BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le non | | | Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Guest, Sam 13 Fév - 18:02 ( #) | Blue Léanne Nightingal ft. Josephine Skriver Sang mêlé Vingt-deux ans Célibataire Hétéro Médicomagie Colombe et hérisson Neutre Shiya | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Nightinhal Prénom: Blue Léanne Âge et Date de Naissance: Vingt-deux ans. Elle est née le 12 novembre. Nature du sang: Sang mêlé. Un sang qui ne lui fait pas honte, qu'elle affirme haut et fort, sans même réaliser qu'il ne peut s'agir d'un sujet de fierté. Situation familiale: Des parents présents en théorie, absents lorsqu'elle a besoin d'eux. Deux frères plus âgés, l'un encore au château, l'autre en liberté. Un bon, un mauvais, lugubre trio. Patronus: Une colombe blanche prénommée Dax. Il prend aussi la forme d'un hérisson. Miroir du Rised: Elle et sa famille, unie. Epouvantard: Un incendie. Composition de la baguette magique: 23 cm, bois d'houx, crin de licorne. Flexible et beaucoup trop facile à manier. Etudes Suivies: Elle est en onzième année en médecine magique, option médicomagie. Animal de compagnie: Un chat plus souvent en fuite qu'auprès d'elle. | Caractère «Elle s’appelait Blue. On s’est parlé une fois, « salut, ça va ? », une conversation de café dans une ruelle de Londres. Quelques paroles échangées, une grivoiserie lancée, des blagues à la dérobé et des œillades mal camouflées. Elle m’a donné son numéro de téléphone, je crois. Des chiffres salés avec un petit cœur sur le i, un appelle-moi et un sourire. J’avais gardé le papier, je l’ai glissé dans mes jeans « ouais, promis, dès que j’arrive chez nous… » Et puis je l’ai oublié, entre deux mouchoirs et une capote trouée. Je l’ai revue deux ans plus tard « on se connait pas ? » Trois bières après, la mémoire qui revient, la baise qui est bonne, un appelle-moi et un murmure sur l’oreiller. Des mots envolés, un parfum entêtant et les vêtements abandonnés sur le plancher. Elle s’appelait Blue. Elle passe dans votre vie en un frôlement d’ailes, pour mieux en disparaître lorsqu’on l’appelle ailleurs, le temps d’une nuit, le temps d’une erreur.»
Blue, c’est celle qui est de passage. Elle peut traverser votre existence pour tout bouleverser, puis ne jamais revenir. Elle peut aussi être auprès de vous pendant des années, jusqu’à ce que tout soit terminé. Elle est douce, gentille, fidèle, loyale. Elle est persuadé que le bonheur existe, que le mal n’est qu’une mauvaise interprétation, que les cons sont gentils. Elle essaie de voir le positif dans ce qui ne l’est pas, déteste les disputes et fuit les combats. On lui a souvent conseillé l’auto-défense, sans qu’elle n’accepte. Elle n’est pas susceptible mais extrêmement sensible : s’il est dit quelque chose qui lui déplaît, elle va se fermer, changer de sujet de conversation et faire semblant de sourire.
Elle croit que c’est normal d’être une victime, d’être la plus faible. Elle préfère que ce soit elle que ses amis et prendrait tout sur elle si elle le pouvait, pour éviter que ses proches ne souffrent. On la dit naïve, trop innocente. Apparence. Elle sait très bien lorsqu’on essaie de l’utiliser – ou du moins, généralement - , parvient à détecter ceux qui ont de mauvaises intentions. Mais elle demeure persuadée qu’il y a du bon en chacun et si ça fait plaisir à ces gens de se servir d’elle, pourquoi pas? Elle aime mettre de la bonne humeur là où il n’y en a pas, s’amuse à faire rire ceux qui n’y parviennent pas. Pour se défendre elle-même, Blue est d’une inefficacité déconcertante. Elle n’essaie tout simplement pas. Mais lorsqu’il s’agit de protéger ses amis, elle sait se montrer moins bonace. Elle n’a des ennemis qu’à sens unique : si certains l’ont déçue, elle ne parvient toujours pas à les détester.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Le patronus de Blue est un mâle qui se prénomme Dax. Son apparition a d’abord suscité de l’incompréhension chez la jeune fille, mais leur complicité s’est rapidement installée. Il a de l’humour, il est amical et surtout, il est toujours présent, là pour elle. Le lien entre le petit hérisson à ventre blanc et son propriétaire s’est rapidement créé. Blue lui parle de tout et l’écoute généralement, sauf lorsqu’il lui donne des conseils qu’elle préfère ne pas suivre. Plus conscient qu’elle des choses du monde, de ce qui se fait ou ne se fait pas, il essaie de la raisonner, de lui faire comprendre que ses raisonnements sont parfois faux. Lorsqu’il lui fait la morale, elle feint de ne pas l’avoir compris, ou proteste simplement en disant qu’il a tort, qu’il est trop négatif. Il essaie de la protéger, mais sa forme ne lui permet pas d’agir de façon concrète. Jamais loin d’elle, ils s’apprécient mutuellement. Plus sauvage que sa maîtresse, Dax ne se laisse pas approcher par les autres et émet un étrange couinement lorsqu’il sent leur sécurité menacée. Vainement. Blue n’a pas cette méfiance et lorsque son patronus se sent en danger, elle tente de le rassurer. Souvent sous sa forme de chair, le petit familier se trouve habituellement sur l’épaule de Blue ou dans sa poche. Elle lui a confectionné un petit sac, dans lequel elle a glissé une doudou, et c’est là que Dax dort pendant les cours. Il prend rarement sa seconde forme, celle de la colombe, considérant qu’elle expose une vulnérabilité de l’âme. | Pseudo et âge: Cappuccino et 22 ans Où as-tu trouvé le forum ? Par hasard Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Peut-être bien Présence: Tous les jours Une remarque ? Yevousaime. Et le café cey la vie |
Dernière édition par Blue L. Nightingal le Dim 14 Fév - 18:05, édité 10 fois |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Guest, Sam 13 Fév - 18:02 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
J’ai envie de lui dire de partir.
Mais je ne le fais pas.
J’ai envie de lui dire non.
Mais je ne le fais pas.
Alors il reste là. Alors je dis oui. Alors je souris, je fais semblant, je ris. Il me propose un rendez-vous. J’accepte. Il me propose d’aller cher lui. Je dis pourquoi pas. Il me fait des promesses, des serments. Je lui donne ce qu’il veut, il retire ses belles paroles. Je pars. Dehors, il fait déjà noir. J’ai froid.
Au commencement, il y avait l'espoir. Londres, vingt-deux ans.
Je ferme les yeux. Le bruit ne cesse pas. J’aimerais boucher mes oreilles, mais je ne peux pas. Je dois entendre pour savoir quand intervenir, pour m’assurer qu’elle va bien.
Des voix, des verres brisés, un hurlement, puis plus un son. Le mur tremble et je retiens ma respiration.
« Blue, qu’elle me demande dans un souffle, tapant trois coups contre la cloison, notre code. – Tu vas bien? »
Je chuchote parce que je sais que l’autre ne doit pas être loin. Soit en bas, en train de cuver son vin, soit proche de sa porte, pour s’assurer qu’elle n’appelle pas les secours. Elle renifle et je sens qu’elle retient des sanglots dans sa voix brisée. Je porte ma main sur le mur beaucoup trop mince qui nous sépare, ce mur qui marque une division entre la maison de ma famille et la sienne, mais aussi dans nos vies. Ici, le bonheur, le parfum du pain aux raisins, les rires. Chez elle, l’odeur rance de la fumée, les insultes à peines voilées, le goût métallique du sang. Blanc chez l’un, noir chez l’autre. Une catégorisation simple, adéquate, facile. C’est ce que je lui ai toujours dis pour la consoler, pour lui faire oublier ses malheurs, pour la convaincre qu’elle trouverait mieux. Je veux qu’elle s’accroche à cette idée, qu'elle sache que lorsqu'elle fera le pas, elle trouvera une famille aimante. En théorie. Parce qu'il y a aussi du gris, parfois.
« Il s’est endormi. Raconte-moi encore. » –Quelle partie? –Celle concernant tes frères. »
Je souris, me rapproche du mur. Je lui parle d’une famille de trois enfants. Deux ainés, extrêmement forts, intelligents. Ils s’occupent de leur sœur, en prennent soin. Je lui raconte ce jour où, voyant que son piano était brisé, le plus vieux est allé lui en acheter un nouveau, prenant l’argent qu’il avait pris un an à accumuler. Je lui relate l’épisode où, la voyant en train de se battre dans les rues – parce que la chipie aimait beaucoup trop se battre – le même aîné était intervenu, l’empêchant de se faire casser le nez. Je lui parle longtemps, jusqu’à ce qu’elle cesse de répondre, jusqu’à ce que je sois certaine qu’elle est endormie, en sécurité.
Le sauvetage. Chestshire Park, seize ans.
« Ta gueule. »
Le menton redressé, le nez fin, les yeux perçants. Je n’incline pas la tête, ne plie pas les genoux. J’accuse l’insulte d’un simple serrement de la mâchoire et d’un tressaillement de la lèvre inférieure. J’accueille le coup qui vient de la même façon, en gardant mes jambes raides, mon ventre dur. Le second me fait serrer les poings, le troisième m’oblige à prendre appui contre le mur. Ne pas céder, ne pas crier, ne pas manifester ma présence.
« T’es qu’une sale garce, tu le sais ça, hein? »
Il peut tout briser. Mes os, mon visage, mon cœur. Mais pas ma volonté, pas ma force. Je suis résistante, je peux prendre des coups. C’est tout ce que je peux prendre, mais c’est suffisant : il ne me prendra pas tout. Il agrippe mes cheveux, projette violemment ma tête vers l’arrière. Je peux sentir le sang qui coule contre mon crâne et ma joue.
J’aurais pu le tuer, le dénoncer, tout raconter aux parents. J’y ai pensé plusieurs fois, sans m’y résoudre. Tout avouer, c’est le condamner à être répudié, c’est le mettre dans la rue, là où il deviendrait pire. Chez nous, au moins, il peut s’en tirer. Devenir meilleur.
Mon corps glisse sur le sol, sans que je ne puisse le retenir. Ma lèvre est fendue et du sang écarlate roule entre mes doigts. Il me jette son blouson, dédaigneux :
« Tu diras à maman que tu t’es encore battue… Et pas un mot sur ce qui s’est réellement passé, sinon tu ne te réveilleras pas demain matin. »
Il ment. Il ne portera jamais le coup fatal, je le sais. Il est trop lâche, trop peureux. Et puis, il m’aime tout de même, pas vrai? Je me redresse difficilement, essuyant mon visage avec son blouson. Il me tend le bras pour m’aider à marcher, comme un frère bienveillant qui aurait trouvé sa sœur dans un état pitoyable. Je l’accepte négligemment, mettant tout mon poids contre ce bras frêle.
Plus tard, chez nous, je raconterai aux parents que j’ai encore eu un combat dans les ruelles, contre des fillettes de mon âge. Une vraie chipie.
L'achat. Poudlard Park, vingt ans.
Le hibou s’envole avec ma réponse.
Je le regarde, mitigée, apeurée, déboussolée. Trop loin. Gordon est allé trop loin en touchant à la seule chose que j’aimais, au seul objet que je possédais. Il a vendu mon piano 20 gallions, une risée. Il en valait le double. Le déraillement du train m’a sérieusement blessé, m’avait-il écrit. Besoin urgemment d’argent pour payer l’opération. Je savais qu’il mentait. Il n’était pas dans le train, ce jour-là. Je l’avais cherché partout, vainement. C’était peut-être une bonne chose, qu’il n’ait pas été présent. Il aurait pu mourir et je me serais sentie coupable d’être soulagée. Envoie aussi 30 gallions supplémentaires , que la suite de la lettre disait. Sans justifications, cette fois. Mais les raisons de sa demande, je les connais très bien. Il est tombé bas, trop bas. Et ce qu’il prend nécessite plus qu’une poignée de pièces.
Je les ai envoyées. Parce que j’ai peur qu’il vende autre chose, qu’il touche aux affaires de maman. Mes économies d’une année, tout ce pour quoi j’ai travaillé. Envolées.
Je m’appuie contre la rambarde, m’efforçant de voir du positif dans cette situation. Sauf que cette fois, je n’y parviens pas. Mon piano, j’y tiens plus que tout. Et lorsque je rentrerai de Poudlard, regagnant une maison brisée par le poids des années, il ne sera plus là.
Un serdaigle me salue d’un signe de tête, voyant à mon air que je n’ai pas le moral. Je le connais vaguement, je lui réponds d’un sourire. Il s’approche, me réconforte. Je ne suis pas dupe, je sais ce qu’il cherche à faire, ce qu’il veut. J’ignore si je veux la même chose, ni même s’il m’intéresse. Mais je le garde auprès de moi, profite de ce moment. Je sais que mon frère est un connard. Je sais que les hommes que je fréquente ne resteront pas avec moi, qu’ils m’utilisent parce que c’est facile, parce qu’ils peuvent ensuite aller voir ailleurs sans culpabiliser. Je sais que je risque de souffrir, à trop vouloir voir le beau, le positif, chez des gens qui ne sont voués qu’ à faire du mal.
Mais si je n’essaie pas de rendre ce monde meilleur, si personne ne le fait, qui le fera?
Dernière édition par Blue L. Nightingal le Dim 14 Fév - 20:57, édité 14 fois |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 18:10 ( #) | Re bienvenue |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 18:17 ( #) | rebienvenue ! |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 18:19 ( #) | Rebienvenue j'apprend des choses... |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 18:44 ( #) | |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 19:18 ( #) | Rebienvenue ! OMG pourquoi vous faites tous des dcs trop beaux ! Ce prénom jadoretellement ! |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Sam 13 Fév - 19:53 ( #) | - Alexis J. Dearborn a écrit:
- OMG pourquoi vous faites tous des dcs trop beaux !
J'approuve, stop là Re bienvenue sinon et bonne chance pour la suite de ta fiche |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Guest, Sam 13 Fév - 22:25 ( #) | Bienvenuuuuuue |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Dim 14 Fév - 4:36 ( #) | Elle est trop Et dlzoldlzld Bluuue Re-bienvenue LIEN. |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Dim 14 Fév - 4:50 ( #) | Re bievenuuue |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Dim 14 Fév - 8:12 ( #) | |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Guest, Dim 14 Fév - 11:37 ( #) | re bienvenue |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Dim 14 Fév - 11:46 ( #) | Blubluuuue Ca fait plaisir de te revoir par ici Bon courage pour ta fiche |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Invité, Dim 14 Fév - 12:23 ( #) | |
| | Re: Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le nonpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Blue ◆ Elle dit oui parce qu'elle ne connaît pas le non | |
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