| (+ circé) a pretty face from hellpar Invité, Ven 20 Sep - 7:11 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Angélique Circé "Cissy" de Volange FEAT. Candice Accola 18 ans ϟ Cursus secondaire en médecine magique ϟ Chat et tigre de sibérie ϟ officiellement sang-pur, mais mêlé en réalité (vélane)Angélique, un prénom que ses parents choisirent dès que cette petite ouvrit ses yeux pour la première fois. Angélique, de ses cheveux d'or et ses yeux malicieux d'un bleu azur qu'aucun ne parvient à résister. Angélique, un prénom qui ne convient qu'à cette enveloppe charnelle, cette beauté caractéristique des de Sade. Une poupée de porcelaine, fragile et frêle de l'extérieure, redoutable et forte de l'intérieur. Ne vous laissez pas avoir par son apparence divine, Circé, dite "Cissy" est loin d'être l'ange qu'elle paraît être. Et pourtant, certains parviennent en entrevoir cette douceur infinie bien caractéristique de son nom, cette gentillesse et cette bonté qui ferait d'elle, un véritable ange tombé du ciel. Mais en reniant son prénom, elle se fait passer pour une autre. Elle n'est pas cruelle, ni sans coeur; elle ne se laisse tout simplement pas faire. Elle manie le sarcasme avec une joie infinie. Jouer avec les autres, avec les sentiments, aguicher les coeurs par l'art de la manipulation, avant de les briser d'une froideur bancale. Jouer, elle n'a que ce mot à la bouche. Rusée, ses talents d'oratrice pourrait la faire passer pour la victime, à chaque fois. Et pourtant... Ses crises de colère sont mémorables, et sa franchise lui vaut pas mal de regards noirs à son passage. Un caractère changeant par rapport à son humeur, ne vous mettez donc pas en travers de son chemin quand elle se lève du pied gauche. La méchanceté gratuite peut sembler être un véritable plaisir dans ces moments-là. Des paroles blessantes, mais également des sors qu'elle maîtrise à la perfection. Son amie de toujours, sa baguette en bois de charme avec un cheveux de vélane, 25 centimètres, plutôt souple. Jamais elle ne la quittera, toujours sous son oreiller quand elle dort. Un sommeil léger qui ne la quitte jamais. S'est-elle déjà un jour véritablement reposée? Personne ne le sait. Depuis ce jour où elle s'est retrouver entourée de ce brasier dans ce magasin. Un traumatisme d'enfance. Un cri perçant. Voilà ce que représente son épouvantard. Cet élément qui réduit en cendre tout ce qui se met en travers de son chemin. Par contre, même la brûlure la plus horrible ne lui fait pas aussi peur. Le sang est comme une fascination à ses yeux, et choisir le cursus de la médecine magique lui a semblé comme naturelle. D'autant plus qu'elle n'a pas peur des défis. Avec un cerveau comme le sien, c'est dommage qu'elle l'utilise plus à ses petites manigances qu'à ses études; cela n'empêche qu'elle ait réussi ses Aspics haut la main. a little something from you. Mon patronus a toujours été qu'un simple sort à mes yeux. Un petit Ceylan qui apparaissait dès que je l'appelais, qui me servait à défier ces putains d'araignées, mais surtout, qui transmettait des messages de ma part dès que j'en avais besoin. Je ne l'ai jamais considéré comme autre chose qu'un sortilège. Jusqu'à ce qu'il apparaisse sous mes yeux cet hiver-là. Je me souviens encore du cri que j'avais poussé quand ce chat s'est matérialisé sous mes yeux. J'ai essayé de le chasser, mais il s'est mis à parler. J'aurais dû m'en douter, on rencontre de tout dans le monde magique, alors un chat qui parle, pourquoi pas. Il a toujours gardé cette forme-là, à me suivre partout où j'allais. Je ne le supportais pas au début, parce que j'avais l'impression qu'il gardait un oeil sur moi, qu'il m'empêchait d'agir comme je le voudrais. Puis, un jour, face à un danger certain, il s'est transformé en un magnifique tigre de Sibérie. Là, j'ai été sur le cul. Il s'est battu, abattant ses griffes sur cet homme qui voulait me faire du mal, parce que je lui aurais brisé le coeur. N'importe quoi. Depuis, notre relation s'est améliorée, et je ne vous cache pas qu'il est tellement plus beau sous sa forme de tigre! Sauf que bon, pour se déplacer, ce n'est pas génial non plus. Et puis, un chat, c'est quand même plus discret quand on erre dans les couloirs du château après l'extinction des feux! You're not a sad story. France, manoir des de Volange, vingt-et-un avril mille neuf cent soixante et un ; Un cri de douleur retentit à nouveau dans le manoir. Encore un. Voilà maintenant 5 heures que ça durait. 5 heures de douleur et de souffrance; 5 heures d'inquiétude et d'impatiente. Il s'arrêta de faire ses cents pas, jetant un regard de détresse vers l'étage. Il aurait voulu être à ses côtés, mais elle n'avait pas voulu qu'il la voie déformée. Parce que c'est ce qui lui arrivait toujours quand elle était en colère. Là, elle l'était terriblement. Parce qu'elle en avait marre de souffrir. À nouveau, elle poussa un cri. Elle était tellement fatiguée. « Encore un peu Mylady, poussez, je vois presque sa tête. » Et encore une fois, elle poussa, dans un cri de frustration. Mais pourquoi ce bébé ne voulait-il pas sortir?! 5 heures de torture! Elle aurait dû demander une césarienne. Quoique non, elle n'aurait pas voulu d'une vilaine cicatrice sur sa peau laiteuse. Elle souffla quelques secondes avant de pousser encore une fois. C'est ce qu'elle faisait depuis 5 heures. « Je te jure par la barbe de Merlin que si tu me touches encore une fois Christophe, je te jetterais un avada kedavra sans hésiter! » En bas, au rez-de-chaussé, dans le salon, ledit Christophe frissonna en entendant le hurlement colérique de sa femme. Henry posa alors sa main sur l'épaule de son beau-frère. « Ne t'inquiètes pas, elle dit ça juste sous le coup de la colère. Marie a réagi de la même manière quand elle donnait naissance à Aphrodite. Et regarde, on attend déjà notre second enfant. » Christophe fit alors un pâle sourire au marquis de Sade. Au même moment, des pleurs de bébé retentirent dans toute la maisonnée. Et là, son sourire éclatant illumina son visage. Il jeta alors un coup d'oeil à Henry. Celui-ci ne fit qu'acquiescer avant de voir son beau-frère s'élancer à l'étage. Il entra dans la chambre avec fracas. Là, le spectacle le remplit de bonheur. Sa femme, un doux sourire sur ses lèvres. Sa si belle femme tenait son bébé dans ses bras. Leur bébé. Il s'approcha alors et se pencha sur le lit. « Elle est magnifique. Aussi belle que sa mère. » Sarah lui sourit alors tendrement. Et le bébé, comme si elle avait entendu la voix de son père, ouvrit les yeux; d'un beau bleu azur. Un ange venait de naître. « Bonjour Angélique. Bienvenue chez les De Volange. »
France, manoir des de Volange, un été de mille neuf cent soixante huit ; Elle courrait, encore et encore. Je rigolais à gorge déployée tandis que mon cheval galopait dans la prairie. « Miss Angélique, s'il-vous-plait, vous devez descendre! Miss Angélique! Votre précepteur vous attend! » À sept ans, je n'en faisais déjà qu'à ma tête, rendant ma gouvernante totalement folle. « Qu'il attende alors Martha! Je veux jouer! » Et je donnais à nouveau un petit coup de cravache, lui demandant d'accélérer, encore et encore. Je riais toujours, sans faire attention à la pauvre Martha à bout de souffle. Qu'elle me suive si elle ose! Mais soudain... « Angélique Circé de Volange! Tu vas descendre de ce cheval tout de suite et retourner à ton cour de solfège! » Je grimaçais alors en entendant la voix de ma mère, ou plutôt en l'entendant m'appeler par mon prénom entier. Je ralentis alors, avant de lui jeter un regard de défi. « Je veux pas! J'aime pas le solfège! » Tout le monde dans cette maison savait que la musique était l'activité qui m'intéressait le moins et pourtant, mon don pour le violon était indéniable. Sauf que voilà, je ne prenais aucun plaisir à y jouer. « Laisse-là chérie, regarde à quel point notre ange s'amuse. Laisse-la encore un peu. » Je venais de voir mon père sortir du manoir. Et je poussais déjà un cri de plaisir tandis que je demandais à mon cher et tendre de reprendre de la vitesse. Je savais que maintenant, je pouvais en profiter sans que personne ne dise rien. Parce que papa ne pouvait rien me refuser. Il ne me refusait rien d'ailleurs. 7 ans et déjà pourrie gâtée. Ce n'est pas de ma faute si je suis une princesse!
Écosse, Royaumes-Unis, Poudlard, premier septembre mille neuf cent septante ; Un sourire hautain sur mes lèvres venaient de se dessiner tandis que je m'avançais vers le choixpeau magique. Je savais déjà dans quelle maison j'allais être répartie, parce qu'elle était la meilleure à mes yeux. Et la fille que je suis mérite le meilleur. Je lançais un coup d'oeil à ma cousine Perséphone qui venait de prendre place quelques secondes plus tôt à la table des Serdaigle. Elle était fière d'être dans la maison des grosses têtes de Poudlard, ça se voyant dans son regard. Je m'étais longuement demandée pourquoi ses parents l'avaient envoyée étudier aussi loin de notre pays natal, et non pas à Beauxbâtons. Mais je ne cherchais pas plus loin. Ma cousine était là, alors je devais aussi l'être. Parce que sans Perséphone, je ne me sentais pas complète. Toute notre enfance, nous l'avions passée ensemble, et nous séparer serait revenir à commettre un crime. Des cousines qui se considèrent comme des soeurs, et qui peuvent même se passer comme telles. Nous ne nous ressemblions pas que mentalement, mais physiquement aussi -bien qu'elle dégage plus de charme que moi, mais ça, c'est à cause de sa condition de vélane. Je ne l'ai jamais jalousée, je ne voyais pas pourquoi. Assise sur mon tabouret, j'offrais un dernier sourire à la de Sade avant que le choixpeau ne crie le nom de ma nouvelle famille. Je me levais alors avec fierté avant de me diriger vers la table avec une grâce qui me définissait bien. Bienvenue à Poudlard, Angélique Circé de Volange.
Écosse, Royaumes-Unis, Poudlard, une nuit d'été de mille neuf cent septante cinq ; Je tournais, encore et encore, le visage en sueur. J'étais à nouveau dans ce magasin, recroquevillée sur moi-même tandis qu'un feu m'entourait. Je hurlais, pleurais en même temps, suppliais qu'on vienne me chercher. J'avais peur, tellement, comme jamais je n'avais eu peur dans ma vie. Je sentais la chaleur du feu me lécher le visage, les bras, les jambes, mon corps en entier. Mes sanglots se firent plus bruyant quand je le voyais s'approcher, un peu plus. Je ne savais pas quoi faire, je voulais juste ma maman. Le coeur battant, j'avais envie de vomir et faire pipi en même temps. Mais je me retenais, parce qu'une lady ne se faisait pas dessus. Je suppliais encore Merlin qu'on vienne me chercher, mais bientôt, je me rendis compte que personne ne viendrait à ma rescousse. Le feu s'approchait un peu plus, j'allais mourir. Dans un dernier espoir, je hurlais de toutes mes forces. Et en même temps, je me réveillais en sursaut, les larmes aux yeux. Silencieusement, j'éclatais, étouffant mes pleurs dans mon oreiller. Cet incendie resterait à jamais gravé en moi. J'ai eu la vie sauve grâce à ma première véritable manifestation magique. Cette volonté de survivre, je ne la gâcherais jamais. Et cette peur de mourir pourrait me faire faire des choses que je regretterais toute ma vie, je le savais. Mais tant que je peux vivre, je me fiche des conséquences.
Écosse, Royaumes-Unis, Poudlard, Aujourd'hui ; Aphrodite et Angélique. Perséphone et Circé -dite Cissy. Qui ne connaît pas les deux anges de Poudlard? Toujours aussi inséparable, comme les deux doigts de la main. Certains diront qu'elles sont les pires pestes de l'école, mais ces mots sortent surtout de la bouche des jalouses. D'autres envieraient leur beauté, l'or de leurs cheveux, l'azur de leurs yeux, deux caractéristiques spécifiques à cette célèbre famille de France. Poudlard en compte, des De Sade et cousins. Tous plus beaux et parfaits les uns que les autres. Mais les meilleurs, ou les pires, dépendant du point de vue, resteront les cousines de Sade-Volange. Manigance et manipulation, deux mots qui les dessinent à la perfection. Deux poupées de porcelaine au coeur de pierre, la seconde sans doute plus terrible que la première. Enfin... encore une fois, tout dépend de quel point de vue. D'ailleurs, les voilà en train de charmer leurs prochaines proies. Encore deux qui finiront avec leur coeur brisé. Mais un de plus ou un de moins, ça ne fait aucune différence... Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: MIDNIGHT.HEAVEN, 22 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? sur un top ϟ Personnage: PV, personnage de la famille de Sade ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nop, j'suis une vraie newbie ϟ Présence: tous les jours ϟ Une remarque? sorry, c'est mon smiley préféré
Dernière édition par A. Circé De Volange le Lun 23 Sep - 12:07, édité 13 fois |
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