Nom: Mortensen, nom de famille appartenant à une famille de sang pur Norvégienne. Cependant, le père de Sirrush s'étant fait renier lorsqu'il a jeté son dévolu sur Gina Ingherneils, il n'a presqu'aucune influence en tant que tel et uniquement dans les frontières de leur pays natal. Il est plus connu en Angleterre comme étant désormais lié à un clan d'éleveur de Dragon qu'autre chose. Sirrush - quelque puisse être ses liens avec son père - est très fier de son nom, comme il est fier de celui des Ingherneils. Prénom:Sirrush, majestueux Dragon de la mythologie Babylonienne, protecteur de l’antique citée de Mésopotamie. Une créature impressionnante dont on peut se dire que quiconque porterait son nom serait certainement une personne à la hauteur de sa réputation. Et c’était sans aucuns doutes ce qu’attendait Gina quand elle a nommé son premier enfant ainsi : Un ainé protecteur, calme, sage et sérieux… Un ainé capable de guider ses deux sœurs et son frère jumeau, de les conseiller de la manière la plus juste possible... Il semble désormais évident qu'elle s'est quelque peu trompée de jumeau sur la plupart des critères puisqu'il est celui qu'il faut guider et a qui il faut tenter d'inculquer un peu de sérieux. Âge et Date de Naissance: 20 ans, né le 31 Décembre 1961Nature du sang: Sang mêlé Situation familiale: Sirrush vit dans une grande famille unie aussi chaleureuse que le feu des dragons qu'ils protègent. Puisqu'ils vivent tous dans la même demeure, il en est rapidement venu à considérer la plupart de ses cousins et cousines comme des frères et soeurs à part entière mais officiellement, il a deux jeunes soeurs cadettes et jumelles - Hannah et Heidi - envers qui il s'est donné la mission de les protéger contre tout ce qui pourrait leur vouloir du mal, et tant pis si elles n'ont qu'un an d'écart avec lui. Même si sa relation avec Heidi est quelque peu tendue actuellement. Il a un frère ainé adopté par ses parents lorsqu'il était enfant, Silas, pour ce dernier il l'a considéré comme son frère durant quelques années puis, à cause de sa phobie de l'abandon et d'une jalousie mal placée ainsi que d'autres sentiments troubles, il a fini par le renier, refusant de continuer à le considérer ainsi. Il a également un frère jumeau, plus calme que lui et qui a - à son grand damne - écopé d'un certain nombre de punitions simplement parce qu'il a la malchance de ressembler trait pour trait à Sirrush ; et parce que ce dernier en profite largement pour fuir le résultat de ses débordements, les lui collant sur le dos. Malgré tout, ils restent très proche, Sigbjorn tentant régulièrement de calmer son frère et de le ramener sur le droit chemin et Sirrush... Ecoutant malgré tout de temps en temps ses conseils.Même si ça ne dure jamais très longtemps, Sig peut se féliciter d'être l'un des seuls dont les paroles réussissent à passer à travers le crane trop épais de son frère. Sirrush ne le dira pas, mais sa nature protectrice le pousse à vouloir également protéger son frère. Il l'aime bien trop pour envisager de le perdre ou de le voir blessé grièvement. Il vit avec son père, Gabriel Mortensen, un relation très compliquée, ce dernier ne supportant pas les débordements et l'hyper activité de son fils et le lui faisant bien comprendre, Sirrush de son côté semblant empirer son caractère simplement pour faire enrager un peu plus son père. Patronus: Kaliya, une berger Malinoise et une Asian golden cat, connu également sous le terme de Chat de Temminck. Ils ont en premier lieu vécu une relation des plus compliquée, ne se supportant pas l'un l'autre - ce qui a pu les pousser à s'agresser plus ou moins mutuellement, chacun ayant reçu son lot de coup de pied ou de coup de griffes - avant de lentement évoluer vers quelque chose de plus positif.La peste des patronus les a beaucoup marqué, Sirrush ayant été traumatisé par la sensation de perdre cette partie de son âme, l'abandon qu'il a ressenti ayant été bien plus terrible que lors de n'importe laquelle de ses crises d'angoisse. Désormais, ils ont une relation lus forte, basée principalement sur des piques et des moqueries des deux côtés. Kaliya ne contrôle pas ses changements de formes, ceux-ci dépendant entièrement de l'état d'esprit de son sorcier ainsi qu'à quel niveau est son hyperactivité... Et de s'il a pris son traitement. Miroir du Rised: Si Sirrush tombait malencontreusement sur le miroir, la première chose qu'il y verrait serait sans doute des dragons volant dans le ciel Norvégien. Puis il s’apercevrait lui, plus âgé... Visiblement plus calme aussi, comme si son hyperactivité n'existait plus. A ses côtés, serré contre lui et sourire heureux aux lèvres se trouverait une jeune femme qu'il reconnaîtrait forcément comme étant Isy, parce qu'il ne voit pas son avenir sans elle désormais, en pleine forme également et autour d'eux des enfants courraient et s'amuseraient. Leur nombre changerait a chaque fois parce qu'il ne sait pas combien il en voudrait : Il sait juste que la famille qu'il voudra fonder plus tard devra être aussi heureuse que celle qui apparaitrait dans ce miroir. Epouvantard: Son épouvantard est lui-même, tout seul. Il se voit généralement blottit dans un coin, avec un air désespéré sur le visage et à chaque fois qu’il apparait lui vient la certitude que cette attitude provient du fait qu’il a été abandonné par toutes les personnes qu’il aimait. Il n’a jamais réussi à vaincre son épouvantard et en ressort la plupart du temps profondément perturbé, voir en pleine crise d'angoisse. Composition de la baguette magique: Sa baguette est en bois de Saule et cœur de Dragon qui représente la fougue, l’instabilité et la puissance.Etudes Suivies: Sirrush a fini par se lancer dans des études secondaire et il s'apprête a finir sa deuxième année de Zoologie magique, spécialité en soin poussé aux créatures magiques.Animal de compagnie: Beaucoup trop distrait pour s'occuper d'un animal à lui, il possède seulement - comme le reste de sa famille - King Ragnar, le hibou familial qui va finir par faire gréve a force d'avoir autant de maitres.

La première chose que l’on peut noter sur Sirrush, c’est son trouble de l’attention avec hyperactivité, maladie relativement prononcée chez lui. Il est constamment en train de bouger, incapable de rester immobile ou calme pendant plus de cinq minutes d’affilées : Même dans son sommeil il faut qu’il remue ce qui peut rapidement s’avérer problématique s’il n’est pas tout seul. Quand il parle, c’est toujours avec de grands gestes pour ponctués ses propos – agrémentés, d’ailleurs, d’une vulgarité assez impressionnante - et ces derniers sont rarement prononcés d’un ton calme et tranquille mais, au contraire, d’une voix forte et audible même par ceux qui ne sont pas concernés par ce qu’il dit. On ne peut pas ignorer la présence de Sirrush quand il est dans une pièce, tout simplement parce qu’il ne se laisse pas ignorer. Il aime que l’on sache qu’il est là et il fait tout pour que ça soit le cas à tout moment ce qui peut être – et qui est en réalité – un gros problème durant ses cours puisqu’évidemment son hyperactivité ne se calme pas une fois qu’il est assis sur une chaise, derrière un bureau. Bien au contraire. Il est la bête noir de la majorité des professeurs et il n’est pas rare de voir l’un deux lui lancer un sort pour le garder fixer sur sa chaise. Sa maladie a été diagnostiquée quand il eut 14 ans ce qui lui permit d’avoir accès à un traitement… Le problème étant qu’il ne se soigne pas correctement, ne prenant soit pas ses cachets pendant un moment, soit n’en prenant pas assez, soit au contraire beaucoup trop. Il n’est absolument pas quelqu’un de responsable à ce niveau, au contraire, ce qui fait que même encore maintenant son TDAH est un gros handicap pour lui, son manque de sérieux quant à son traitement n’aidant pas à calmer les symptômes. Il fait partie du très faible pourcentage d’adulte qui voient leur maladie les suivre même alors qu’ils ne sont plus enfants sans que les symptômes ne se calment le moins du monde. Il y a peu de personne capable de le calmer réellement pour un temps plus ou moins court – sa mère, son frère jumeaux Siegfried et sa petite amie, Isy-Blake – mais au moins, c’est un indicateur relativement fiable de son état d’esprit. S’il est malade ou déprimé, il aura tendance à rester dans des coins isolés, immobile et le visage sombre ou plus ou moins neutre : Le voir chercher la solitude est, de manière générale, un très mauvais signe. A l’inverse, plus il s’énerve, stresse ou se trouve en proie à une colère intense, plus il s’agite jusqu’à en devenir une vrai tornade qui se perd tout seul dans ses idées et ses actions.
Profondément distrait, Sirrush a énormément de mal à se concentrer sur ce que les professeurs tentent de lui enseigner durant les cours et il finit presqu’à chaque fois par lâcher l’affaire pour se concentrer sur une activité qu’il trouve beaucoup plus intéressante que la voix trop souvent monotone des enseignants. Il est de ce fait très souvent puni pour ses oublis de devoirs ou d’affaires et a depuis longtemps abandonné l’idée d’être un bon élève, ayant parfaitement compris depuis le temps que le système scolaire sorcier n’était clairement pas adapté à son cas. Malgré tout, parce que se faire considérer comme un moins que rien par l’équipe professorale lui fait bien plus de mal que ce qu’il accepte de montrer, il a une grande tendance a emprunter les devoirs de son frère jumeau pour tenter de remonter un peu sa moyenne en s’en inspirant pour ceux qu’il rend. Malgré tout, il a réussi à terminer ses sept premières années à Poudlard – Merci à sa petite amie qui l’a poussé à bosser – et a profité de la réforme pour partir dans un cursus qui lui plait réellement, la Zoologie magique et c’est sans doute la première fois de sa vie qu’il s’épanouit sincèrement dans le domaine scolaire… Même s’il reste lui-même avec les mêmes problèmes d’attention et la même tendance à trop animer les cours. Mais au moins il étudie volontairement ses cours et y porte un intérêt sincère. Obstiné et extrêmement têtu et borné, il a bien l’intention d’arriver à atteindre son rêve : Travailler avec les dragons au sein de la réserve familiale.

Bagarreur et impulsif, sa réputation auprès des adultes du château est déjà toute faite et peu sont ceux prêt à la remettre en question. Il concourt très certainement au titre de celui qui a le plus de d’heure de colle à son actif, qu’elles soient dues aux très nombreuses bagarres qu’il provoque, ou bien à sa tendance à parler avant de réfléchir ce qui l’amène dans des situations délicates où il a sorti ce qu’il ne fallait pas à la personne à qui il ne fallait surtout pas le dire. Très fier de cette réputation, il ne cherche absolument pas à la modifier ou à s’en justifier : Il aime simplement ça. Se battre, se dépenser physiquement tout au long de la journée même d’une manière quelque peu brutale, ça n’est qu’une manière comme une autre pour lui de gérer son hyperactivité. Il ressort toujours des petites bagarres amicales – ou moins – avec le sourire aux lèvres, ravi de s’être dépenser ainsi et ce qu’il soit vainqueur ou non. Sujet aux sautes d’humeurs brutales et imprévues tout comme aux coups de gueules, il ne s’impliquera physiquement que dans certaines occasions : S’il est réellement poussé à bout, s’il doit défendre un membre de sa famille – que celui-ci soit d’accord ou non – se défendre lui-même, où s’il se retrouve face à des personnes qu’il ne peut réellement pas supporter.
Les liens entre les membres de la famille d’Eleveur de Dragon sont extrêmement serrés, à tel point que peu importe les disputes qu’il peut y avoir, peu importe les tensions qui peut exister, si l’un d’entre eux à un problème, c’est tous les autres qui tombent sur le dos dudit problème. Et Sirrush est généralement dans les premiers sur place vu combien il adore sa famille et ferait n’importe quoi pour eux. Il est risqué de malmener un des siens sous son nez et encore plus s’il s’agit de son frère jumeau ; il l’aime énormément et s’est donné pour mission de le protéger de quiconque voudrait s’en prendre à lui – de ses sœurs cadettes ou même de Silas – même si pour ce dernier il se cachera derrière le fait qu’il est simplement le seul à avoir le droit de lui casser du sucre sur le dos – c’est en réalité le meilleur moyen de réveiller son côté sanguin qui ne dort jamais bien loin de la surface. Il ne possède aucune subtilité et serait incapable de faire preuve de ruse même si sa vie en dépendait, mais ça n’est pas parce qu’on le voit venir à des kilomètres qu’il est moins dangereux pour autant et il vaut mieux ne pas déclencher sa rage, parce que l’arrêter est sans doutes ce qu’il y a de plus dur après ça. De manière générale, il ne vaut mieux pas s’en prendre à sa famille ou à la réputation de cette dernière sous peine de s’attirer ses foudres. Il est extrêmement fière de cette dernière, de leur sang et de leur activité et fera parler ses poings si quelqu’un ose dire un mots de travers à leurs propos. Il n’a que faire du dédain que leur porte les familles de sang pur et se fera un plaisir de leur remettre brutalement les pieds sur terre.
Il est également extrêmement blagueur et malicieux mais son énorme manque de discrétion fait que la majorité de ses tours se retournent généralement contre lui sans avoir malheureusement réussi à surprendre ses cibles. Cependant, il a développé une technique qui lui a permis et lui permet encore parfois d’échapper aux punitions : Il se fait passer pour son frère ou fait en sorte de pousser les accusations vers lui. Evidemment, ça n’est absolument pas pour plaire à ce dernier qui – s’il finit par lui pardonner à chaque fois – ne se fait pas prier pour l’engueuler et râler sur le fait qu’il faut que ça soit la dernière fois… Ce qui n’est, bien entendu, jamais le cas. Malgré tout, il adore son frère et fait de son mieux pour se faire pardonner, jurant à chaque fois qu’il ne le fera plus, se pliant de plus ou moins bonne volonté à tout ce qu’il pourrait lui demander, juste pour qu’il passe plus rapidement l’éponge sur sa dernière bêtise en date. Il a en réalité beaucoup de mal à supporter qu’il y ai un froid entre eux et sa peur de l’abandon fait qu’il cherchera à chaque fois et de manière encore plus prononcée avec Siegfried, à apaiser les disputes d’une manière ou d’une autre. Son frère fait partie de ceux qui le connaissent le mieux et – s’ils n’ont pas la même relation fusionnelle que Heidi et Hannah peuvent avoir – il n’en reste pas moins qu’ils restent proches l’un de l’autre dans une relation mêlant chaos, attitude délurée venant de Sieg, hyperactivité pour Sirrush et amour sincère. De sa manière bien particulière, il est capable de le calmer et d’apaiser un peu cette envie constante qu’il a de vouloir bouger et même d’apaiser ses peurs et ses angoisses.

La relation Sirrush / Kaliya ne s’est pas faite en un jour, loin de là, très loin de là. Au tout début, le jeune homme ne pouvait tout simplement pas la supporter. Arrivée comme un cheveu sur la soupe avec un troupeau d’autres patronus tous plus ou moins imposant durant les vacances de Noël, alors qu’ils étaient tous réunis chez eux en Norvège, il la voyait d’un mauvais œil. Il ne parvenait pas à comprendre comment elle pouvait être une partie de lui, comment elle pouvait être son âme comme ne cessait de le répéter le gouvernement anglais. Leurs échanges, pendant des mois, se résumaient plus ou moins à des insultes des deux côtés, des provocations de la part du félin et des sous-entendus plus ou moins graveleux sur un sujet que le jeune homme refusait tout simplement d’aborder. Que ça soit avec elle ou avec n’importe qui d’autres. Ces discussions se finissaient bien souvent en bagarre entre eux deux qui ne se terminaient elles-mêmes que par abandon des deux protagonistes parce que les douleurs qu’ils se provoquaient mutuellement devenaient trop gênantes. Kaliya ne supporte pas le côté je m’en foutiste de son sorcier, le fait qu’il pensait que la guerre ne le concernait pas, cette tendance qu’il avait à se foutre dans le danger sans y penser une seule seconde et – surtout – le fait qu’il n’a pas fumé que des cigarettes normales pendant plusieurs mois. Elle ne supportait pas de le voir drogué et faisait en sorte de se couper au maximum de lui dans ce genre de moments.
Au fur et à mesure des mois – et des épreuves traversées – leur relation est devenue de plus en plus étroite. Sirrush avait déjà pu se rendre compte de son côté protecteur quand elle s’est interposé, à Belize, pour lui éviter de se prendre un sort mais c’est quelque chose qui s’est confirmé au fur et à mesure du temps. La peste les a beaucoup secoué tous les deux, l’horrible sensation de perte provoquée par celle-ci à fait prendre conscience à Sirrush qu’il avait fini par s’attacher sincèrement à elle, et qu’il ne voulait pas qu’elle disparaisse pour toujours. Qu’il voulait la garder près d’elle. Au final, il a réalisé que malgré sa peur de l’abandon, malgré cette phobie paralysante qui le pousse à s’accrocher et à protéger ses proches du mieux qu’il peut – parfois même contre leur gré – Kaliya, elle, pourrait toujours être là. L’empêcher d’être réellement complètement seul… Sauf si une nouvelle Peste, définitive celle-ci, se déclenche un jour ce qui fait sans doutes parties des grosses craintes du jeune homme. Désormais, ça n’est malgré tout pas une relation parfaite et sans nuages qui les lie : Les provocations sont toujours-là, les piques moqueuses également. Les grosses périodes de bouderies parce que l’un ou l’autre à fait ou dit quelque chose qui ne plaisait pas aussi, ainsi que la tendance de Kali’ à vouloir lui faire prendre conscience de chose qu’il ne veut pas voir mais… Maintenant, ils savent tous les deux que c’est comme ça qu’ils se montrent qu’ils tiennent à l’autre, qu’ils ne veulent que leur bien.
Il est a noté également que Kali’ ne contrôle pas ses transformations. Lorsque Sirrush est particulièrement instable – c’est-à-dire lorsqu’il ne prend pas ses médicaments, ou qu’au contraire il abuse largement des cachets, dépassant de beaucoup les doses prescrites, ou encore quand il commence à être sérieusement en manque de nicotine (ce qui, vu son addiction, peut arriver rapidement ) – elle change de forme de manière impromptue et brutale, incapable de se fixer. Elle reste uniquement en forme canine quand elle s’accorde particulièrement bien aux humeurs de son sorcier et à ses envies de faire des conneries et de bouger dans tous les sens.