BELLUM PATRONUM


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Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
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Message Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 20:37 (#)
Persephóneia Velasca
Malefoy
ft. katie mcgrath
sang-pur
32 yo.
mariée
hétérosexuelle
langue-de-plomb
mamba noir
tendances pro-mangemort
feunoyr
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À propos
Nom: Burke était mon nom de jeune fille. Aujourd'hui, j'ai le noble titre de Madame Malefoy. Qui ne connait pas cette famille terriblement puissante, qui contrairement à la famille Black, n'acceptent pas du tous les moutons noirs. Ils préfèrent tuer purement et simplement ceux qui n'ont pas la moindre trace de magie, ceux qui préfèrent mener leur vie loin de leurs convictions, ou encore ceux qui tourne le dos à la famille. Prénom: Persephóneia. Un hommage à la déesse mythologique de la résurrection et de la mort pour laquelle ma mère a toujours eu beaucoup d'affection. Velasca. Encore un hommage - mais cette fois, il s'agissait du prénom de ma grand-mère paternelle. Mon père a insisté pour que l'une de ses filles porte le prénom de sa défunte mère. Âge et Date de Naissance: 32 yo - même si j'aime en paraître moins. Superficielle ?! moi. Sinon, je suis née le 25 mai 1950 à l'Hôpital Magique Sainte-Mangouste - qui par ma foi, n'est plus ce qu'elle est. On accepte d'y soigner n'importe qui de nos jours. Quelle honte ! Nature du sang: sang-pur évidemment. Les Burke sont aussi pur que les Malefoy - est celui qui en douterait aura à faire à moi et à toute une famille en colère. Situation familiale: j'ai été promise depuis ma naissance au dernier fils des Malefoy. Il venait d'avoir 6 ans quand je suis venue au monde, mais ça n'a en rien gêné mes parents. Ce n'est que lorsque j'eus 16 ans que j'appris, que j'allais me marier avec un homme de six ans mon aîné. Je n'ai rien tenté pour empêcher celà, la joie de mes parents et la reconnaissance des autres familles de sang-pur ont suffi à me convaincre. Mon mari et moi, nous nous entendons à merveille - sans doute parce que nous avons la même haine pour l'imputé des autres sangs différents du notre. De cet amour haineux, est né neuf mois après notre mariage un garçon. Il y a 16 ans désormais - je ne l'ai pas vu grandir. Il est notre fierté à son père et moi - et j'espère qu'il n'aura jamais à nous décevoir, le contraire en serait que néfaste pour lui. Patronus: autrefois un raton-laveur, mais l'intrépide et astucieux procyonidé a laissé place à un être perfide, cruel et mortel - le plus dangereux de tous les reptiles. J'ai nommé le mamba noir. Miroir du Rised: un monde uniquement régenter par les sang-purs et où les autres impuretés seraient traités comme des esclaves - encore pire que les elfes de maison. Epouvantard: son fils épousant une moldue - brisant ainsi la chaîne de pureté de la famille. Composition de la baguette magique: ma baguette est en bois de châtaigner. Elle mesure 31,5 cm et contient un ventricule de cœur de dragon. Elle est souple et très résistante - parfaite pour les sortilèges interdits. Je l'ai depuis, que je suis en âge d'avoir des pouvoirs magiques - et j'espère ne jamais avoir à m'en séparer.  Emploi: je travaille au Ministère de la Magie, au  sein du département des Mystères. Je suis une langue-de-plomb. Un métier à aux risques puisque je sais tout ce que vous pauvres ignorants, ne saurez jamais. Animal de compagnie: Un berger Allemand de trois ans que son mari a gagné en pariant sur l’équipe professionnelle de Quidditch britannique. Il l’a baptisé Sade en référence au grand marquis Français dont, il adore les œuvres.  
Caractère
Persephóneia c'est une bonne sang-pur. Et comme tous les sang-purs, elle a une haute estime d'elle-même - elle se croit au-dessus des autres et des lois parce qu'elle a le sang noble, le sang des riches. Persephóneia, elle se permet beaucoup de chose, elle est méchante, hautaine et mauvaise. Elle aime se moquer des autres, parce que son rang le lui permet - déjà enfant, c'était une petite peste. Ses parents lui ont bien fait comprendre qu'elle pouvait avoir le monde à ses pieds - parce qu'elle possédait ce que peu de monde avait : un sang pur. Elle est cruelle, blessante et insensible. Les mots et les insultes qu'elle crache, sont aussi acerbes et mortels que le venin d'un serpent. Elle touche là où ça fait le plus mal et quasiment à chaque coup, elle parvint à toucher sa cible. C'est une stratège et une saleté de manipulatrice - rien ne compte sauf elle et ceux qui lui sont intimement proche. Elle n'a peur de rien, ni de personne - sauf de son mari. Il est le seul à lui donner des sueurs froides. Parce qu'il a déjà posé la main sur elle. Il était sous l'emprise de l'alcool et elle se souvient de sa fureur et de sa puissance, de ses coups et des hématomes violacés sur sa peau trop blanche. Et depuis, elle a une peur bleue de lui et redoute le jour, où elle se retrouvera à nouveau face à lui et à son addiction pour la bouteille. Persephóneia, elle est très secrète - d'habitude, elle parle beaucoup pour ne rien dire, mais quand il s'agit de son travail - elle ne dit absolument rien et comme par enchantement, elle devient muette comme une tombe, comme un tombeau impénétrable. Tous ceux qui la connaissent savent que c'est une langue-de-plomb et que seul un sortilège impardonnable pourrait lui délayer la langue. Elle a peu de compassion pour toute vie sur cette Terre - seuls les deux hommes de sa vie peuvent se vanter d'avoir une place si spéciale dans son cœur aigri et assombri par le pouvoir et la haine.
Patronus
Persephóneia, elle sait maîtriser le sortilège du patronus. Comme tous les sortilèges, à partir d'un certain temps et d'un certain âge, ils sont plus difficiles à maîtriser - et il a fallu un certain temps à la jeune femme pour parvenir à fabriquer un patronus parfait. Au début, c'était des faisceaux de lumière pas très nets - et puis, ils ont commencé à grandir et illuminer de plus en plus forts. Et un jour, est sortie de sa baguette un raton-laveur, sans doute parce qu'elle était une adolescente aussi intrépide et taquine que ce petit voleur masqué. Et puis il est arrivé une chose qui n'aurait jamais dû se produire. Celui qu'elle a épousé la frappé - laissant des hématomes violacés sur son corps et une grande fissure dans son cœur. Choquée. Elle garde le silence sur ce qui s'est passé ce soir-là. Il puait l'alcool, alors ne se souvient de rien, mais elle n'oubliera pas et son patronus non plus. Sous le choc, le gentil raton-laveur a disparu - pour laisser place à celui qu'on appelle dans la brousse " l’annonciateur de l'agonie ". Le perfide et mortel : mamba noir. Il n'a plus jamais changé de forme depuis l'incident avec son mari. A contrario de son fils, elle n'a pas son patronus sous forme corporelle à ses côtés. Le sien reste comme il est et elle peut uniquement s'en servir pour se protéger d'éventuels détraqueurs et moremplis - ainsi qu'envoyer des messages.
Pseudo et âge: Draskar - 21 yo. Où as-tu trouvé le forum ? sur forumactif précisément Personnage: Famille de Sorciers de la Saga As-tu un autre compte sur BP ? nop, mais pourquoi pas un jour  ALBERT Présence: tout dépend de mes horaires, sinon ça sera trois jours la semaine et quasiment le week-end Une remarque ? oui, j'aime les  mikloslegrostas  


Dernière édition par Persephóneia V. Malefoy le Dim 7 Fév - 14:10, édité 16 fois
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 20:37 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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Toutes les histoires commencent par il était une fois ... et la mienne ne fait pas exception. Mon nom est Persephóneia. Oui comme la Déesse de la Mythologie. Je dois ce prénom à ma mère, grande amoureuse et admiratrice de mythologie grecque depuis sa plus tendre enfance. Avant moi, sont nées mes deux soeurs aînés et comme moi, elles n'ont pas pu échapper à la lubie de notre mère. Si bien qu'elle a appelé ma première sœur : Athếnêa - et la seconde : Aphrodítêa. Mes parents sont Mr. et Mme Burkes. Oui Burkes. Comme dans Borgin and Burkes. Le frère de mon père en est le co-propriétaire. Et puis au fait mon père, comment il se place dans tout ça - entouré de femmes. Il est heureux, je crois. Un troisième enfant ça change la vie c'est-sûr, mais disons qu'une troisième fille ça a dû être un peu trop pour lui. Il aurait été tenté de féconder à nouveau ma mère, pour qu'elle lui donne enfin un héritier mâle, mais si c'était pour se retrouver avec une quatrième fille, ça n'en valait vraiment pas la peine. Alors, il s'est abstenu et s'est contenté de ce qu'il avait. Si bien qu'à-peine née, je fus promise au dernier des fils de la famille Malefoy. L'une des familles de sang-pur, les plus riches et les plus influentes de tout le royaume britannique. Dans cette famille, il n'acceptait rien d'autre que les sang-pur car, ils étaient hors de question qu'un sang prohibé vienne détruire cette chaîne de pureté qui dure depuis des générations et des générations. Ainsi donc, mon futur-mari était le dernier hériter des Malefoy. Un petit garçon tout juste âgé de 6 ans. Lui et toute sa famille étaient là, le jour de mon baptême. Une grande réception, avec des cadeaux, un gros gâteau et des personnes que je ne reverrais plus jamais - une fois que je serais mariée. Le petit Malefoy est venu dire bonjour au nouveau-né que j'étais. Il avait un air de dégoût qui se lisait sur son petit visage enfantin - sans doute, était-il dessus d'être promis à un bébé, plutôt qu'à une petite fille de son âge. Comme je peux le comprendre. Mais lorsqu'il verra quelle jolie femme je serais, dans une vingtaine d'années, il changera bien vite d'avis. Pour le moment, il faisait sa petite vie, de petit garçon - et moi, ma toute nouvelle vie de nouveau-né. Et après ce baptême, j'ai découvert les joies et les contraintes, mais surtout les joies d'être un bébé. Hurler pour avoir un biberon, hurler pour empêcher maman et papa de dormir, hurler sans raison particulière, hurler et encore hurler. Toute juste née et je faisais déjà souffrir les autres - à croire que j'étais prédisposée à être une petite peste. Mon enfance a été une grande source d'amusement pour moi - d'une part parce que j'étais la chouchoute des parents et de mes sœurs me jalousaient comme des poux, parce qu'à contrario d'elles, je ne me faisais jamais disputer, parce que j'étais la plus petite et qu'elles, en tant que grandes sœurs, elles devaient montrer le bon exemple. Alors souvent, pour éviter le ramdam dans le manoir, mon père me prenait avec lui à la boutique - histoire que je fiche un peu la paix à mes sœurs. J'adorais venir à la boutique avec lui, parce que je rencontrais tout un tas de monde ... très intéressants. Et puis, je jouais aux cartes ensanglantés avec Mr. Barjow. Il laissait volontairement gagner, parce qu'il savait que j'étais mauvaise joueuse - et que si je perdais, lui, mon oncle et mon père auraient eu le droit à une de mes colères les plus magistrale. Alors il me laissait gagner et je jubilais. Et j'ai continuais à venir avec papa à la boutique de tonton et du vieux Barjow - jusqu'à mon onzième anniversaire. Un jour très important mon onzième anniversaire - puisqu'en plus de recevoir de somptueux cadeaux, j'ai reçu comme mes sœurs avant moi et les autres enfants de mon âge : la fameuse lettre cachetée du sceau de l'École de Sorcellerie Poudlard. C'est toute heureuse et toute fière, que nous allés avec mes parents sur le chemin de Traverse - afin d'acheter les fournitures indispensables pour ma toute première année. On a commencé par les tenues de sorcier, après ça a été les livres et manuels, suivi des fournitures en tout genre et enfin, le plus important de tout la baguette magique. Souple et très résistante, elle est en bois de châtaigner, mesure 31,5 cm et contient un ventricule de cœur de dragon. Ma première rentrée c'est super bien passée, j'étais la première debout - mes parents prenaient à peine leur petit-déjeuner, que j'étais habillée, chaussée et prête à me rendre sur la Voie 9¾. Dissimulée entre les voies 9 et 10, ce sont mes sœurs aînées âgées de 17 et 15 ans qui passent les premières - et juste après ça a été notre tour à mes parents et moi. J'ai facilement trouvé une place dans le train, puisque nous étions grâce à moi, les premiers sur le quai de la gare. Dans le wagon où j'étais installée, il y avait un garçon et deux filles. Nous avons discuté durant tout le trajet et ils se trouvent que nous avions tout un tas de points en commun - et j'espérais me retrouver dans la même maison qu'eux lorsque le tour de la répartition arriverait. Je vais vous épargner mon arrivée à Poudlard et ma répartition ... quoi que non, je vais vous en parler un peu de ma répartition. Parce que je suis tellement fière d'être tombée dans cette maison - que je ne peux pas m'empêcher de vous envoyer toute ma fierté et mon bonheur en plein visage. Alors que j'attendais mon tour, la vieille Mcgonagall appela enfin les derniers de la liste des B. Je m'asseyais sur le tabouret, la laissa me mettre le Choixpeau sur ma tête - et à peine l'avait-elle posé - qu'il me répartie dans la maison que je devrais suivre durant sept années. Et devinez dans laquelle je suis tombée ! Si vous avez dit Serpentard - bravo vous avez gagné une médaille en chocolat. Souriante, je suis allée m'installer à côté des autres premières années - et comme je l'ai souhaité, les trois amis que je m'étais faite dans le train, ont atterri dans la même maison que moi. Une belle année en perspective. Surtout que notre préfet-en-chef, s'était mon futur époux, mais ça, je ne le savais pas encore. Par contre lui, il s'avait qui j'étais - et il était aux petits soins pour moi, sans que je ne sache pourquoi, mais je me posais pas plus de question que ça et acceptait d'être traité comme une petite princesse. Cette première année passa à une telle vitesse - que je n’ai rien vu passer et qu'il me tardait déjà d'entrer dans la deuxième, la troisième, la quatrième, etc ... Quoi qu'il en soit, nous passons en cinquième année. Une année importante, puisqu'il s'agit de l'année du Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire. Sur les dix épreuves passées, j'ai obtenu 7 BUSE : dont 5 en matières obligatoires et 2 en matières optionnelles. Et puis, je suis passée en sixième année. Je pensais que ça serait une année comme les autre, sans soucis et sans problème. Une année banale quoi. Eh bien j'étais à mille lieues de la vérité. Ça s'est passé pendant les vacances de Noël - après l'ouverture des cadeaux. Il y avait mes parents, mes deux sœurs avec leurs maris - tous les deux des sang-pur je vous rassure. J'étais en train d'ouvrir mon dernier cadeau, quand on vint sonner à la porte. Mon père alla ouvrir. Il s'agissait du jeune Malefoy, anciennement le petit garçon de 6 ans et le beau préfet en chef de Serpentard. Lorsqu'il fit son entrée, j'étais la seule surprise de la voir dans le salon. Comme si pour les autres, s'étaient tout à fait normal qu'il soit là. Tout un coup, je me sentis comme piégé - comme si j'étais une pauvre petite proie sans défense prise au piège par des carnassiers aux dents acérées et assoiffés de sang. Soudain, il sortit de sa poche un petit paquet cadeau. Je suis devenue blanche, je ne comprenais pas ce qui été en train de se jouer devant mes yeux. Je ne savais pas quoi faire, l'ouvrir ou lui balancer à la gueule. Je le connaissais à peine et il m'offrait un cadeau - c'était un ni rien comprendre. Et là, je commençais doucement à soupçonner mes parents d'être les auteurs de tout ça. Hors donc, j'ouvris le petit paquet. À l'intérieur, un écrin rouge en forme de coeur. Alors là, j'étais à deux doigts de lui jeter son truc et de monter m'enfermer dans ma chambre - mais j'étais terrorisée, incapable de bouger. Seules mes mains pouvaient bouger et machinalement, elles ouvrirent l'écrin où une magnifique bague en or blanc sertie de petits diamants et d'un diamant solitaire de 18 carats y était déposée. Mes yeux s'écarquillèrent. Une bague de mariage ! Et là, tout se bouscula dans ma tête et doucement le puzzle commençait à se résoudre dans ma tête.
- Euh ! ... maman ... papa ... vous m'expliquez. C'est quoi ce cirque ?! Les questionnais-je, alors que je refermais l'écrin.
- C'est une longue histoire ma citrouille ! Affirma mon père.
- On peut en discuter après le dîner. Léandre vous vous joignez à nous pour dîner ?! Renchérit ma mère en questionnant le jeune homme, prit au dépourvu par la situation - ne sachant pas s’il devait accepter ou pas l'invitation. Et avant même qu'il ne réponde, je le coupais dans son élan.
- NON ! JE VEUX SAVOIR CE QUI PASSE MAINTENANT ET POURQUOI CETTE FACE DE TROLL QUE JE CONNAIS À PEINE VIENT DE M'OFFRIR UNE BAGUE DE MARIAGE ! hurlais-je à gorge déployé. Et alors je t'attendais des explications, le jeune homme d'un peu plus d'une vingtaine d'années répondant au nom d'Léandre se racla la gorge - afin d'attirer mon attention.
- Permets-moi de répondre à cette question. Je me permets de te tutoyer, puisque nous sommes promis l'un à l'autre depuis ta naissance. Il faut que nous commencions à nous tutoyer.
- Comment ça nous sommes promis depuis ma naissance ?!
- Si tu me laissais terminer mon explication, jeune pie, tu connaîtrais la réponse. Tes parents et les miens se connaissent depuis toujours et il a été convenu lors de ta venue au monde - que lorsque tu aurais atteint ta seizième année, nous devions nous marier dans le manoir de mes parents. Ça répond à ta question ?! Me questionna-il les yeux dans les yeux. Arrogant, mais affreusement séduisant.
- Et tu crois sincèrement que je vais t'épouser parce tes parents et les miens l'ont décidé. Je crois pas non ! dis-je en lui lançant un sourire amusé, à demi pas du sourire condescendant.
- Je crois que tu n'as pas bien saisi, qu'on te laissait pas trop le choix. C'est simple ! Soit tu m'épouses comme convenu et rend heureux tes parents et les miens. Soit t'es condamnée à épouser un sang-mêlé, un cracmol où dans le pire des cas un sang-de-bourbe. Et j'ai cru comprendre que tu méprisais ces abominations de la nature, autant que moi je les méprise. Tu vois, nous avons déjà un point en commun ! me sourit-il en s'approchant un peu plus près de moi - me scrutant de ses beaux yeux d'un bleu glacé. Alors que décides-tu ?! Quittant son regard, je me tournais vers ma mère et mon père. Faire passer leur bonheur avant le mien. En étais-je réellement capable ?! J'ai longtemps réfléchi à la question et je n'étais pas bien sûr de trouver la réponse - mais il en fallait une tout de suite. Alors j'ai tranché et j'ai accepté. Le bonheur de mes parents avant le mien. Une décision difficile à prendre, mais nécessaire. Je me retournais vers Léandre pour lui donner ma réponse.
- Je consente à faire le bonheur de mes parents en acceptant de t'épouser.
- Heureux de l'entendre. me sourit-il en prenant l'anneau dans l'écrin et en me le passant au doigt. Et il me prit au dépourvu, lorsque ses lèvres vinrent se poser contre les miennes. Je ne l'ai pas repoussé - à quoi ça aurait servi ?! à rien. J'étais fiancée. Mes parents avaient les larmes aux yeux - ils étaient fières de moi. Fières de me voir prendre la bonne décision. Il s'avait qu'en épousant un fils Malefoy, je ne manquerais de rien - riche comme il était, je n'aurais pas à craindre la crise économique. Et ainsi donc, comme prévu, nous nous sommes mariés dans le manoir de ses parents. Il y avait au moins 500 personnes - dont une majorité de personnes étaient de sa famille à lui. Une réception avec une piste de danse immenses et un orchestre symphonique géant. Et, je ne vous parle même pas de la pièce montée. Rien que d'en parler, j'en ai mal au ventre - tellement j'en ai trop manger ce jour-là. Nous avons passé notre lune de miel en Italie parmi les moldus - ce n'est pas parce que nous les détestons, que nous détestons forcément leurs architectures, leurs boutiques où le cadre dans lequel ils vivent. C'était un très beau voyage. Et durant tout notre séjour, il n'a pas cessé d'être au petit soin pour moi - et petit à petit, je me suis ouverte à lui - je lui donné la clé de mon cœur. Si bien que j'ai accepté de me donner à lui pour la toute première fois. Et neuf mois plus tard, je donnais naissance à mon premier enfant. Un petit garçon que nous avons affectueusement prénommé : Alcide. Seize ans et déjà maman. Je craignais de ne pas pouvoir terminer mes études à Poudlard. Sachant que j'avais impérativement besoin du dernier examen pour pratiquer le métier que j'envisagé de faire : Langue-de-Plomb. J'ai toujours été fasciné et en même intriguée par ces hommes et ces femmes de l'ombre. Que pouvait-il cacher de si important ?! C'est ce que je voulais découvrir. Et finalement, j'ai pu entrer en septième année. Léandre aidait de ses parents et des miens se chargeraient de s'occuper du petit pendant que moi, je me chargerais d'avoir ce dernier examen que j'avais attendu avec beaucoup d'impatience. Et lorsque le jour J arriva ; j'ai passé l'Accumulation de Sorcellerie Particulièrement Intensive et Contraignante avec détermination et brio. Et comme pour le B.U.S.E, j'ai obtenu le même résultat - en réussissant 7 épreuves sur 10 au total. Faisant de moi, une jeune maman diplômée. Il était temps pour moi, d'entrer dans la vie active et de gagner mes premiers Gallions. Mon premier jour au sein des Langues-de-Plomb était très enrichissante, mais j'ai promis de ne rien dire à personne - une promesse que tous les sorciers travaillant au sein du Département des mystères sont obligés de respecter sous peine de représailles. Et je ne tiens à perdre mon emploi - parce que j'aurais oublié de tenir ma langue. D'ailleurs, avant chaque entrée dans le département, il est conseillé de se lancer à soit-même le sortilège du nouage de langue, pour s'empêcher de parler pour ne rien dire - au risque de dévoiler des secrets, sans le vouloir. J'étais une apprentie langue-de-plomb est j'aimé ce que je faisais. Et lorsque je n'étais pas au Ministère, j'étais à la maison pour m’occuper de notre petit poussin. Il venait de fêter ses deux ans et nous avions fêté son anniversaire chez mes parents. Il avait été gâté ce jour-là, encore pire que moi, lorsque j'avais son âge. Il a réussi à me piquer ma place de chouchoute, mais je lui ai volontiers laissé - chacun son tour. Je n'aime pas les enfants à la base et encore moins les bébés avec leur grosse et leurs petites doigts boudinés - ceux de mes sœurs me fatiguent plus qu'autre chose, mais lorsque je regarde mon fils, mes yeux sont remplis d'une infinité d'étoiles. Je l'aime encore plus que j'aime mon propre mari - c'est dire à quel point, il a pris une place importante dans ma vie. Moi qui haïssais les enfants, il a fallu que j'en ai un moi, même pour changer d'avis. Enfin, j'aime que mon fils, les enfants des autres ce n’est pas encore ça. Quoi qu'il en soit, les années ont passé et nous fêtions comme tous les ans l'anniversaire du petit, mais il y a un anniversaire - que je n'oublierais pas. Le huitième anniversaire. C'est ce soir qui m'a changé à jamais. Je venais de coucher Alcide, déçu que son père ne soit pas là pour son anniversaire. Son travail lui prenait tout son temps en ce moment et il rentrait de plus en plus tard - et la plupart du temps, il rentrait sentant l'alcool et le cigare. Je détestais ces odeurs mélangées autant que les enfants de mes sœurs. Et ce soir-là, il est rentré plus tard que d'habitude. Il puait encore plus l'alcool et le cigare, j'avais envie de vomir, mais je ne fis aucune remarque - l'aidant simplement à enlever sa veste. Soudain, il me plaqua violemment contre le mur - ses mains me broyaient littéralement les bras et le poids de son corps contre le mien m'empêchait presque de respirer et son souffle chaud puant le whisky pur-feu n'arrangeait pas les choses.
- Léandre ! Qu'est ce que tu fais ?! Lâche moi tu me fais mal. Lui signalais-je en essayent de me dégager de son étreinte trop puissante.
- Allez juste un petit coup vite fait et on va se coucher. dit-il en commençant à déboutonner les boutons de mon chemisier en dentelle noir.
- Non ! Pas quand tu es dans cet état. rétorquais-je en repoussant ses mains de mes boutons, que je refermais l'un après l'autre. Et maintenant lâche-moi ! Insistais-je lourdement.
- Pourquoi le ferais-je ?! T'aimes ça pourtant quand je suis violent avec toi. souffla-il en effleurant ma joue du bout des doigts.
- Oui, mais ça reste soft et dans l'intimité de notre chambre. Là c'est beaucoup trop rude pour moi et tu n'es pas toi-même. L'alcool te rend mauvais et je n'aime pas ça. avouais-je. Le suppliant du regard d'arrêter - avant que tout ça ne dérape.
- Mais si que t'aime ça ! affirma- t-il en glissant une main à l'intérieur de mon jeans.
- NON ! hurlais-je en lui donnant une gifle si violente, que la marque de mes doigts s'imprimèrent sur sa joue. Il a reculé, touché sa joue chaude et m'a regardé. Je lisais une telle colère dans ses yeux - que j'en restais paralysée sur place. Léandre ... je ... je ... je suis désolé.  balbutiais-je avec difficulté.
- Salope ! T'as osé lever la main sur moi. siffla-il entre ses dents, les poings tellement serrés que ses jointures commencèrent à changer de couleur.
- ... Je... fût le seul mot que je pus dire avant de sentir la lourdeur de son poing atterrir sur ma tempe. Ce qui me fit m'écrouler sur le sol du salon. Il sortit sa baguette magique et lança un sortilège de réclusion pour fermer et verrouiller toutes les portes du salon et d'un autre coup de poignet, il lança un sort d'insonorisation dans toute la pièce pour qu'aucun son ne puissent en sortir. Le carnage pouvait commencer. Je le vis relever ses manches, ma vision était floue, mais j'arrivais à discerner sa silhouette. Violemment, il agrippa ma chevelure pour me forcer à me relever - il m'embrassa avec une telle violence qu'il m'écorcha la lèvre inférieure avant de m'envoyer un autre coup de poing en plein visage. Sa violence était si intense que je n'avais plus la force de supplier - je pouvais que pleurer et subir ses coups et ses insultes acerbes. Il n'était pas le gentleman que j'avais épousé et que j'avais appris à aimer. En cet instant, il n'était plus mon mari, mais un inconnu que j'haïssais de tout mon être. En cet instant, mes pensées se tournèrent vers Alcide. Mon petit garçon endormi dans son petit lit, à un étage au-dessus - inconscient de ce qui était en train de se passer en dessous de lui. Mon calvaire dura une longue heure qui sembla être une éternité. Il rabaissa ses manches, annula le sort d'insonorité et s'agenouilla devant moi.
- La prochaine fois que tu reposes la main sur moi, je te ferais bien pire tu peux compter sur moi. cracha-il avant de partir à l'étage pour se coucher. Quant à moi, je restais là - des larmes silencieuses coulaient le long de mes joues. Je mettais recroquevillé sur moi-même, repassant en boucle ce qu'il venait de se passer. J'étais comme morte à l'intérieur - et je suis restée comme ça jusqu'au lendemain matin. Jusqu’à ce que j'entende des pas qui dévalaient les escaliers - j'ai reconnu la façon de descendre de mon fils, alors je me suis cachée dans la salle de bain. Je ne voulais pas qu'il me voit dans cet état. Devant le miroir, je pouvais voir de mes yeux - l'état dans lequel Léandre m'avait mise la nuit dernière. Mon oeil droit était enflé, rouge et au beurre noir - des hématomes violacés sur les bras, sur les côtes et quelques-uns encore dans le dos. C'était tellement moche, que j'en ai pleuré devant mon miroir. Dans le canapé, mon fils m'appelait - il m'avait sûrement vu aller dans la salle de bain. Je lui ai répondu que j'arrivais dans dix minutes et qu'il devait appeler Lixy, l'elfe de maison pour qu'elle lui fasse son petit-déjeuner. Pendant ce temps, j'avais pris une douche. J'avais jeté tout un tas de sorts sur mon œil pour l'aider à dégonfler plus vite - il restait encore un petit gonflement, mais c'était mieux qu'avant. Quant aux hématomes, je les caché tout simplement sous mes vêtements - un chemise à manche longue et un jeans. Et lorsqu'il m'a sauté dessus pour me dire bonjour - j'ai serré les dents pour ne pas hurler. J'avais tellement mal, mais je me suis forcée à sourire pour lui et pour ne pas l’inquiéter. Il ne devait rien savoir et Léandre non plus. L'alcool fait faire des choses qu'on regrette et je savais qu'il ne recommencerait pas. Comme j'avais tort, de croire ça. Il était devenu dépendant de l'alcool et moi, je fermais les yeux sur sa violence, parce que je l'aimais et que je ne voulais pas qu’Alcide grandisse sans son père. Parce que quand il ne buvait pas, il était parfait - un père et mari exemplaire. Alors, je fermais les yeux et le laissait me frapper quand il rentrait d'une soirée trop arrosée. Cette mascarade à durer deux ans - jusqu'à ce qu'il trop loin et m'envoi à l'hôpital. C'est notre fils qui m'a découvert sur le sol du salon, la moitié du visage en sang et complètement inconsciente. Quand je me suis réveillée, le premier visage que je vis, c'était celui d'Léandre - endormi à mon chevet. Je le regardais longuement - avant qu'il se réveille à son tour pour voir que je n'étais plus inconsciente. Ses yeux se sont embués de larmes et doucement il est venu me prendre dans ses bras et me bercer tendrement. Il s'est répandu en excuse et me jura qu'il ne toucherait plus jamais une goutte d'alcool. J'étais heureuse de l'entendre, mais une partie de moi, ne lui a jamais pardonné ces deux années à subir ses injures et ses coups sans broncher. Mon patronus en a été un parfait exemple. Mon espiègle petit raton-laveur a disparu tout un mois - j'ai même cru que plus jamais je ne pourrais avoir de patronus corporel. Et un jour, alors que je tentais de le faire revenir, une autre forme prit sa place. C'était un serpent. Et pas n'importe lequel - un mamba noir. Le plus dangereux et mortel de tous. Et il n'a plus jamais changé de forme depuis. Alcide vient d'avoir onze ans. Il est rentré en première année à Poudlard, sur le quai de la Gare, j'avais les larmes aux yeux, Léandre me consolait et en même temps se moquait un peu de moi - je lui donnais des tapes sur le bras qu'il arrête de se fiche de moi, mais ça le faisait encore plus marrer. Le soir même de son départ, il nous a envoyé une lettre pour nous dire qu'il avait été répartie chez les Serpentards et qu'il s'était déjà fait un tas de nouveaux amis. Son père et moi, nous étions fières de le savoir en bonne compagnie de gens comme lui - on n’aurait sans doute pas digéré qu'ils se retrouvent dans l'une des trois autres maisons, en particulier celle des Gryffondor qui est réputée pour ses sang-mêlés, traîtres à leur sang et autres sang-de-bourbes. Quoi qu'il en soit, tout se passa pour le mieux - pour lui et pour nous. Jusqu'à cette année de 1979 qui changea la vie d'Alcide à tout jamais. C'était durant les vacances de Noël, ont été en train d'ouvrir les cadeaux lorsqu'une légère brume argentée, l'enveloppa dans un étrange nuage scintillant et ce où qu’il ait, la chose le suivait.  Et petit à petit, le phénomène prit de l’ampleur et la brume prit une forme animale de plus en plus concrète jusqu’à devenir un être fait de chair et os. D'abord apeuré, nous avons essayé de comprendre ce qui se passait et pourquoi son père et moi n'avions pas été touché par le sortilège. C'est en apprenant dans la gazette du sorcier que tous les adultes nés avant 1954, ce qui est notre cas à tous les deux - n'ont pas été touché par le sort - tandis qu'à contrario tous les enfants sans exceptions ont été affectés. Au début, j'avoue que c'était bizarre de cohabiter avec le patronus de notre fils, mais plus on le voyait et plus ça m'était complètement égal qu'il fiche le bazar dans le manoir. Et alors que je commençais à peine ' m'habituer au patronus vivant - voilà que tomba la peste du patronus sur Poudlard. Mon fils comme la plupart de ses camarades ont été touchés par la maladie - je m'en fichais des autres, moi c'était mon fils qui m’intéressait et je voulais savoir auquel stade il en été. Lorsqu'on m'a confirmé qu'il en été au stade II, je voulais qu'il quitte Poudlard, qu'il s’éloigne loin de tous ces parasites transmetteurs de maladie - sans citer les enfants nés-moldus, mais mon regard ne trompait pas. On nous a interdit de le voir, parce qu'il a été mis en quarantaine. Une quarantaine qui a duré 5 mois. Cinq mois de stress et de colère à attendre qu'un foutu médicomage trouve un antidote pour sauver la vie et le patronus de mon fils auquel il tenait tant. Et lorsqu'il enfin, il fût trouvé et administré - mon fils a pu rentrer à la maison. A son arrivée, je l'ai serré dans mes bras - sans possibilité de le relâcher, il m'avait trop manqué. Son patronus était là aussi, mais il était différent - on le surpris à changer de forme, un effet dira-on indésirable de l'antidote. Déjà que j'avais du mal avec un patronus, alors deux.


Dernière édition par Persephóneia V. Malefoy le Dim 7 Fév - 14:17, édité 10 fois
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 20:44 (#)
Bienvenue future collègue du ministère heh héhé
Bonne chance pour ta fiche !
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 20:44 (#)
Katie bave

Bienvenue Brille
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 20:46 (#)
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche ! Brille
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Guest, Mer 3 Fév - 21:06 (#)
Katie, je ne l'avais pas vue depuis longtemps Haww

Bienvenue ici, j'ai hâte d'en lire plus Daengelo
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par Invité, Mer 3 Fév - 21:10 (#)
dead

Le début me plait déjà beaucoup trop. J'ai hâte d'en lire plus sur cette femme Hum
Je te réserve carrément un lien, un rp, tout ça Brille

Bon courage pour la suite !
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par Guest, Mer 3 Fév - 21:22 (#)
bienvenue !! :coucou:
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 21:46 (#)
Ce prénom Chou cet avatar Brille
Bienvenue Daengelo
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Mer 3 Fév - 23:20 (#)
O. Knight Lupin a écrit:
Bienvenue future collègue du ministère heh héhé
Bonne chance pour ta fiche !

merci à vous, cher futur collègue du ministère :3 braonsebaisse


L. Charlie De Breteuil a écrit:
Katie bave

Bienvenue Brille

merci beaucoup, ma jolie Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée. 2895445845 GAGA


A. Madison Jenkins a écrit:
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche ! Brille

merci, merci ma petite Madi taggletesamoi


Thaddeus A. Lestrange a écrit:
Katie, je ne l'avais pas vue depuis longtemps Haww

Bienvenue ici, j'ai hâte d'en lire plus Daengelo

bah maintenant, tu la verras quasiment tous les jours Nih

eh bien, je peux t'inviter à lire le premier post, je viens de le finir Chou


Arseni S. Gaunt a écrit:
dead

Le début me plait déjà beaucoup trop. J'ai hâte d'en lire plus sur cette femme Hum
Je te réserve carrément un lien, un rp, tout ça Brille

Bon courage pour la suite !

Eh bien comme Thaddeus, je t'invite à lire la suite Robert47cm

Et avec grand plaisir pour le lien, le rp et tout et tout ALBERT


Tomoe Kuramoto a écrit:
bienvenue !! :coucou:

merci à toi love


Angharad L. Lannister a écrit:
Ce prénom Chou cet avatar Brille
Bienvenue Daengelo

je sais, je sais que je suis trop bandante hihi siffle

merci ma belle Chou
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Jeu 4 Fév - 0:18 (#)
Katiiiie Chou Bon choix d'avatar Robert47cm Bon courage pour ta fiche Daengelo
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Jeu 4 Fév - 0:20 (#)
Oh un coupiiiin de série-télé ALBERT . merci, merci toi aussi soit-dit en passant hihi . Il nous faudra un lien obligé Robert47cm

sinon, merci à toi taggletesamoi
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Jeu 4 Fév - 0:21 (#)
Avec grand plaisir ma jolie Chou je passerais sur ta fiche à l'occasion HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Jeu 4 Fév - 0:23 (#)
ahahaha mais, mais tu nous fait la team Merlin à toi toute seule lol

excellent quoi Yeah! Haww ALBERT
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
par Invité, Jeu 4 Fév - 0:27 (#)
heu... ouais Hide HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
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Message Re: Persephóneia × je suis pas une belle personne, juste une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée.
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