famille est en danger ! Il y a Godric qui vas chercher son père l’Aurore. » Mon cœur s’accélère et se saccade. Je savais ce que je devais faire leur porter secours quoi qu’il arrive. « Attend je prends le porte-au-loin. » Je file vers mon lit, je m’habille en deux secondes, prenant ma baguette et en ouvrant la malle au pied de mon lit je cite une formule : « Caché aux yeux de tous, tu nous parais inconnu, mais à mes yeux tu te mets à nu… » Soudain, le voile se dissimula, c’était une partie caché de cette malle magique… Je prends une étoffe de tissu et je cours vers Arthur : « Prend le bout on y va… » J’ai peur qu’il soit trop tard, j’étais effrayé de ce qui a pu se passer. Je pense à Amos et à ma mère et soudain on se fait transphaser dans l’espace-temps pour arriver devant ma maison à Godric Hollow, j’entends des bruits. Une bataille se passé à l’intérieur… On fonce à l’intérieur armé de nos Baguettes… En défonçant la porte, j’aperçois le corps de ma mère qui tombe après avoir été projeté par la bête, j’en revenais pas c’était un loup garou ! « Vite Arthur on doit l’encercler… avant l’arrivée de Godric et son père ! » Arthur tente de l’affaiblir mais s’en façon alors que je lance un sort de stupéflix, j’arrive légèrement à l’affaiblir mais ce n’était pas assez, soudain il me vient une idée. Mais il était interdit de l’utiliser, mais bon je n’avais pas le choix. Je n’osais pas regarder ma mère ni Amos, soudain je vois un signe distinctif qui ne correspond qu’à une personne que je connais : « Er… Eric ! » Le mari de ma mère c’était lui je n’en revenais pas… Je ne pouvais pas lui lancer le sort de l’Endoloris, et puis je me souviens de se sort, il semble comme ça inefficace, mais peut être que cela pourrait marcher l’espace de quelques secondes. Le temps que l’Aurore et Godric viennent nous aider. « Petrificus Totalus ! » Le jet de lumière se projeta sur le lycanthrope enveloppant son corps comme s’il était gelé, mais il n’était pas pétrifié ses mouvement était ralenti et on pouvait analyser ses attaque… Les deux sorciers nous rejoigne alors que l’un des deux possédé une chaine en argent qui pourrait permettre d’immobiliser le lycan… L’aurore s’occupa de lui et l’amena à Azkhaban. Alors que Arthur, Godric et moi on faire en sorte d’emmener ma mère qui était encore en vie « Dieu soit loué ! » et Amos était en état de choc sous un sors d’Entrave… Une fois à Sainte Mangouste, je reste au chevet de ma mère jusqu’au nouvelle du médecin. Ensuite je rejoins Amos qui dormait encore alors que nos frères et sœurs ramènes de quoi souhaitaient un prompt rétablissement à Amos… Je me pose enfin sur le fauteuil à côté de son lit… Ce fut le seul moment de calme que j’ai depuis cette nuit tragique… J’ai encore les mots des médecins qui résonne « Votre mère… Lycanthropie… Schizophrénie… Cellule spéciale… à vie… » Mes yeux se brouillent… Mon souffle se saccade, mes muscles se crispe… mes larmes coulent… Je pleure en silence pour ne pas déranger Amos… Je me rends compte de tout le mal qui a été fait… Je ne l’a reverrais plus, alors que j’ai vu sa vie se limité à rien sur le sol de notre maison… Soudain j’entends des gémissements venant du lit, Amos se réveillait… Je saute vers lui les yeux pleins de larmes : « Amos ! Seigneur dieu tu es réveillé… » Enfin un peu de joie dans cette noirceur. Je fus étonné que les premiers mots de mon petit frère fut : « Où est maman?! » sa voix… me brisa, sa question encore plus je m’effondre sur le sol en sanglots… Je ne dis rien, je reste silencieux, mais à son regard j’ai su qu’il avait compris… « Non... Non... » Il se lève pour sortir de la chambre j’en fais de même pour le rattraper mais il courrait vite le bougre. Je le vois devant la porte menant dans la salle d’examen, plusieurs patients étaient là, j’y suis rentré une fois et cela m’a suffi… « Amos… » Je me place devant lui alors que je ne voulais pas qu’il entre, il se jeté sur moi pour pouvoir rentrer je couine alors d’une voix grave « N'entre pas petit frère... » Je cède et je le laisse rentrer alors qu’il rentre je reste prêt de lui, on s’approche de la salle et je le vois rejoindre la horde de médecin qui se péchaient sur le cas de ma mère… Je ne voulais pas revoir se visage défigurer entre la folie et la maladie. Je le vois alors hurlais : « Maman! » Un cet instant j’ai vu l’enfance de mon frère se brisait… je l’observe en silence alors qu’il se colle à notre mère… Les médecins demandent mon aide pour pouvoir l’aider à sortir… C’est l’une des dernières fois que j’ai rendu visite à ma mère. j'apprend qu'Eric a été accusé coupable lors de son procés et jeté à Azkhaban pour la fin de ses jours j'en étais soulagé, mais cela n'y change rien à l'état d'Amos et de ma mère... ils seront brisé à jamais.

Après le sort raté du ministère de la magie, je finis mon année en essayant alors de découvrir mon Patronus. Je quitte Poudlard en laissant ma famille derrière… Je quitte Godric Hollow pour découvrir la ville de Londres. Après un stage au ministère de la magie dans la section des Moldus. Je trouve un autre stage pour la gazette du Sorcier. Au début je n’étais qu’un petit scribouillard, mais je monte les échelons vite. J’ai eu un mentor dans les bureaux de la Gazette. J’en étais admiratif alors qu’il semblait si charismatique. Lui qui semblait n’avoir peur de rien… J’étais du genre à me faire malmener par mon Patronus qui sortait tout droit d’un Tex Avery… L’esprit lubrique, l’air sarcastique et cette façon de tout tourner d’un sens pervers, me rendait malade… Mais cela me plaisait finalement, je m’en inspire et c’est ce qui me fait monter les échelons… Un an plus tard, mon nom se fait enfin connaitre dans le monde du journalisme, mes chroniques sur l’arrivé de la Peste du Patronus fait les gros titre... Je reçois un hibou de Poudlard, m’annonçant que Amos était atteint par la maladie, je décide de retourner à Poudlard quittant la Gazette, je reste tout de même à leurs crochets, me proposant de me lancer en Freelance. Une fois à Poudlard, Amos se retrouve en quarantaine, je ne voulais pas que cela arrive à nouveau… « Eh bien… Cette génération de Weasley est maudite ma parole ! » Je me retourne en voyant mon Patronus, les pattes croisé en regardant la scène : « Ta gueule Finnick ! » Disais-je alors qu’il n’y avait que moi qui pouvait l’entendre… Je n’ai pas été atteint par la maladie, d’après le médecin j’étais immuniser, je fus de ceux qui donna son sang pour aider les chercheurs. C’est quelques semaines plus tard, j’apprends qu’un poste de professeur venait de se libérer après la disparition de celui-ci. Dumbeldore me convoque alors et me propose le poste, j’ai été l’un des meilleurs élèves de Poufsouffle dans le domaine du journalisme, mais vu qu’il savait pour l’histoire de la ma famille, il comprenais alors mon intérêt a vouloir garder un œil sur ma famille maintenant qu’ils sont tous a Poudlard… J’en étais devenu le tuteur de Amos après que notre mère soit désigné comme folle. Je deviens alors le nouveau professeur d’écriture magique.
Maintenant… Faites place AU PRINCE WEASLEY LUI CEST BIEN LYES WEASLEY… POSTERNEZ VOUS AGENOUILLEZ VOUS BIEN DEVANT LUIIIII… Je vais prendre mes médocs salut !