BELLUM PATRONUM


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par Invité, Dim 12 Mai - 15:40 (#)
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Majken Anja ''Maja'' Sznjerdmann
FEAT. Kaya Scodelario
18 ans ϟ Offensive Magique ϟ Mante religieuse & Chatte noire aux yeux bleus ϟ Sang pure

Tu es née en petite fille parfaite, attendue, aimée bien avant qu’on ne voit son visage. C’était pourtant un jour glacial où les vents polaires s’élevant de l’eau sombre soufflaient sur l’île de Valön. Une journée où l’île paraissait déserte, glacée dans ce temps morne et peu accueillant. Pourtant chez les Sznjerdmann, il y avait assez de chaleur pour mettre feu à leur immense manoir dans de jolies explosions de pétrole qui ne laisseraient personne en vie. Il n’était pourtant pas le jour de mourir, mais le jour de naître. Le calendrier affichait le treize et dans la chambre, ta mère seule avec le médecin. Et toute ta famille, obligée d’attendre que ses hurlements de douleurs soient terminés. Tu sors d’elle lentement, pendant des heures. Tu ne veux pas voir le jour. Tu t’accroches à ses entrailles, y plantant tes doigts de bébés sans vraiment être consciente que tu lui fais mal. Elle pleure, elle hurle, comme si quelqu’un la poignardait pendant quatre longues heures. Puis tout s’arrête. Maintenant c’est toi qui hurle. La tête hors de l’eau. Tes poumons aspirent l’air pour la première fois et ça fait mal. Tellement mal que tu hurle et que ton cerveau oublie cette douleur atroce qui te ferait mourir si tu arrivais à t’en souvenir un jour. « C’est une fille ! » Dans le couloir les gens s’agitent, faisant la file pour aller voir cette enfant prodige. Le fils âgé d’à peine plus d’un an quitte les bras de sa tante pour être foutu dans ceux de la nounou de la maison. Magnus n’as plus d’importance, lorsque tu es née, il est mort. On te nomme Majken Anja Sznjerdmann, mais on t’appellera toujours Maja. Ton père entre dans la chambre en premier, un magnifique sourire tordant ses lèvres. Le pauvre petit restait derrière, plus personne ne se souciant de son existence. Tu lui avais volé sa place et il t’en voudrait à mort. Tu étais pourtant alors innocente. Un angelot qui serait pourtant bientôt façonnée par les mains du mal et de la haine. Tu allais devenir une sale peste, une enfant pourrie gâtée, une petite princesse capricieuse se cachant toujours sous les jupes de sa mère. Une enfant angélique aux manières froide et au cœur de pierre. Avec les années, ça s’empirera. Délaissant le côté assumé de la peste pour être plus sournoise. Tu seras un doux venin. Un meurtre calme sur une musique classique. Un couteau qui s’enfonce sous leur peau avec délice alors que la folie s’incruste si lentement qu’elle devient leurs sans qu’ils ne s’en rendent compte. Ton corps s’élanceras, se formera et tu deviendras élégante, impeccable. Comparable à une aquarelle aux couleurs pastelles. Chacun de tes mouvements semblables à un tango invitant. Tu deviendras agile pour faire de ton entourage des esclaves aux services de tes moindres caprices toujours aussi présent. Contrôlant tes émotions avec une dextérité déroutante. Étouffant les sentiments qui te dévorent pour garder ton calme et ce sourire enivrant qui ne fait qu’enrager de plus belle celui qui veut te voir exploser. Tu ne seras pourtant pas saine d’esprit. Un goût particulier pour le malin. Cette envie qui te poursuit d’être la femme de Lucifer. Des pousser les limites du raisonnable tout en s’assurant que rien ne paraisse. Parce que les apparences seront tout pour toi. Que la pomme soit écarlate et promettant un goût exquis, même si elle était pourrie et promettait la mort à quiconque la croquerait. Tu serais une fille acharnée à l’excès qui ne trouve que très peu de satisfaction dans l’exécution de ses désirs. Tu en voudras toujours plus, tu voudras mieux, toujours mieux. Dépasser l’excellence sa promesse d’être un jour contentée. Et tu ne t’arrêteras pas, tu ne t’arrêteras jamais. Tu t’arrêteras quand tu seras repue et malheureusement pour eux, ton appétit pour les vices est insatiable. Tu contrôleras tout et tu contrôleras bien. Comme ses moldus sous l’imperium de ta baguette. Ce bout de lierre au cœur de phénix qui les torturent langoureusement. Pourtant il y a ta faiblesse, la seule. Celle qui te fait perdre ton contrôle, ton élégance, ta raison : l’eau. Tu n’arrives plus à prendre de long bain comme avant. Tu as peur, c’est indéniable. Tu fais couler la pluie d’une douche sur ta peau de porcelaine, tu n’en apporte même pas à tes lèvres, tu détesteras l’eau et ce sera sa faute. Et lui aussi tu le détesteras, ce frère indigne. Tu le détesteras tellement que tu voudras faire de sa vie un enfer. Qu’il t’aime comme tout le monde, mais qu’il t’aime plus. Qu’il se sente souillé par l’amour qu’il ne devrait pas te porter. Que ça le rende dingue et qu’il te supplie d’arrêter. Que tu souris et que tu continues malgré ses pleurs et ses cris.


a little something from you.

Tu dors profondément dans ton lit entourée de voileries pourpres. Par ta fenêtre, la lune pleine éclaire ta peau de marbre. Le calme, le silence, tout est paisible. Ta poitrine se lève et se baisse avec sérénité. À ton visage, un sourire démoniaque qui ne te quittes jamais. Puis elle apparaît sans que tu ne t’en rendes compte. Sur ton pied, elle t’observe. Puis elle remonte tranquillement sur ta jambe, te caressant. Traçant son chemin jusqu’à ta cuisse dénudée par ta robe de nuit relevée. Sur tes hanches, sur ton ventre, sur tes seins, puis sur tes épaules, se glissant jusqu’à ton oreille. Une voix te tire de tes songes « Maja… je suis là. » Tu ouvres tes yeux, confuse. Puis tu sens quelque chose caresser ton cou, tu sursaute en voyant de longues pattes vertes. Tu te relèves brusquement en hurlant. Un insecte, une bestiole cruelle est quelque part dans ton lit. Tu agrippes ta baguette sur la table de chevet alors que tu l’allumes d’un sortilège informulé. Tu cherches cette saloperie, ne retourneras pas dans tes draps tant qu’elle sera encore en vie. Et si tu ne la trouve pas, tu iras faire ta place dans le lit de Magnus. Plus tu y songe et plus cette idée t’apparaît plaisante. Tu décides de tourner les talons, puis tu l’aperçois sur ta main et ta propre voix en écho d’un murmure te provient. « Maja, je suis ton patronus. Je suis une mante religieuse, je suis comme toi. Je dévore la tête des mâles quand j’en ai finis avec eux. » Tes yeux s’écarquillent. Tu songes être en plein délire nocturne, c’est impossible, tu es folle. Non. Elle te calme, elle t’explique. Le ministère, l’erreur, le résultat. Très vite tu l’acceptais. Tu la prénommais Agnès et vous fusionniez dans le temps de le dire. Agnès est toi, tu es Agnès. Aux humeurs changeantes, elle a une double forme. Prenant des allures de chatte noire élégante pour ensuite devenir l’insecte cruel au fil de tes émotions


This one moment when you know you're not a sad story.

Tu ne savais pas encore la haine qui habitait son cœur. Tu ne connaissais pas encore le goût de la jalousie. Tes lèvres avaient encore de la difficulté à prononcer son nom. Ton innocence te cachait les yeux et tu n’avais que ton air coquin et ton amour. Tu t’en souviens encore de ce jour où tout s’est brisé pour toi. Tu te souviens le jour où tu as cessé d’aimer ton frère. Il restera toujours gravé dans ta tête ce souvenir, alimentant ton envie de le voir tomber. C’était le matin, le soleil traversait les rideaux pâles de ta chambre d’enfant, les oiseaux chantonnaient et la nourrisse venait te prendre dans ses bras face à tes quelques gémissement. Te revêtant de cette magnifique robe blanche et de chaussures assorties pour dégringoler les escaliers en ta compagnie alors que tous attendaient ton réveille avec impatience. Elle te déposait sur le sol, te tenant en équilibre et tous s’émerveillaient. Prenant des voix suraiguë pour s’adresser à toi. Magnus était là, l’air boudeur, le seul qui n’avait pas de sourire fendant son beau visage. Ton regard d’océan c’était donc posé sur lui, t’approchant chancelante avec un énorme sourire pour venir naïvement entouré son corps de tes bras. Dans une haine et une méchanceté d’enfant, ton frère te repoussa violemment pour mettre fin à votre étreinte. Tu tombais sur le sol devant le regard stupéfait de tous. Puis d’immenses larmes rendaient tes iris plus bleus que nature de par tes yeux rougis par la peine. Tous accouraient pour te prendre et sécher tes larmes, sauf ton père. Il se dirigeait vers ton frère. Agrippant son bras avec rage pour lui administrer une gifle. Sa joue rougissait et lui aussi se mettait à pleurer. C’était ce qu’il méritait. On l’entraînait à l’écart en punition. L’abandonnant à sa solitude alors que toute l’attention et l’amour t’étaient réservés. C’était le début de la guerre.

Plus les jours passaient et plus tu étais belle, si c’était possible. On ne cessait de te le répéter, faisant grossir ton ego surdimensionné pour ton âge. Ta mère passait deux heures chaque jours à te pomponner. Brossant tes longs cheveux bruns pour les rendre encore plus soyeux. Te répétant comme tu étais belle, la plus belle de tous. Toi tu souriais te contentant de lui dire merci. Ses yeux s'écarquillaient alors qu'elle hochait de la tête de façon négative. Tu fronçais tes sourcils. Ta mère t'expliquais la vie. « Tu ne dois pas dire merci, Tu dois dire je sais. Parce qu'ils n'ont rien fait pour que tu sois belle, tu ne leurs dois aucuns remerciements. » Tu hoche la tête et ancre cela dans ton esprit. Tu aimes ta mère et toute son attention, même si ce n'est jamais assez pour toi. Elle t'apprend à devenir une femme puissante et invincible et tu apprend les rudiments de cet art avec une facilité amusante. Ta vie est une douce partie de plaisir. Tu es riche, tu te fais chouchouter et tu t'amuses à faire mal à ceux qui se mettent malencontreusement dans ton chemin. Mais il y a ton préféré, ton frère. Celui que tu fais le plus souffrir. Tu t'amuses à le faire gronder, le gratifiant d'un sourire tendrement vicieux tandis que ses yeux t'arrachent le coeur face à leur cruauté. Tu n'avais encore rien vu pourtant de sa haine. Ça aussi, tu t'en souviendras aussi tout au long de ta vie. Parfois ça t'empliras dans des terreurs nocturnes et tu ne lui pardonneras jamais vraiment.

Il faisait beau et tu avais envie d'être seule. Tu avais environ une dizaine d'années. Revêtue de ta robe blanche que tu préférais que tu adorais. Tu avais quitté la présence des tes cousins que tu ne supportaient pas. Allant te pavaner au bord de l'eau. Tu retires tes chaussures et tu plonge doucement tes minuscules pieds dans l'eau. Ça te calme. Ça t'arraches à la chaleur qui t'accables, glaçant tes envies de leurs arracher la tête à ses idiots dont les rires te sont destinées. Loin d'eux tu es bien, tu es calme, tu n'as pas envie de les détruirent. Malheureusement, ils n'avaient pas décidé de te laisser tranquille aujourd'hui. Ils arrivent en se bousculaient, comme des imbéciles en ricanant tel des hyènes. L'un s'approche de toi et te pousses. Tu tombes dans l'eau. Ta robe est gâchée par l'eau et pas la boue. Tu grognes, tu les menaces, tu hurles. « Je vais le dire à ma mère ! » Tu te relevais pour te faire repousser de plus belle par un autre de tes cousins. « Arrête de crier ! On en a marre nous ! » Rajoute Magnus, tu as envie de le pousser à son tour, mais tu dois t'en ficher, parce que tu es meilleure que lui. Tu lui lance donc « Je m’en fiche de toi, c’est moi la préférée ! » Il s'approche d'elle pour l'éclabousser encore d'avantage. Pour qu'à travers sa robe blanche se colle son corps nu de gamine, sale vicieux. Tu cris pour faire mal à ses oreilles et qu'il te fiches la paix, pour que les adultes arrivent et les grondent. Tu n'entendais même pas ce qu'ils disaient tellement tu criais fort. Puis ton frappe s'approchait et s'assit sur toi, plongeant ta tête dans l'eau. Tu continue d'hurler, faisant de nombreuses bulles, crachant tout l'air de tes poumons. Tu entend l'écho de leurs rires, tu te débat de toutes tes petites forces. Tu ne sais pas que tu vas mourir. Tu t'étouffes soudainement, l'eau entre par ta bouche et ça fait mal, ça brûle. Puis tout devient flou. Tu sens tes forces te quitter sans savoir qu'il vas te tuer. Puis tu te réveille avec toujours cette douleur à l'intérieur de la poitrine. Tu crache de l'eau et tu respires à grandes goulées. Les autres ne sont plus là. Il n'y a que Magnus. Et il te serre dans ses bras comme ce matin triste où tu avais voulu le serrer dans tes bras. Tu songes à le repousser comme il t'as fait, pour qu'il comprenne ta peine, mais non. Tu enfouis ton nez dans le creux de son cou et tu le serres. Tu profites de cet amour qu'il ne ta jamais donné. Parce qu'il est beau ton frère et que tu l'aimes, que tu l'as toujours aimé, que tu as toujours tenté de l'aimer. Puis tu le repousses, tu te relèves sans un mot et tu part dans ta robe trempée en direction du manoir. Tu arrives et c'est des cris d'horreurs auxquels tu as droits. Tu veux leurs expliquer, leur dire comme Magnus t'as fait mal, à faillit te tuer. Tu entrouvres tes lèvres puis tu les referment. Autour de toi tu sens encore l'étreinte de ses bras, tu en veux encore et tu sais que tu n'en auras plus s'ils savent. Alors tu mens. Leur racontant que tu es tombée, que tu as glissé et qu'il t'as sauvé la vie. On s'inquiète d'où il est et toi aussi tu t'inquiètes. Ils s'occupent de toi alors que ton regard cours toujours vers la fenêtre. Puis il revient et tu es soulagée. La guerre est finie et tu as gagné. Parce que tu es plus intelligente que lui et que ça ne t'atteint pas.

Tu es différente. Tu as changé. Les choses on changés. Tu es encore belle, la plus belle. Tu es cruelle, la plus froide, la plus manipulatrice, la pire. Tu es devenue ce poison pour tous. Pour ton frère que tu plonges dans une inceste sans pareille, pour ton fiancé avec qui tu t'amuses sans relâche et avec tout ceux qui croisent ta route. Tu es dingue, tu devrais être médicamentée, mais tu t'en balances. Tu es encore une gamine et tu joue. « Moi je veux jouer avec vous. Moi je veux jouer joue contre joue, mais vous le voulez-vous ? »


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: banana hater/ loup drogué
ϟ Où as-tu trouvé le forum? :jongle:
ϟ Personnage:Scenario fricking awesome :3
ϟ As-tu un autre compte sur BP? cheveux roses et psycho :hep:
ϟ Présence: toute ma vie. :oops:
ϟ Une remarque? BPPPPPPP Twisted


Dernière édition par Majken A. Sznjerdmann le Jeu 16 Mai - 17:43, édité 14 fois
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 15:43 (#)
CE SCENARIOOOOOO Twisted
rebienvenue à la maisoooon :3
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 15:44 (#)
NOOOOOOOOOOON TOI TU DÉGAGES JE T'AIME PAS DU TOUT TwistedTwisted

LysfèlagueuleLysfèlagueule

Je t'ai à l'oeil, attention Robert47cm

Spoiler:
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 15:50 (#)
Héhé rebienvenue :3
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 16:01 (#)
Merci les potes Grey
Oh nan, je dégagerais jamais, désolée Blondie Twisted Daengelo
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 16:03 (#)
rebienvenuuuuuuue Haww
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 16:04 (#)
l'avatar que t'as choisir....je kiffe. Daengelo
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 17:47 (#)
Re-bienvenue, belle gosse. love
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 18:25 (#)
Robert47cm dead Hot :fuck: Potté heh
ça l'explique tout, ce que je pense de tes choix, je crois.

rebienvenuue à la maison. bave
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 20:38 (#)
Bienvenue our la troisième fois uhu. :p
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 21:23 (#)
Encore toi Twisted Daengelo
Re bienvenuuuuue :calin: et bon courage pour gérer 3 comptes, je sais pas comment tu fais RIP
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Dim 12 Mai - 21:52 (#)
Merci les enfants, oui j'suis dingue et je le sais. What a Face
J'ai terminé d'ailleurs. Grey
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Guest, Lun 13 Mai - 4:30 (#)
Houu encore un compte qui tue tout ça heh
Avec Kaya en plus bave
Rebienvenuuuue :3
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Invité, Lun 13 Mai - 6:08 (#)
Kaya *w*

Tu sais qu'on est censé avoir un lien, jolie brunette ? Robert47cm

En tout cas, rebienvenue, vais lire ta fiche pendant mon pti de ~
Le Choixpeau Magique
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Le Choixpeau Magique
Répartition : 19/01/2013
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Le Choixpeau Magique, Lun 13 Mai - 10:08 (#)
Holaa Daengelo

Il ne manque plus que l'avis de l'auteur pour pouvoir te valider heh
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Message Re: stop this crazy doll - sznjerdmann
par Contenu sponsorisé, (#)
 

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