BELLUM PATRONUM


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Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
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Message Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:09 (#)
Salinier Pandrose
Beckett
ft. rj king
statut du sang
Twente three
Single
Homosexual
Douzième année Science politique Magique
Pingouin or Maine Coon (Sacha)
Neutre
(c) animapueri
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À propos
Nom: Beckett Prénom: S. Pandrose Âge et Date de Naissance: 23 années dans quelques mois , né le 05/03/1959 Nature du sang: Arrière grand mère Paternel née moldue : Sang-mêlé Situation familiale: Fils unique d’une famille peu stable et saine. Mère à st Mangouste et père inutile.  Patronus: Pingouin Arctique, qui jusqu’à présent n’avait jamais été matériel, mais qui désormais fait la morale et s’appelle SachaMiroir du Rised: Se voir tenant la main d’Amory, au milieu du Ministère de la Magie, où ils sont les maîtres. Plus amoureux que jamais, une petite file se glissant entre eux deux. Epouvantard: Son bulletin d’examen contenant uniquement des « Efforts Exceptionnel »Composition de la baguette magique: « Bois de Cerisier, plume de phoenix, 37 Centimètre, monsieur Buckett votre avenir semble bien plus intéressant que celui de votre père, faites attention le bois de cerisier peut-être mortel pour les autres mais également pour vous, tachez de toujours gardez vos sentiments de côté. » La baguette de Pandrose, possède des veines blanches entourants en spirales la baguette pour rejoindre l’extrémité la plus fine.  Etudes Suivies: Douxième année de Science politiques Magique avec comme option : Arts Occulte, Occlumancie, Langues. [/url]Animal de compagnie: Aucun
Caractère
« Si tu me connais, en bien ou en mal c’est qu’on ta parlé de moi. » Pandrose n’aime pas faire parler de lui, il ne sera jamais une de ses personnes voulant voir leur nom écrit en gros titre sur le Daily Prophet, on pourrait le qualifier de discret, alors que la vérité est qu’il est le marionnettiste, il est réfléchis, il n’agit jamais sous la colère ou l’impulsivité. Il sait où il va, certains le qualifiaient de charismatique, d’autre d’antipathique, on l’aime où on le déteste. Beaucoup voit en Pandrose, un élève arrogant, mais chacun lui confère que sous son air arrogant, et pédant, il y a un bourreau de travail, voulant devenir un puit de connaissance inépuisable. Cette soif de connaissance peut dûment s’expliquer par cette phobie de l’échec, perdre n’est pas une éventualité, ni réussir. Réussir est une obligation quand perdre est devenue une insulte.
« Solitaire, seul le loup peut manger le troupeau ». Pandrose ne parle qu’à peut de monde, en vérité il est tellement concentré sur ses devoirs, qu’il oublie les autres. Si il vous accorde de l’intérêts ne le décevait pas. Il le fait une fois mais pas deux. Avec ses amis Pandrose sera le meilleur attaquant, sa langue acerbe, sa mesquineries, son regard méprisant, la hargne de sa voix, son sourire carnassier, feront de ses alliés des vainqueurs, la seule condition c’est de lui être le plus fidèle possible, ne jamais le trahir, car le jeune Beckett peut se retrouver être le pire des ennemies.
« Ma mère était une garce, et je suis le fruit de son amour avec un homme sournois » Pandrose Beckett a été élevé dans les machinations, il entends encore son père et sa mère monter des stratagèmes pour faire du nom de Beckett un nom craint. Pandrose, est aujourd’hui craint, ou apprécié, n’agissant jamais dans la précipitation, il est un fin stratège prévoyant toujours trois coups d’avances. Dans ses plans machiavéliques, ses partenaires doivent lui faire confiance les yeux fermé là est la clé de la réussite.
« Tel le galion j’ai deux côtés ». Pandrose est le jeune homme ayant toute les raisons d’être le plus détesté, mais il cache une vrai âme. C’est par Amour pour sa mère qu’il est l’homme qu’il est aujourd’hui. Il reste discret la plus part du temps, ses amis peuvent se confier sans limites à lui, il ne jugera jamais, les aviseras de son points de vue, il aime faire la fête parfois, rarement, mais de temps en temps du moment que Amory est là. Amory son meilleur ami, son confident, en vérité Pandrose rêve qu’un jour Amory soit plus que cela, Beckett est un romantique, cette carapace frigide, cache un jeun homme romantique, submergé par ses émotions en la présence de son ami d’enfance. Il passe ses nuits, à se voir tenant la main d’Amory, au milieu du Ministère de la Magie, où ils sont les maîtres. Plus les années passe et plus Pandrose sombre, son amour pour le jeune Burke le dévore, il est incapable de gérer cela.
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Patronus
Il tenait Amory dans ses bras, il sentait son haleine mentholé, l’âcre du musc qu’Amory dégage après avoir randonnée avec lui toute la journée. Son cou était là attendant un baisé, les lèvres d’Amory lui étaient enfin accessible, rien ne le comblait plus que cela, il s’en approcha délicatement, passant sa main derrière sa nuque, la respiration d’Amory se faisait plus rapide, ses yeux perçant, insistant fixé dans le regard d’habitude si froid de Pandrose. Enfin, se disant Pandrose, tu es à moi, enfin. * Et bien dis donc gamin des hormones te travail à ce que je ressens* Pandrose, ouvrit les yeux interloqués. Il transpirait, sa respiration était saccadé, il bouillonnait tel un feudeymon. Essayant de retrouver son calme, une chose mastodonte lui sauta dessus, en poussant un cri suraigu. Pandrose paniqué sauta de son lit, abattant son crâne contre la table de chevet, il s’assomma.
Se réveillant quelque heures plus tard à l’infirmerie, un pingouin au bout du lit le contemplait. « Et bien Monsieur Beckett, bel frayeur que cette … chose … vous a fait là, ce que je ne comprends pas cependant, est que quand on vous a amené ici, vous étiez brulant, surement dû à … Cela … »  l’infirmière montra le pingouin.
Le sortilège du ministère de la magie avait été une catastrophe selon certain, mais cela ne fut pas l’avis de Beckett, loin de là. Il partageait avec Sacha, son patronus corporel était un pingouin, avec un caractère un petit peu spécial, donnant son avis sur absolument tous, il c’est avéré plusieurs fois qu’il donnait de vrai et bon conseil, tel un père qui à tant de fois manqué à Pandrose. Le côté de Sacha qu’aimait Pandrose par dessus tous c’est surtout, l’humour noire et acerbe que le pingouin n’omettez jamais de mettre en exploit.
Durant l’épidémie Sacha ne fût pas atteint.
Autre particularité qui amuse beaucoup Beckett c’est que Sacha, adore passer ses journées en pingouin mais préfère se transformer en chat Maine Coon, imposant et Albinos, la nuit afin de se blottir contre son maître. [/b]
Pseudo et âge:  Extallium - 21 "I'm a baby boy, in the baby world, like plastic, is fantastic, you can brush my hair ...  Warrior " Pure et chaste  Où as-tu trouvé le forum ? Il est né dans une rose. Il y a fort longtemps. Une époque où les dragons étaient réels  Personnage: Je tiens à remercier, Amory qui a sortit de son imagination un personnage dont je suis tombé amoureux, un jeune homme froid ne demandant que de l'amour.  As-tu un autre compte sur BP ? Un jour, mon prince viendra, un jour il m'emmènera, dans son château là haut ... (je crois que je me trompes dans les paroles.) ^^ Présence: Never ... :suffle: Everyday, je viens d'abandonner mes études pour gagner ma vie, donc retournons à nos passions moi et mes amis dans ma tête.  Une remarque ? Alors tous d'abord, Delliha  à essayé de me violer donc, bon mauvaise entrée en jeu, et d'autres essayent de me choper par message privé. #Pervers Robert47cm, J'offre mon corps contre des  mikloslegrostas


Dernière édition par S. Pandrose Beckett le Sam 26 Mar - 14:45, édité 2 fois
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:09 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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Mommy  -  Mama I’m coming home

"Ma mère, est la femme qui m'a donné naissance, la seule femme que je n'ai jamais aimé pour tous dire, sa beauté resplendissait , son éloquence était pour moi source d'admiration. Le temps a fané son teint, l'amertume a rendue acerbe ses mots et son amour pour moi, en écartant cela il me reste parfois le souvenir de la femme qu'elle a été. Grandiose, une virtuose des mots. Je vous parles de ma mère car seule elle, est importante à mes yeux. Orion Beckett, l'homme se prétendant père géniteur, n'est pour moi que l'homme triste, vulgaire, faible, lâche, misérable, se ventant des mérites des autres, essayant de gravir les échelons par les fourberies et autres manigances. Il n'a rien de l'éloquence de ma mère, mariage de circonstances, d'obligations, de messe base, de famille à famille, arrangements autrefois destinés à faire de nouveau doré le blason «  souillé  » par du sang-moldu, portant le vieux nom de Beckett.
Ma mère est cette femme qui chantait le matin, quand le soleil se levait, je l'entendais depuis ma chambre, depuis ses 4 murs au cœur même de Londres. Je revois sa chevelure, avant qu'elle ne la perde, avant que par choix elle ne se la tonde, un soir d'hiver quand la dinde brulait dans la cuisine, un soir où l'absence de mon père avait été de trop.
Je crois que je n'avais que 8 ans quand cela est arrivé, les Burke étaient passé, avec leurs fils, Amory. La famille Burke passaient souvent chez nous, en vérité ils n'habitaient pas très loin, à quelques pâtés de maison. Je me rappel parfaitement de cette soirée là  :
«   Les garçons montés dans la chambre, nous avons des discussions d'adultes à commencer.  » Le ton de madame Beckett, était celui qu'elle utilisait quand elle s'adresse a l'elfe de maison, ni froid ni chaleur, juste un ordre qui ne peut être objecté.
Les garçons montèrent dans la chambre jouèrent avec le balais volant miniature … L'heure du repas ne sonna pas. Il ne sonna pas car Monsieur Beckett ne vint jamais, les Burke rentrèrent chez eux, peiné pour la pauvre et solitaire madame Beckett, qui les méprisa de derrière son rideau.  
Quand vint ma lettre d'admission elle perdit vraiment la tête, chaque retour de vacances elle était plus sombre, plus distante, l'éclat dans ses yeux perdait l'intensité de sa jeunesse. Aujourd'hui elle n'est plus rien que l'ombre de l'éblouissante jeune femme qu'elle a été. Juste une femme dure, attendant de moi, la réussite que mon père n'a pas eu. Je ne veux pas redorer le blason de mon Père, ou de sa famille, je veux redorer la fierté de ma mère."

[Décembre 1969]

Prenant son petit déjeuner dans la salle commune, Pandrose, ne s'attendait pas à recevoir du courrier, quand une enveloppe verte émeraude tomba sur ses genoux. Impatient il entreprit d'ouvrir la lettre quand une main amicale se posa sur sa tête, et lui ébouriffa les cheveux.
«  Pandy tu ne m'as pas attendue, je ne peux vraiment pas te faire confiance. »
Voyant que son ami ne lui répondait pas il, entreprit de lui prendre la lettre qu'il venait de recevoir «   Alors qui es-ce qui pourrait t'envoyer une aussi belle lettre … » sans prêter plus attention a son camarade Amory, commença à lire la lettre. «   Mon cher fils, Ta mère ne vas pas bien, ne pouvant plus rien faire pour son état, j'ai préfère la faire transfert à St Mangouste, tu la verras à noël, concentre toi sur tes cours.
              Orion Beckett.  »

Même si Amory avait arrêté sa lecture à voix haute des les premiers mots, tous les regards étaient à présent tourné sur eux. Pandrose, se leva avec élégance, lança aux regard persistant, tous le mépris dont il était capable, un sourire carnassier sur le bout des lèvres, il sortit du banc et avec la démarche la plus noble il sortit de la salle.
Personne n'avait eu le temps de voir la larmes perlant sur ses cils, personne sauf … Amory.  

[Juillet 1978]
Il y a un an que la mère de Pandrose avait pus rentrer chez elle. Elle avait radicalement changé, elle ne sortait plus de chez elle, par honte. La femme hautaine été toujours là, mais ce n’était qu’une façade. La seule chose qui aiguillait ses journées était le pas de plus qu’elle avait fait, le pas de plus qui aller l’amené à revoir se fils prodige, qu’elle avait finit par sacraliser par l’amour qu’elle lui porte.
L’été était chaud, et Madame Beckett souffrait d’une de ses insomnies, sortant du lit conjugale qu’elle avait fini par avoir en horreur, elle arpenta la maison afin d’y trouver du sommeil, des petits soupirs plaintif sortait de la chambre de son fils, intrigué, elle avança à pas de loup. Entre baillant la porte, elle vit son son fils recroquevillé dans son lit, un masque de tristesse sur le visage. Les larmes avaient rougis ses joues. Inquiète elle rentra dans la chambre, et posa sa main sur l’épaule de son fils espérant ainsi le sortir de sa torpeur.
Pandrose sentit la pression qu’exerçait sa mère sur son bras. « Pandrose, que ce passe-t-il ? » La voix de sa mère si froide d’habitude avait des allures chaleureuse malgré l’inquiétude présente. « Un mauvais rêve surement, mais toi pourquoi ne dors tu pas ? » Madame Beckett leva sa main vers le visage de son fils, et de la pointe de l’ongle dessina les reliefs de son ange personnel. « Je ne dors plus depuis des années, l’amertume et l’aigreur empêche le sommeil mon fils. » Si Pandrose n’avait pas connu sa mère mieux que quiconque, il aurait pus croire qu’elle se fichait de lui.  S’asseyant sur son lit, il lui pris le bras et lui demanda «  pourquoi ne viendrais-tu pas dormir avec moi ? » après une inspiration, longue profonde et intense il laissa ses quelques mots s'échapper sachant qu'une fois émis il ne pourrait plus reculer. « Mommy, je peux te parler de quelque chose qui ne va surement pas te plaire ? » Il sentit les muscles de sa mère se crisper, «  je t’écoute … » Cette froideur implacable du ton de sa voix avait quelque chose de chaleur aux oreilles de son fils. « J’ai longtemps réfléchis à comment te l’annoncer, en vérité il n’y a pas de bonne façons de te l’annoncer, car je sais que je vais te décevoir, je sais que cela va être dure à entendre, mais je ne peux rien faire contre cela me ronge de l’intérieur, m’empêche de réfléchir, de me concentrer. » Un long silence pesant vint s’installer entre eux deux. « Tu ne dis rien ? » « Tu ne m’as rien annoncé, tu as fait une introduction peut enthousiaste fils, une introduction qui ne donne pas envie de lire la suite, un introduction qui visiblement était bien préparé, mais une introduction qui dépeint une sombre nouvelle, je t’écoute, mais maintenant toi et moi savons que je ne sauterais pas de joie. » Le jeune Beckett dégluti avec difficulté et entama la suite, il avait tant de fois répété, appris son discours, pourtant les mots faisait barrages au fond de sa gorge. «  Je suis amoureux et, euh ... voilà, c'est pas facile, ... j'aimerais pouvoir t'expliquer, mais je ne peux pas ... c’est un homme, je sais que enfin … voilà, il me semble que l’on pourrait dire que je suis homosexuel. » La pression que les ongles écaillé de sa mère exerçait sur sa paume s’estompait au fur et à mesure qu’il avait parlé. «  Fils, si tu m’avais annoncé que tu t’étais amouraché d’un sang de bourbe, d’un né-moldu, où même d’un cracmole, je me serais fâché, si tu m’avais annoncé que tu arrêtais Poudlard, tu m’aurais dégouté, si tu m’avais annoncé vouloir te fiancés par intérêts avec une quelconque fille de sang-pur tu m’aurais déçu … mais tu m’annonces aimer les hommes ?  Où la surprise est censé être ? Cela a toujours été une évidence, je me suis fais une raison. J’ai finis par me convaincre que cela ne te rends que plus exceptionnel. » Une larme de joie perla le coin de son fils. Entendant sa respiration ralentir, elle entreprit de trouver elle aussi le sommeil, blotti dans les bras de son fils elle poursuivit, autant pour elle même que pour son fils « Amory a bien de la chance, Pandy. »



Amory Burke - I will always love you


  La valise posé devant lui, Pandrose attendait patiemment que sa mère veuille bien le rejoindre. Elle avait disparut, prétextant un besoin féminin urgent, or le jeune Beckett connaissait parfaitement sa mère pour savoir que cette excuse n'était rien d'autre qu'une excuse, Madame Beckett n'irais jamais dans des toilettes pour Moldus, ça il en avait la certitude. Quelques minutes passèrent quand Madame Beckett revint, les yeux gonflés. «   Ton bon à rien de père ne viendra pas, surement trop occupé à lécher l'arrière train d'un employé de bas étages qui ne sert à rien d'autre qu'a nettoyer les merdasses des hiboux.  ». Elle se retourna, remis de l'ordre dans ses cheveux  :  «  Suis moi, et je ne veux pas voir de peur sur ton visage cela va très bien se passer  », puis comme si elle perdit la raison, fonça tête baissé sur une des colonnes de la gare.
  Le quai était remplis de sorcier, et visiblement quelques moldus également au vu de la tête que faisait le couple habillé étrangement.
«  Pan, Pandy … Là je suis là  » Dans la hâte de voir le visage de son ami, il se retrouva étalé de tous son long sur le quai.
Amory et Pandrose passèrent le reste du voyage à parler de Poudlard comme tous le reste du train, l'excitation l'angoisse, ne cessaient de croitre plus le trajet s’éternisait.
«  Amory, je crois que si toi et moi n'étions pas dans la même maison j'en mourrais » «  Pandy, arrêtes ça sera quand même super. »
Le jeune Beckett regarda dans le flou du paysage et songea à sa mère seule chez elle, une autre pensée lui traversa l'esprit mais il la réprima d'un haussement d'épaules.

  La douceur de l’hiver faisait peu à peu place au soleil doux et réchauffant du printemps, la neige avait fondue, laissant place à l’herbe dorant déjà sous les rayons de l’astre solaire. Assis par terre, Amory et Pandrose regardaient au loin l’horizon. La main de Pandrose était posé sur celle de Amory, geste habituel, il caressait ses articulations sans s’en rendre compte. Toujours naturellement Pandrose s’allongea sur les genoux de son ami d’enfance et regarda le ciel. « Alors as-tu choisis tes options ? » « Tu sais bien que oui, je les ai toute choisis dès mon entrée à Poudlard. »
Pandrose se leva et commença a relever le tissus de son pantalon  « viens tremper des pieds ! » il avait utiliser le ton que sa mère avait tant de fois utilisé avec lui, voilà le jeune homme de 12 ans qu’il était devenue, autoritaire et parfois glaciale, bien trop souvent.

Les années passèrent, et Pandrose se rendit vite compte que Amory était ce qu’il avait de plus cher au monde, il passait la plupart de son temps a élaborer l’avenir. Aucun d’eux deux ne se voyait sans l’autre. Amory demandait conseil à Pandrose, Pandrose donnait son avis. Ils étaient, meilleurs amis, frères, confidents, conseillés, pourtant Pandrose, voulait aussi être son mari, son amant, il passa le restant de ses nuits à vouloir la vie entière avec lui. Pourtant un matin, Amory lui demanda de le suivre, car il avait soi disant une excellente nouvelle à lui annoncer … arrivé dehors Amory prit Pandrose par la main « S’ayez, enfin, Leonore Von Sachenheim » Pandrose était loin de comprendre de quoi voulait parler son ami « Continue, je me languis de comprendre là où tu veux en venir. » Amory le regarda comme ci un troisième oeil venait de sortir sur son front, «  Elle et moi on est fiancés. » Pandrose recula d’un pas sous le choc de la nouvelle, estomaqué il s’assit par terre, lui qui contrôlait tout,  sentait l’envie de frapper naître. Amory tenta de comprendre «  Pandy ça ne va pas … ». Le regard froid et acerbe, le sourire carnassier, la voix tendue, inflexible, dénué d’émotion, il regarda Amory « Maintenant, je vais te donner une chance, de prendre avec toi, le peu de dignité qui doit te rester, le peu d’amour propre, devant une tel faiblesse. Je vais te laisser reprendre tous ça, et dégager de ma vue. » Voyant qu’Amory ne bougeait pas, Pandrose sorti sa baguette, il perdit ce contrôle sur lui même, « Dégage J’exige ! ».

Pandrose se réfugia à la bibliothèque, refusant de parler à qui que se soit pendant deux mois, n’allant dans la grande salle qu’uniquement le soir, se noyant dans la foule, n’adressant à personne la parole, ni même le regard. Il avait l’impression qu’une partie de lui même avait été détruite. Puis un jour il vint l’idée saugrenue d’aller s’excuser. Après tous, il avait perdu une bataille mais pas la guerre. Et la guerre il la préparait depuis des années …


Dernière édition par S. Pandrose Beckett le Mer 23 Mar - 23:40, édité 5 fois
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:13 (#)
Très très très bon choix de scéna jaredditoui et j'adore le prénom que tu as choisi Brille
Bienvenue parmi nous Hug Daengelo
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:17 (#)
Bienvenuuue Han!
Très bon choix de scénario Chou
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:23 (#)

*Knight: Mon prénom, on parle du votre bave Merci Daengelo
*Deshawn: Il parait que mon scénar est pas mal. Merci à Amory & Merci à toi beau gosse. Daengelo
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:27 (#)
Bienvenue ! Brille
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 8:28 (#)
*Léonard : Merci Potté
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 9:18 (#)
/me donne un ou deux cookies, là, juste comme ça siffle

Bienvenue! :coucou:
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 9:39 (#)
bienvenue Brille
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 10:09 (#)
Bienvenue à toi ! bave
Tellement bon choix de scénario Daengelo et d'avatar love
Bon courage pour ta fiche !
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 10:26 (#)
Bienvenue sur BP love
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 14:51 (#)
Chou

Bienvenue Han! Han! Han! Han! Han! Han! Han! Han! Queen Amy Hug

Je voulais firster pour une fois autant dire que c'est plus que raté Hen !

Merci de prendre ce scénario Brille Et bon courage pour l'histoire du coup !

Et si t'as la moindre question que ce soit pas rapport au contexte du forum ou que sais-je ou quoi-je, n'hésites pas à user et abuser de ma boîte Mp Robert47cm
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 15:05 (#)

*Swan : Merci Motivation! Par contre :p: Mon corps ne te seras pas vendu ... Un ou deux cookie je ne vaux pas mieux que ca Han!
*Ethan: Merci Potté
*Alexis: Il parait que je suis un homme de gout Haww Tu es vraiment pas mal non plus bave Merci Daengelo
*Hella: *Elle a, Hella, Elle a, Hella, dutudu, ce je ne sais quoi* hihi j'étais obligé. Merci Potté
*AMory = Mon prince bave: MERCI A TOI, love Han! comme je t'ai dis je suis tombé amoureux de ton scénario Daengelo , vraiment. Twisted alors oui le firsting est raté Silvfèlechaud , mais de rien merci de me laisser prendre mon scénario Brille, ne t'inquiète pas tu vas très vite te sentir harceler. hihi Boing
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 17:29 (#)
Bienvenue à toiii Brille

Bon courage pour ta fiche et j'approuve, très bon choix de scenario Haww
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
par Invité, Mer 23 Mar - 17:43 (#)
Bienvenue à toi. J'aime ton pseudo Daengelo

Bon courage pour l'histoire :)
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Message Re: Pandrose - Ne jouez pas avec moi, je suis mauvais gagnant.
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