BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 11:48 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Ronnie Stryder FEAT. Stephanie Demner 17 ANS ϟ PRIMAIRE ϟ MESANGE BLEUE ϟ SANG-MÊLE Pour partir sur les bases et le plus banal, je m’appelle Ronnie Stryder, j’ai dix-sept ans, je suis de nationalité anglaise mais j’ai des origines américaines, ma baguette fait 27,2 centimètres et est en bois de séquoia, cœur de licorne. A première vue, je peux vous paraître réservée, voire asociale. Loin de là : je suis seulement sur mes gardes quand je ne connais pas, le temps de me faire une opinion. Et celle-ci est irrévocable : j’aime ou je n’aime pas. Néanmoins, si l’occasion se présente, j’accepte de donner une seconde chance. Malgré la guerre, je garde foi en l’humanité : les gens peuvent changer. Mais n’abusez pas de mon extrême gentillesse. Je suis aussi une grande optimiste et je suis toujours de bonne humeur. Je suis hyperactive et j’adore le sport, particulièrement le Quidditch et le tennis, un sport moldu. Mais, paradoxalement, je peux parfois passer des journées entières au lit, quand toute cette énergie est épuisée ou quand je suis déprimée, ce qui arrive, parfois. Je déteste les problèmes et les embrouilles, j’essaye de les éviter autant que possible. Pour cela, j’essaye de ne pas dire ce que je pense mais je reste froide pour manifester ma colère et mon mécontentement. En revanche, si on me cherche, on me trouve. Je déteste particulièrement les insultes sur mon sang. Je suis fière de mon côté moldu autant que de mon côté sorcier. J’adore les cours, particulièrement ceux manuels, comme la botanique ou les cours de soins aux créatures magiques. J’adore apprendre, je suis du genre à retenir une leçon rien qu’en écoutant les professeurs parler. Je suis peut-être blonde, mais loin d’être bête. En revanche, je déteste travailler. Rendre des rouleaux de parchemins sur un sujet ? J’en ai des sueurs froides. J’ai du mal à rester concentrée devant un parchemin. C’est sans doute dû à mon hyperactivité. Je m’ennuie très vite. J’aime prendre soin de moi, bien m’habiller et me faire belle, mais pas dans le but d’être populaire. Juste pour me sentir bien dans ma peau. Ce n’est pas grave si je passe inaperçue. Sinon, pour continuer à faire l’éloge de moi-même, je tiens à préciser que je suis une amie très fidèle et protectrice, je n’hésite pas à défendre mes amis. Par contre, je suis une piètre consolatrice. Très maladroite, j’enfonce même le couteau dans la plaie, parfois. Quant à l’amour, je n’y pense pas pour l’instant. Oui, il m’arrive de me rincer l’œil quand un beau jeune homme passe devant moi, mais je suis incapable de tenir une relation plus d’un mois. J’ai trop peur de m’attacher et d’être blessée par la suite. Alors en attendant, je m’amuse ! Ma plus grande peur ? C’est peut-être banal, mais c’est la mort, pour plusieurs raisons : la mort, c’est l’inconnu, la perte d’un être cher, la douleur.
a little something from you. Je me réveillais d’un lourd et long sommeil quand j’ai vu mon patronus pour la première fois. Une petite mésange bleue volait au-dessus de ma tête. Au début, j’ai cru qu’il s’agissait d’un simple petit oiseau égaré, entré par la fenêtre de la salle commune. Mais c’est alors que la mésange s’est mise à parler : - Eh ben enfin ! s’est-elle exclamée. J’ai bien cru que tu ne te réveillerais jamais, t’as le sommeil lourd, même mes coups de bec ne t’ont pas réveillée ! - Gné ? ai-je grommelé. Super, me suis-je dit. Voilà que je suis devenue schizo. Je me suis retournée et ai refermé les yeux. - Qu’est-ce que tu fais ? s’est écrié la mésange. Pas question que tu te rendormes, tu as cours, je te signale ! - Je me rendors pour te renvoyer dans mes rêves, petite hallucination. Mais puisque j’étais éveillée désormais, j’ai parfaitement senti les nouveaux coups de bec sur mon épaule. D’un coup sec de la main, j’ai essayé de chasser le volatile. - Je ne suis pas une hallucination, a crié la petite voix. Je suis ton patronus ! Ce sont ces derniers mots qui ont achevé de me réveiller. J’ai bondi hors de mon lit. - Mon patronus ? LE patronus ? J’avais entendu parler de ces fameux patronus et certains élèves à Poudlard se pavanaient déjà avec le leur. J’avais ressenti une pointe de jalousie envers eux et j’avais hâte que le mien se manifeste enfin. - C’est pas trop tôt ! me suis-je donc exclamée. J’étais contente que mon patronus soit une mésange bleue. D’un, c’est un oiseau aux couleurs magnifiques, particulièrement lorsqu’il déploie ses ailes. De deux, la mésange est un animal qui me correspond bien, toujours actif. Enfin, il est plutôt pratique de par sa petite taille : il pourrait se poser sur mon épaule – ce qui est désormais quasiment toujours le cas, quand il ne vole pas autour de moi. Maintenant que j’ai la preuve que je ne suis pas schizo, je parle régulièrement à Hope – c’est ainsi que je l’ai appelée, avec son accord, car elle représente l’espoir – et je ne tente plus de la chasser, sauf si elle chante trop – son passe-temps préféré – et que cela brise mes tympans. Dans ces cas-là, elle manifeste sa colère à travers quelques coups de becs. Malgré donc quelques désaccords, nous avons une relation très fusionnelle. En plus de me protéger, Hope agit comme ma conscience. Elle me donne des conseils. Si elle considère que ce que je fais est mal – comme lorsque je veux quitter la bibliothèque alors que je devrais y rester pour travailler – elle ne me suit pas, exprès. Pour me forcer à y rester, parce qu’elle sait qu’on ne peut pas s’éloigner de plus de quelques mètres sans se sentir mal. Elle s’avère aussi très utile lorsque je désire trouver quelqu’un, introuvable au milieu d’une foule et qu’elle vole plusieurs mètres au-dessus de moi pour trouver cette personne à ma place et m’y guider. Elle m’est donc indispensable et je suis très fière d’elle. Un beau jour, alors qu’un vilain petit serpentard a voulu me lancer un sort, non pas une mésange s’est posée devant moi pour me protéger mais un berger allemand. Cette deuxième forme que peut prendre mon patronus dans ces rares moments m’a ravie. This one moment when you know you're not a sad story. Mon statut de sang-mêlé est un peu particulier. Ma mère est une moldue américaine et mon père est en réalité un cracmol anglais, descendant d’une longue lignée de sang-pur.
Jusqu’à mes onze ans, j’ignorais que j’étais une sorcière, je ne connaissais rien de mes origines paternelles. Bien sûr, j’avais remarqué que je possédais quelques particularités – comment arrivais-je à changer la couleur de mes peluches et à rendre certaines d’entre elles vivantes alors qu’aucune d’elles ne marchaient aux piles ? Mes parents trouvaient toujours des excuses, et je les croyais, car une enfant croit ses parents. J’ai eu du mal à me remettre du mensonge du Père Noël, d'ailleurs.
Le jour de mes onze ans, j’ai bien vu que mon père était sur les nerfs. Il n’est pas allé travailler ce jour là – il est banquier – prétextant qu’il souhaitait seulement être présent pour mon anniversaire.
- Alors pourquoi maman n’est pas là, elle aussi ? ai-je demandé. - Elle aurait bien voulu, mais son patron n’a pas voulu lui donner de congé.
Un autre mensonge. Je suis encore tombée dedans. Ma journée fut superbe, remplis d’agréables surprises : nous sommes allés à Londres, et j’ai été couverte de cadeaux. Mais la surprise ultime m’attendait à la maison, en revenant le soir-même. Maman n’était toujours pas rentrée – elle est infirmière et son service peut parfois durer jusque tard le soir. A la place, c’est un hibou qui m’attendait au seuil de la porte, une enveloppe accrochée aux pattes.
- Oh, papa ! me suis-je écriée, les larmes aux yeux, émue. Merci, merci, merci !
J’ai toujours adoré les animaux, aussi ai-je cru qu’il s’agissait d’un autre cadeau. Mais papa est entré dans une colère folle et a chassé le volatile après avoir déchiré l’enveloppe en mille morceaux. Le lendemain matin, un autre m’attendait au bord de la fenêtre de ma chambre. Il a lâché la lettre qu’il tenait entre ses pattes et est parti dans un battement d’ailes. J’ai ouvert la lettre.
« COLLÈGE DE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE Chère Miss Stryder, Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard. Veuillez croire, chère miss Stryder, en l'expression de nos sentiments distingués. Minerva McGonagall Directrice-adjointe »
J’ai rejoint mes parents à l’étage en-dessous en tremblant.
- Papa ? Qu’est-ce que c’est que ça ?
Je lui ai montré la lettre que je tenais toujours dans les mains. Mon père est devenu blême. Il s’est levé d’un bond, m’a arrachée la lettre des mains et l’a déchirée en morceaux une nouvelle fois.
- Ce n’est rien, a-t-il répété plusieurs fois. Que des bêtises. Des petits farceurs.
Mais ma mère s’est levée à son tour, a posé une main sur l’épaule de mon père et a dit :
- Dis-lui, Jon. Fini les mensonges. - Non. - Dans ce cas je vais le faire.
Mon père a grogné, protesté, mais que pouvait-il faire d’autre ? Ma mère m’a ordonnée de m’assoir et j’ai obtempéré. Je voulais savoir. J’avais comme l’impression qu’une zone d’ombre allait être levée, et je ne me trompais pas.
- Tu es une sorcière, Ronnie, a dit ma mère. - Donc cette lettre… dit la vérité ? - Oui. Et ton père vient d’une grande famille de sorciers. - Ce sont des gens mauvais, très mauvais, a interrompu mon père. Des mages noirs.
J’ai remarqué qu’il était touché d’en parler, ses yeux étaient rouges. Mais il a quand même continué à raconter son histoire. Ses parents, et toute sa famille, sont des « Sang-pur » qui détestent les moldus et prônent la supériorité. Mon père, lui, est un cracmol. Une honte pour sa famille, qui l’a aussitôt renié et torturé pendant de longues années. A sa majorité, il s’est enfui et a trouvé refuge dans le monde moldu. Mon père savait lire et écrire mais n’avait jamais fait d’études. Il a trouvé un travail et s’est inscrit à l’université en parallèle. Il a mis près de dix ans à avoir son diplôme. Tout juste entré dans le monde actif, il a rencontré ma mère, tout à fait par hasard. Mais il faut croire que ça a été le coup de foudre puisqu’ils se sont mariés un an plus tard, et que, neuf mois après, ma mère donnait naissance à leur premier et unique enfant, moi. Mon père lui avait caché ses véritables origines jusqu’à ce que je fasse preuve de dons particuliers. Il ne s’attendait pas à ce que j’aie des pouvoirs magiques et s’était juré de ne plus avoir à faire à ce « monde cruel ».
- C’est pourquoi tu n’iras pas dans cette école, m’a-t-il alors dit. Ils sont pareils, là-bas. Ils te traiteraient de la même manière.
Sa raison était tout à fait légitime, bien sûr. Sauf que j’étais soudain prise d’une envie d’y aller. Pire, c’était un besoin. Besoin de connaître mes origines, ma vraie histoire. Et puis, qui n’est pas attiré par la magie ? J’en ai tout de même fait part à mon père, sa réponse a été irrévocable : non. Mais ma mère, elle, m’a comprise. En secret, nous avons préparé mon départ pour Poudlard. Mon père n’a rien vu venir. Je lui ai écrit une lettre avant de partir, et ma mère lui a expliqué le reste. Elle m’a raconté qu’il est devenu fou de rage. En décembre, elle m’a envoyé une lettre pour me dire de ne pas revenir pour les vacances. En juin, c’est elle seule qui est venue me chercher à la gare de King’s Cross pour m’annoncer qu’on partait aussitôt pour Santa Barbara, en Californie, là où nous passons d’ordinaire un mois de vacances chaque été, ville d’origine de ma mère. Nous y avons passées deux mois cet été-là, sans mon père. C’est à la fin des vacances que ma mère m’a annoncée qu’elle ne rentrerait pas en Angleterre. Quant à moi, elle m’a laissé le choix, en précisant toutefois que je ne serais pas le bienvenu à la maison de la part de mon père. « A la maison », ces mots sonnaient différemment, désormais. Quelle maison ? Pour moi, il s’agissait de Poudlard, dorénavant. C’est pourquoi j’ai décidé d’y retourner.
Je n’ai pas revu mon père depuis cet été où tout a basculé. Je retourne toujours directement aux Etats-Unis à chaque fin d’année. Ma mère m’a raconté qu’il a vécu mon départ comme une trahison. Il me manque oui, même si je suis habituée à son absence. Mais Poudlard me comble suffisamment pour m’empêcher d’en souffrir. Si la première année fut quelque peu difficile, à cause de mes origines, j’y ai trouvé de véritables amis. Dans le même temps, j’essaye de me renseigner sur la famille de mon père, mais j’imagine qu’il a changé de nom. Je n’ai rien trouvé jusque-là. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Audrey, 19 years old. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Google, notre bible ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope. ϟ Présence: 7/7 ϟ Une remarque? Well… J’avoue n’avoir jamais fait de RP sur forum et qu’en tant que grosse perchée de l’informatique, je ne comprends RIEN et je galère donc je tiens à m’excuser d’avance pour toutes les bêtises que je vais sûrement faire !
Dernière édition par Ronnie Stryder le Mar 30 Avr - 15:07, édité 3 fois |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 11:51 ( #) | Bienvenue à toi ! Si tu as la moindre question pour débuter, n'hésite pas, on est là pour t'aider |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 11:58 ( #) | Bienvenuuuuuuuuuuuuue !
Première chose à savoir :
Nous ne sommes pas fous.
Ce sont les autres qui le sont.
A partir delà, toutes les protes s'ouvrent à toi 8D
Si tu as la moindre question hésite pas a venir sur la cb jeune et jolie damoiselle *-* |
| | Re: Ronnie Stryderpar Guest, Mar 23 Avr - 11:59 ( #) | Bienvenuuuue ! Bonne chance et n'hésite surtout pas à venir faire un coucou sur la CB |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 12:15 ( #) | - Sebastian D. Prince a écrit:
- A partir delà, toutes les protes s'ouvrent à toi 8D
T'as des mots tellement savants Sbe Bienvenuuuuuue n'hésite surtout pas niveau questions et c'est vrai que la cb est un bon moyen de s'intégrer, même si on est beaucoup |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 12:21 ( #) | On aime les nouveaux. Et je n'aime pas les portes, d'ou la faute |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 12:52 ( #) | Bienvenuuuuue~ =D Et bon courage pour la rédaction de ta fiche |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 14:42 ( #) | Bienvenue parmi nous ! |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 14:46 ( #) | BIENVENUE ! |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 21:33 ( #) | prendre Bellum Patronum pour commencer le rp, c'est un très bon choix si tu as la moindre question, n'hésite pas, c'est dingue comme c'est compliquée quand on commence mais on s'y fait vite. bienvenue |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mar 23 Avr - 21:58 ( #) | Bienvenuuue |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mer 24 Avr - 1:19 ( #) | bienvenuue parmi nouus c'est peut-être compliqué au début, mais t'es tombé sur un forum remplis de monde adorables (fous, mais dééétail) et tu vas t'attacher (sisi). bon courage pour ta fiiiche |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mer 24 Avr - 16:02 ( #) | Wouhouuu merci à tous et à toutes pour votre accueil super chaleureux, j'vous embrasserais bien tous un par un :albus: Tous des fous ? J'en suis une aussi, hiiii ! Par contre ahem yé souis déjà perdue... Je trouve pas où est la CB... help? |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Mer 24 Avr - 16:11 ( #) | A gauche de la page, il y a un petit buisson avec écrit "ouvrir", tu cliques et la CB apparaît |
| | Re: Ronnie Stryderpar Invité, Ven 26 Avr - 16:35 ( #) | Ah oui, vu, merciiii ! |
| | Re: Ronnie Stryderpar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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