Glasgow , Ecosse , 1973
Cher journal, je viens de recevoir ma lettre pour Poudlard. Enfin ! Je suis tellement heureuse de pouvoir y aller enfin. J’attendais ce moment depuis tellement de temps, depuis tellement d’années. Je suis tellement heureuse de pouvoir profiter de ma magie enfin ! Pour fêter ça ma mère t’a offert à moi. Je suis tellement contente, tu as une superbe couverture prune avec un ruban de la même couleur. Un magnifique marque page en forme de rose. Je suis tellement heureuse, tu vas pouvoir garder tous mes secrets, tous les moments qui me forge et dont je veux me souvenir plus tard.
Je vais d’abord te dire qui je suis vraiment. Je m’appelle Louella Kalia Meadowes, je suis née au mois d’aout il y a onze ans. Je viens d’une famille de sang pur. Ma mère Pathy Meadowes née Wood est une sorcière très talentueuse, elle travaille en tant que médecin dans un hopital à Glasgow, mon père lui – Julian Meadowes – travaille dans l'exportation de balais. Mes parents sont relativement stricts et également très exigeants envers moi. Depuis toute petite je vis dans la magie, c'est un monde étrange avec des avis très partagés. certains sorciers n'aiment pas les moldus - les non sorciers - et voit leur présence d'un mauvais oeil même si des personnes comme ma famille ne voit pas ça comme ça.
Dans ma vie, la personne que j’aime le plus au monde est ma petite sœur, elle est tellement adorable, tellement magnifique cette petite. On a quatre ans d’écart mais c’est la plus grande que je n’ai jamais vu. Nos années sont tellement infimes quand nous sommes ensembles. Heaven est la petite fille la plus adorable que je n’ai jamais vu. Nous sommes une famille très unie. La vérité est que j’ai été élevée par des parents qui ne sont pas regardant sur le sang. Ils sont très ouverts d’esprit et m’on transmit cet amour. Contrairement à de nombreux sorciers qui considèrent les moldus comme des cafards comme je l’ai dis avant. Eux c’est tout le contraire. Ils les voient comme une façon pour les sorciers de ne pas s’éteindre.

Angleterre , gare , moment du départ
Je n’aurai jamais cru que ça serait aussi dur de dire au revoir à mes parents et à Heaven. C’était tellement dur de la sentir trembler contre moi et l’entendre me supplier de rester à la maison, j’ai cru que j’allais me mettre à pleurer. J’ai faillit verser des larmes quand j’ai vu les yeux de maman se remplir de perles brillantes. Elle m’a murmuré quelques mots avant de me serrer dans ses bras. Mon père lui m’a embrassé sur le front et n’a rien dit à part que j’étais sa grande fille et que je les rendrais fière. Que je serai toujours avec Heaven les plus belles choses de sa vie.
Quand j’ai du monter dans le train mes jambes chancelaient. Je m’élançais vers un inconnu immense qui m’effrayait et en même temps c’était tellement excitant. Loin de ma campagne écossaise, j’allais vivre de nouvelles choses. Je suis de nature curieuse, même si les gens me trouve fragile en apparence. Je ne suis pas si fragile que ça croit moi cher journal ! Evidemment je t’avais mis dans mes valises, avec un cadre contenant la photo de notre famille. J’avais tellement hâte de découvrir Pourdlard dont on m’avait tant parlé que ma peine s’est arrêtée quand je suis montée dans le train. Le bruit des railles à commencé doucement à me bercer. J’étais prête pour cette nouvelle aventure.
Vois tu j’avais achetée ma première baguette, elle est parfaite. Sculptée dans du bois de rosier, longue de 28 cm avec un crin de licorne à l’intérieur. Elle est parfaite pour les sortilèges. Je suis une sorcière. Une vraie à présent.

Répartition
Ce fut le moment le plus angoissant et le plus stressant de ma vie. Je sentais que mes jambes faiblissaient sous mon poids. J’étais censé faire quoi moi ? Je marchais au milieu des autres vers l’estrade où un vieux barbu faisait un discours. Le directeur de cette école : Albus Dumbledore, considéré par mes parents comme le plus grand sorcier de la Terre certainement.
Je regardais les tables qui s’alignaient sur les côté. Quatre tables pour quatre maisons. Mon père m’avait dit que le choixpeau ne faisait jamais d’erreur. Il ne se trompait jamais. Il savait lire votre âme au plus profond, contraire votre véritable « vous ». Quand mon nom retentit dans la pièce mon souffle se coupa. Je m’avançais vers l’estrade et prit place sur le tabouret. Ils me posèrent cet être doué de la plus grande des raisons sur la tête. Attendant mon sort. Et bien cher journal je suis…

Rencontre avec l’amitié
Le temps ici peu paraître long quand on est seul. Cependant j’ai apprit que se faire des amis ici n’est pas si compliqué. J’ai rencontré Ebenezer Crabbe aujourd’hui dans un cours. Je pense que nous pourrions devenir de grands amis. Il est très gentil et lui aussi apparemment se sent un peu seul. Nous verrons bien cher journal ! C’est l’heure du dîner , au revoir.

Il y a une fin, Poudlard, 1979
Cela fait des éternités que je ne t’ai pas écrit. J’en suis désolé. Vois-tu depuis que j’ai rencontré Eben en fait. Nous sommes devenus amis comme je l’avais prédis. Même très amis, nous sommes presque inséparables. Ne m’en veut pas cher journal, mais un véritable ami remplace ces quelques lignes que j’écrivais quand au fond je me sentais seule et que j’avais besoin de quelqu’un à qui me confier. J’ai aujourd’hui 17 ans et je suis en train de terminer mon premier cycle à Poudlard. J’ai étais rejointe par Heaven. C’est une merveilleuse sorcière. Je pense qu’il est tant que je te ferme pour toujours cher journal. Tu peux reposer en paix au fond de mon tiroir. J’ai réussit à grandir grâce à toi. Merci. Lou, ton amie pour toujours.