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La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
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Message La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mar 6 Fév - 23:24 (#)
Nathaniel "Nathan" Christopher Blake
Warren
ft. Matthaw McConaughey
sang-mêlé
45 ans né le 24 décembre 1938 dans un trou paumé en Louisiane
Célibataire. Il a déjà tout perdu
Hétéroxesuel
Ancien auror aux States et à Londres pendant quelques mois. Il est aujourd'hui un mercenaire à la solde de celui qui voudra bien le payer.
Chien Husky
tendances neutre, mais ça pourrait bien changer
crédit Faith (avatar) et tumblr le reste
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À propos
Nom:
Warren, si ce nom vous dis quelque chose, ça ne sera certainement pas à cause de lui,
mais sans doute à cause de l'un de ses frères. Quoi qu'en Angleterre, les Warren sont plutôt méconnus ce qui lui convient très bien.Prénom: Nathaniel, dit Nathan, Christopher BlakeÂge et Date de Naissance: le 24 décembre 1938 dans un trou perdu de Lousiane où ses parents avaient eu la bonne idée de venir fêter Noël. Aucun doute qu'ils s'en souviendront toute leur vie...Nature du sang: sang-mêlé. Il ne rêve pas de grandeur. Situation familiale:  Il fut un temps où il était heureux, avec sa femme et sa fille Lila. Mais, il a fallu que son frère Hector fasse le mariole pour qu'il perde tout ce qu'il avait. Son mariage n'a pas survécu à la mort de sa fille. Il a alors renier son frère et tout ce qui s'y rapportait.Miroir du Rised: Cela dépent des jours et de son état.
Quand il est déprimer, il voit sa femme et sa fille. Surtout sa fille. Quand il est en colère,
il voit le cadavre de son frère et il retrouve le sourire. Un rêve qui ne sera sans doute jamais réalité.Epouvantard: Ce qui lui fait le plus peur, c'est lui, portant le cadavre de sa fille à bras. Composition de la baguette magique: Bois de pin, plume de phénix en son coeur 31 cm Emploi: Lorsqu'il était encore aux States, il était auror pour le Ministère. Lorsqu'il a migré à Londres, il a reprit son travail un temps, puis, ne supportant pas le boulot en équipe à décider de devenir mercenaire. Il bosse pour ceux qui n'ont pas peur de le payer. Animal de compagnie: aucun.
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Caractère
Avant, j'étais quelqu'un de relativement équilibré. Je suis le petit dernier le la fratrie, celui qui n'a pas toute cette pression sociale sur les épaules. D'aussi loin que je me souvienne, on a toujours dit de moi que j'étais un jeune homme un peu instable, psychologiquement, qu'un rien me faisait péter les plombs, que j'étais imprévisible. Que je me foutais trop du monde qui m'entourais. Pour être exact, c'était un peu le cas. Je me fichais de la vie de débauche de mon frère aîné. Je me contre-fichais du succès modéré de mon autre frère. Je me concentrai sur moi et ma carrière. Ils diront que je suis égoïste et individualiste et alors ? Qu'est-ce que je peux bien avoir à en foutre ? Ma vie n'est pas simple. Ce n'est pas simple d'être le petit frère d'Hector Warren et pourtant, je fais avec. Au travail, je suis celui qui fait ce qu'il a à faire sans se poser la moindre question. Je suis quelqu'un de perfectionniste et je vais là où les preuves m'emmènent. Et c'est pas toujours beau à voir. J'avais un coéquipier, mais lui et moi, on ne s'entendait pas vraiment. Il faut dire aussi que je n'ai jamais vraiment fait d'efforts non plus. Je suis quelqu'un de franc, d'intelligent. D'assez froid de prime abord. Je vois tellement d'horreurs dans mon travail et pourtant, je fais comme si tout ça ne m'atteignait pas. Parce que sinon, je ne tiendrais pas le coup. Je ne dis pas, l'envie de tuer deux ou trois de ces salopards m'a effleurer l'esprit plus d'une fois, mais à quoi bon, il y en aura un autre pour prendre la place. Les détraqués, il y en a plus qu'on ne le croit.. Je suis aussi un homme marié et père de famille. Ma femme et ma fille; c'est ce que j'ai de plus précieux,
surtout ma princesse. Mais, aujourd'hui, l'une comme l'autre ne sont plus là et petit à petit je plonge dans une forme de démence. Je vois Lila, je l'entends et je lui parle aussi quand je vais mal. Et je vais souvent très mal. Alcool, drogue, à longueur de journée. Ouais, on peut dire que je touche le fond du trou. J'ai tiré un trait sur le reste de ma famille après la mort de Lila. Je suis rancunier et j'étais bien décidé à me venger, sauf que je ne suis pas comme ça. Je suis partie, j'ai traversé l'océan en espérant que cette douleur sourde me laisse tranquille. Nouveau boulot, nouvelle vie, mais ça n'a pas marché pour moi. Trop individualiste, les règles étaient différentes. Au bout de quelques mois, j'ai foutu le camp, démissionné. Je suis mieux tout seul en fin de compte. Je ne me suis pas fait beaucoup d'amis depuis mon arrivée, il y a dix ans. Dix putain de longues années que j'erre dans les ténèbres sans savoir où je vais. Les chemins les plus sombres s'offrent à moi et je les emprunte sans savoir où je vais. L'un d'entre eux finira par m'amener vers ma fille. Je te reverrais un jour, ma princesse, sois patiente.
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Patronus
Pour être tout à fait honnête, je ne me suis jamais intéressé à cette histoire de patronus. Et j'en ai vraiment rien à faire. Tout ce que je sais, c'est que lorsque je lance le sort, c'est un chien husky qui est là pour me protéger. J'ai mis un certain temps à réussir ce sort qui est sans doute l'un des plus difficiles à maîtrisé et pourtant, je ne suis pas un manche avec ma baguette. Il fallait trouver le bon souvenir et soyons réaliste, je n'en avais pas beaucoup. C'est après la naissance de Lila que j'ai réussi. Je m'étais toujours mis en tête que j'y arriverais et j'ai réussi. Aujourd'hui, je suis dans l'incapacité totale de le faire apparaître. Le souvenir le plus heureux de ma vie est aussi celui qui me fait le plus souffrir aujourd'hui. Je n'aurais jamais dû avoir d'enfant. Mais, je sais aussi que c'est une faiblesse pour les sorciers de la nouvelle génération. Si on veut faire mal au sorcier, on touche au patronus, les expérimentations au Complexe l'on bien démontré. C'est une connerie ce sort. Juste pour se protéger de... Quoi ? D'un type que personne ne voit et que tout le monde craint ?  Pour moi, c'est juste une excuse pour justifier le fiasco de ce sort. Et ils ont plutôt intérêt à trouver une solution rapidement à ce fléau. Parce que les jeunes sorciers sont ceux qui sont les plus vulnérables...
Pseudo et âge: Jenn' bientôt 30 ans jaredditoui roll et ouais Tim je suis la plus vieille HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Où as-tu trouvé le forum ? bah...
rollPersonnage: inventé, tout droit sortit de ma tête ce gus jaredditouiAs-tu un autre compte sur BP ? les dcs, c'est le mal absolue athanaditnon HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Présence: autant que je le peux jaredditoui  Une remarque ? Les Warren vont régner sur le monde Yeah! wesh, allez, on y croit gérardrpz non ? Hum bon bah sinon, on envahit les rosbeef hein roll #teamamérica siffle  


Dernière édition par Nathan C. Warren le Ven 9 Fév - 0:05, édité 6 fois
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mar 6 Fév - 23:24 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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Ma vie n'est qu'un champ de ruines. Tout est détruit et je doute même que les fondations fussent solides. Ma naissance même est un gag. Je suis né dans un village paumé au fin fond de la Louisiane un soir de noël, je ne sais pas si Dieu se foutait déjà de ma gueule, mais celle-là, elle est bien bonne. Dernier-né de la famille Warren. Deux frères aînés, bien plus âgé que moi. Pour l'aîné Hector, je n'étais rien de plus qu'un petit frère pleurnicheur qui le gênait à faire ses nuits. Vient ensuite Joshua. C'est sans aucun doute de lui que je suis le plus proche malgré les treize ans qui nous séparent. Il est celui qui me comprenait et qui veillait sur moi. Hector n'était intéressé que par l'argent, le pouvoir et sa réputation. Moi, je n'étais qu'un gamin dans ses pattes. On a jamais réussi à avoir une relation saine tous les deux. Tout ce que je faisais ou entreprenais, ce n'était jamais assez bien pour lui. Mais, ce qu'il ne comprenait pas-et, c'est toujours le cas aujourd'hui, c'est que je me fiche de son avis. C'est ma vie et je mène ma barque comme je l'entends. Qu'il aille au diable, lui et sa réputation plus que douteuse.. Mes parents n'étaient pas forcément mieux. Ma mère n'était intéressée que par la religion. Elle passait ses journées entières à prier et à lire la bible. Je crois même que c'était ça qu'elle me lisait le soir pour que je m'endorme. D'ailleurs, mon prénom Nathaniel, signifie "Dieu à donné", mais personnellement, à moi, il ne m'a apporté que des ennuis et une vie complètement merdique. Mon père quant à lui était un alcoolique notoire. On n'était pas pauvre pour autant, on avait de quoi faire. Mes deux frères rêvaient de grandeur, moi, je rêvais d'avoir une famille fonctionnelle, mais ça, c'était trop demandé apparemment. Je ne sais pas si c'est parce que ma mère n'a pas assez prié ou qu'on a juste un karma pourri, mais les faits sont là. Cette famille avait de mauvaises fondations, pas étonnant que je parte aussi mal dans la vie.  Mon enfance se passe sans heurt, je ne voyais pas beaucoup Hector et aujourd'hui, je ne vous cache pas que c'est un mal pour un bien. Mes deux frères ne sont jamais là, vu qu'ils sont tous les deux à Ilvermory, l'école sorcière Américaine. Celle ou j'irais sans aucun doute dans quelques années.  Dès mon plus jeune âge, je passais mon temps dehors, à observer les gens, les animaux, tout ce qui m'entourait. C'était ma façon à moi de fuir la maison. Je ne supportais pas d'entendre mon père se prendre la tête avec Hector. Ce dernier rêvait tellement de grandeur qu'il voulait changer le fonctionnement même de notre famille. J'entendais les hurlements de mon père, les pleurs de ma mère et cela ne me touchait pas. Pas le moins du monde. Il y avait eux et il y avait moi. Ce qui les touchait eux, ne me touchaient pas forcément. Je n'avais que huit ans. Je me revois encore rentré à la maison, je me vois avancé dans le salon où ils sont tous les trois. Joshua est dans les escaliers, lui aussi écoute ce qui se dit. Et quand je pose la main sur la poignée, il me chuchote que je ne dois pas y aller, que ce sont des problèmes d'adultes, que cela ne me concerne pas. Je ne l'écoute pas et j'entre. Mon frère ne se retourne même pas, mon père me regarde, tandis que ma mère pleure toujours à chaudes larmes. " Qu'il s'en aille. On a pas besoin de lui,
papa."
" Toi l'morveux je t'ai pas sonné. Dégage." Je pose alors les yeux sur mon frère aîné. Je ne ressens que du dégoût pour lui, pour ce qu'il est, pour ce qu'il essaye de nous imposer. " Si t'es pas content, tu peux toujours partir." Il paraît que j'ai parfois des réactions qui ne correspondent pas à un enfant. Celui-là en ait un exemple parmi tant d'autre. Je revois encore mon frère me mettre une baffe et c'est ce jour-là que je me suis juré que la prochaine fois qu'il lèverait la main sur moi, je lui rendrais la pareille. Je fis preuve de magie le soir même en faisant exploser un vieux vase lors du repas. Une fois encore, Hector avait cru bon de l'ouvrir. Et la dispute était repartie de plus belle. Cela a quelque peu calmer les choses, mais je savais que ce n'était que temporaire.

Lorsque j'eus l'âge requis pour entrer à Ilvermory, je vécus ça comme... Une délivrance. Je n'étais plus coincé chez moi avec pour seule compagnie mon père et ma mère. Je devais être avec d'autres personnes et le moins que l'on puisse dire, c'est que j'eus du mal à m'intégrer. Sans compter mon frère qui devenait petit à petit quelqu'un de connu. Être un Warren n'était pas chose aisée, surtout qu'il y en avait eu deux avant moi. Et que c'étaient de très bons sorciers. Je voulais faire aussi bien qu'eux. Pour qu'Hector ferme son clapet un peu, pour qu'il n'est rien à me redire. Je le détestais comme je n'avais jamais détesté personne. Il était pourtant ce qui me motivait à me surpasser, à donner le meilleur de moi-même. Je fis la connaissance de Julia lors d'un cours commun. Le début n'avait pas été facile. Elle était belle, radieuse, lumineuse. Moi, je n'étais qu'ombre et ténèbres. Je n'étais pas comme les autres personnes autour d'elle et pourtant, nous avons fini par devenir amis. De très bons amis d'ailleurs. Elle n'en avait pas après mon nom de famille, parce qu'elle se fichait de cela. Ce qui l'intéressait, c'était moi et ma façon un peu étrange de voir le monde qui m'entourait. Nous pouvions passer des heures à discuter. J'aimais sa façon d'être, de voir le monde avec toutes les belles choses qu'il apportait alors que moi, je ne voyais que le côté négatif. Elle m'apprit à m'ouvrir un peu plus aux autres. J'avais quinze ans et pour la première fois, je me sentais vraiment bien. J'étais accepté par des gens. Ce que je redoutais plus que tout en revanche, c'était les vacances. Même si Hector n'était plus à la maison depuis des années, quand il passait chez nous, c'était toujours la même histoire. Il avait toujours quelque chose à critiquer. Mes notes, mon comportement, mes amis. Et moi, j'encaissais sans broncher, je ne voulais pas lui donner le loisir de me mettre hors de moi. Je sais que c'est ce qu'il attend. Que je me lève, et que je le frappe. Il faisait ça pour moi, qu'il disait, vu que nos parents n'étaient pas capable de reconnaître que je n'étais pas un garçon comme les autres. Lui, il avait une vie qui était plus que discutable et pourtant, personne ne venait lui faire de reproches. Un soir, ce fut le reproche de trop et je me suis levé pour lui faire face. Comme un homme. Même si je resterais toujours un gamin à ses yeux. Je voulais qu'il sache que moi aussi, j'étais capable de lui faire mal. " Va te faire foutre ! J'ai pas besoin de toi dans ma vie, tu entends ? Alors tes conseils tu te les garde et tu va voir ailleurs si j'y suis."  " Nathaniel Warren ! Ton langage !" Je n'écoutais même pas ma mère, mes yeux étaient fixés sur ce frère que je haïssais bien plus que je ne l'aurais imaginé. Mon père et Joshua ne bronchent pas, sans doute aussi surpris l'un que l'autre que j'ose enfin me rebeller contre celui qui a pris le contrôle de notre famille depuis des années. " Tu as cru que tu t'adressais à qui, petit con ? " Il s'approche d'un pas et je fis de même. Tant pis si j'allais manger la raclée de ma vie, j'allais lui rendre coup pour coup. " Tu as parfaitement entendu. Arrête de faire comme si tu pouvais tout contrôler." Il est vrai qu'il était devenu quelqu'un. Et moi, je n'étais personne. Il se mit à sourire. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de drôle la dedans. " Tu te prends pour qui, pour me dire ça ? C'est grâce à moi que cette famille mange, à un toit sur la tête et c'est comme ça que tu me remercie ?" Je pose les yeux sur mon père qui garde les yeux rivés sur le sol. J'inspire et détourne le regard. " Alors, qui es-tu pour me parler sur ce ton ?" " Ta gueule ! Mais, la ferme! Eux, ils ont peut-être besoin de toi et de ton argent, mais pas moi. J'ai pas besoin de toi." Je le défiais pour la première fois de ma vie. Et autant dire que ça ne lui plaisait pas du tout. Il me fit signe de le suivre d'un signe de la tête. Je savais ce qu'il voulait dire. Il enleva sa veste, sa chevalière et retroussa ses manches, puis sans un mot, il sortit dans le jardin.  " N' y va pas filston, ça n'en vaut pas la peine." " Si au contraire. Tu sais que tout ça devait arriver, papa." Il me tomba dessus à peine avais-je franchi la porte. Je lui rendais un maximum de coups, le plus que je pouvais, mais force est de reconnaître que j'ai méchamment manger ce soir-là. Suite à cette altercation, on ne s'adressait même plus la parole. Je ne voulais même pas entendre parler de lui. Petit à petit, je m'émancipais de ma famille. Je ne voulais pas avoir quoi que ce soit à voir avec Hector. C'est aussi à ce moment-là que je décidai de devenir auror. J'avais toutes les qualités requises pour être un bon élément. J'étais certes, un peu bizarre par moment, ayant des réactions stupéfiantes, mais j'étais comme ça. Julia m'encouragea sur cette voie.

Les années suivantes, je m'appliquais du mieux possible à accomplir mon objectif. La réputation grandissante de mon frère Hector ne me facilitait pas la vie. À Joshua, non plus d'ailleurs. Il n'était pas rare que l'on se voie tous les deux pour discuter. Il est le seul dans cette famille à réellement se soucier de moi. De ce que je veux et il m'admire pour tenir tête au chef de famille. Lui n'aura jamais le cran de faire ce que j'ai fait. Il n'y a aucun mérite. J'ai juste pensé à moi. Je refuse que cet homme dicte ma vie comme il le faisait avec nos parents. Cela dit, cette situation ne posait problème qu'à moi. Je ne rentrais que rarement à la maison, préférant trouver refuge auprès de la famille de mon amie Julia. Nous étions comme les deux doigts de la main. Elle, elle n'aspirait qu'à une vie tranquille, avec celui qu'elle aimera et une famille nombreuse. Trop peu pour moi. Je n'étais pas fait pour être père. Je ne voulais pas que mon enfant grandisse dans un monde aussi pourri que celui-là. Ses parents étaient des gens modestes, mais adorables. C'est une famille comme celle-ci que j'aurais aimé avoir. Il paraît qu'on ne choisit pas, que c'est Dieu qui nous place. Des foutaises ! Parce que sinon, je pense qu'il se fout sincèrement de ma gueule.  Quand je fais un récapitulatif des vingt premières années de ma vie, je me rends compte que je me suis mis une partie de ma famille à dos, que je vis chez une amie et que Dieu semble s'éclater avec ma vie  depuis la seconde même où je suis né. J'ose espérer que les vingt prochaines seront meilleures.  L'année de mes vingt-quatre ans, j'ai été officiellement reconnu comme auror. J'étais fier de moi, j'avais réussi à atteindre mon objectif. J'eus même un coéquipier et après un moment difficile, nous nous sommes fait l'un à l'autre. Après tout, il était mon partenaire, j'étais garant de sa vie et lui de la mienne. Nous n'avions pas la même façon de travailler et de voir les choses, mais ça faisait de nous une bonne équipe.  C'est aussi dans ces moments-là que Julia et moi sommes devenus beaucoup plus... Intimes. Et ça, je ne l'avais pas vu venir. Pourtant, cela ne surprit personne, comme si c'était une évidence. Il faut croire que ça l'était pour tout le monde, sauf pour moi. Je ne suis pas très doué en relations humaines, surtout dans le cadre de l'affectif. Pourtant, j'avais envie d'essayer. Julia me connaissait, elle savait comment j'étais et je savais comment elle fonctionnait.  Nous formions un couple harmonieux et moins d'un an plus tard, on se maria. Moi qui n'approuvais pas du tout cela, me retrouvais avec une femme. Marier, pour le meilleur et pour le pire. Pourtant, il n'était pas question d'enfants, elle connaissait mon point de vue sur la question et semblait le comprendre. Ma famille se réjouissait de notre bonheur, enfin sauf Hector forcément. Pour lui, Julia n'était pas assez bien. En grandissant, il devenait de plus en plus con. Et les disputes entre nous, obligeaient nos parents à nous inviter séparément. Je ne pouvais pas être en présence de l'aîné de la famille, sans qu'il me cherche. C'était embêtant, mais c'était comme ça. Ainsi va la vie.

Au bout d'un an de service, on me changea de partenaire. L'autre, il a été muté ailleurs. C'est comme ça que je me retrouvais avec Earl. Un ami de longue date et le mari de Bonnie, une autre de mes amis. C'est à ce moment-là que nous sommes devenus plus proches tous les trois. Earl ne posait pas trop de questions et suivait mes intuitions. Nous formions vraiment une bonne paire et c'est aussi l'une des personnes en qui j'avais réellement confiance. Et moi en retour, je l'écoutais, il avait souvent de bonnes idées. Il était comme un frère pour moi au même titre que Joshua. Sauf qu'Earl et moi, on avait le même âge.. Ca change pas mal de choses. Je n'étais pas quelqu'un de très bavard, mais je l'écoutais volontiers. La, où les autres m'auraient un peu saoulé, lui, il était toujours intéressant. Et notre partenariat était vraiment bon comme ça. Côté vie affective, Julia essayait de me convaincre d'avoir un enfant. Vu le parcours chaotique de ma famille et ce qu'elle était devenue, plus le monde environnent, ne me donnait pas envie d'en avoir un. Je n'étais tout simplement pas fait pour être père. Mais, elle avançait de bons arguments, et je savais que cela lui tenait à cœur. Et je voulais être un bon mari pour elle. Aussi décidais-je, après des années de refus de céder sur ce point. Un enfant, ce n'était pas la mer à boire. Julia sera là pour lui. Et moi, je devrais être là aux anniversaires et aux noëls. Et être là quand mon enfant aura besoin de moi. Aussi, l'année de mes vingt-neuf ans, j'annonçais à Bonnie et Earl, que Julia était enceinte. Puis, je l'annonçais à ma famille. Cette nouvelle fit l'effet d'une bombe et fut bien accueillit. Il faut dire que Julia en parlait depuis des années et commençait à désespérer de me faire changer d'avis. Les mois qui suivirent, je dus me faire à l'idée que j'allais être père et ce n'était pas la chose la plus facile au monde à accepter pour moi. Vu le boulot et les horreurs que je voyais, je n'étais pas sûr que ce soit une bonne idée, mais trop tard pour faire machine arrière. Julia me tuerait si j'émettais le moindre doute. Je me contentai donc de partager son bonheur, qui semblait déteindre sur moi au fur et à mesure des mois. Lila est née le 22 novembre 1967. Une fille, j'avais une fille. Et sans que je m'en rende compte, elle devint pour moi, la plus belle chose au monde. J'avais juré à Julia que je serais un bon père. Je fêtais la naissance de ma fille avec Earl et mon frère Joshua. Parce que c'était une bonne chose. Je compris que c'était ce qui manquait à ma vie. J'avais une femme magnifique, un boulot que j'aimais faire, des amis en or, un frère présent et j'avais désormais une fille. La boucle était bouclée.

Et pendant des années, nous coulions des jours heureux tous les trois. Oh, bien sûr, je rendais visite au reste de la famille de temps à autre et j'évitais soigneusement de parler avec mon frère Hector et sa femme Esther. Pas un pour rattraper l'autre, ils s'étaient bien trouvés. Julia pensait que c'était important pour Lila de connaître ses cousins et cousines. Quand bien même elle était la plus jeune. Dans les cousins, il y en avait une qui ne venait que rarement parce qu'elle était loin. Une petite Française. Lila adorait l'écouter parler avec son accent. Elle traînait aussi dans les pattes de Quinn, la dernière fille de son frère aîné. Nathan avait toujours plaint cette gamine. Seulement, je ne sais pas si c'est mon karma pourri, Dieu qui s'amusait encore à foutre le bordel dans ma vie ou simplement mon frère qui avait merdé, mais j'en payais le prix. Et lourdement. Lila avait cinq ans. Je reçus un hibou alors que j'étais au boulot. Il y avait eu un problème à la maison. Je m'excusais auprès d'Earl et promis de le tenir au courant avant de partir en coup de vent. Une fois chez moi, je trouvais Julia en pleurs dans le salon qui m'annonça que Lila avait disparu. Envolée. Elle jouait dans le jardin et une minute plus tard, elle n'y était plus. Et la peur commença à s'emparer de mon être. J'en avais coffré du monde et certains d'entre eux avaient jurés de se venger. Et les noms tournaient dans ma tête en me promettant que si c'était l'un d'entre eux, j'allais le tuer. Je rassurais ma femme, lui promettant que j'allais ramener notre fille. Puis, je la laissai aux bons soins de mon frère et quittai la maison pour retourner au boulot. Je pris Earl à part pour lui expliquer la situation, puis ensemble, on est allé voir notre chef. Il était hors de question que ce soit quelqu'un d'autre que moi qui ramène ma fille. J'étais catégorique la dessus. J'acceptais l'aide de mon équipier et rien d'autre, sauf en cas de nécessité. En quittant le bureau, j'annonçais à mon ami que j'avais des noms en tête et qu'une visite s'imposait chez chacun d'entre eux ou en prison pour ceux qui y étaient encore. Les deux premiers jours, je ne pus fermer l'œil. Je ne pensais qu'à ça. Ma fille était là, quelque part et je n'avais aucune idée de qui ça pouvait être. Ceux que j'avais soupçonnés un temps étaient tous hors du coup. Le troisième jour, je dormis une bonne partie de la journée. J'avais accumulé les heures de retards de sommeil. Et mes rêves tournaient en cauchemars. Le jour suivant, je retournais au bureau et ainsi de suite pendant une semaine. Rien, je ne savais pas où était ma fille, ni même comment elle allait. Et cette question me bouffait de l'intérieur. Puis, le huitième jour, je reçus une information qui m'orienta vers une piste que je n'avais jamais envisagée. J'avais même pris soin de la mettre de côté, ne voulant pas croire que ma fille puisse être mêlée à cette histoire. J'échangeais un regard avec Earl et il comprit tout de suite à quoi je pensais. Je me levais sans dire un mot et quittai le bureau avec mon ami sur les talons. La rage montait en moi tandis que je transplanais devant la maison de mon frère aîné. " Quoi qu'il se passe, n'interviens pas d'accord." " Nathan, j'peux pas te laisser faire... Je sais ce que tu as en tête et je..." Sans lui laisser le temps de finir sa phrase, je me dirigeais vers la maison. Je ne pris même pas la peine de sonner et entrai chez mon frère. La première personne que je vis, c'est Esther et derrière elle, les deux enfants. " Il est où ?" Elle désigna le salon d'un geste de la main et sans plus de cérémonie, je passais devant elle. J'entendis Earl s'excuser de mon comportement, tandis qu'il me suivait. Je poussais la porte et mon regard tomba sur l'aîné de la famille. Je serrais les poings de rage. Si à cause de lui Lila... J'allais le tuer. Purement et simplement.  " Où elle est?" Je m'approchais de lui de quelques pas. Je n'avais plus peur de lui. Je n'éprouvais que de la colère, de la rage du dégoût pour ce qu'il était devenu. " De quoi tu parles ? Et puis qu'est-ce que tu fous là hein ? Tu veux jouer les braves ?" Je serrais les dents et sortis ma baguette. J'avais juste envie qu'il souffre. " OU EST MA FILLE ?" " Pourquoi je le saurais hein ?" " Parce que je sais que c'est à cause de toi qu'on l'a enlevée. Tu as encore magouillés avec les mauvaises personnes hein ?" Je m'approche de lui, tandis qu'il recule. Derrière nous, j'entends Earl qui disait à Esther de quitter la pièce. "Espèce de fils de..." " Nathan,putain arrête tes conneries !" Je me retourne vers mon équipier et le regarde. " Tu as entendu comme moi bordel ! C'est à cause de lui ! Tout ce qui arrive c'est de sa faute !" " Le tuer ne la ramènera pas." Je posais les yeux sur mon frère et eut un sourire franchement mauvais sur les lèvres. Le monde se portera mieux sans cet homme, j'en étais certain, mais Earl avait raison. Je soupirais et m'éloignai de lui. " Tu as raison Earl, j'ai encore besoin de lui pour retrouver Lila." Je passais à côté de mon ami et me retourna une dernière fois vers mon frère. " S'il lui arrive quoi que ce soit, je te tue." Puis, sans un mot, je quitte la maison. J'ai un mauvais pressentiment. J'espère que je retrouverais ma fille saine et sauve. Il le vaut mieux s'il veut rester en vie.

Quinze jours. Quinze putain de jour que ma fille avait disparu. Une semaine que je savais que mon frère était lié à sa disparition, mais comme je n'avais pas le droit de m'approcher de lui, je ne pouvais pas le faire parler. Une chance, parce que sinon, je lui aurais fait sauter toutes ses dents. Il avait contacté ses anciens associés et un rendez-vous avait été pris. Il devait une grosse somme d'argent et j'avais lourdement insisté avec Julia pour qu'il paye. Le reste, je m'en foutais, je voulais juste récupérer Lila. Il avait passé un marché et vu qu'il coopérait, il était intouchable. Connard. Tant que ma fille rentre, moi ça m'allait, mais j'en avais discuté avec ma femme et on avait décidé de mettre des distances entre eux et nous. Seulement, les choses ne se déroulèrent pas comme prévues. L'argent fut bien emmené au point de rendez-vous, par Earl et moi-même. J'avais une chance de leur faire cracher le morceau sur l'endroit ou se trouvais ma fille et je ne lâcherais rien tant que je n'aurais pas une adresse. L'échange se fit sans heurts et quand j'eus enfin l'adresse, je partis le premier.  Une maison abandonnée. Ma fille se trouvait dans cette putain de maison. Je sais que j'avais promis à Earl de ne pas entrer seul, mais je ne tenais pas en place. Ma fille était à l'intérieur et ça faisait quinze jours que j'attendais ce moment. Sans prendre le temps d'y réfléchir d'avantage, j'entrais à l'intérieur. Et c'est là que tout partit en sucette. J'entrais doucement par la porte de la cuisine, baguette en main et avançait vers le salon. C'est là que je trouvais le premier des deux hommes présents dans la maison. Un coup bien placé au niveau de la nuque l'envoya au tapis et dans les bras de Morphée pour quelques heures au moins. Il n'y avait plus personne en bas et je décidais de monter à l'étage. Je trouvais le deuxième homme dans le couloir. Vu le regard surpris, il ne s'attendait pas à me trouver là. Lui aussi, je l'envoyais dans les bras de Morphée. Et soudain, je réalisais que c'était trop calme. Pas un bruit, rien, alors que j'avais fait du bruit. J'ouvris toutes les portes, mais il n'y avait rien. Et le mauvais pressentiment que j'avais eu plus tôt dans la journée revient au grand galop. J'ouvris la dernière porte. Il n'y avait rien, mis à part un lit. Et ma fille. Elle ne bougeait pas et j'eu du mal à me dire que c'était normal. J'avançais et alla m'asseoir sur le lit. Doucement, je posais la main sur son bras. Il était froid. Froid comme la mort. J'avais échoué. Elle était morte. Et le monde s'écroula autour de moi. Littéralement.



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par Invité, Mar 6 Fév - 23:25 (#)
Histoire
Happiness can be found even in the darkest of times
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Quatre mois. Ma fille était morte depuis quatre mois. Et ma vie partait à la dérive. Julia avait pris ses distances et je ne peux pas lui en vouloir après tout. Nous n'arrivions plus à être ensemble, chacun renvoyant à l'autre l'image de Lila. J'en fais encore des cauchemars. Et l'alcool était devenu mon ami. Peut-être même un peu trop. Toujours est-il que le jour où elle m'annonça qu'elle partait, je n'ai pas cherché à la retenir. À quoi bon, de toutes façons ? Et pendant ce temps, alors que moi, je n'avais plus rien, mon frère vivait comme si de rien n'étais. J'avais juré de le tuer s'il arrivait quelque chose à ma fille, mais je n'avais rien fait. Je n'étais pas aussi pourri que lui. Seulement, je voulais qu'il paye pour le mal qu'il m'avait fait. Après tout, c'est de sa faute non ? Je n'avais plus de boulot vu que j'étais suspendu jusqu'à nouvel ordre après le pétage de plombs que j'ai eu lors d'une enquête.  Même Earl, qui pourtant était mon ami, n'arrivait plus à me comprendre et à me stopper. C'est aussi à ce moment que j'ai commencé à prendre toutes sortes de drogues. Je n'étais pas compliqué, tout ce qui me tombais sous la main. Et un soir, un plan commença à se dessiner dans mon esprit. Vu qu'Hector avait pris la vie de ma fille, n'était-ce pas justice que je prenne celle de la sienne ? Il me fallut encore deux mois pour tout mettre sur pied. De toute façon, je n'avais rien de mieux à faire de mes journées, si ce n'est boire, fumer et me droguer. J'avais retrouvé deux types qui me devaient un service et qui étaient chargés d'enlever Quinn. Et de la garder en vie. Pendant un temps, le temps que moi, j'arrive finir le travail. Je ne voulais pas qu'on me soupçonne de quoi que ce soit. Nous avions décidé d'un jour et le plan se lança tout seul. J'étais décidé à rendre à mon frère la monnaie de sa pièce. Dès le lendemain de l'enlèvement de sa nièce, Earl me rendait visite. Je me doutais bien qu'il viendrait me voir. Je le laissais entrer et s'installer. Je posais une tasse de café devant lui, tandis que moi, j'avais mon verre de vodka et une cigarette à la main. On se regardait en silence avant qu'il ne se décide à prendre la parole. " T'es au courant pour ta nièce, j'imagine." J'écrasais mon mégot et but une gorgée de vodka avant de répondre. " Ouais, et ? Qu'est-ce que ça à voir avec moi ?" Il reste silencieux et pose les yeux sur moi. Désolé, mon pote, mais tu n'auras rien de moi. " J'espère sincèrement que t'as pas merdé, Nathan. J'espère que t'as rien à voir dans cette histoire, parce que je ne pourrais pas te couvrir." Je secoue la tête et souris. " C'est pas moi, promis." " Tu as pourtant juré de te venger, il y a six mois." Je hausse les épaules et n'ajoute rien. Il termine son café et se lève puis, sans un mot quitte la maison. C'est la dernière conversation que j'aurais avec lui. Je m'en veux de lui mentir, vraiment, mais je n'ai pas le choix. Je sais qu'il m'empêchera d'aller jusqu'au bout si je lui en parle. Je termine mon verre et retourne à mes occupations. Je devais encore attendre quelques jours avant de faire ce que j'avais à faire. Et ce n'était pas de gaîté de cœur. Quinn était ma nièce. De mon sang, ma famille. J'inspirais, ravalant ces sentiments au fond de moi. Je n'avais pas le choix.

Trois jours plus tard, j'étais dans cette cabane perdue au milieu de la forêt où elle était cachée. Elle était sous sédatif et dormait la plupart du temps, sauf quand il fallait la nourrir. J'étais là, debout devant elle. Et je la regardais dormir. Pendant longtemps. Je ne savais pas comment je voulais procéder, mais je ne voulais pas qu'elle souffre. Lorsqu'elle commença à bouger, je réalisais que je n'en étais pas capable. Je fis donc demi-tour vers mes deux autres acolytes. " Je la ramène chez elle." " Pardon ? Tu veux arrêter si près du but ?" " Ouais. Et je vous jure que le premier de vous deux qui dis quoi que ce soit, je le tue. Cassez-vous avant qu'elle ne se réveille." Je retourne auprès d'elle. Je la prends donc dans mes bras et la sort de là. " Rendors-toi, c'est fini. Je te ramène à la maison." Le chemin du retour se fit dans le silence le plus absolu. Quinn n'était pas encore tout à fait réveillée, ce qui n'était pas étonnant vu qu'elle venait de passer cinq jours sous sédatifs. Et me revoilà devant la maison de mon frère. J'imagine que toute la famille doit être là. Je ne prends pas la peine de frapper et entre. Quinn est dans mes bras et j'entends les murmures et les soupirs de soulagement. J'entends Esther qui crie et qui arrive pour me la prendre des bras. Je ne la regarde même pas. Je continue d'avancer comme un automate. Je cherche mon frère. J'entends des voix dans le jardin et m'y dirige. Hector est là, avec Joshua et d'autres membres de la famille. Mon aîné s'approche. " Qu'est-ce que tu fous là ? Où est ma fille ?" Je m'arrête et souris.  " Avec sa mère, dans le salon." " Dieu merci, elle va bien." Et là, j'éclate de rire, c'est plus fort que moi. Je sens le regard de Joshua qui s'avance pour se mettre entre lui et moi. D'un regard, je le dissuade de faire un mouvement. Je serre les poings et avance vers lui. " Fais pas genre, t'en a rien à foutre de ta fille." Silence. " Si t'es venu içi pour me..." Il ne termina pas sa phrase, mon poing était venu s'écraser contre sa mâchoire. Je souriais tandis qu'il tomba par terre. Je n'entendais plus rien autour de nous. Juste Hector qui crachait le sang qu'il avait dans la bouche par terre. " Je t'ai dis que t'allais me payer la mort de Lila." Je m'approche de lui, tandis qu'il se relève. " J'y suis pour rien si elle est morte ta fille." Je m'approche encore plus près, jusqu'à me mettre au niveau de son oreille. " C'est moi qui es fait enlever Quinn. Oeil pour oeil comme on dis si bien. Sauf que moi, je suis pas un salopard comme toi." Je le frappe au niveau du ventre et il tombe de nouveau. Ensuite, la seule chose dont je me souviens, c'est d'être dans l'allée, un sourire satisfait aux lèvres. Et d'avoir du sang sur les mains. Quelques jours après cette altercation, je quittais les Etats-Unis de façon permanente. Je n'avais plus rien à y faire de toute façon. Mon choix s'était porté sur l'Angleterre. Parce que c'était loin, très loin du reste de ma famille, que je pouvais essayer de me reconstruire.

Dix ans. Et en dix ans, il n'y avait pas vraiment d'améliorations. J'ai essayé pendant quelques mois de reprendre une place d'auror, mais ça,n'as pas marché. Je ne m'entendais pas avec mon collègue et je dois dire que les Anglais sont.... Très à cheval sur la loi pour rester poli. Chose qui m'a profondément saoulé. J'ai alors démissionné. Je n'ai jamais arrêté de boire, ni fumer ni prendre toutes les saloperies de drogues que je pouvais trouver. Cela me faisait du bien. Et c'est dans ces moments-là que j'ai commencé à voir Lila. Je savais que c'était pas réelle, après tout, j'avais tenu le cadavre de ma fille dans mes bras. Mais, savoir qu'elle était près de moi, ça m'aidais un peu. Après des mois d'errance la plus totale dans les rues de Londres, j'ai fini par devenir un mercenaire. Je me foutais bien du boulot qu'on me refilait tant que j'étais payé. Je n'avais plus aucune notion de ce qui n'était bien ou pas. Et j'ai commencé à me faire une solide réputation avec les années. Je bosse souvent avec une nana des quartiers mal famés de la ville. Une sang-pur, autrement dit une putain de bourgeoise. Mais, elle payait bien alors bon. Elle tenait une boutique où j'allais de temps en temps. Sinon, je m'occupais aussi de retrouver des gens, enfin ce qu'on voulait bien me refiler. Et seulement en toute illégalité ou quand on voulait régler le problème sans passer par les aurors. Je n'étais pas connu pour faire dans la dentelle. S'il fallait démolir la face d'un type ou traumatisé un dealer, j'étais là aussi. Je n'étais pas chien quand il fallait bosser. Sinon, comment je payais mes excès hein ?

C'est en octobre 1982 que mon passé me revint en pleine gueule.  " Papa, lèves-toi, on frappe à la porte" " Va ouvrir, okay..." " Et comment je fais ? Je te rappelle que je suis le fruit de ton imagination." Putain c'est vrai. Merde. Je grogne et me lève. " Et enfiles un truc, tu va pas ouovrir en caleçon hein..." " Putain, t'es chiante Lila..." Elle se marre et je grogne de nouveau. J'enfile un pantalon et un t-shirt et me traîne jusqu'à la porte que j'ouvre à la volée. Et là, je bloque. Esther. Putain, mais qu'est-ce qu'elle fout là ? " Quoi que tu me demande, c'est non." Et je referme la porte sans une seconde d'hésitation. " C'est tante Esther ! Allez, sois sympa, elle a l'air triste." "Rien à foutre, je retourne dormir." C'était sans compter sur Esther qui re frappe de nouveau à la porte. Ma fille me regarde, je soupire et ouvre la porte. Je pose les yeux sur elle. La femme de mon frère.  " Tu as trente secondes." Je la vois qui inspire et fouille dans son sac et me tends une photo. Je la regarde et la reconnais sans peine. Quinn. Comment oublier la nièce que j'ai failli tuer il y a des années ? " C'est Quinn. Je sais pas où elle est. Je sais que tu retrouves des personnes, je t'en supplies, retrouve-là. J'ai vraiment merdé. T'imagine pas Nathan." Je relève les yeux et souris.  " Ah oui ? Tu as tellement merdé dans ta vie que c'est maintenant que tu t'en rends compte ? Désolé, mais j'ai du boulot. Va voir quelqu'un d'autre." Je l'entends qui soupire et qui fouille de nouveau dans son sac et elle me tend une liasse de billets. " C'est une avance. J'ai entendu dire que l'argent partait vite chez toi. Tout ce que je veux c'est que tu ramène ma fille." Je regarde Lila qui me souris. Je repose les yeux sur Esther. " Je serais jamais débarrassé de vous putain..." Je lui fis signe d'entrer. De toute façon, j'avais rien de mieux à faire en ce moment. Je la laisse s'installer sur le canapé. Lila s'asseoie juste à côté d'elle et la regarde avec attention. J'attrape mon paquet de cigarettes et en allume une. " Dis-moi ce qui c'est passé la dernière fois où tu l'as vu. Si quelqu'un est au courant." " Elle a disparu à Pré-au-Lard si j'ai bien compris. Y'a une vague de disparition ces derniers temps. Je suis inquiète." Je garde le silence quelques secondes avant de reprendre. " Tu t'es pas dis qu'elle avait fugué ? Et puis, d'ailleurs, qu'est-ce que vous faites en Angleterre ?" " Je pensais que tu serais au courant. Hector et moi, on a divorcé." Et la, j'éclate de rire. Bah, bordel, il lui en avait fallu du temps pour le faire... " C'est pas drôle papa, elle souffre." " C'est pas le moment Lila." Je sens le regard d'Esther sur moi. Elle ne semble pas comprendre à qui je parle. Et je n'ai pas envie de lui expliquer que je souffre d'hallucinations depuis des années. Que je vois ma fille. " Je vais faire ce que je peux. Dès que je retrouve ta fille, je te préviens, je ne veux plus vous voir. Si j'suis parti y'a dix ans, c'est pas pour que toi et ta fille, venez me faire chier avec vos histoires." Au moins, elle est prévenue.

Il m'a fallu plusieurs mois pour retrouver ma nièce. Au passage, j'avais retrouvé Charlie, une cousine de Lila. La même que Lila adorait écouter parler quand elle était encore en vie. J'ai aussi retrouvé un dealer chez qui je venais me fournir et qui avait lui aussi disparu. J'avais appris qu'ils étaient tous les trois passé par la case Complexe, avant d'aller quelque part pour enfin refaire surface plusieurs mois plus tard. Le monde sorcier britannique partait grave en sucette et moi, j'étais là, à accepté des propositions d'embauches. Y a pas à dire, j'ai bien gagné ma vie durant plusieurs mois. Je tenais Esther au courant par hibou, je ne voulais pas la voir. La guerre civile qui fit rage pendant quelques mois, c'était du pain béni pour un mec comme moi, même si je faisais attention à pas me faire choper, je voulais pas finir ma vie en prison. Et puis soudainement, tout s'arrête. Leur Ministre, est mort, et promis ce n'est pas moi qui l'ai tué, et la guerre civile prends fin. Le calme revient. J'ai coupé les ponts avec la bourgeoise, Cassiopée Beurk, si je me souviens bien de son nom. Elle comme moi, on sentait le vent tourné et on a préféré mettre fin à notre partenariat. Elle fera peut-être appel à moi plus tard, mais autant bien faire les choses. Et une vague de procès va débuter. Je ne sais pas ce qui en sortira et pour tout dire, j'en ai rien à foutre. J'ai retrouvé le gamin qui me fournissait de la bonne marchandise et il squatte chez moi de temps à autre. Quinn va bien, mais je ne m'en approche pas. Je n'ai pas envie de faire resurgir de vieux souvenirs. Et la vie reprend son cours tranquillement...


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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Charlie de Breteuil, Mar 6 Fév - 23:29 (#)
roll
espèce de vieux ALBERT
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Nam So Hyun, Mar 6 Fév - 23:30 (#)
faut qu'on arrête de faire des nouveaux persos ensemble jenna Nih Nih
MAIS C'EST UN SIGNE QU'IL ME FAUT DES LIENS AVEC CE BG
" Alcoolique, drogué, et instable mentalement."
en plus c'est le type de levi ça stpplease stpplease

rebienvenue chez toi Twisted taggletesamoi taggletesamoi
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Demetria Argyris, Mar 6 Fév - 23:32 (#)
TONTON HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

bienvenue dans la famille écoute Yeah! et j'ai hâte qu'on mette nos complots en place HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Je stalkerai tout ça avec attention Nih j'attendais que tu postes avant se marquer mon territoire en attendant de me coucher HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Nih

on va faire de grandes choses toi et moi Chou
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mar 6 Fév - 23:33 (#)
L. Charlie de Breteuil a écrit:
roll
espèce de vieux ALBERT

C'toi la vieille HOHOHOHOHOHOHOHOHHO sois gentille avec ton oncle tu veux wuuuuut

Nam So Hyun a écrit:
faut qu'on arrête de faire des nouveaux persos ensemble jenna Nih Nih
MAIS C'EST UN SIGNE QU'IL ME FAUT DES LIENS AVEC CE BG
" Alcoolique, drogué, et instable mentalement."
en plus c'est le type de levi ça  stpplease  stpplease

rebienvenue chez toi  Twisted  taggletesamoi  taggletesamoi

Ouais bordel c'est systématique HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Robert47cm On aime tout faire en même temps osef roll
T'façons lien avec Lévi roll

Quinn L. Warren a écrit:
TONTON HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

bienvenue dans la famille écoute  Yeah! et j'ai hâte qu'on mette nos complots en place  HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Je stalkerai tout ça avec attention  Nih j'attendais que tu postes avant se marquer mon territoire en attendant de me coucher  HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Nih

on va faire de grandes choses toi et moi  Chou

MA NIECE CHERIE Chou Chou fin pas à ce point là, mais bon roll
Oui continuons de comploter HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
Merci de m'acceillir dans la famille Nih


Dernière édition par Nathan C. Warren le Mar 6 Fév - 23:35, édité 1 fois
Charlie de Breteuil
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Charlie de Breteuil, Mar 6 Fév - 23:34 (#)
Non roll Oncle en carton va roll
Sinon là tout de suite, heureusement que Nathan est l'oncle de BB, elle aurait trop eu envie de le pécho sinon AMAGAD
Tantpisj'enverraisuneautredemesfillespourça siffle

Vas-y trop de mystère TT je veux lire crymeariver
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mar 6 Fév - 23:35 (#)
Wesh envoie qui tu veux Robert47cm après il sait pas que BB est sa nièce roll nan c'est gore RIP
Nam So Hyun
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Nam So Hyun, Mar 6 Fév - 23:37 (#)
(levi a toujours rêvé de pouvoir pécho l'oncle de bonnie, quelle coïncidence jaredditoui )
(mais comme elle était orpheline et tout, c'était pas trop pratique)
(mais maintenant c'est bien)
(faisons un clan d'américain please)
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mar 6 Fév - 23:38 (#)
LOUISE RIP RIP mais putaiiiin RIP
Bon on peut arrêter de flooder ma fiche svp Hen ! HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Pantémort
Vendu pour le clan d'expatriés jaredditoui
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mer 7 Fév - 2:11 (#)
RE-BIENVENUUUUE TURLUTUTUUUUUU  ALBERT  ALBERT  ALBERT

L. Charlie de Breteuil a écrit:
Sinon là tout de suite, heureusement que Nathan est l'oncle de BB, elle aurait trop eu envie de le pécho sinon AMAGAD

je vois pas en quoi l'un pourrait empêcher l'autre Nih
allez, soyez fun, refaites-nous un p'tit remix de game of thrones Robert47cm AMAGAD

moi ce qui me fait rire c'est la pose tellement flawless de ton avatar, jsp, je le vois et j'peux pas m'empêcher de l'imaginer comme "OH ! Une fille ! Act natural !" et je rigole parce que je suis une enfant Arrow
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mer 7 Fév - 6:38 (#)
encore un papy bg HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
rebienvenue Chou good luck pour ta fiche Daengelo
jeveuxensavoirplus.
Demetria Argyris
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Demetria Argyris
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Demetria Argyris, Mer 7 Fév - 6:43 (#)
et moi je peux faire partie du clan d'expat? siffle non? Yeah!
ok josorsaussi HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
par Invité, Mer 7 Fév - 9:15 (#)
Gabriel F. Hamilton a écrit:
RE-BIENVENUUUUE TURLUTUTUUUUUU  ALBERT  ALBERT  ALBERT

L. Charlie de Breteuil a écrit:
Sinon là tout de suite, heureusement que Nathan est l'oncle de BB, elle aurait trop eu envie de le pécho sinon AMAGAD

je vois pas en quoi l'un pourrait empêcher l'autre Nih
allez, soyez fun, refaites-nous un p'tit remix de game of thrones Robert47cm AMAGAD

moi ce qui me fait rire c'est la pose tellement flawless de ton avatar, jsp, je le vois et j'peux pas m'empêcher de l'imaginer comme "OH ! Une fille ! Act natural !" et je rigole parce que je suis une enfant Arrow

Tu me bute, mais d'une puissance HOHOHOHOHOHOHOHOHHO Yeah! Et non, il ne couchera pas avec sa nièce athanaditnon il est pas désespéré à ce point wesh RIP maispourlefunpourquoipas Pantémort Merciii Brille

K. Jaine Zabini a écrit:
encore un papy bg HOHOHOHOHOHOHOHOHHO
rebienvenue Chou good luck pour ta fiche Daengelo
jeveuxensavoirplus.

Merci Brille Daengelo j'essaie de faire au plus vite promis jaredditoui Chou

Quinn L. Warren a écrit:
et moi je peux faire partie du clan d'expat? siffle non? Yeah!
ok josorsaussi HOHOHOHOHOHOHOHOHHO

Non, c'est pour les plus de quarante ans athanaditnon Lysfèlagueule T'es trop jeune roll
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Message Re: La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]
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La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare. [ Nathan]

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