BELLUM PATRONUM
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| As the smile fell from your face ; I fell with it — Alma | | | As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 14:13 ( #) | Alma Andreï-Pavel Zaslavski ft. Troye Sivan Sang-Mêlé 17 ans Célibataire Homosexuel 7ème année - Astronomie / Études des Moldus / Art&Musique Une pieuvre commune & un Pangolin Neutre 1 m 73 | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Zaslavski, mais il est plus simple de se faire nommer Potter quand tout le monde regarde votre nom comme s'il venait d'une autre planète... Prénom: Alma Andreï-Pavel ; Faute d'avoir le droit de choisir son prénom, éviter d'évoquer ceux dont la consonance est trop russe est un atout bien utile. Âge et Date de Naissance: 16 Juin 1965, je suis un enfant de l'été de 17 AnsNature du sang: Sang-mêlé d'une Moldue et d'un Potter, non reconnu à la naissance alors d'un nom purement inconnu. Situation familiale: J'avais une mère il y a encore 9 ans, cette dernière m'a renvoyé vers mon véritable père lorsque j'ai développé un don pour la magie, m'apprenant alors que j'avais grandis entouré de secrets et mensonges. Je ne sais pas si elle m'a jamais aimé, et si les premiers temps en compagnie de mon père se sont avérés compliqués, il est désormais mon référent. Celui qui j'admire bien qu'il soit comme un animal sauvage que je ne peux pas toujours approcher. Napoléon est un de ces sang-purs que j'aurais aimé pouvoir côtoyer ; Avoir la fierté de ce que je porte dans les veines et non pas l'envie de cacher qui je suis. Je n'ai pas de frères et soeurs, encore moins de parrain ou marraine, je n'ai qu'un père et je ne veux rien d'autre. Patronus: Ambre est une pieuvre commune ; Je suis étonné d'avoir un patronus plus doux que moi, quoique sa seconde forme, terrestre, soit celle d'une pangolin de taille adulte. Miroir du Rised: Je me vois debout, au milieu d'une pièce au silence presque étouffant, je vois le ciel par une fenêtre mais aucun cri, aucun pleure, rien ne vient perturber le calme de la pièce loin de l'anxiété dans laquelle je passe certaines de mes nuits. Epouvantard: Si je suis en forme la plupart du temps, ma maladie est ma plus grande peur. Parce qu'elle fait de moi un être trop faible, parce qu'en cas de crise je deviens le centre de l'attention. Parce que je ne veux pas que quiconque puisse me voir sous ce jour que je tente de garder sous contrôle. Je ne suis pas plus faible, ce n'est qu'un talon d'Achille, mais suffisant pour m'effrayer au plus haut point. Composition de la baguette magique: Ma baguette contient un ventricule de coeur de dragon et est faite de bois de Sycomore. Deux extrêmes qui font d'elle une baguette très efficace et rapide ; Elle mesure la modeste taille de 23 centimètres et semble avoir toujours été destinée à ma main. Elle est légère et d'une maniabilité parfaite pour ce que j'en fais. Etudes Suivies: Je suis actuellement en cursus primaire. Étant en septième année, j'ai aussi trois options. La principales et plus importante à mes yeux est évidemment l'art et musique. Je compte m'y orienté une fois en secondaire. Viennent ensuite l'étude des Moldus qui me paraissais un choix très simple puisque j'ai grandis parmi eux et m'apporteras des points faciles plus tard, ainsi qu'astronomie. depuis tout petit les étoiles sont un moyen de m'évader et l'option s'est installée d'elle même dans mon emploi du temps... Animal de compagnie: Un petit duc, Émir. Loin de la magnifique chauve-souris de mon père, mais affectueux comme tout. | Caractère Je n’ai jamais été très habile pour parler de moi. Cela semble être une épreuve que je n’ai pas encore réussis à franchir. D’un naturel plutôt réservé, je suis pourtant un grand optimiste. Souriant, combattif et surtout têtu, je n’hésite pas à faire valoir mon point de vue quand ce dernier est mis en doute; Je refuse de me taire pour être le silencieux alors que je sais avoir raison. J’ai une tendance à monter sur mes grands chevaux assez rapidement bien que je reste la plupart du temps mesuré dans mes propos sans rechercher la bagarre. Je sais quand il faut baisser le regard même si je n’en pense pas moins, aller au conflit n’a jamais été ma tasse de thé aussi bien moralement que physiquement. Si j’ai des moments très extravertis, emplis de grands gestes et de sourires ; Je suis la plupart du temps mieux seul, à trainer du côté des tours d’astronomie pour y voir les étoiles. Il y a quelque chose d’agréable dans la solitude et je sais par expérience que notre meilleur ami n’est autre que nous même. Je suis le seul à pouvoir me relever si je tombe, le seul à pouvoir m’accompagner dans la tombe le jour venu et même si je suis ma plus grande peur, j’ai su apprendre à me défendre contre mes démons. De fait la confiance n’est pas ma plus grande prouesse et rares sont ceux qui en bénéficient quoique je leur demande de me donner la leur : ‘Ayez confiance, je sais ce que je fais’. Oh je ne leur mens pas, je ne suis pas là pour les mettre dans le pétrin mais je ne compte pas sur eux pour ma réussite ni pour ma vie. Je suis donc plutôt un animal solitaire dont les traces guides d’autres créatures plutôt que celui qui suit. Je me pose bien trop de questions pour cela…
Battant, je suis assez discret quand il s’agit de ma vie. Je parlerai sans soucis de ce que je suis aujourd’hui mais je cache la honte de ce que j’ai pus être et il m’arrivera sans doute d’avoir des réactions plutôt vives si l’on insiste sur le sujet. Je cache mon secret bec et ongles : Pour mes amis, je suis un Potter, pour mes professeurs si je suis un sang-mêlé je compte sur la distance qu’ils prennent avec leurs élèves pour qu’ils ne me cherchent pas d’embrouille. Pourquoi ce mensonge? Peut-être parce que j’ai honte de ce passé qui semble ne pas être le mien, alors j’ai appris à mentir, je me suis construit un monde plus beau, un monde qui me permet d’être plus fort à la manière des paons et de leur roue de plumes. Je n’en reste pas moins un bon élève, très bon même. Apprenant avec envie tout ce que je peux de ce nouveau monde, je suis un peu moins doué avec les potions ou la botanique, n’ayant ni la main verte, ni la main légère sur les ingrédients. J’ai depuis plus de six ans maintenant décidé de prouver à mon père que je peut monter sur un balai sans que ma maladie ne prenne le dessus et ait la fâcheuse manie de voler même quand je suis fatigué ; Cela a eut pour bon point de me garder en bonne forme physique et de me trouver une seconde passion plutôt enrichissante. Les sortilèges ne sont ni mon point faible ni ma botte secrète ; J’ai la fâcheuse manie de tenter d’inventer des choses qui n’existent pas, et je ne suis peut-être pas le plus doué en la matière. Et s’il y a bien un domaine ou j’excelle, c’est en art et chant. Aussi improbable que cela puisse paraître je suis devenu le rossignol de mon dortoir et personne ne semble s’en plaindre.
Si je ne suis pas égoïste, je ne vais pas aller partager mon pain avec le premier mendiant venu. Mon passé m’a rendu méfiant vis à vis de l’inconnu et je passe toujours pas protection en premier. Cela fait donc de moi le jeune un peu bizarre, celui qui jète des regards réprobateurs à ces couples qu’il voit se tenir la main dans les couloirs. Il est bien plus simple de rester seul et d’avancer que de devoir attendre tout ceux à qui nous tenons. Si on devait me comparer à un animal, le renard m’irais bien : Opportuniste, il n’heiste pas à partager quand il n’a pas le choix. Il est solitaire mais la compagnie lui fait du bien et il a la morsure facile lorsque l’on s’approche de son butin. Rusé renard, méconnu renard, l’animal à double facette. Je ne suis pas sans savoir que les choses peuvent me retomber dessus un jours et que ce sera douloureux, que le mensonge concernant mon nom ne sera pas toujours là pour me sauver la mise, que plus il grandit, plus un mensonge est dangereux mais je suis têtu. Je compte profiter de ce qu’il m’offre aussi longtemps que le nom Potter pourras me sauver la mise.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Il y a quatre ans, il s’est passé quelque chose de vraiment étrange. Nous étions tous rentrés chez nous pour les vacances de Noël et j’attendais avec impatience le retour de Napoléon pour les fêtes. Ils étaient prit mais il avait normalement réussit à se libéré et je ne voulais pas attendre pour lui offrir le paquet portant son nom et contenant une simple écharpe aux couleurs de son équipe. Il devait bien être vingt-deux heures, il ne devrait plus tarder et pourtant si je n’avais entendu la porte d’entrée, un bruit attira mon attention, une voix. Lorsque je me retournai dans le silence de ma chambre, il n’y avait rien et je classa l’affaire sur le compte de ma fatigue : Le voyage avait été long, j’avais peu dormi ces derniers jours et mon traitement avait put me fatigué plus qu’à l’accoutumé. Me glissant dans une veste chaude, j’avais allumé le chauffage de la salle de bain, posé des vêtements propres sur le lavabo et je m’étais glissé dans de l’eau chaude. De la mousse recouvrant ma peau alors que je profitais du temps qu’il me restais avant le retour de mon père en plongeant la tête sous l’eau. « Ambre… » J’en ressortis aussitôt, manquant de boire la tasse et cherchant autour de moi d’où pouvait bien venir cette voix aussi claire que cristalline. Je ne pouvais avoir rêver deux fois de suite et j’en vins à me dire qu’une crise était peut-être en train d’arriver, que rester dans l’eau ne serait pas une bonne idée si je perdais connaissance. Alors je tendis le bras pour récupérer ma serviette, pour n’avoir qu’à me rouler dedans une fois rincé alors que je me levais pour passer de l’eau claire sur mon corps à la peau blanche. Un frisson parcouru tout mon corps quand quelque chose toucha ma cheville. Habituellement ce genre d’évènement n’arrive que dans les films et au bord de la mer mais il était sûr qu’une chose gluante venait de toucher ma cheville et j’oscillais entre hurler et partir en courant et plonger la main dans l’eau pour m’assurer que je n’étais pas fou. Je choisis d’ailleurs cette option, me penchant en avant pour fouiller l’eau à deux mains, priant de ne rien trouver, allant jusqu’à demander entre mes dents à ce qu’il n’y ai que du vide… Mais mes mains se refermèrent sur quelque chose de petit, qui sembla chercher à fuir mon toucher avant de venir s’accrocher à mes doigts. Me relevant je manquai de basculer en arrière en voyant, là, pendu à mes mains, une pieuvre commune de couleur clair, presque blanche donc le corps était lourd par la pesanteur de l’air. Je le replongeai immédiatement sous l’eau pour la voir émerger à l’autre bout de la baignoire, moi, j’étais là, le coeur battant. « Je m’appelle Ambre… » Je reconnu la voix. Je n’avais jamais été fou.
Le lien de créa rapidement entre le patronus et moi ; Sa forme principale étant aquatique, je découvris rapidement sa forme terrestre. Un pangolin, ce drôle d’animal calme à la langue démesuré, sorti tout droit d’un livre préhistorique mal illustré. Elle était posée, douce, mais aussi caractérielle et têtue. Je me souviens de ma peur quand la peste des patronus a frappé mon entourage, elle passa entre les mailles du filet comme l’animal marin qu’elle était, comme si les nuits passées à la tenir contre moi avaient porté leurs fruits. Voilà près de quatre ans que nous vivons ensemble et si Ambre n’est pas agréable à caresser, nous sommes terriblement fusionnel ; C’est même elle qui est la plus farceuse de nous deux et si les patronus sont une part de notre âme, j’ai toujours suspecter qu’elle soit venue à mes côtés juste pour faire la fête dans ce grand zoo qu’est devenu Poudlard après les vacances de Noël.
| Pseudo et âge: Léo aka Inkyshane , 22 Ans Où as-tu trouvé le forum ? Oups Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? 3 en fait Présence: Jamais inh Une remarque ? |
Dernière édition par Alma A-P. Zaslavski le Mar 10 Mai - 14:58, édité 10 fois |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 14:13 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Lorsque j’étais petit je me souviens avoir été plus fin que certains enfants à l’école. Ayant grandis dans les alentours de Londres j’ai suivis des cours moldus, dans un établissement moldu, avec les moqueries d’enfants de mon âge qui cherchent à grandir trop vite. J’était plus petit, plus frêle et je n’avais certainement pas l’endurance de mes petits camarades de classe. D’aussi loin que je me souvienne je n’ai jamais vraiment chercher à leur dire qu’ils se trompaient, je n’entendais plus les rires et je passais le plus clair de mon temps à lire dans un coin de la cours trop humide. Si je n’étais pas très sportif -si tant est qu’un enfant d’à peine six ans peu l’être- j’excellais dans le théorique, je pouvais donner les réponses quand les autres étaient encore bloqués sur la ligne qu’ils devaient lire… Ça ne me faisais rien d’être la tête de classe. J’étais terriblement fier c’est vrai, mais ils me montraient tous que ce n’était pas un podium appréciable et je les laissait être jaloux… Lorsque je rentrais, je perdais mon statu de petit roi, je baissais les yeux. Je m’excusais pour des choses que je n’avais pas commises. J’entrais dans un environnement où je ne contrôlais plus rien alors qu’un enfant de six ans aurait du simplement sourire à la vie. Ici il n’était plus question de parler anglais, le russe avait la place de choix. Un père ne parlant que cette langue et une mère qui passait plus de temps le nez dans ses affaires que sur son enfant. Leurs yeux étaient noirs et emplis d’un vide d’envie de vivre. Les miens étaient bleus comme la liberté et je crois que c’est pour ça que ma mère me détestais tellement, c’est pour ça qu’à la moindre erreur elle m’attrapais par le bras et le serrait trop fort, qu’elle m’envoyais dans ma chambre sans concession.
C’est pour ça qu’elle ne montra aucune sympathie lors de ma première crise.
J’avais l’habitude des absences. Le regard vide, je fixais le tableau et souvent la maîtresse se devait de me faire répéter… Mais ce jour là, je n’eus pas qu’une minute ou deux d’absence. Ma tête entra en contact direct avec le coin de la table d’à côté alors que l’un de mes camarades poussait un cri d’effroi, moi, je ne contrôlais plus rien, mes muscles se contractaient les uns après les autres, tous ensembles, puis ils semblèrent se détendre dans une joie intense pour moi quoique je ne puisse toujours pas bouger. J’eus honte. Honte de ce moment de faiblesse, honte que l’on me demande si c’était la première fois. Honte parce que je ne comprenais pas pourquoi moi, pourquoi mes muscles s’étaient serrés avec tant de force pourquoi je m’étais ridiculisé devant tout le monde pourquoi alors que mes muscles s’étaient détendu j’avais eus l’impression d’être mort. Quand j’étais rentré, la honte n’avait été que pire, elle avait crié et lui n’avait rien dit. Elle avait hurlé et il avait continué à boire. Elle me disais que je me montrais en spectacle, je ne comprenais pas. Je ne comprenais jamais pourquoi elle levait la main sur moi alors que les mères de mes amis semblaient si douces. Je ne répondais pas, j’encaissais.
Les crises furent plus régulières. Sans un traitement adapté, elles étaient violentes, je me blessais en me cognant allant jusqu’à me luxer l’épaule. Et ce petit manège dura deux ans. Deux longues années où ma mère cria plus d’une fois qu’elle ne comprenait pas à quoi je jouais sans me mener chez un médecin. Si les coups pouvaient être un médicament, alors cela expliquait pourquoi ils avaient redoublés. Mais un soir, alors qu’elle demandait à mon père de s’occuper de son fils, de lui montrer comment se comporter, alors qu’il se levait de son siège, alors que j’avais l’impression d’être l’animal qu’on accule pour ne pas rater le coup de fusil, la bouteille de mon père tomba de sa table derrière eux, surpris il se retourna pour la ramasser en pestant. Puis c’est la lampe qui a suivit, ainsi que les cadres de la cheminée. En quelques secondes tout était au sol, tout, sauf le regard de ma mère qui comme si elle avait compris trouvait un coupable tout frai en son fils. Il se passa des jours très désagréables pour moi. Mit à l’écart dans ma chambre je n’eus le droit d’en sortir que lorsqu’elle décida qu’il était temps de sortir. Qu’elle m’habilla d’une grosse veste, me mit une valise dans la main et me mena au centre de Londres dans un café tout ce qu’il y a de plus normal.
C’est là que ma vie a changé. Il y avait un homme aux cheveux noirs et aux yeux aussi bleus que les miens. Il se leva pour nous saluer, à son regard je remarquai rapidement qu’il n’était pas à son aise, comme moi il détournait facilement le regard, peut-être lui faisais-je peur? Ma mère n’eut pas la décence de payer un café, je crois que c’est lui qui le fit. Elle n’eut pas même un regard vers moi quand elle s’éloigna. Je pensais la voir revenir mais compris rapidement que l’enfer était fini. Elle ne se retourna pas et je me retrouvais face à un inconnu que je devais appeler ‘papa’. Un homme qui me ramena chez lui avec un dos encore bleuté, dans un monde qui m’étais bien inconnu. Cet homme se nommait Napoléon ; Ce fut assez simple de s’en souvenir puisque les livres étaient pour certains emplis de son nom. J’appris qu’il était mon père biologique, j’appris aussi que j’étais là à cause de l’accident qui avait secoué ma mère. Il m’offrit une chambre ainsi qu’une nouvelle chance. Je ne pense pas qu’il se soit jamais rendu compte qu’il m’avait sans doute sauvé la vie.
Il ne me fallut pas si longtemps pour comprendre dans quel monde je venais d’atterrir. Tout m’émerveillais. Un père dont le nom était aussi connu pour sa pureté que pour son métier. De là à dire que tout devint rose, non. L’épilepsie dont je souffrais n’avait pas abandonné son poste, plus douloureuse, plus forte ; Le traitement que l’on mit en place eut l’effet escompté, diminuant la fréquence des crises, et surtout leur puissance. Je pouvais vivre normalement, retrouvant parfois mes absences, ou perdant le contrôle d’un de mes membres. À onze ans, lorsque la lettre arriva à la maison, elle vint valider tout ce qu’il se passait. J’avais adopté mon père plus vite que lui ne semblais m’adopter malgré ses absences pour les matchs ; S’il était célèbre, j’étais peut-être son plus grand fan. J’entrai à l’école comme tout le monde et y trouvai ma place comme n’importe qui à un petit détail près : Je ne communiquais jamais mon nom de famille, préférant le remplacer par celui de mon père biologique. Un Potter est beaucoup plus intéressant qu’un russe au nom de famille imprononçable. La supercherie marchait tant qu’aucun adulte n’utilisait mon nom et je m’arrangeais généralement pour prendre les devants en allant leur demander de ne pas écorcher mon nom en parlant plutôt de celui de mon père. je devins un menteur hors pair. Un élève exemplaire qui n’hésitait pas à se créer un nid confortable pour tenir les autres à l’écart. Tout comme je l’avais été, je ne perdis rien de mes capacités à suivre les cours. J’avais rattrapé mon retard de croissance et gagné en assurance. Je croquais désormais la vie à pleine dents. Parfois un peu trop ; N’hésitant pas à lancer sur les autres des moqueries que j’aurais aimé ne jamais entendre sur moi. Jamais en face.
Je me dis parfois que je n’ai que dix sept ans mais que j’ai vécu plus d’une vie. Avant je voulait disparaître en voyant approcher la maison, aujourd’hui j’attends avec impatience de voir les cheveux noirs de Napoléon entrer sous notre toit. J’ai malgré tout garder des séquelles sans précédant de cette autre vie ; J’ai gagné en confiance en moi face aux gens. Je réponds. Je n’hésite pas à faire entendre ma voix, mais je suis terrifié quand le soir vient, je dors peu. Je panique. Avec l’épilepsie est venue sa petite soeur l’angoisse. je vis sur un fil alors que je ne suis pas équilibriste. Toujours la peur de tomber d’un côté ou de l’autre sans filet, mais aussi la rage de vivre. Celle de traverser ce fil pour leur prouver à tous que ma vie mérite d’être vécue.
Dernière édition par Alma A-P. Zaslavski le Mar 22 Mar - 23:17, édité 1 fois |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 14:13 ( #) | preums almaaaaaaaaaaaaa rebienvenuuue j'ai hâte d'rp avec hihi |
| Isaure Lenoir admin - war is the sea i swim in Répartition : 27/09/2015 Hiboux Envoyés : 656
| Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Isaure Lenoir, Sam 19 Mar - 14:16 ( #) | ces yeux Rebienvenue |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 15:21 ( #) | Le fameux Alma Troye est tellement cute Re bienvenue à la maison |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 18:15 ( #) | Sa bouille Re bienvenue à la maison |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 18:17 ( #) | Napoléon souhaite la bienvenue à son fils Et re bienvenue gros |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 19:39 ( #) | Re bienvenue jeunot Bonne chance pour la suite de ta fichoune |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Sam 19 Mar - 22:55 ( #) | TROYE PTN tuvasarrêteravecleschoixgéniauxoui rebienvenue à la maison, hate d'en lire plus sur ce bonhomme |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Dim 20 Mar - 0:11 ( #) | Rebienvenuuuue |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Dim 20 Mar - 0:17 ( #) | Re bienvenue mon p'tit le fameux petit bébé Potter Troy est trop adorable en plus |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Dim 20 Mar - 0:39 ( #) | Rebienvenue trop mignon ton poulpe |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Dim 20 Mar - 1:32 ( #) | Rebienvenue toi Et puis ton patronus il est trop chou *-* |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Dim 20 Mar - 1:34 ( #) | Rebienvenue |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Invité, Lun 21 Mar - 14:55 ( #) | Je te l'ai déjà dit mais je kiffe ton avatar. (pis ton Patronus aussi.) Et aaaaw un autre septième année Bon courage pour ta fiche |
| | Re: As the smile fell from your face ; I fell with it — Almapar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | As the smile fell from your face ; I fell with it — Alma | |
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