BELLUM PATRONUM
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| clever as the devil and twice as pretty | | | clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:03 ( #) | Cole Gideon Parkinson ft. jeremy allen white sang pur vingt-et-un ans célibataire au grand dam de ses parents hétérosexuel onzième année, sport magique patronus pro-mangemort tumblr (un gif hunt sur jaw) | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Il porte fièrement le nom des Parkinson. Prénom: ses parents lui ont choisi deux prénoms, Cole et Gideon. Le premier est son prénom usuel, tandis que le second a plus une valeur décorative (en général, seuls ses parents l'utilisent et quand ils s'y mettent, ce n'est généralement pas bon signe), tant et si bien qu'il a choisit d'en affubler son patronus. Âge et Date de Naissance: sa mère l'a mis au monde à Ste Mangouste, il y a de cela vingt-et-un ans. C'était durant l'été 1960, le neuf juillet plus précisément. Nature du sang: d'une pureté implacable comme il adore à le faire remarquer. Situation familiale: son père est un Parkinson, sa mère une Goyle. Il est fils unique et n'a jamais souffert de l'absence de frères et soeurs. Il se suffit à lui-même et puis il a un paquet de cousins pour compenser. Quand il était plus petit, il était très proche de sa mère, c'était vraiment le petit garçon de maman et puis il est entré dans l'adolescence et ce qui était simple s'est mis à devenir effroyablement compliqué. Tout est plus difficile désormais. Cole a écopé du tempérament de ses parents. Il a du caractère, une assurance qui crève les plafonds et un esprit de contradiction prononcé. Il fait de la résistance face à des parents qui ne demandent qu'à décider de tout pour lui, ayant en horreur de sentir ainsi leur fils et l'avenir de ce dernier leur filer entre les doigts. Il vit avec eux, mais il s'en sent désormais à des kilomètres, comme s'ils avaient cessés d'être sur la même planète. Cole aime ses parents, mais ils lui tapent sur le système d'une façon tout bonnement prodigieuse. Leur dernière obsession en date ? Le fiancer à une fille de bonne famille qui pourra lui donner des enfants. Patronus: un chat d'une blancheur immaculée au regard perçant et qu'il a choisit de nommé par son second prénom à savoir Gideon. Au delà de cette apparence, il peut aussi se matérialiser sous une seconde forme à savoir une carpe argentée. Miroir du Rised: passionné de quidditch depuis sa petite enfance, il n'a jamais démordu de cette passion et la vision qu'il entrapercevrait dans le miroir du Rised le dépeint à merveille. Il se voit perché sur un somptueux balai, le vent fouettant son visage, à l'issu d'un match dont son équipe serait ressortie victorieuse et ce grandement grâce à son propre jeu et son efficacité sur le terrain. C'est un match de la coupe du monde Quidditch et il porte la robe de l'une de son équipe favorite. Une vision qu'il compte bien réaliser dans l'avenir. Les rêves, les idéaux, ne sont pas fait pour le demeurer, pas dans son esprit. Epouvantard: Il se voit lui-même, en train de s’observer dans un miroir et il y a quelque chose de profondément dérangeant dans son reflet. C’est bien lui. Il reconnaît les traits de son visage, sa chevelure brune et bouclée, son air supérieur, ses grands yeux bleus moqueurs… Tout est là, mais il y a quelque chose d’autre. Quelque chose de révulsant dans cette vision, de désagréable, de nauséabond. Ce qu’il voit c’est lui, le reflet exact de sa personne. La différence réside dans le sang, le sang de ce garçon auquel il fait face et qui le débecte. Ce qu’il voit c’est lui mais avec du sang souillé, du sang impur, coulant dans ses veines. Et cette vision lui fait horreur. Physiquement rien ne change et pourtant, il y a cette subtilité, cette subtilité autour duquel on a bâti tout un monde. La pureté du sang et son importance, tous les principes que ses parents ont cherchés à lui inculquer durant son enfance. Et ça le débecte. Ce sang impur, souillant son organisme, lui arrachant ce qui fait sa valeur. Il se sent sali, souillé et au delà de ça il ne supporte pas, ça lui monte à la tête. Il a impression que ce sang lui brule la peau, que ça le consume, qu'il va étouffer. Au delà d'une simple aversion, il s'agit là d'une véritable phobie. Composition de la baguette magique: aubépine et plume de phénix en son coeur. Etudes Suivies: Cole est actuellement en onzième année (perspective qui le réjouit, l’année suivante étant la dernière, vu qu’il en a un peu ras le bol de sa scolarité à Poudlard) et il a choisit le cursus sport magique sans la moindre hésitation il y a de cela des années, après avoir décroché avec succès ses ASPIC. Il n’a pas hésité une seule seconde, ayant toujours eut envie de faire tourner sa vie au Quidditch. Ce désir est au centre d’un énième sujet de conflit entre lui et ses parents, ses derniers estimant que leur fils a un esprit trop brillant et aiguisé pour le gaspiller en volant sur un balais. Ca les chagrine beaucoup et ils n’ont de cesse de manifester leur déception à ce niveau, mais Cole n’en a jamais démordu : il sait ce qu’il veut et en l’occurrence il veut jouer au Quidditch. Animal de compagnie: il n'en a pas, ce qui n'est pas plus mal vu qu'il a déjà Gideon pour ce qui est de roupiller sur lui la nuit. | Caractère La première chose à savoir sur Cole c’est qu’il ne sait pas se taire. Il a ce besoin viscéral de donner son avis sur tout, y compris quand il n’est pas demandé (surtout quand il n’est pas demandé). Il a une gueule infernale et un côté profondément hautain dans le sens où il est persuadé d’avoir toujours raison et ce même, paradoxalement, quand il est en son fort intérieur conscient d’avoir tord. Il défend ses idées avec une hargne presque violente et exprime ses opinions sur les tons de vérités absolues. Il vous dira que les personnes dont le sang souillé sont des moins que rien sur le ton qu’il utiliserait pour affirmer que le ciel est bleu. Une vérité incontestable, qui ne peut souffrir la moindre contestation. Comme si sa parole était d’or, comme si les gens ne pouvaient que décemment avaler les couleuvres qui lui sortent jour après jour de la bouche. Il n’est pas né comme ça et reproduis surtout ce qu’il a vu chez ses parents depuis sa naissance.
Ces derniers lui ont donnés une éducation relativement stricte et se sont appliqués à lui inculquer leurs principes bancales à propos de la supposée suprématie des sangs purs. Des opinions annoncées sur des tons de vérité et cet acharnement, cette envie de faire de leur fils une copie conforme de ce qu’ils étaient eux-mêmes. Cole, ils l’ont sculpté, ils ont aiguisés son esprit, en ont construits les barrières, les frontières. Ils ont voulus en faire leur poupée, ayant toujours vu en leur fils bien davantage leur propriété que leur égal. Ils ne pouvaient pas prévoir que leur fils allait hériter non seulement de leurs idéaux erronés, mais aussi de leur force de caractère. Ils voulaient faire de lui un garçon influençable éprouvant le besoin viscéral de se reposer sur maman et papa pour prendre toutes les décisions importantes, mais ils se sont gourés quelque part.
En effet, Cole n’a rien d’une poupée cassée et son esprit n’est pas bousillé, réduis à une espèce de purée inconsistante. Les idées implantées par ses parents sont là, il a notamment écopé de cette certitude que la pureté de son sang le place au dessus des autres, allant jusqu’à développer une peur phobique des personnes qui ne peuvent guère en dire autant du leur, mais il n’est pas perdu. Il ne s’est pas perdu. Il est là et il ne pliera pas. Cole, il n’a du parfait petit sang pur qui se réfugie dans les jupes de sa maman que son tempérament hautain et sa haine mordante envers ceux dont il considère le sang comme souillé. Pour le reste dieu sait qu’il tape royalement sur le système de ses parents qui font face depuis l’adolescence de leur fiston à leur échec évident. Ils n’ont pas donnés naissance à une petite poupée délicate et manipulable, mais bien à un garçon foutrement borné et décidé à vivre sa vie comme ça lui chante.
S’il demeure sur le fond des principes de son éducation en accord avec ses parents, il se découvre de nouveaux sujets de disputes potentielles avec ces derniers chaque jour. Les rapports avec sa mère plus particulièrement sont devenus assez compliqués. Petit garçon, de ce qu’en raconte sa génitrice, une large lampée de nostalgie dans le regard, c’était un vrai fils à maman, le petit bébé de cette dernière, toujours fourré dans ses bras, mais il a fatalement fini par grandir et les choses se sont corsées quand il a commencé à connaître le même éventail de mots que ses parents. Depuis, les conflits s’enchainent, il faut dire que Cole les cherche un peu. C’est comme s’il était animé par un profond instinct de contestation. Comme s’il avait ce besoin farouche de toujours partir à contre-sens. Il aime à se considérer comme imprévisible et il adore se tenir là où on ne l’attend pas forcément. Futé et manipulateur, il aime mettre à profit son intelligence, son esprit malingre et aiguisé, pour monter des plans qu’il met ensuite en place avec une minutie qui force le respect. Il est attentif aux moindres détails, très pointilleux et ses parents en seraient certainement vraiment très fier s’il ne se plaisait pas à jouer contre eux. Pas qu’il veuille les rendre barges, non, mais il ne supporte pas leur ardent désir d’avoir une emprise sur lui, un droit de contester chacune de ses actions. C’est ses parents et il les aime farouchement comme tout enfant se doit de le faire, mais il ne leur cédera pour rien au monde les rênes de son existence.
Il a envie de mener sa barque par lui-même, il est animé par un besoin farouche d’indépendance. Entendons nous bien là-dessus : il est très fier d’appartenir à sa famille et porte fièrement le nom de cette dernière, mais il ne veut pas perdre son libre arbitre. Ses parents l’ont déjà suffisamment endoctriné comme cela alors qu’il était trop jeune pour réagir, pour remettre en question leurs opinions plus que discutables. Maintenant, il n’est plus un gosse et il est bien décidé à ce qu’il en soit de ce fait autrement. Il a une idée précise de ce qu’il désire dans la vie et ne laissera personne le détourner de son objectif. Profondément entêté, il a la gagne et est particulièrement mauvais joueur. Il ne sait ni gagner, ni perdre. Dans le premier cas, il fanfaronne, aborde un sourire frôlant l’indécence et exaspère les uns et les autres. Dans le second, il argumente sans répit les raisons du pourquoi il aurait dut gagner. C’est une tête de mule, un garçon arrogant, pourri gâté et qui est persuadé de dominer le monde. Il a la certitude qu’il est destiné à accomplir de grandes choses et il le fera, il réussira à laisser son empreinte sur le monde, mais de la façon dont il l’aura choisi, sans tenir compte de l’avis de personne d’autre que le sien. Car il est profondément égoïste, Cole. Même s’il a un petit cercle d’amis, il est évident qu’il se fera toujours passer avant les autres. Après tout, on ne règne pas à plusieurs et il est fait pour régner, il le sait. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Le moment où son patronus s'est matérialisé devant ses yeux ébahis compte parmi la liste des rares instants qui ont eut le mérite de clouer le bec de Cole. Il est resté comme deux ronds de flan devant ce petit chat blanc qui le couvait de ses grands yeux bleus. Il l'a observé durant quelques instants de ses propres yeux écarquillés et puis il a entendu cette voix vaguement fluette et autoritaire. Et à partir du moment où il a commencé à parler, c'était foutu, il ne s'arrêtait plus. Il faut dire que ce chat, ce petit être apparu un beau jour, est une expression de Cole, de sa propre personne et, par conséquent, il ne pouvait donc être autrement qu'un bavard invétéré. Il ne s'arrête jamais tant et si bien que Cole se sentirait foutrement seul s'il la fermait un jour. C'est une voix quasi-continuelle qui habite ses pensées.
Il l'a baptisé de son second prénom, Gideon et c'est sans doute le seul être en ce monde apte de le suivre fougueusement dans ses interminables débats. Ils discutent et s'engueulent, beaucoup et parfois, Cole a juste envie de l'étrangler. Il l'aurait par ailleurs sûrement déjà fait s'il n'avait pas compris il y a bien longtemps qu'il souffrira lui aussi s'il inflige de la douleur à son patronus. Il compose donc avec le tempérament en adéquation au sien de ce dernier, à défaut de pouvoir faire autre chose.
Il se montre rude envers son patronus, il ne fait guère preuve de tendresse et pourtant, le chat, bien qu'ayant hérité du tempérament mesquin de son propriétaire, est également emplis d'affection à l'égard de ce dernier. Dans cette forme, celle du félin, il est toujours fourré entre ses jambes, se lovant contre sa jambe et il passe ses nuits à roupiller sur son ventre. Et il l'aime bien, ce matou, Cole, même s'il ne le dit pas et le patronus ressent. Il ressent ce lien vibrant d'affection entre eux et il sait déceler les je t'aime bien dans les paroles vivaces de Cole. Gideon, c'est avant toute chose une présence dans la vie de Cole, un soutien, un allié. Un bout de lui avec lequel, en dépit des conflits verbaux, il se sent toujours en osmose parfaite et c'est le seul être avec lequel il retrouve ça.
Au delà de sa première forme, celle sous laquelle il est pour la première fois apparu à Cole, Gideon peut également se changer en une carpe argentée, ce qui s'avère particulièrement commode lorsque Cole est perché sur un balais (et, s'il le pouvait, il le serait tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept) vu qu'il prend dans ces moments là forme brumeuse. Ainsi, Cole n'a pas à se soucier de voir un chat être précipité en bas du terrain pendant qu'il joue au Quidditch. |
Pseudo et âge: Leslie, vingt-et-un ans. Où as-tu trouvé le forum ? via un top-site. Personnage: inventé. As-tu un autre compte sur BP ? none. Présence: 6/7j. Une remarque ? |
Dernière édition par Cole Parkinson le Lun 9 Mai - 22:14, édité 21 fois |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:03 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]JUILLET 1971 « Pourquoi je dois aller dans cette école s'ils y accueillent aussi ces... » le mot resta coincé dans la gorge de Cole. Il peinait même à les définir, ces abominations. Les sang-mélés, les né-moldus, ces êtres au sang souillé dans lesquels on lui avait appris à voir durant son enfance de véritables abominations, des monstres répugnants ne méritant rien d'autre qu'une mort lente et douloureuse car ils n'étaient même pas sensés exister. Leur simple présence était une véritable insulte; et voilà qu'il était sensé aller à l'école avec eux. Comment Poudlard, une école renommée de sorcellerie, pouvait seulement concéder la présence de ces gens, de ces abominations ambulantes ? A l'instar de beaucoup de choses à l'âge de onze ans, ça le dépassait totalement. Il était installé autour d'une lourde table, son père à sa droite, sa mère à sa gauche, les papiers de son inscription déposés devant lui. La liste de fournitures et autres documents relatifs à son inscription étaient arrivés le jour-même et c'était de ce fait le grand sujet de la conversation de la journée. Cole ne détachait pas ses grands yeux bleus de la lettre, l'observant avec méfiance comme si il craignait qu'elle ne s'anime et vienne lui mordre la main. Une moue mi-dédaigneuse mi-révulsée était affichée sur son visage encore poupon, miroir parfait sur le déluge d'émotions qui se déversait alors en lui. « Il y a de bien meilleures écoles » lâcha son père de sa voix glacée. Une voix dépourvue d'intonation, plate, vide de sentiments. « Elle a été suffisamment bonne pour nous » rétorqua sa mère. Cole leva la tête et la tourna dans un premier temps vers sa mère (lèvres pincées, l'air lasse, comme si elle en avait sa claque de converser à propos d'une décision qui était, en ce qui la concernait, prise depuis belle lurette), puis vers son père (l'air peu convaincu, mais sans avoir franchement la foi de débattre à sa femme à propos de Poudlard et sa réputation). Cole le vit lentement battre en retraite. Il avait déjà perdu cette bataille. Quelques instants s'écoulèrent avant qu'il ne rouvre la bouche. « Oui, enfin, ça bien fera l'affaire, tu devras juste faire attention à tes fréquentations » il avait à peine refermé la bouche que son épouse intervins pour ajouter « comme partout ailleurs, mon chéri » et sur ce, elle afficha un sourire satisfait (il y avait de quoi, elle avait gagné) et planta un baiser sur le front de son fils qui demeurait pensif.
Cole, c'est un monsieur je-sais-tout en puissance. Il parle tout le temps, même quand on ne voudrait qu'une chose à savoir qu'il se taise. A Poudlard, il ne fait guère l'unanimité comme dans la vie dans tous les jours, mais il s'en moque éperdument pour la bonne raison qu'en ce qui le concerne personnellement, il est très satisfait de la vie qu'il mène et n'est-ce pas là tout ce qui compte ? Il ne vit pour personne d'autre que lui-même et en ce sens, il estime mener une vie très satisfaisante à partir du moment où il ne se perçoit pas lui-même comme une vaste déception.
Elevé selon les principes de ses parents, il croit de tout son être en la suprématie du sang, tant et si bien qu'il a carrément développé une peur phobique des sang mêlés et des nés-moldus. Sans prendre à ses jambes à son cou dès qu'il a connaissance d'être à proximité de l'un d'eux (ce qui aurait été plus que problématique durant sa scolarité à Poudlard), leur présence le débecte. C'est dans sa tête, idée enracinée dans sa cervelle. Pour lui, un sang souillé est une véritable abomination. Les sorciers dont le sang ne se trouve pas être d'une pureté implacable ne méritent pas de vivre et il n'en démordra pas.
Son opinion de l'école de sorcellerie Poudlard, son école, est passablement mauvaise, essentiellement car il a toujours trouvé aberrant que cette école pourtant plutôt prestigieuse accueille ainsi des élèves au sang souillé. Ca le dérange, même s'il s'y est fatalement fait, ses parents (et plus précisément sa mère) ayant refusés de l'envoyer dans une école plus "convenable". Il s'est donc habitué à cette école et à la vie au sein de cette dernière. Il n'est pas franchement populaire, ce qu'il ne recherche pas. Il a un petit cercle d'amis dont il ne pense pas qu'il en gardera beaucoup au delà de sa scolarité, scolarité qui s'achèvera dans près d'un an maintenant, mais sa vie à l'école tourne avant toute chose autour de sa passion viscérale pour le quidditch. C'est bien simple : s'il pouvait passer chaque instant de chaque jour sur un balai, il le ferait sans se poser de questions. Parfaitement à son aise dans les airs, il adore ce sport et rêve d'un avenir lumineux (et totalement non approuvé par ses parents que ce plan de carrière fait grincer des dents) dans ce domaine, avec un poste dans une équipe prestigieuse.
DECEMBRE 1982 « Je ne serais pas contre l’arrivée d’un bébé dans cette famille » siffla Amberly Parkinson en lorgnant en direction de son fils fraichement rentré de Poudlard pour les vacances de Noël. Il commençait à regretter de ne pas avoir insisté pour rester à l’école vu qu’il était à peine rentré et que sa mère commençait déjà à le faire crouler sous les allusions dépourvues de toute forme de subtilité. « Tu avais envie de tomber enceinte à mon âge ? » Questionna Cole sur un ton qui peinait à dissimuler son irritation. Ce n'était pas la première fois que sa mère faisait allusion à tout cela. Cela sous-entendait deux choses : qu'il fallait qu'il se trouve une femme et qu'il lui fasse un enfant et vite. Il n'avait nullement envie de cela et il ne se sentait guère prêt par dessus le marché. Il était néanmoins évident que ces deux facteurs pourtant primordiaux avaient une importance négligeable aux yeux de sa mère. Cole la regardait bien dans les yeux ce qu'elle détestait, il en avait conscience. A l'instar de son père, elle préférait ardemment le voir baisser les yeux plutôt que de l'observer ainsi, une pointe d'animosité dans le regard. C'était un autre rappel du fait qu'ils avaient perdu depuis longtemps déjà du contrôle sur lui. « Mais oui. » Cole se mordit la lèvre. « J'étais déjà avec ton père et j'avais hâte de porter son enfant. » Il aimait bien imaginer ses parents à Poudlard en leur temps. Il avait déjà vu des photos d'eux dans leur jeunesse, lui permettant d'en avoir une vision assez claire. Les gens avaient toujours aimé dire qu’il était le portrait craché de son père à son âge à l’exception de ses yeux, hérités de sa mère et pour avoir vu des photos de son paternel adolescent, Cole était bien forcé de reconnaître que les gens ne racontaient pas n’importe quoi. Il y avait effectivement un véritable air de famille. Il imaginait son père dans les couloirs du château, un sourire goguenard aux lèvres et sa mère à son bras, ses longs cheveux volant autour d’elle dans une cascade chocolatée. Ils s'étaient mariés quelques mois après qu'elle ait quitté Poudlard et elle était tombée enceinte l'année suivante. En ce sens, Cole n'était pas à la bourre par rapport à ses parents pour ce qui était de devenir père, ces derniers préférant qu'il termine l'école avant, mais ils étaient largement plus alarmés par le fait qu'il n'ai pas de petite amie. Visiblement, dans leur univers farfelu, il était aberrant qu'un garçon de vingt-et-un ans n'ai pas déjà trouvé la femme qu'il épouserait. « Et bien ce n'est pas mon cas » lâcha-t'il d'une voix catégorique. Les traits du visage de sa mère se tordirent sous ses yeux en une moue désapprobatrice. Il aurait put lui faire plaisir en lui mentant, en lui disant qu'il y songeait et qu'il avait envie de devenir papa, de suivre son exemple, ou encore mieux il aurait put sincèrement le penser, mais ce n'était pas le cas. Ca n'avait vraiment rien d'une priorité pour lui et au delà de ça, il n'avait pas envie de lui conférer le sentiment qu'elle avait le contrôle sur son existence, sur ses désirs. En grandissant, il avait vite eut la désagréable impression que ses parents voyaient davantage en lui-même leur propriété, leur petit garçon, qu'un être à part entière à savoir leur égal. Ils n'avaient pas envie qu'il pense, qu'il s'étonne, qu'il s'insurge, qu'il s'exprime. Non. Ils avaient envie d'une poupée, d'un pantin dont il pourrait tirer les ficelles. Cette façon de lui réclamer un petit fils ou une petite fille dénotait chez sa mère l'envie de pouponner, de pouvoir être l'univers tout entier de quelqu'un comme elle avait été celui de Cole durant les premières années de sa vie. Il devinait dans son regard qu'elle se sentait seule et qu'elle aurait bien aimé retrouver son petit bébé, mais Cole n'était pas d'humeur. « Je sors un peu » lâcha-t'il, se sentant bien trop à l'étroit dans cette pièce. Il se leva un peu trop brusquement, prenant par surprise son patronus, Gideon, qui s'était lové sur ses genoux sous sa forme féline, laissant quelques poils de sa fourrure blanche sur son pantalon. Il tourna le dos à sa mère sans plus de cérémonie, las de cette conversation aussi inutile qu'un dialogue avec un sourd et senti son regard dans son dos jusqu'à qu'il passe le pas de la porte.
Dernière édition par Cole Parkinson le Lun 9 Mai - 21:56, édité 20 fois |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:05 ( #) | Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche. Si tu as des questions n'hésite surtout pas |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:07 ( #) | merci. |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:07 ( #) | Jeremy Bienvenue à toi ! |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:11 ( #) | bienvenue sur bp ! très bon choix de famille évidemment il faudra que je te mp |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:12 ( #) | bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:15 ( #) | |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:17 ( #) | J'adore le prénom je l'aime d'amour même Bienvenue parmi nous, et bonne chance pour ta fiche |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:26 ( #) | merci beaucoup. |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:52 ( #) | |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 13:59 ( #) | merci beaucoup à toi. |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 14:01 ( #) | Le prénom et jeremy shameless bienvenue par ici |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 14:09 ( #) | Lannister. merci beaucoup. |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Invité, Dim 8 Mai - 15:35 ( #) | Bienvenue !! Bonne rédaction de fiche ! |
| | Re: clever as the devil and twice as prettypar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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