BELLUM PATRONUM


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And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
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Message And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 13:59 (#)
Alma Andreï Pavel
Zaslavski
ft. Jack Falahee
Sang Mêlé
18 ans
Célibataire
Homosexuel
1ère année en Sport magique (Spécialité) + Options Occlumencie & Sortilèges
Glouton et biche élaphe
Neutre
1 m 77
   
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À propos
Nom: Potter. Officiellement c'est celui que je vous donnerai si vous voulez le savoir ; Officieusement je porte le nom des Zaslavski. Mon père est un Potter et si je peux garder la tête haute sans un nom entaché, le mensonge ne me dérangera en rien. Prénom: Mes proches m'appellent Alma ; Pour les autres mon prénom officiel est Andreï ; Un bel accent russe, une belle voix russe, c'est à se demander ce que je fais ici. Âge et Date de Naissance: Je suis né le 20 Février 1965 au nord de Londres. Voilà donc un peu plus de 18 ans passé sur Terre. Nature du sang: écrire ici Situation familiale: Je vis depuis 10 ans avec mon père ; Il est la seule famille proche avec laquelle j'ai pu garder contact et avec laquelle je le désire. J'ai toujours énormément respecté Napoléon et même s'il m'arrive de ne pas être un fils parfait je sais qu'il est celui qui m'a sauvé la vie.
J'entretiens une haine sans nom envers celle qui m'a mis au monde et abandonné lorsque ma magie s'est éveillée ; L'avantage est que cela semble réciproque. Elle et son mari sont des gens qu'il ne me faudrait pas recroiser, entre la colère et la peur.  Patronus: Ambre. C'est avec surprise que j'ai hérité d'un patronus ne correspondant pas à mon genre de naissance ; Sa forme principale est celle d'un glouton, aussi connu sous le nom de carcajou mais elle peut aussi prendre l'apparence d'une biche élaphe ; Plus petite que les cerfs de la même espèce elle est à mes yeux la plus élégante. Miroir du Rised:Un réveil qui sonne, sur la table de nuit ne trônent pas fièrement les petits cachets blancs qui ressemblent à une drogue bien rodée. Sans ces pilules rien ne se passe, comme pour beaucoup d'humains sur terre. Ni maladie, ni anxiété. Est-ce trop demander? Epouvantard: Elle. Ceinture à la main elle me regarde de ses yeux fous, la colère se lit sur ses traits et sa rage est prête à éclater. Et l'autre qui n'y fait rien. T'es un homme qu'il dit, encaisse. Composition de la baguette magique:  Ma baguette contient un ventricule de coeur de dragon et est faite de bois de Sycomore. Deux extrêmes qui font d'elle une baguette très efficace et rapide ; Elle mesure la modeste taille de 27 centimètres et semble avoir toujours été destinée à ma main. Elle est légère et d'une maniabilité parfaite pour ce que j'en fais.  Etudes Suivies: Je viens de quitter le premier cycle ; Un élève de plus en sport magique (spécialité) ; J'ai comme options l'Occlumencie et les SortilègesAnimal de compagnie: J'ai un petit duc, Émir. Mais parfois une roussette vient me tenir compagnie au dortoir, chauve souris de Napoléon elle est aussi une belle amie.
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Caractère

Ils sont longs les cauchemars, plus longs encore que les rêves dont on voudrait se souvenir au réveil ; Pire, ils restent en tête comme une photo imprimée au fond de vos rétines et semblent ne pas vouloir s’en décoller. Elles sont récurrentes les insomnies que me cause les cauchemars, l’impossibilité de refermer les yeux, se rouler en boule au bord du lit en serrant si fort l’oreiller pour qu’aucun voisin de dortoir ne vous entende hurler. Les faiblesses sont nombreuses et pourtant je refuse de les montrer à ceux qui m’entourent ; Elles gangrènes mes nuits, elles brûlent mes jours et causent sans cesse la panique au creux de mon torse. Pourtant rares sont les personnes témoins de ces moments de paniques intenses ; La journée je garde tête haute, sourire narquois, j’use des mots comme d’armes tranchantes et bien placées pour me défendre.
D’aucun dira que je suis ce genre de sale gosse de riche qui se croit tout permis, que ce n’est pas parce que je porte le nom de Potter que je peux les regarder de haut et me permettre de me détourner d’eux… En parlant de Potter, ceci est mon plus gros mensonge. Honteux, couard peut-être, de ne vouloir avouer que mon père n’a jamais pu me léguer son patronyme. Je garde ce secret comme un capitaine de navire protègerait son butin et peu importe le niveau de confiance que les autres sorciers de Poudlard ne m’offrent, ils se comptent sur les doigts de la mains, ceux qui connaissent Andreï Zaslavski.
D’un naturel direct, je préfère user de ma tête qu’aller à l’encontre de problèmes et si j’aime à dire les choses telles que je les pense, il m’arrive bien trop souvent d’omettre certains détails pour que la réalité soit moins embarrassante. Je ne suis pas connu pour être le plus ouvert du dortoir ; Je n’ai que peu confiance en tout ces gens et j’avouerai volontiers que s’ils ne peuvent rien m’apporter, je préfère qu’ils ne soient pas proches. Faire dans les sentiments augmente les moyens de se faire blesser et c’est ma façon à moi de me protéger.
Le cynisme et le sarcasme sont mes meilleures armes ; Elles sont indissociables et permettent le plus souvent de garder les curieux loin de mes affaires, cela se couple avec un répondant que j’ai pu parfaire avec le temps. Des mots brefs mais directs, secs et violents camouflés sous un gant de velours pour qu’ils ne se retournent pas contre moi. Fils de Napoléon, je tâche pourtant de ne rien avoir qui puisse lui retomber sur les épaules ; Poli, élégant et on ne peut plus discipliné je suis l’exemple même de celui qui suit les règles pour les contourner quand on à le dos tourné. Jamais en face. Laisser des traces n’est pas quelque chose que je prends à la légère ; Calculateur diraient certains, menteur, profiteur, diraient d’autres. Je dirais plutôt que c’est là la réaction d’un animal blessé qui parle.

Je suis malade, ceci n’est pas un secret puisque mon épilepsie a été sujet à débat pour mon orientation scolaire. En effet la maladie est là depuis bien des années maintenant et bien qu’elle ne soit stabilisée depuis dix ans il arrive que les rechutes soient suivies de grands maux, qu’elle ne précède mes actions et que je ne puisse qu’attendre, impuissant face à moi même. Mais l’épilepsie n’est pas seule, elle est accompagnée de cette anxiété qui me fais regarder par dessus mon épaule comme un homme en fuite, qui me demande de chercher à connaître la réponse de mon interlocuteur avant même que ce dernier ne parle. Qui parfois, se transforme en une sorte de paranoïa instable.
Ce n’est pas sans rien faire qu’un humain se forme. Si j’apparais comme froid et distant ou encore comme quelqu’un avec qui traîner n’est en aucun cas agréable, la raison est placée quelque part entre un passé que j’aimerais oublier et un présent oppressant.
Il m’arrive régulièrement de vouloir lâcher prise, dans ces moments là m’approcher relève d’autant d’idiotie que de passer la main dans la cage d’un fauve. Comme les animaux blessés je suis prêt à mordre qui voudrait m’approcher. Que ce soit pour m’aider ou me détruire. Je n’ai confiance en personne si ce n’est en ce père que je ne connais que depuis dix ans. Les autres sont pour moi comme un groupe de hyène ; Méfiance est de rigueur autant pour moi, que pour qu’elles n’en sortent pas blessées d’avoir voulu voler ma proie.
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Patronus

Moment de flottement ; Ces derniers arrivent souvent lorsque mon traitement est trop léger, mal adapté, qu’il a besoin d’être revu par un médicomage. Crise partielle qui vous donne l’impression d’être un fantôme en flottement au milieu d’une pièce, le regard dans le vide à ne pouvoir ni entendre ni voir ce qu’il se passe autour de vous. Alors j’étais là, assit sur le lit un livre ouvert sur les jambes. Si Napoléon était entré il aurait sans doute prit le livre pour le poser de côté, au cas où, et aurait laissé le reste au temps. Que voulez vous faire dans ces cas là? Rien.
Mais Napoléon n’était pas entré et je fixait le vide d’un air absent, je voyais mais n’analysais pas du moins pas correctement. C’est là qu’elle est apparu, comme une sentinelle sortie de nulle part ses doux sabots se posèrent face à moi sur le sol de la chambre. En temps normal j’aurais hurlé, là, je ne pouvais pas. Je ne me rendais pas même compte de sa présence si ce n’est que quelque chose semblait étrange.
Pourtant elle s’approchait déjà pour poser la tête dans le creux de ma main, son poil dru semblait doux et sa voix venait me rassurer. Je ne pouvais refermer les doigts sur sa fourrure ; Un fantôme dont seul l’esprit est encore là, quelque part.

Elle n’avait pas quitté la pièce quand mes esprits revinrent, sa présence au creux de moi même se faisait plus nette, plus précise. Je ne pris même pas peur si ce n’est que je ne su quoi dire. Elle le fit pour moi, se présenta ; Ambre. Tel était son nom. Biche de son état j’appris bien plus tard qu’elle pouvait changer de forme pour prendre celle d’un carcajou; Cela avait)il été un moyen de se défendre de la peste qui toucha notre âme comme tant d’autres? Elle ne fut pas aussi forte sur nous que sur certains élèves et pourtant ma biche n’en ressortit pas sans traces. Se promenant désormais sous sa forme carnivore plutôt que la biche élégante…
Je ne pensais pas me faire si vite à une présence sur mes talons pourtant Ambre me sers à tant de chose qu’elle me parait totalement indissociable de moi même ; Elle semble prévenir mes crises avant qu’elles n’arrivent, elle est la seule de nous deux à pouvoir s’exprimer lorsque je suis touché par une aura. Sans elle je suis convaincu d’avoir moins de chances encore de m’en sortir dans un monde qui ne vous attends pas. Dans un monde en guerre.
   
Pseudo et âge: Inkyshane, aka Léonard ; 23 ans quoiqu'il me manque quelques dents (spéciale Astrid Lynn celle là Daengelo ) Où as-tu trouvé le forum ? Faites un tour du côté de mes autres comptes roll NihPersonnage: Inventé, enfin, c'est toujours Alma, mais il a droit à un (gros) nettoyage de printemps DaengeloAs-tu un autre compte sur BP ? Six autres  ceymwaPedro  Présence: Régulière chef! Une remarque ?  YoucandoIt  


Dernière édition par Andreï P. Zaslavski le Lun 10 Oct - 23:15, édité 9 fois
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 13:59 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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L’enfance, insouciante période où les jeux vous apprennent la vie et où l’enfant peut faire des erreurs qui font rire les adultes. Les cris que j’entends venant de la cuisine sont sans doute ceux d’une mère qui cri contre un mari encore en retard, la langue slave sonne comme le fouet et je n’y prends pas attention , je comprends, j’entends les mots aussi bien que je les parle et pourtant je ne bouge pas. Je ne daigne pas arrêter de jouer quand elle passe le seuil de la cuisine en hurlant que le repas est foutu par ma faute. Je n’ai rien fais. Alors j’essaie de faire la sourde oreille mais mes muscles se tendent en prévention, mes petites mains boudinées se referment sur leur jouet à mesure que ses pas n’approchent de moi et que le sol semble trembler.
Mon enfance n’a rien eut d’un compte de fée et pourtant j’ai encaissé. Enfant non désiré, mariage raté. Nous vivons sur Londres et pour moi la ville est synonyme de liberté, la maison de prison. Pour elle je suis un avorton et pour lui je suis un fils, c’est tout. Pourquoi ferait-il un effort? Je n’ai ni son physique avenant ni sa voix rocailleuse, mes yeux d’amandes noires sont à l’opposé des siens ; On pourrait croire que le sang du mari Zaslavski n’est pas le mien. Combien de fois les ai-je entendu parler des enfants de son frère, grands garçons aux épaules musclées ; Je ne les ai jamais vu. La Russie n’est pas la porte à côté et je n’ai que quatre ou cinq ans. Mais l’image est impressionnante et forge le respect. Alors on me redresse en hurlant, en me jetant des regards noirs et mon dos se marque de temps à autre du cuir arraché à un veau pour en faire une ceinture. Mais l’enfance est innocente, elle apprends de ce qu’on lui donne ; Pourquoi aurais-je pensé qu’il y avait mieux ailleurs? Pour moi c’était ainsi que la vie avançait, pas autrement.

La première crise est la plus violente selon les gens. C’est faux. Les premières fois arrivent aux alentours de sept ou huit ans ; La concentration diminue et l’aura commence. L’aura, c’est un beau mot. Pour moi c’est une malédiction, lorsqu’elles arrivent elles prennent et emmènent avec elles la moindre pensée la moindre réaction, le moindre reste d’instinct. Alors je deviens poupée de silence, le regard dans le vide quelque part, loin d’ici. Je ne peux plus réagir, ce n’est pas que je ne veux plus… Heureusement peut-être, les premières n’eurent pas lieu devant ma mère, mais le mal se répands comme la peste et plus on retarde l’échéance pires sont les conséquences. C’est une institutrice qui du prendre d’urgence contact avec l’hôpital le plus proche lors du premier grand mal. Huit ans passés et l’une des pires soirées de ma vie. Mais c’était normal, j’avais fais l’erreur de la faiblesse et il me semblais normal d’accepter de courber l’échine. Un enfant n’a pas son mot à dire face au Dieu qu’est le parent.
Mais plus les jours passent, plus la frustration se fait sentir, c’est comme si cette faiblesse avait éveillé sa colère, comme si c’était anormal et ça l’était, comme si son fils avait commit l’irréparable. Le moindre faux pas était réprimandé, le dos brûle comme s’il était passé sous un fer, l’enfant qui se cache dans sa chambre n’ose qu’à peine en sortir. Puis il y a ce soir là, quelques jours peut-être après mon neuvième anniversaire où ils se sont hurlés dessus. Je les ai entendus et j’ai entendu les insultes, elles ont fusé entre eux comme des obus alors que je me bouchais les oreilles à l’étage, je me faisais petit sous la couverture. Les pas sont montés plus vite qu’à l’accoutumé et lorsqu’elle est entrée, ses premiers mots furent que je n’étais pas son fils, qu’à cause de moi tout chavirait ; Et moi, gamin, je ne répondais rien, je ne comprenais pas non plus mais je voyais à ses yeux qu’elle n’était pas comme d’habitude. Je n’avais pas la présence d’esprit pour penser à l’alcool, quel gamin imaginerait cela? Elle était entré dans la chambre et j’avais reconnu le bruit de sa colère, cuir de veau qui glisse, glisse glisse.
Pourquoi ce soir? Pourquoi pas avant? J’étais près comme toutes les autres fois, muscles tendus, peur au ventre alors que tout les objets autour de moi semblaient épris d’un tremblement de terre et se ruèrent sur le sol de la chambre les uns après les autres. Pour la première fois elle recula. Je ne tournai pas les yeux vers elle mais son regard oscillait entre dégoût et peur, peut-être colère…

C’était un Samedi pluvieux sur Londres, elle me demanda peut-être deux fois de me dépêcher, m’enfilant un manteau avant de me traîner dans un taxi. Elle parlait vite mais peu, ses mots se réduisaient au minimum alors que nous traversions la ville, moi j’observais les gouttes se battre à la course sur les fenêtres du taxi et je fut presque triste que celle sur laquelle j’avais mentalement misé ne remporte pas la course lorsque ce dernier nous déposa à l’arrêt. Elle me demande de sortir et je m’exécute, tournant les yeux vers la devanture du bar qui s’offre à nous, il est plutôt banal mais pour l’enfant qui ne sort jamais de chez lui, c’est un restaurant de luxe ; D’ailleurs j’ai rarement vu ma mère si bien vêtue pour sortir et je ne sais pas pourquoi. Nous entrons et attendons. Elle peste et se dit qu’être en avance ne servait à rien. Qu’espérait-elle? Qu’attendait-elle?
Lui, il était à l’heure. Pile à l’heure comme il le serait toujours à partir de là. Des cheveux noirs comme les miens, un regard entre la dureté et l’incompréhension ; Elle ne prit pas de gants pour m’annoncer la nouvelle, pour m’annoncer qu’il s’agissait de mon père. Croyez le bien, enfant ou non j’ai eus de la peine à y croire ; Je préférais retourner me cacher derrière une femme qui m’avais en haine au lieu de le regarder, je n’acceptais pas… Pourtant avais-je le choix? Non. J’étais ce chien derrière des barreaux qui partira avec celui qui accepte de tourner les yeux vers lui après que son propriétaire ne l’ai laissé là. Elle parti en premier sans un mot et je restai devant lui. Neuf ans et tout un passé encore en tête.

Il fallut tout apprendre ; Comme un renouveau sans pour autant changer de corps. L’homme s’appelait Napoléon ; Joueur reconnu de Quidditch, il du m’enseigner ce que certains apprennent depuis leur plus jeune âge. Le monde magique et tout ce qui l’entoure, mais aussi la vie. De mémoire il n’haussa jamais le ton, c’était comme si quelque chose manquait. Le corps guérit mais l’âme est toujours la même et jamais je n’oublierai le son du cuir, le son des cris. Mais ici tout semblait si calme, comme si le temps s’était arrêté.
Il fut le premier à me faire monter sur un balai, pas seul, cela va de soi, la maladie n’était pas encore stabilisée et il était peut-être plus inquiet qu’il ne le laissait pensé derrière ce regard triste.
Potter. J’aurais pu haïr cet homme pour ne pas être venu avant, j’aurais pu estimer qu’il était un monstre comme elle mais l’idée ne m’a jamais traversé. Non. J’avais honte du nom qui me suivais comme mon ombre mais il ne fallu pas longtemps pour que je me présente comme le fils légitime du sang-pur qu’était le joueur de Quidditch. Personne à Poudlard n’entendis mon nom de ma bouche, personne ne l’entendrait sans doute.
Puis elle arriva, la biche au regard tendre. Elle s’insinua dans nos vies comme dans celle de tout les élèves et jeunes adultes. Si le soutien de Napoléon avait toujours été là pour veiller à ce que ma santé se maintienne debout, elle me prouva que je n’étais plus seul, elle pouvait me soutenir et si je perdais mes moyens, jamais elle ne flancherait. Pourtant elle tomba malade, comme d’autres. Elle se releva, elle gagna son combat mais sa forme changea ; Je ne me promenais plus qu’avec un biche, mais avec un carcajou aux griffes impressionnantes. C’était toujours elle mais il y avait la douleur traversée, les douleurs. Celles des attentats, celles qui laissaient dans les mémoires de tous des cicatrices que certains préféraient oublier.

Mais c’est ainsi que nous sommes fait, le corps est le tableau de nos âmes, il en sera toujours ainsi.


Dernière édition par Andreï P. Zaslavski le Lun 10 Oct - 23:03, édité 1 fois
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 14:00 (#)
PREMS

Edit Robert47cm : un peu de sérieux
Rebienvenue love Daengelo love
J'espère que ça ira mieux avec la refonte love
Ce que tu es devenu beau dead je suis tellement jaloux dead
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 16:43 (#)
Jack bave tellement un bon choix jaredditoui bon courage Brille
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 16:58 (#)
Jack quel excellent choix Brille

Rebienvenue Haww
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 18:29 (#)
Beaucoup trop de swag ! Robert47cm Robert47cm
Re-bienvenue ALBERT
O. Jill Peverell
membre - i don't want just a memory
O. Jill Peverell
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par O. Jill Peverell, Jeu 29 Sep - 19:00 (#)
Beaucoup trop de sex appeal ouais gérardrpz bave
Bonne refonte hihi
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 20:45 (#)
Mon petit alma est devenu grand Robert47cmlove

Rebienvenue chouchou, j'ai hâte de lire Han!
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 20:55 (#)
Bonne refonte :hugs:
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 29 Sep - 21:26 (#)
Re bienvenue GAGA
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Sam 1 Oct - 7:17 (#)
ouhh jack roger bienvenue Brille
Leviathan Faust
admin - shame to die with one bullet left
Leviathan Faust
Répartition : 04/11/2013
Hiboux Envoyés : 830
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Leviathan Faust, Sam 1 Oct - 13:11 (#)
Rebienvenue Haww
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Sam 1 Oct - 14:08 (#)
jack te va bien Robert47cm bonne refonte Han!
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Dim 2 Oct - 0:28 (#)
Nan mais t'as vraiment de beaucoup trop bons goûts en termes d'avatars, d'idées de perso, de tout dead

Re-Bienvenue, bon courage pour la fiche ceymwaPedro
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Invité, Jeu 6 Oct - 13:11 (#)
Étant donné que ta fiche a été postée il y a une semaine ou plus, il ne te reste plus que jusqu'au jeudi 13 octobre inclus pour la terminer. Sad N'hésite pas à demander un délai si c'est trop juste. Daengelo
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Message Re: And why your words gotta mean so much to them and they mean nothing to me... —Andreï Pavel
par Contenu sponsorisé, (#)
 

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